Quel est ce train que l'on n'a jamais pris pour aller un peu plus loin.. N'est ce pas des retrouvailles... De très belles paroles qui font travailler l'imaginaire, toujours avec cette voix( je pense toujours au Canada en l'écoutant)...
Et même si l’amitié Avait pris ses distances Depuis les trente années Qu’on ne s’était pas vus Peut-être qu’aujourd’hui Une dernière chance Nous offre de refaire Ce que l’on n’a pas pu En suivant tous les deux Un long chemin d’errance Peut-on dire à présent Qu’on ne l’a pas voulu Le hasard a bon dos Mais c’est par convenance Qu’on laisse filer la vie Et nos rêves perdus On ne s’appelle rien Un peu comme tout le monde Ceux là qui n’ont pas fait Tout ce qu’ils auraient dû Mais c’est sur les regrets D’une jeunesse moribonde Qu’on s’faisait un printemps Comme on n’a jamais eu Moi je n’ai pas perdu Le goût de l’aventure Si tu n’as pas changée Restons de vieux gamins Avant que notre vie Ne finisse en ratures On pourrait se payer De sacrés lendemains 5-Tu sais c’est vrai qu’ici Peu de choses nous retiennent Et que notre horizon Chaque jour se restreint Tant pis si l’espérance Est comme l’Arlésienne Faudrait se dépêcher De vivre un peu plus loin Ce sera pour nous deux Le dernier tour de piste Et ce numéro là Faudra pas le rater Tout en disparaissant Un peu comme des artistes Nous ferons croire aux autres Qu’un soir on s’est noyés Voila que de nouveau L’impatience nous chahute Envie d’autres rivages Que l’on n’a pas connus On y pensait tous mômes Chaque heure, chaque minute Même après tant d’années Tout çà n’est pas perdu Aujourd’hui l’amitié Va se mettre en vacances Jusqu’à perte de vue A perte d’océan On a si peu de temps Et des projets immenses Pour essayer de faire Ce que l’on aurait dû 9- A grands coup de jeunesse Sur nos vies de misère Sur nos matins de doute Et nos nuits de dépit Sans peur et sans bagages Sans regarder derrière On va prendre le train Que l’on n’a jamais pris A grand coup de jeunesse Sur nos vies de misère Sur nos matins de doute Et nos nuits de dépit Sans peur et sans bagages Sans regarder derrière On va prendre ce train Que l’on n’a jamais pris
Vivre un peu plus loin. Loin de ce qui nous blesse, de ce qui nous déplaît. Prendre peu de bagages. Voyager léger. N'emporter que le strict nécessaire. Car l'essentiel C'est toi, c'est moi. Notre Amour à protéger. Laisser les choses futiles Dans les sacs du passé. Trop lourds. Tourner la page de nos années d'errance. Où je te cherchais, Partout, dans ce monde si vaste. Où tu rêvais d' un ailleurs. Sans quitter ton clocher. Sans partance. Changer de rivage. Le pourrais tu ? Si non, alors faire un nid. Un nid d'aigle. Où nul ne pourrais entrer Sans laisser-passer. Juste, prendre ce dernier train. Sans tarder. Le temps pourrait manquer. Et vivre ! Vivre, à deux, ce temps qui nous reste. Vivre !
Fini les belles paroles et chanteurs et époques 😢
Je l'écoute en boucle, tout simplement sublime et découvre son répertoire, toute ma gratitude à Monsieur Vivier, oui on peut dire un grand Monsieur
Superbe Superbe 💕💕💕💕💕💕💕💕💕💕
Quel est ce train que l'on n'a jamais pris pour aller un peu plus loin.. N'est ce pas des retrouvailles... De très belles paroles qui font travailler l'imaginaire, toujours avec cette voix( je pense toujours au Canada en l'écoutant)...
Belle chanson de Jean Marie, découvert à Nantes au bateau Lavoir à Nantes en 1972... Le temps passe, les beaux écrits restent
vraiment splendide cela Change des autres sois disant chanteur ,Merci Agnes.
Texte fabuleux et très belle interprétation...une très belle découverte...bravo😊
J'aime votre voix et vos textes... ❤️
❤
La dernière valse de la vie. Il faut la vivre,et prendre le train que l'on n'à jamais pris
Merci Mr Vivier, merci Yannick Mathias !
Superbe chanson! Belle valse... Tellement vrai!
Et même si l’amitié Avait pris ses distances
Depuis les trente années Qu’on ne s’était pas vus
Peut-être qu’aujourd’hui Une dernière chance
Nous offre de refaire Ce que l’on n’a pas pu
En suivant tous les deux Un long chemin d’errance
Peut-on dire à présent Qu’on ne l’a pas voulu
Le hasard a bon dos Mais c’est par convenance
Qu’on laisse filer la vie Et nos rêves perdus
On ne s’appelle rien Un peu comme tout le monde
Ceux là qui n’ont pas fait Tout ce qu’ils auraient dû
Mais c’est sur les regrets D’une jeunesse moribonde
Qu’on s’faisait un printemps Comme on n’a jamais eu
Moi je n’ai pas perdu Le goût de l’aventure
Si tu n’as pas changée Restons de vieux gamins
Avant que notre vie Ne finisse en ratures
On pourrait se payer De sacrés lendemains
5-Tu sais c’est vrai qu’ici Peu de choses nous retiennent
Et que notre horizon Chaque jour se restreint
Tant pis si l’espérance Est comme l’Arlésienne
Faudrait se dépêcher De vivre un peu plus loin
Ce sera pour nous deux Le dernier tour de piste
Et ce numéro là Faudra pas le rater
Tout en disparaissant Un peu comme des artistes
Nous ferons croire aux autres Qu’un soir on s’est noyés
Voila que de nouveau L’impatience nous chahute
Envie d’autres rivages Que l’on n’a pas connus
On y pensait tous mômes Chaque heure, chaque minute
Même après tant d’années Tout çà n’est pas perdu
Aujourd’hui l’amitié Va se mettre en vacances
Jusqu’à perte de vue A perte d’océan
On a si peu de temps Et des projets immenses
Pour essayer de faire Ce que l’on aurait dû
9- A grands coup de jeunesse Sur nos vies de misère
Sur nos matins de doute Et nos nuits de dépit
Sans peur et sans bagages Sans regarder derrière
On va prendre le train Que l’on n’a jamais pris
A grand coup de jeunesse Sur nos vies de misère
Sur nos matins de doute Et nos nuits de dépit
Sans peur et sans bagages Sans regarder derrière
On va prendre ce train Que l’on n’a jamais pris
Vivre un peu plus loin.
Loin de ce qui nous blesse,
de ce qui nous déplaît.
Prendre peu de bagages.
Voyager léger.
N'emporter que le strict nécessaire.
Car l'essentiel
C'est toi, c'est moi.
Notre Amour à protéger.
Laisser les choses futiles
Dans les sacs du passé.
Trop lourds.
Tourner la page de nos années d'errance.
Où je te cherchais,
Partout, dans ce monde si vaste.
Où tu rêvais d' un ailleurs.
Sans quitter ton clocher.
Sans partance.
Changer de rivage.
Le pourrais tu ?
Si non, alors faire un nid.
Un nid d'aigle.
Où nul ne pourrais entrer
Sans laisser-passer.
Juste, prendre ce dernier train.
Sans tarder.
Le temps pourrait manquer.
Et vivre !
Vivre, à deux,
ce temps qui nous reste.
Vivre !