Les flocons tombent, l’hiver avance Les remords montent, l’amour recule Je regarde ma montre, Jusqu’à ce que le temps s’arrête Que le bus m’emmène Hors de cette tempête Hors de ces emmerdes Vers le paradis inexistant d’Adam et d’Eve Vers un monde sans maître ni élève Vers un monde sans maître ni élève. Où le soleil se lève sans jamais redescendre. Ma mémoire est en cendre Car mon cœur est en feu Car la sérénités est un vœux accordé seulement aux chanceux Mes pensées sont pleines De rancœurs, de rancunes, de peurs et d’écume Que je bois par la liqueur, les thunes Je ne dissocie plus ce qui m’est utile De ce qui m’est futile même impossible Olala ! Qu’est je fais ? Mais qui je suis ? Qu’est je dis ? Mais qui je fui ? La zik c’est ma vie L’écriture mes souvenirs Les balafres se cachent par cette encre noire Les blessures s’observent seulement de l’intérieur Sans pouvoir les recouvrir de cette encre blanche La feuille vierge s’imbibe de la couleur du soir Le stylo déambule comme ces rêves Sans jamais me laisser reprendre De mes textes en sort du sang d’humeur tal-fa Ma tête est une tour tesla qui Repousse mes semblables au rythme des orages Et chaque soir elle se recharge par ma peur, par mes espoirs et par son aura.
It's nice
Les flocons tombent, l’hiver avance
Les remords montent, l’amour recule
Je regarde ma montre,
Jusqu’à ce que le temps s’arrête
Que le bus m’emmène
Hors de cette tempête
Hors de ces emmerdes
Vers le paradis inexistant d’Adam et d’Eve
Vers un monde sans maître ni élève
Vers un monde sans maître ni élève.
Où le soleil se lève sans jamais redescendre.
Ma mémoire est en cendre
Car mon cœur est en feu
Car la sérénités est un vœux accordé seulement aux chanceux
Mes pensées sont pleines
De rancœurs, de rancunes, de peurs et d’écume
Que je bois par la liqueur, les thunes
Je ne dissocie plus ce qui m’est utile
De ce qui m’est futile même impossible
Olala ! Qu’est je fais ? Mais qui je suis ?
Qu’est je dis ? Mais qui je fui ?
La zik c’est ma vie
L’écriture mes souvenirs
Les balafres se cachent par cette encre noire
Les blessures s’observent seulement de l’intérieur
Sans pouvoir les recouvrir de cette encre blanche
La feuille vierge s’imbibe de la couleur du soir
Le stylo déambule comme ces rêves
Sans jamais me laisser reprendre
De mes textes en sort du sang d’humeur tal-fa
Ma tête est une tour tesla qui
Repousse mes semblables au rythme des orages
Et chaque soir elle se recharge par ma peur, par mes espoirs et par son aura.
I really like the vibe !
C'est du lourd sa wooow
Très lourd bg continue comme. ça