Bonjour, votre avion est incroyablement stable ! Même en pilote auto, avec la couche de vent qui est mise de base dans un plan de vol supprimer, mes avions a hélices sont pas mal secouées .
L'avantage avec ce nouveau simulateur FS 2020, c'est qu'il simule AUSSI.....les vents cisaillants et turbulences verticales, et les VRAIS COMPORTEMENTS des avions en vol ( même jusqu'au toucher des roues ) SAVEZ VOUS qu'en école de pilotage des petits avions, on nous apprend une GROSSE ERREUR, qui peut devenir un jour très grave: celle de..... COUPER les GAZS lors de l'atterrissage à quelques mètres du sol, avant même que les roues n'aient encore touché la piste. Pourquoi est-ce une ERREUR ? Lors de l'atterrissage, on atterrit TOUJOURS, et NORMALEMENT.....FACE au VENT: c'est.......INDISPENSABLE. Pourquoi ?? Parce que la vitesse de l'avion et la vitesse du vent DOIVENT....se RETRANCHER l'une par rapport à l'autre ( et non bien sûr s'ajouter ). Rappelons d'abord que.... la VITESSE IDÉALE pour un atterrissage est de: V atterrissage = V décrochage x 1.2 ( 20% supérieure seulement ) La V décrochage est la vitesse à laquelle un avion....ne VOLE PLUS ( vitesse donc qu'il faut ABSOLUMENT respecter, et surtout toujours dépasser ). Par vent nul, la vitesse de l'avion est donc la vitesse d'atterrissage, et il n'y a pas de DANGER ( marge = 20 % ). Mais, par vent fort de face ( ou pire...de travers), la vitesse de l'avion peut très vite diminuer, et atteindre rapidement, si on n'y fait pas attention.... la vitesse de décrochage ( par soustraction des vitesses ) Combien de pilotes se sont CRASHES bêtement, en bout de piste , lors de l'atterrissage, pour avoir SOUS-ESTIMER la force du vent de face ? ATTENTION: le vent ne se voit pas, et pas très malin celui qui se fie seulement à ses instincts " de vieux pilote " ( et non pas au instruments ) D'ailleurs, sur tous les liners, il est INTERDIT....de couper les gazs AVANT....d'avoir poser les 3 roues ( 2 + 1 ). Certes, le pilote a bien sa main droite posée sur la manette des gazs, mais ce n'est pas du tout pour couper les gazs, mais bien..... pour les remettre à fond en cas de REMISE des GAZS éventuelle. C'est VRAI...que sur les liners, il y a.....le freinage automatique des roues, la reverse, les aérofreins pour freiner et ralentir leur bolide sur une piste toujours trop courte, mais que dire d'un tout petit avion qui s'arrête sur quelques mètres seulement, et pour qui une piste est toujours " très longue ". Un BON PILOTE donc, est un pilote qui coupe les gazs moteurs.....UNE FOIS SEULEMENT.... les 3 roues posées au sol ( et PAS AVANT !). Essayez, et vous verrez.....si vous êtes aussi bon pilote que vous croyez ( sinon, continuez de faire comme avant.....PLANER, ou vous crasher )
Je suis CERTAIN que vous n' êtes pas pilote de liner, mais simplement de petits avions, et que.... vous répétez bêtement ce que l'on vous a dit à l'école de pilotage. Mais je vous l'ai dit: la RAISON de demander à l'élève de diminuer, ou couper les gazs à l'atterrissage est UNIQUEMENT parce que l'élève pilote est un DÉBUTANT, et qu'il ne volera JAMAIS par mauvais temps. Je RÉPÈTE: en liner, c'est INTERDIT ( et il y a de BONNES RAISONS pour cela ) Et vous aurez certainement remarqué que lors de l'atterrissage, beaucoup de petits avions ne font pas un DOUX ARRONDI comme prévu, mais....TOMBENT plus ou moins durement et littéralement sur la piste: en FAIT, et en RÉALITÉ, ils ont DÉCROCHÉ, à quelques mètres au dessus de la piste....car leur vitesse était décroissante Ce n'est jamais grave pour un avion léger, mais c'est CATASTROPHIQUE pour un liner
@@MAIDONNORBERT Vous ne racontez que des conneries . Manifestement vous n’avez jamais été en école de pilotage . Et en ce qui me concerne : piloter, c’est mon métier . Quelques notions de base pour vous améliorer L’approche se fait à 1,3 X la vitesse de décrochage en configuration aterrissage (c’est valable du planeur au Liner ) . On majorera encore cette vitesse de la valeur du vent de face (en Kts ) et de l’eventuelle rafale . En planeur on appelle ça la VOA = Vitesse Optimale d’Approche , en avion de ligne on appelle ça la Vref = Vitesse de Référence . Comme le vent est variable , que la masse d’un avion varie , que les pistes sont longues ou courtes , et que les conditions du jour varient (Température ..etc.. ), le maintien d’un plan constant d’approche (3°/ 5% en général ) et de la vitesse , ne peut se faire qu’en ajustant la puissance moteur . Garder de la puissance en approche sur un terrain court , verra une augmentation de la vitesse , et donc une longueur d’aterrissage plus importante . Lors d’un test en vol, il y a des valeurs limites à respecter : typiquement +5kts /-0kts pour la vitesse d’atterrissage... il n’y a aucune valeur de puissance moteur . Surtout pas sur un moteur à pistons, ou la puissance est trés rapidement disponible . Vos notions de vitesse de décrochage face au vent , et autres âneries sont farfelues , voire dangereuses si un apprenti pilote s’en inspire ... quand on ne sait pas, on n’invente pas Le décrochage dépend UNIQUEMENT de l’angle d’incidence (entre 15 et 20° selon les ailes ). La notion de vitesse de décrochage est dangereuse , puisque qu’en fonction de poid de l’avion, de sa configuration et du facteur de charge qu’il subit , elle peut varier dans des proportions énormes . Exemple : un avion qui, selon les conditions du jour , décrocherait à 100 km/h en palier , ailes à plat , décrochera à 140 km/h dans un virage à 60° d’inclinaison . (La vitesse de décrochage augmente avec la racine carrée du facteur de charge . A 60° il est de 2g , donc 1,4x de correction ) Que le vent soit de face, de travers ou dans le dos n’a AUCUN impact sur la vitesse de décrochage . Il n’affecte que la Vitesse Sol , qui n’est en aucun cas indiquée par l’anémométre ( mais qu’on trouve via le GPS ou le DME ) Donc , relisez vos bases, et apprenez avant de vouloir enseigner .
Bonjour, votre avion est incroyablement stable !
Même en pilote auto, avec la couche de vent qui est mise de base dans un plan de vol supprimer, mes avions a hélices sont pas mal secouées .
Vautour bonjour. Dans les options, si vous passez le modèle de vol de Historique à Moderne ça réglera le problème de stabilité. Cordialement.
@@limaalphasimulation6045Merci . Rapide et poli en plus !
Salut! Les capots moteur du Baron G58 sont-ils simulé sur FS2020?
Si tu parles des trappes d'aération sous nacelles oui.
L'avantage avec ce nouveau simulateur FS 2020, c'est qu'il simule AUSSI.....les vents cisaillants et turbulences verticales, et les VRAIS COMPORTEMENTS des avions en vol ( même jusqu'au toucher des roues )
SAVEZ VOUS qu'en école de pilotage des petits avions, on nous apprend une GROSSE ERREUR, qui peut devenir un jour très grave: celle de.....
COUPER les GAZS lors de l'atterrissage à quelques mètres du sol, avant même que les roues n'aient encore touché la piste. Pourquoi est-ce une ERREUR ?
Lors de l'atterrissage, on atterrit TOUJOURS, et NORMALEMENT.....FACE au VENT: c'est.......INDISPENSABLE. Pourquoi ??
Parce que la vitesse de l'avion et la vitesse du vent DOIVENT....se RETRANCHER l'une par rapport à l'autre ( et non bien sûr s'ajouter ).
Rappelons d'abord que.... la VITESSE IDÉALE pour un atterrissage est de: V atterrissage = V décrochage x 1.2 ( 20% supérieure seulement )
La V décrochage est la vitesse à laquelle un avion....ne VOLE PLUS ( vitesse donc qu'il faut ABSOLUMENT respecter, et surtout toujours dépasser ).
Par vent nul, la vitesse de l'avion est donc la vitesse d'atterrissage, et il n'y a pas de DANGER ( marge = 20 % ).
Mais, par vent fort de face ( ou pire...de travers), la vitesse de l'avion peut très vite diminuer, et atteindre rapidement, si on n'y fait pas attention....
la vitesse de décrochage ( par soustraction des vitesses )
Combien de pilotes se sont CRASHES bêtement, en bout de piste , lors de l'atterrissage, pour avoir SOUS-ESTIMER la force du vent de face ?
ATTENTION: le vent ne se voit pas, et pas très malin celui qui se fie seulement à ses instincts " de vieux pilote " ( et non pas au instruments )
D'ailleurs, sur tous les liners, il est INTERDIT....de couper les gazs AVANT....d'avoir poser les 3 roues ( 2 + 1 ).
Certes, le pilote a bien sa main droite posée sur la manette des gazs, mais ce n'est pas du tout pour couper les gazs, mais bien.....
pour les remettre à fond en cas de REMISE des GAZS éventuelle.
C'est VRAI...que sur les liners, il y a.....le freinage automatique des roues, la reverse, les aérofreins pour freiner et ralentir leur bolide sur une piste toujours trop courte, mais que dire d'un tout petit avion qui s'arrête sur quelques mètres seulement, et pour qui une piste est toujours " très longue ". Un BON PILOTE donc, est un pilote qui coupe les gazs moteurs.....UNE FOIS SEULEMENT.... les 3 roues posées au sol ( et PAS AVANT !).
Essayez, et vous verrez.....si vous êtes aussi bon pilote que vous croyez ( sinon, continuez de faire comme avant.....PLANER, ou vous crasher )
Vous dites des énormités . Revisez vos bases .
Je suis CERTAIN que vous n' êtes pas pilote de liner, mais simplement de petits avions, et que....
vous répétez bêtement ce que l'on vous a dit à l'école de pilotage. Mais je vous l'ai dit:
la RAISON de demander à l'élève de diminuer, ou couper les gazs à l'atterrissage est UNIQUEMENT
parce que l'élève pilote est un DÉBUTANT, et qu'il ne volera JAMAIS par mauvais temps.
Je RÉPÈTE: en liner, c'est INTERDIT ( et il y a de BONNES RAISONS pour cela )
Et vous aurez certainement remarqué que lors de l'atterrissage, beaucoup de petits avions
ne font pas un DOUX ARRONDI comme prévu, mais....TOMBENT plus ou moins durement et littéralement sur la piste:
en FAIT, et en RÉALITÉ, ils ont DÉCROCHÉ, à quelques mètres au dessus de la piste....car leur vitesse était décroissante
Ce n'est jamais grave pour un avion léger, mais c'est CATASTROPHIQUE pour un liner
@@MAIDONNORBERT Vous ne racontez que des conneries . Manifestement vous n’avez jamais été en école de pilotage .
Et en ce qui me concerne : piloter, c’est mon métier .
Quelques notions de base pour vous améliorer
L’approche se fait à 1,3 X la vitesse de décrochage en configuration aterrissage (c’est valable du planeur au Liner ) . On majorera encore cette vitesse de la valeur du vent de face (en Kts ) et de l’eventuelle rafale . En planeur on appelle ça la VOA = Vitesse Optimale d’Approche , en avion de ligne on appelle ça la Vref = Vitesse de Référence .
Comme le vent est variable , que la masse d’un avion varie , que les pistes sont longues ou courtes , et que les conditions du jour varient (Température ..etc.. ), le maintien d’un plan constant d’approche (3°/ 5% en général ) et de la vitesse , ne peut se faire qu’en ajustant la puissance moteur . Garder de la puissance en approche sur un terrain court , verra une augmentation de la vitesse , et donc une longueur d’aterrissage plus importante . Lors d’un test en vol, il y a des valeurs limites à respecter : typiquement +5kts /-0kts pour la vitesse d’atterrissage... il n’y a aucune valeur de puissance moteur . Surtout pas sur un moteur à pistons, ou la puissance est trés rapidement disponible .
Vos notions de vitesse de décrochage face au vent , et autres âneries sont farfelues , voire dangereuses si un apprenti pilote s’en inspire ... quand on ne sait pas, on n’invente pas
Le décrochage dépend UNIQUEMENT de l’angle d’incidence (entre 15 et 20° selon les ailes ). La notion de vitesse de décrochage est dangereuse , puisque qu’en fonction de poid de l’avion, de sa configuration et du facteur de charge qu’il subit , elle peut varier dans des proportions énormes .
Exemple : un avion qui, selon les conditions du jour , décrocherait à 100 km/h en palier , ailes à plat , décrochera à 140 km/h dans un virage à 60° d’inclinaison . (La vitesse de décrochage augmente avec la racine carrée du facteur de charge . A 60° il est de 2g , donc 1,4x de correction )
Que le vent soit de face, de travers ou dans le dos n’a AUCUN impact sur la vitesse de décrochage . Il n’affecte que la Vitesse Sol , qui n’est en aucun cas indiquée par l’anémométre ( mais qu’on trouve via le GPS ou le DME )
Donc , relisez vos bases, et apprenez avant de vouloir enseigner .