Oui c’est cher partout, nous sommes tous dans le même contexte d’inflation alimentaire en métropole ou ailleurs en Europe. La cuisine française comme la cuisine antillaise est riche en saveurs et en ingrédients et cela devient inabordable en période d’inflation de cuisiner frais tous les jours des petits plats mitonnés. Depuis l’année dernière on est confronté à un nouveau phénomène de diminution des quantités emballées, appelé la “shrinkflation” ou "réduflation" en français, une pratique légale qui consiste à réduire la quantité du produit mais à ne pas en baisser le prix, sans en avertir le consommateur. Autrement dit, vous revenez du supermarché avec un panier plus léger qui coûte près de 10% de plus!
Il n’existe aucunes différences entre l’inflation en Europe et l’inflation aux Antilles qui fait de nouveau la une de l’actualité depuis quelques semaines, en effet depuis une vingtaine d’années, nos habitudes alimentaires et de consommation en général ont changé, le rapport à l’argent et à la nourriture a changé, il faut éplucher ses comptes, utiliser les comparateurs de prix, alterner les achats dans plusieurs supermarchés, se concentrer rigoureusement sur une liste de courses afin de ne pas dépasser son budget. S’approvisionner en nourriture demande une dépense d’énergie terrible. En métropole, certains employés ont la chance de déjeuner le midi à bas prix dans une cantine d’entreprise ou bénéficient de Tickets restaurants. On se méfie plus et on ne se laisse plus avoir par les publicités des hypermarchés qui utilisent des techniques de vente très agressives et des publicités mensongères, les prix élevés et l’énorme gaspillage alimentaire (des tonnes de produits frais atterrissent aux ordures), la baisse de la qualité des aliments contenant trop d’additifs, de pesticides, de graisses ou de sucre, de plats préparés contenant des viandes ou poissons reconstitués. Ce sont les structures dont les consommateurs aux Antilles manquent terriblement et qui permettraient d’alléger les dépenses alimentaires. La situation et les habitudes de consommation en Martinique et en Guadeloupe sont peut-être différentes, mais s’approvisionner une fois par semaine dans des supermarchés ayant l’exclusivité de la distribution alimentaire d’importation et locale, n’est pas la meilleure solution pour combattre l’inflation. Il faut souhaiter que des aménagements similaires soient possibles et efficaces aux Antilles et que chaque famille soit en mesure de faire ses achats selon ses moyens.
la video s'arrete sur fond de caddy...
De la Martinique 🌴✨🇫🇷
Ou est le respect dans cette hypocrisie 🤔🍌
Même vous en France 🇫🇷✨
vous vous faites tellement tapé Au porte monnaie 🍌🍌🍌🍌🍌🍌🍌🍌
C'est moins cher en France
Vos PACK D'EAU A 8€ LAAA
Oui c’est cher partout, nous sommes tous dans le même contexte d’inflation alimentaire en métropole ou ailleurs en Europe. La cuisine française comme la cuisine antillaise est riche en saveurs et en ingrédients et cela devient inabordable en période d’inflation de cuisiner frais tous les jours des petits plats mitonnés. Depuis l’année dernière on est confronté à un nouveau phénomène de diminution des quantités emballées, appelé la “shrinkflation” ou "réduflation" en français, une pratique légale qui consiste à réduire la quantité du produit mais à ne pas en baisser le prix, sans en avertir le consommateur. Autrement dit, vous revenez du supermarché avec un panier plus léger qui coûte près de 10% de plus!
Il n’existe aucunes différences entre l’inflation en Europe et l’inflation aux Antilles qui fait de nouveau la une de l’actualité depuis quelques semaines, en effet depuis une vingtaine d’années, nos habitudes alimentaires et de consommation en général ont changé, le rapport à l’argent et à la nourriture a changé, il faut éplucher ses comptes, utiliser les comparateurs de prix, alterner les achats dans plusieurs supermarchés, se concentrer rigoureusement sur une liste de courses afin de ne pas dépasser son budget. S’approvisionner en nourriture demande une dépense d’énergie terrible.
En métropole, certains employés ont la chance de déjeuner le midi à bas prix dans une cantine d’entreprise ou bénéficient de Tickets restaurants. On se méfie plus et on ne se laisse plus avoir par les publicités des hypermarchés qui utilisent des techniques de vente très agressives et des publicités mensongères, les prix élevés et l’énorme gaspillage alimentaire (des tonnes de produits frais atterrissent aux ordures), la baisse de la qualité des aliments contenant trop d’additifs, de pesticides, de graisses ou de sucre, de plats préparés contenant des viandes ou poissons reconstitués.
Ce sont les structures dont les consommateurs aux Antilles manquent terriblement et qui permettraient d’alléger les dépenses alimentaires.
La situation et les habitudes de consommation en Martinique et en Guadeloupe sont peut-être différentes, mais s’approvisionner une fois par semaine dans des supermarchés ayant l’exclusivité de la distribution alimentaire d’importation et locale, n’est pas la meilleure solution pour combattre l’inflation. Il faut souhaiter que des aménagements similaires soient possibles et efficaces aux Antilles et que chaque famille soit en mesure de faire ses achats selon ses moyens.