C'est un malheureux état des choses mais souvent pour consommer plus localement il faut aussi payer le prix. Il y a plein d'exemples. Ail québécois vs. ail de qualité importé vs. ail chinois en tresses. D'un extrême à un autre, l'ail québécois étant le plus dispendieux. Lorsque l'on consomme de l'ail au quotidien, le prix est un facteur. De l'ail de qualité venant de l'Espagne qui se vends moins cher le kg que l'ail québécois. Les fruits et légumes québécois vendus dans les marchés publics sont souvent plus chers que les produits québécois vendus en épicerie. Un marché public demeure une fantaisie sinon pour d'autres, un luxe.
Merci pour votre travail. Dans mon cas j'avance a redevenir plus responsable de notre alimentation en produisant une bonne partie de notre alimentation. Comme je l'ai connu sur la petite ferme autonome de mes parents dans les années 1960. J'ai des champs et une grande forêt. Mais c'est le système qui me met des bâtons dans les roues pour nous nourrir ou en produire pour les autres. Les champs qui sont en agriculture depuis 100 ans ont été changé de zonage et je ne suis pas en lois si je garde quelque poules ou autres animaux. Pourtant aucun voisin est loger proche o même visible de mes champs. Ça dérangerait qui si je produisais pour nous même? Je rêve d'une fermette a cet endroit mais je n'ai pas le droit. Heureusement j'ai droit a ma petite érablière , a jardiner, a créer mon verger naturel style permaculture et syntropie. Cet automne les 3 congélateurs et la chambre froide sont assez bien garni. J'ai suivi gratuitement l'an passé une formation sur l'utilisation d'un autoclave donné a la municipalité par une personne qui travaille pour le MAPAQ en conserves et salubrité. Je retrouve lentement mais surement une alimentation plus seine et très local. Dommage que les lois et règles nous volent notre liberté. Bien triste que créer du vivant et de la biodiversité soit devenu un crime.
C'est un malheureux état des choses mais souvent pour consommer plus localement il faut aussi payer le prix. Il y a plein d'exemples. Ail québécois vs. ail de qualité importé vs. ail chinois en tresses. D'un extrême à un autre, l'ail québécois étant le plus dispendieux. Lorsque l'on consomme de l'ail au quotidien, le prix est un facteur. De l'ail de qualité venant de l'Espagne qui se vends moins cher le kg que l'ail québécois.
Les fruits et légumes québécois vendus dans les marchés publics sont souvent plus chers que les produits québécois vendus en épicerie. Un marché public demeure une fantaisie sinon pour d'autres, un luxe.
Merci pour votre travail. Dans mon cas j'avance a redevenir plus responsable de notre alimentation en produisant une bonne partie de notre alimentation. Comme je l'ai connu sur la petite ferme autonome de mes parents dans les années 1960. J'ai des champs et une grande forêt. Mais c'est le système qui me met des bâtons dans les roues pour nous nourrir ou en produire pour les autres. Les champs qui sont en agriculture depuis 100 ans ont été changé de zonage et je ne suis pas en lois si je garde quelque poules ou autres animaux. Pourtant aucun voisin est loger proche o même visible de mes champs. Ça dérangerait qui si je produisais pour nous même? Je rêve d'une fermette a cet endroit mais je n'ai pas le droit. Heureusement j'ai droit a ma petite érablière , a jardiner, a créer mon verger naturel style permaculture et syntropie. Cet automne les 3 congélateurs et la chambre froide sont assez bien garni. J'ai suivi gratuitement l'an passé une formation sur l'utilisation d'un autoclave donné a la municipalité par une personne qui travaille pour le MAPAQ en conserves et salubrité. Je retrouve lentement mais surement une alimentation plus seine et très local. Dommage que les lois et règles nous volent notre liberté. Bien triste que créer du vivant et de la biodiversité soit devenu un crime.