@DBK936 @duplux Il ne faut pas négliger toute la censure entourant la déclassification du rapport Grenier et le silence fort suspect de certains acteurs du référendum de 1995. Tous des avocats: Chrétien, Charest, Bouchard. Même le DGEQ de 1995 Pierre Ferdinand Côté avait subi des "avocasseries", le terme exact employé par Diane Lemieux du Parti québécois en 2007 lors d'une conférence de presse. C'est digne d'un secret d'État. Ces refus de l'actuel Directeur général des élections du Québec (DGEQ) d'obtempérer à deux motions unanimes de nos représentants élus de l'Assemblée nationale du Québec, sont l'équivalent d'outrages au Parlement. Je rappelle la consigne de «huis-clos» pour la commission Grenier, ce que le DGEQ de l'époque et le parti québécois remettaient en question, ainsi que l'impossibilité pour le principal intéressé, soit le peuple québécois, d'avoir accès aux témoignages et preuves. Impossibilité d'accès au rapport Grenier pour l'éternité!!! La censure et le révisionnisme sont à la démocratie ce que la violence est à la dictature. «Les longs souvenirs font les grands peuples. La mémoire du passé ne devient importune que lorsque la conscience du présent est honteuse.» Charles de Montalembert. Le 23 mai 2023 un vent d’unité soufflait à l’Assemblée nationale du Québec, alors que le Parti québécois présentait deux motions qui ont été adoptées à l’unanimité. Des motions qui exigent de faire la lumière sur l’épineux dossier qu’est le référendum de 1995. SOURCE : leveil.com/actualites/referendum-de-1995-des-quebecois-veulent-la-verite Le PQ rejette les arguments du DGE concernant la commission Grenier. «Nous avons une appréciation différente de la force des motions unanimes de l’Assemblée nationale, qui s’apparentent à des ordres de l’Assemblée nationale», a déclaré mardi le député péquiste Pascal Bérubé, au sujet du point de vue du DGE sur les documents de la commission Grenier. Alexandre Robillard à Québec Correspondant parlementaire 17 octobre 2023 Québec Le Parti québécois (PQ) rejette les arguments du directeur général des élections (DGE), selon qui une simple motion unanime de l’Assemblée nationale est insuffisante pour le contraindre à rendre publics les éléments de preuve recueillis lors d’une enquête qui a relevé des dépenses illégales effectuées lors du référendum de 1995. Le député péquiste Pascal Bérubé affirme que son avis diffère de celui exposé par le DGE, Jean-François Blanchet, dans une analyse soumise lors d’une rencontre avec les élus fin septembre. «Nous avons une appréciation différente de la force des motions unanimes de l’Assemblée nationale, qui s’apparentent à des ordres de l’Assemblée nationale», a-t-il dit lors d’un point de presse. M. Bérubé a affirmé que sa formation politique, qui avait lancé la demande à laquelle se sont ralliés les autres partis représentés à l’Assemblée nationale, reviendra plus en détail sur le sujet cette semaine concernant les suites à donner à la motion et à la rencontre de fin septembre. «Nous avons un avis différent de ce qu’il peut faire avec les pouvoirs qui sont les siens. On a demandé différents avis et ça ne tardera pas dans les prochains jours.» Nous avons un avis différent de ce qu’il peut faire avec les pouvoirs qui sont les siens - Pascal Bérubé Le Devoir a rapporté lundi que dans son analyse, le DGE affirme que seule une loi pourrait le contraindre à rendre publics les documents recueillis par le commissaire-enquêteur Bernard Grenier en 2006 et en 2007. Mardi, M. Bérubé a reconnu que le PQ avait déjà évoqué, au printemps dernier, l’idée de faire adopter une loi. «Ce n’est pas exclu, mais je ne crois pas que ce soit absolument nécessaire», a-t-il dit. M. Grenier avait été mandaté par le DGE pour enquêter sur des allégations de financement illégal de la campagne référendaire. Dans son rapport, le commissaire-enquêteur a conclu que 539 460 $ avaient été dépensés illégalement en 1995 par deux organismes fédéralistes, Option Canada et le Conseil de l’unité canadienne. Dénouer l’impasse Le co-porte-parole de Québec solidaire, Gabriel Nadeau-Dubois, croyait qu’une motion serait suffisante. Selon lui, il faut trouver une solution au «blocage actuel». «Il faut trouver une voie de passage pour que cette information-là soit publique. Est-ce que c’est la motion ? Est-ce que c’est un projet de loi ? Je ne suis pas juriste, mais il faut que les documents soient publics. Ça, on n’en démord pas.» Il s’en remet à la suggestion évoquée au printemps par le PQ de présenter un projet de loi. « On croyait que la motion aurait dû être suffisante, a-t-il dit. On nous dit que ce ne l’est pas. J’ai cru comprendre que le Parti québécois allait présenter un projet de loi. On va l’étudier. On va le regarder quand il sera déposé. » Des doutes au Parti libéral Le chef intérimaire libéral, Marc Tanguay, a souligné la crédibilité des avis présentés par le DGE. «L’institution indépendante et hautement qualifiée, compétente du DGE nous revient avec une opinion juridique étoffée, a-t-il expliqué. J’appellerais ça, sa lettre, une opinion juridique. Puis moi, je lui donne raison là-dessus.» M. Tanguay s’est abstenu de donner d’emblée son appui à un éventuel projet de loi sur la question, d’autant plus que le DGE a lui-même émis des doutes sur la validité d’une telle loi. «Ça prend un débat législatif. On va voir ce que proposera le gouvernement. Mais le DGE, même si une loi était adoptée cet après-midi, soulève bien des drapeaux rouges.» Dans son avis, M. Blanchet affirme que divulguer la preuve de la commission Grenier l’exposerait à des poursuites judiciaires en raison des renseignements personnels qu’elle contient. Il soutient également qu’il ne peut être contraint à le faire par une simple motion des parlementaires. Depuis le printemps dernier, les élus des quatre partis représentés à l’Assemblée nationale sont dans un bras de fer avec le DGE concernant la publication de la preuve recueillie par le commissaire-enquêteur Grenier. À deux reprises, les députés ont voté à l’unanimité pour des motions réclamant la divulgation de ces documents, frappés par une ordonnance de non-publication. SOURCE: www.ledevoir.com/politique/quebec/800124/pq-rejette-arguments-dge-concernant-commission-grenier? Le financement illégal de la campagne du Non par Ottawa lors du référendum du 30 octobre 1995, au mépris de la démocratie et des lois électorales du Québec, est encore aujourd’hui entouré de mystère: www.journaldemontreal.com/2020/10/25/les-secrets-du-referendum-vole-de-1995 Je termine par cette autre citation adéquate dans les circonstances actuelles. «La civilisation démocratique est entièrement fondée sur l’exactitude de l’information, si le citoyen n’est pas correctement informé, le vote ne veut rien dire.» Jean-Francois Revel, Journaliste & philosophe, ancien directeur de l’Express.
C'est grâce à des personnes comme toi que le mouvement indépendantiste va demeurer sectaire et ne réussira pas à convaincre d'autres personnes de l'être.
C'est le peuple qui va décider, mais «ça va être important que la vision de Québec solidaire soit celle d'un pays indépendant». C'est ça qui me tape sur les nerfs avec QS. Ils veulent un pays, ils disent qu'ils veulent que ce soit le peuple qui décide ce que sera le pays, mais seulement si ça concorde avec leur vision. C'est pour ça que l'union des forces souverainistes, qui est nécessaire, va être difficile à faire. Faisons un pays, établissons-en les bases, il y a plein de principes et de droits fondamentaux sur lesquels on s'entend tous, et après on s'obstinera sur les détails. J'adore ce que Gilles Duceppe a dit à ce même podcast : QS veut un Québec souverain, mais pas n'importe quel Québec, mais en attendant ils sont prêts à rester dans n'importe quel Canada. Et ça, ça a un prix pour le Québec.
53:25 C'est justement un point sur lequel je commence à prendre mes distances de QS. C'est bien beau la vertu, mais comment on concilie une crise du logement, un objectif d'accueillir 80 000 immigrants par année sans compter Roxham, et un objectif de construire 40 000 logements abordables sur 5 ans? On prévoit loger 10 immigrants par logement, ou la rue va s'occuper de la différence?
Je suis d'accord avec ça. Moi même je suis en attente sur des liste de logement social depuis 5-6 ans avec toujours aucun espoir que ça débouche bientôt quelque part.... Je veux dire, ont va les loger ou ce beau monde là?
En effet! Ainsi que tous les services sociaux: Soins de santé, scolarité, l’appauvrissement de citoyens déjà sur place qui utilisent davantage les banques alimentaires... Je connais des gens dont une centenaire qui sont sans médecin de famille pour encore plus de 3 ans. A l’écoute de Ruba Ghazal, on perçoit la même hargne que leur politburo, et par ses commentaires des adversaires péquistes, cette même adversité qui a fait renier la signature de Québec solidaire dans la convergence indépendantiste. Ce n'est pas en soustrayant ni en divisant qu'on fera l'indépendance du Québec mais par notre union, jeunes et plus vieux, avec une déclaration d'indépendance pour être enfin maîtres chez nous. RAPPEL avant la passoire du chemin Roxham. Institut Fraser 2009 : « L'immigration massive nuit au bien-être des Canadiens en général; les politiques d'immigration doivent être revues. «Depuis 1990, le taux annuel d'immigration du Canada est le plus élevé au monde, menant à une hausse de la population de 3,9 millions de personnes entre 1990 et 2006. Cette immigration massive a eu des conséquences profondes sur les conditions économiques, démographiques, sociales et politiques du Canada, nuisant au bien-être des Canadiens en général, y compris les immigrants des vagues précédentes», a affirmé Herbert Grubel, senior fellow de l'Institut Fraser et co-auteur du livre. «Malheureusement, la plupart des Canadiens sont insuffisamment informés quant à ces conséquences en partie à cause d'un code de rectitude politique qui tend à associer au racisme tout examen des politiques d'immigration et également parce que le système électoral canadien récompense les politiciens qui appuient le taux élevé d'immigration actuel. » Nos biens pensants souffrent d’une pathologie et c’est nous comme citoyens, qui récoltons les dommages collatéraux.
je te dirais qu'une partie de gens qui sont passés par Roxham sont allés aider dans les chocs pendant que des manifestants anti-vaux chialaient contre les mesures, y en a même qui sont morts pour la cause.
Tout le PQ ne pense pas pareil ...et heureusement! Bien sûr le parti est par principe de gauche (avec la droitisation du paysage politique, je crois qu'on peut qualifier sans se tromper le PQ de gauche). Mais oui, il y a des partisans de droite du PQ, simplement parce que le parti n'a pas pour vocation principale la solidarité sociale, mais l'indépendance, position partagée par plusieurs bords politiques
En associant comme elle le fait à la 28e minute le PQ à l'intolérance et au racisme, Ruba Ghazal tient exactement le même discours que Pierre Elliot Trudeau en son temps. Je suppose que cela fait partie de son regard nostalgique sur les années 1970-1980. Honte à vous, madame Ghazal!
Ouf, non, une constitution n'est pas "l'acte de naissance d'un pays". Une constitution est la loi fondamentale d'un pays, et peut changer à travers le temps, être amendée, etc, et une déclaration d'indépendance est l'acte de naissance d'un pays. Sinon c'est super intéressant comme entrevue, et je remercie l'élue solidaire de se prêter au jeu - mais je m'attends quand même à ce que les élus aient une connaissance au moins de base de ces concepts-là... (mais bon, je ne la blâme pas, j'ai déjà entendu le même type de faussetés de la part d'élus péquistes, et plus qu'une fois ...)
ON au départ c'était le parti qui reprochait au PQ de ne pas mettre l'indépendance au sommet de ses priorités, aujourd'hui ON est assimilée à un parti qui pose des conditions à l'indépendance, c'est un peu ironique. Je la trouve ben bonne l'idée de la Constituante, mais je vois pas pourquoi elle viendrait pas en second.
30:51 Merci, enfin... Je suis pas en complet désaccord avec Ruba, après personnellement je n'ai plus ce sentiment depuis que PSPP est à la tête du PQ, autrement je serais resté chez QS. PSPP n'est pas Lisée.
@@generationoui L'ouverture à l'autre lorsque l'autre refuse de s'ouvrir à nous relève du masochisme. Québec solidaire a renié sa signature de l’entente à la table des OUI-Québec. Ce n'est quand-même pas anodin! La lettre ouverte de Méganne Perry Mélançon à Ruba Ghazal incluse plus loin démontre que QS a définitivement saboté toute possibilité de convergence avec le Parti québécois. Même Ruba Ghazal l'affirme. Le chef du PQ n'a pas besoin de s'associer à QS. Les vrais indépendantistes se rejoindront au moment opportun. LETTRE OUVERTE À RUBA GHAZAL DE MÉGANNE PERRY MÉLANÇON: Mercredi 8 mars, 2023 INTOLÉRANCE SOLIDAIRE Chère Ruba, Nous nous sommes côtoyées pendant quatre ans à l’Assemblée nationale, toi de Québec solidaire, moi du Parti québécois, et j’avoue avoir développé une estime pour ta fougue. C’est donc avec intérêt que j’ai voulu t’entendre parler de ta démarche indépendantiste pendant une heure dans le récent balado de Génération Oui. J’ai été estomaquée de t’entendre dire que tu « détestais au plus haut point » la politique nationaliste menée par mon parti, mes collègues, les militants que je côtoie au quotidien. Qu’est-ce qui peut ainsi déclencher chez toi un rejet aussi brutal des convictions d’autres indépendantistes ? Tu as expliqué : « moi c’est le discours où quand on parle de la nation québécoise, quand on parle du Québec, du pays, de l’histoire, - évidemment on ne le dit pas comme ça - mais on parle aux gens qui étaient là, disons, au début, dans le temps de la Nouvelle-France. Là je caricature, mais souvent, entre les lignes, c’est comme si on parle : ça, c’est les vrais. » L’accusation est grave. Elle est contredite par l’ensemble de mes collègues péquistes issus de la diversité québécoise, par l’ensemble des politiques en matière d’intégration de notre parti. Quelles preuves avances-tu ? Aucune. Tu dis « lire entre les lignes ». Il s’agit donc d’un biais, d’un préjugé. D’intolérance. Les intervieweurs t’ont demandé de préciser d’où tu tirais cette perception. « Je le retrouve chez certaines personnes dans le Parti québécois qui vont un petit peu exclure ou avoir un discours de peur. » Lesquelles, quand, à quel sujet ? Roxham ? Tu admets que c’est un sujet qu’il faut aborder. Les seuils d’immigration ? Tu affirmes que c’est un débat légitime. Alors ? Alors ceci : « C’est pas juste l’immigration, c’est tout le discours qu’on tient sur le Québec, la nation québécoise, sur une vision du Québec que je n’aime pas. » Tu sembles donc allergique au mot « nation », à notre volonté de nous inscrire dans une histoire, de célébrer la grande aventure québécoise sur le continent. Voilà ce que tu détestes, au point de nous accuser d’avoir des discours de peur, de trier les « vrais » Québécois des autres. Tu relaies précisément la propagande fédéraliste de Pierre Trudeau et Jean Chrétien en 1980 et en 1995 contre l’idée indépendantiste. Ta volonté de salir le Parti québécois fait nécessairement une victime collatérale : l’idée d’indépendance. Pose-toi la question : pourquoi n’arrivez-vous pas même à convaincre la moitié de votre propre électorat à appuyer l’indépendance ? Peut-être est-ce parce que vous calomniez une partie des indépendantistes. Parce que vous détestez leur discours. Les intervieweurs t’ont demandé : « Bloc québécois ou NPD ? » Tu as répondu avec enthousiasme : « NPD ». Voilà un parti fédéraliste qui, cette dernière année seulement, s’est opposé aux positions unanimes de l’Assemblée nationale, donc aux positions de ton propre parti. Vous souhaitez un rapport d’impôt unique, le NPD dit non. Vous souhaitez des transferts en santé sans condition, Jagmeet Singh a exigé des conditions. Malgré des désaccords sur le fond, vous souhaitez que le fédéral ne se mêle pas des décisions québécoises en matière de laïcité et de langue. Le NPD réclame une intervention de la Cour suprême pour invalider nos lois. Vous estimez que les propos méprisants envers le Québec d’Amira Elghawaby la disqualifient de son poste de conseillère de Justin Trudeau. Le NPD l’appuie sans réserve. Tu dis que tu ne ferais pas plus d’alliance avec le Parti québécois qu’avec le Parti libéral du Québec. Mais tu appuies un parti fédéraliste canadien qui tourne le dos à nos combats. Alors. Que reproches-tu au Bloc Québécois ? Qu’il mène à Ottawa toutes les batailles du Québec ? Qu’il soit indépendantiste ? J’espère que non. Je dois comprendre que tu lui reproches de parler de nation, d’histoire, de pays. Finalement, sache que je ne déteste pas ta position. Je crois que ce mot ne devrait pas exister entre indépendantistes. Je respecte tes opinions, sans les partager. Je sais qu’il faudra un jour rassembler au moins la moitié des Québécois pour se donner un pays. Qu’il faudra additionner des points de vue complètement différents, mais qui se rejoignent dans une même volonté d’indépendance. La détestation, l’intolérance, les procès d’intention ne sont pas les bons outils pour nous rendre à bon port. Je te les laisse. Méganne SOURCE: pq.org/2023/03/08/lettre-ouverte-a-ruba-ghazal-de-meganne-perry-melancon/ Le mépris de plusieurs chez Québec solidaire: Dalila Awada, au micro du congrès de Québec Solidaire, 21 mai 2017: «Pour les communautés racisées au Québec, l’ennemi est double. Il s’incarne à la fois dans le néolibéralisme et dans le racisme. Le Parti Québécois, aujourd’hui, porte en lui ces deux bêtes» Source- LA DIRECTION DE QS DOIT SE DISSOCIER DES PROPOS DE DALIDA AWADA: lautjournal.info/20170529/la-direction-de-qs-doit-se-dissocier-des-propos-de-dalila-awada SONDAGE RÉVÉLATEUR INCLUS: L'INDÉPENDANCE DE QS. Extrait: « Les solidaires sont souvent accusés d’être indépendantistes à temps partiel. Un «indépendantisme d’entracte» entre deux propositions de gauche, en somme. J’ai voulu creuser davantage cette question. Et pour un parti souverainiste, un examen de conscience se pose. «Selon le dernier sondage Léger, seulement 35% des électeurs solidaires se déclarent indépendantistes. Il y a là un désaccord de fond entre les députés solidaires et leur base, là-dessus, qu’ils ne pourront pas toujours éviter. Une autre question, encore plus révélatrice: est-ce que le parti devrait davantage faire la promotion de l’indépendance? Sur ce coup, c’est assez clair: seulement 14% des électeurs solidaires souhaitent qu’il fasse davantage la promotion de l’indépendance, tandis que 41% souhaitent que QS en parle moins. La question de l’indépendance rime aussi inévitablement avec le nationalisme. Sur chacun des enjeux qui incarnent le nationalisme - langue, immigration, laïcité, protection du Québec dans le Canada -, les positions solidaires sont à l’opposé d’une majorité de Québécois. Ça devient de plus en plus difficile à tenir pour les solidaires.» SOURCE- www.journaldemontreal.com/2023/11/04/le-malaise-independantiste-de-quebec-solidaire
Après 18m39 : Plus de la moitié de leurs membres ne sont pas indépendantistes -- pourquoi? Et leur assemblée constituante ne mènera jamais à un pays Québec, c'est comme faire un pays qu'à gauche --- mathématiquement impossible. Et de présenter un projet impossible est une façon de mettre des bâtons dans les roues de l'indépendance. Elle dit que c'est important d'en parler mais QS ne-le-fait-pas. Là un petit peu plus mais qu'en réaction à la popularité du nouveau chef du PQ Paul St-Pierre Plamondon. En 20 ans qu'à fait QS pour promouvoir l'indépendance à part avaler ON à leur profit? Sans la droite le projet est un échec, pas rassembleur (on a besoin de tout notre monde!) --- et elle veut que le pays Québec soit la vision de QS ---- la vision de QS ce n'est-pas-la-vision-du-peuple!! Elle parle de la droite et du droit à l'avortement --- encore une fois le Québec ce n'est pas les USA. La majorité des gens de droite au QC ne sont pas contre l'avortement. Pour la langue française: Avez-vous lu « Ce qui nous délie » ? Le chapitre 1 -Ruba, la langue et ses contradictions, ses préjugés contre les Canadian-Français ( ! ), tout est ici: (Je vais continuer une autre fois, je dois faire ce travail de rétroaction à petite dose car c'est trop pénible et surtout blessant.) www.google.ca/books/edition/CE_QUI_NOUS_DÉLIE/shFyEAAAQBAJ?hl=fr&gbpv=1&pg=PT5&printsec=frontcover
"Plus de la moitié de leurs membres ne sont pas indépendantistes" il faudrait que les péquistes arrêtent de répéter ce mensonge. dans le fond, quand tu étiquettes un indépendantiste en fédéraliste tu ne fais qu'affaiblir le mouvement pour l'indépendance
@@francoislatreille6068 Le dernier sondage Mainstreet montrait que seulement 42% des électeurs de QS voteraient Oui dans un référendum à question on-ne-peut-plus claire.
J'ai toujours aimé Ruba Gazal, son histoire personnelle, son amour du Québec et de sa culture, son intégration sans faille a notre belle société et son ton positif et serein. Je découvre par contre dans cette entrevue plusieurs lacunes dans sa compréhension du Québec. Elle assimile maladroitement l'amour du pays de la la nation et la fierté de nos origines a une sorte d'extrême droite imaginaire qui n'existe pas et qui est complètement ridicule et non fondé. J'aime pas son petit mépris envers le PQ et sa naiveté quand au PQ des beaux jours. Le PQ a toujours été une coalition indépendantiste avec une aile droite très minoritaire et une aile gauche très majoritaire et une orientation social démocrate évidente. Son appui au NPD est en parfaite ligne avec la pensée de QS, la gauche passe toujours avant l'indépendance, j'ai rien contre cette posture qui rejoint certainement un pan de l'électora mais faut arrêter de dire qu'on est indépendantiste dans ce cas car dans mon livre on ne peut pas être indépendantiste à temps partiel ou de façon conditionnel, comme disait Falardeau, ''la liberté c'est pas une marque de yogourt ! ''. Ensuite mon impression général de l'entretient est qu'elle me semble assez superficiel sur plusieurs sujets.
40:42 Je dirais que les causes autochtones en font également parti à un certain point. J'aurais été porté à croire que l'indépendance, l'écologie et les causes autochtones sont des enjeux trop prioritaires et urgents pour ne pas laisser nos autres divergences de côté. 3 priorités qui mangent la claque sous Legault, et pourtant...
Y'a vraiment pas moyen de trouver quelconque façon de s'unir sur la question de l'indépendance tout en laissant les dissensions survivre entre les partis? Ce que je souhaite, c'est pas que QS soit assimilé au PQ comme ON a été assimilé à QS, c'est qu'on se rassemble sur quoi on s'entend sans s'imposer de se taire nos divergences d'opinion. Je veux l'indépendance, pas de la maudite partisanerie.
100% d'accord. La politique change, les partis se transforment, mais l'indépendance est un but à atteindre. Je suis un gauchiste et selon moi, QS et PQ doivent s'entendre et mettre leur différends de leur côté et pousser l'indépendance ensemble. Après la création de l'état, les partis placeront les idéaux dans différents partis comme la gauche et la droite. Mais pour le moment, la gauche indépendantiste rural et urbaine doivent s'allier pour 2026.
Quand elle dit qu'elle se joindrais au PQ des années 70,elle ne connais pas son histoire, que disait René! Levesque de l'immigration, en parlant de noyade sinon une inquiétude légitime... du Parti québécois d'aujourd'hui 😉
Moi j'ai changé mon vote de QS à PQ à la dernière minute pi ça fait pas de moi un droitiste. Je t'adore Ruba mais tu m'as fait beaucoup sourciller dans cette entrevue...
Tout semble bancal chez QS. On m’avait dit beaucoup de bien de Gazhal mais cet entretien donne l’impression qu’elle a trop mijoté dans la marmite QSiste. Je m’attendais à trouver d’avantage de singularité, notamment pour ce qui est des enjeux environnementaux. Impression d’amateurisme. De sectarisme. Faudra faire avec ces gens… J’aurais aimé que l’expression politique de la gauche « ferme » du Québec ne marine pas dans ce jus. Tssé, une gauche Camusienne. Proudhonienne même. Malheureusement, malgré leur ratatinement (ils se marginalisent toujours plus), il faudra composer avec eux.
« [QS] ne fixera pas de mandat à cette constituante sauf en ce qui concerne les valeurs progressistes » « les instances de QS [..] a rejeté une proposition pour instituer une constituante avec un mandat indépendantiste » - Denis Monière (2017)
Mais la gauche n’a JAMAIS créé de richesse. Et l’indépendantisme de QS n’est qu’électoral, ils n’en parlent jamais, n’en font jamais la promotion, n’élaborent jamais un budget du nouveau pays. A l’instar de LFI en France, QS n’est pas un parti pour la majorité c.-à-d. ceux qui ont construits le Québec moderne, mais un parti de toutes les minorités qui profitent de notre Québec. Lorsque QS commencera à promouvoir l’indépendance du Québec auprès de toutes leurs minorités chéries, je commencerai à les écouter. Sinon, il m’est IMPOSSIBLE de donner quelque valeur qui soit à un parti d’extrême-gauche qui a passé la dernière décennie à déblatérer contre le PQ, seul parti dont l’indépendance est l’article 1 du programme, seul parti qui nous a amené 2 référendums et bientôt un 3e, parti dont les membres votent Bloc au fédéral. Il ne faut surtout pas se leurrer, le Canada nous mène une guerre d’extinction, une guerre, un massacre. Nous n’avons AUCUN allié au Canada et encore moins le très centralisateur NPD chéri de QS. Comme le disait Pierre Falardeau, la liberté ( se s’auto-diriger ) n’est pas une marque de yogourt et, comme il le disait encore, soit tu es avec moi et on fait un pays, soit tu est contre moi (QS, QLP, CAQ, PCQ, PLC, PCC,NPD, LaPresse, Power Corp, Cour Suprême, Toronto, etc) et je te fais la guerre. V I V E le Q U É B E C libéré du joug du colonialisme anglo-canadian et L I B R E de se gouverner soi-même. Je souhaite que les québécois aient du courage, comme les Ukrainiens. VLQL
Est-ce que c'est vraiment les membres du PQ qui ont refusé une alliance avec Qs...? Le parti québécois à perdu une grande partie de son bassin de ''droite'', ils sont rendu à la CAQ, de dire que l'on doit changer le mode de scrutin pour espéré avoir une chance d'entreprendre les processus de séparation c'est définitivement une attitude ''pelletage de nuage''. De dire qu'il y a des acteurs trop identitaire dans le PQ c'est l'équivalent de dire : QS c'est des communistes à cause de leurs membre d'extrême gauche. Pour changer le système il faut être aux commandes, pour être au commande il faut gagner, pour gagner il faut un plus grand poids que la CAQ et sa n'arriveras pas sans alliance. Pour que le Québec soit ''sexy'' c'est quoi qui faut faire ? J'ai pas l'impression qu'il y a un plan ou une stratégie du moins rien de concret à été mentionné pour comprendre c'est quoi qu'on doit faire pour qu'on soit ''sexy''. La pluralité va être un résultat de l'Independence, c'est naturellement le mouvement que les nations ont prises au courant de l'histoire, la majorité s'allie pour établir un plan pour un but commun et lorsqu'il est atteint les discussions de gauche-droite vont reprendre. Ont doit avoir un projet de société commun, dans les années 1960 à 1980 c'était l'installation d'une société de support pour la population (création de société d'état, solidification du système de santé, établissement d'une diversification économique pour être un acteur mondial). Amener des immigrants au Québec oui, mais qu'est-ce que vous allez leurs offrir ? Pour vrai je trouve que l'invité à une compréhension très superficielle des dynamiques politiques québécoises. Pour elle c'est plus important d'être à gauche (Sans explicité les politiques à créer pour renforcer nos institutions actuelles), que d'être allié, voila ma conclusion de se que je ressort de cette discussion.
Je pense qu'après environ 40 ans d'essais, il est clair que la très grande majortié des immigrants ne sont pas intéressés par l'indépendance. J'aimerais bien que ça soit le contraire mais, sauf exception, ils arrivent ici et ce n'est pas pour défendre une cause dont ils n'ont jamais entendus parler ou qui ont peur de où ça va nous mener. Ça n'en fait pas des gens méchants mais c'est une réalité.
@@pirlouit9334 Je tiens à noté que si tu as bien lu mon commentaire je n'ai jamais mentionné que les immigrants étaient méchant. J'ai demandé ''Comment rendre le Québec plus sexy'' car l'invité n'a jamais répondu à la question. Deuxio, les immigrants qui arrive au Québec, arrivent au Canada dans leurs tète pas au Québec, car il ne comprennent justement pas le contexte provinciale des le premier jours donc c'est certain qu'ils ne sont pas intéresser par un projet de séparation, certain arrivent de nation qui vivent des guerre civile depuis toujours donc il est normal que leurs reflex est d'éviter qu'un autre conflit se produise sur leurs nouvelle terre d'accueil. Alors mon point est : Comment pouvons nous rendre ce projet compréhensible et attirant au yeux des gens qui arrivent pour vivre sur le territoire québécois mais qui s'identifie Canadien par proxy de leurs contexte d'immigrant. L'invité n'a jamais touché à des suggestions n'y a des exemples qui sont utilisé pour se basé sur une stratégie qui est applicable. Ceci était ma critique, pas que les immigrants sont méchants....
@@gabrielhuet9370 mais j'ai pas dit que vous avez dit que les immigrants étaient méchants. Je me répondais à moi-même en répondant votre interrogatation voulant savoir comment rendre le Québec plus sexy. Ça ne marche pas car la très grande majorité des immigrants ne sont juste pas intéressés à l'indépendance quand ils arrivent ici.
17:36 eeeeeehhhh de toute les province du canada et des états des états-unis le québec est l'endroit le moins enclin à perdre le droit à l'avortement et fort heureusement. Je sais pas de qui ou de quel parti qu'elle a peur quand elle dit ça, mais je ne comprends pas vraiment cette partie la de la conversation. Bon flash de David d'avoir switcher la conversation de façon plus positive. Un peu akward mais bon.
36:35 tu parles de deux candidates solidaire sur les trois que tu as nommée pis elle te réponds en que les parti québecois c'est pas le parti Québecois et qu'elle ne ferait pas d'alliance... ayoye Je deviens de plus en plus deçu d'avoir voté solidaire honnêtement. Même si dans le fond de moi je suis plus aligné avec les idées de QS j'aime vraiment pas comment ils abordent la question trans-partisanne indépendentiste.
52:14 OUI OUI OUI ET RE OUI David bravo pour cette belle balle courbe, j'aime tellement quand on repense les questions de façon plus intélligente, combien c'est juste ça qu'on entend, mais comment c'est tellement plus juste. En prendre moins pour en prendre soin ? ahahahhahaha évidement loin de moi l'idée d'être un CAQiste et je crois que l'aspect en prendre moins est problèmatique dans cette citation de Legault. Comme disait Ruba il y a déja 300 000 personne au Québec qui sont a statu temporaire. C'est autant que le nombre d'habitant de la ville de Gatineau la 4e en importance au Québec heinque dire. Il faut un comité d'expert selon Ruba... Un comité d'expert pour faire quoi ? Pour que la question du nombre ne soit plus politisé. Je crois que toute les partis meme le parti québecois serait d'accord avec cela. Si QS et le PQ sont d'accord sur cette question du nombre d'immigrants que l'on acceuil par année, car ce chiffre ne sera plus fixer par les politiciens, mais par des experts indépendants, alors qu'elle est le point de divergence entre le PQ et QS ? Aucun ? Et ben Tabarnouche de calibouère ça pourrait être une piste pour l'union des indépendantistes du Québec !
En répondant à la question sur une éventuelle union des forces souverainistes, quand elle attaque un discours qu'elle qualifie de droite, fermé, identitaire, selon lequel l'immigration est une menace, etc., c'est la CAQ qu'elle décrit en fait, pas le PQ. Le PQ aussi est un parti de gauche, qui a toujours été proche du peuple. Mais c'est vrai qu'entre Bernard Landry et PSPP, le PQ se cherchait beaucoup, ne s'assumait pas et ça a causé des dérapages à quelques occasions.
Quel bande d'hypocrites le Québec solidaire dont plus de 60% de ses membres votent pour le NPD au fédérale et que ce parti met des conditions a l'indépendance!.....
Mon épisode préféré! C'était excellent beau boulot 😇
Merci P-O! On pense toujours à toi! ⚜️🙏😄
Un indépendantiste ne vote pas NPD au fédéral.
Chose certaine, ça suscite le débat et les réflexions!
Le Bloc n'a qu'à essayer de rallier l'ensemble des indépendantistes plutôt que de se comporter comme s'il était l'aile fédérale du PQ.
Les indépendantistes ont voté Libéral et Conservateur pendant des décennies, Monsieur.
@DBK936 @duplux
Il ne faut pas négliger toute la censure entourant la déclassification du rapport Grenier et le silence fort suspect de certains acteurs du référendum de 1995. Tous des avocats: Chrétien, Charest, Bouchard. Même le DGEQ de 1995 Pierre Ferdinand Côté avait subi des "avocasseries", le terme exact employé par Diane Lemieux du Parti québécois en 2007 lors d'une conférence de presse. C'est digne d'un secret d'État. Ces refus de l'actuel Directeur général des élections du Québec (DGEQ) d'obtempérer à deux motions unanimes de nos représentants élus de l'Assemblée nationale du Québec, sont l'équivalent d'outrages au Parlement. Je rappelle la consigne de «huis-clos» pour la commission Grenier, ce que le DGEQ de l'époque et le parti québécois remettaient en question, ainsi que l'impossibilité pour le principal intéressé, soit le peuple québécois, d'avoir accès aux témoignages et preuves. Impossibilité d'accès au rapport Grenier pour l'éternité!!! La censure et le révisionnisme sont à la démocratie ce que la violence est à la dictature.
«Les longs souvenirs font les grands peuples. La mémoire du passé ne devient importune que lorsque la conscience du présent est honteuse.» Charles de Montalembert.
Le 23 mai 2023 un vent d’unité soufflait à l’Assemblée nationale du Québec, alors que le Parti québécois présentait deux motions qui ont été adoptées à l’unanimité. Des motions qui exigent de faire la lumière sur l’épineux dossier qu’est le référendum de 1995. SOURCE : leveil.com/actualites/referendum-de-1995-des-quebecois-veulent-la-verite
Le PQ rejette les arguments du DGE concernant la commission Grenier.
«Nous avons une appréciation différente de la force des motions unanimes de l’Assemblée nationale, qui s’apparentent à des ordres de l’Assemblée nationale», a déclaré mardi le député péquiste Pascal Bérubé, au sujet du point de vue du DGE sur les documents de la commission Grenier.
Alexandre Robillard à Québec
Correspondant parlementaire
17 octobre 2023 Québec
Le Parti québécois (PQ) rejette les arguments du directeur général des élections (DGE), selon qui une simple motion unanime de l’Assemblée nationale est insuffisante pour le contraindre à rendre publics les éléments de preuve recueillis lors d’une enquête qui a relevé des dépenses illégales effectuées lors du référendum de 1995.
Le député péquiste Pascal Bérubé affirme que son avis diffère de celui exposé par le DGE, Jean-François Blanchet, dans une analyse soumise lors d’une rencontre avec les élus fin septembre.
«Nous avons une appréciation différente de la force des motions unanimes de l’Assemblée nationale, qui s’apparentent à des ordres de l’Assemblée nationale», a-t-il dit lors d’un point de presse.
M. Bérubé a affirmé que sa formation politique, qui avait lancé la demande à laquelle se sont ralliés les autres partis représentés à l’Assemblée nationale, reviendra plus en détail sur le sujet cette semaine concernant les suites à donner à la motion et à la rencontre de fin septembre.
«Nous avons un avis différent de ce qu’il peut faire avec les pouvoirs qui sont les siens. On a demandé différents avis et ça ne tardera pas dans les prochains jours.»
Nous avons un avis différent de ce qu’il peut faire avec les pouvoirs qui sont les siens - Pascal Bérubé
Le Devoir a rapporté lundi que dans son analyse, le DGE affirme que seule une loi pourrait le contraindre à rendre publics les documents recueillis par le commissaire-enquêteur Bernard Grenier en 2006 et en 2007.
Mardi, M. Bérubé a reconnu que le PQ avait déjà évoqué, au printemps dernier, l’idée de faire adopter une loi. «Ce n’est pas exclu, mais je ne crois pas que ce soit absolument nécessaire», a-t-il dit.
M. Grenier avait été mandaté par le DGE pour enquêter sur des allégations de financement illégal de la campagne référendaire.
Dans son rapport, le commissaire-enquêteur a conclu que 539 460 $ avaient été dépensés illégalement en 1995 par deux organismes fédéralistes, Option Canada et le Conseil de l’unité canadienne.
Dénouer l’impasse
Le co-porte-parole de Québec solidaire, Gabriel Nadeau-Dubois, croyait qu’une motion serait suffisante. Selon lui, il faut trouver une solution au «blocage actuel».
«Il faut trouver une voie de passage pour que cette information-là soit publique. Est-ce que c’est la motion ? Est-ce que c’est un projet de loi ? Je ne suis pas juriste, mais il faut que les documents soient publics. Ça, on n’en démord pas.»
Il s’en remet à la suggestion évoquée au printemps par le PQ de présenter un projet de loi.
« On croyait que la motion aurait dû être suffisante, a-t-il dit. On nous dit que ce ne l’est pas. J’ai cru comprendre que le Parti québécois allait présenter un projet de loi. On va l’étudier. On va le regarder quand il sera déposé. »
Des doutes au Parti libéral
Le chef intérimaire libéral, Marc Tanguay, a souligné la crédibilité des avis présentés par le DGE.
«L’institution indépendante et hautement qualifiée, compétente du DGE nous revient avec une opinion juridique étoffée, a-t-il expliqué.
J’appellerais ça, sa lettre, une opinion juridique. Puis moi, je lui donne raison là-dessus.»
M. Tanguay s’est abstenu de donner d’emblée son appui à un éventuel projet de loi sur la question, d’autant plus que le DGE a lui-même émis des doutes sur la validité d’une telle loi.
«Ça prend un débat législatif. On va voir ce que proposera le gouvernement. Mais le DGE, même si une loi était adoptée cet après-midi, soulève bien des drapeaux rouges.»
Dans son avis, M. Blanchet affirme que divulguer la preuve de la commission Grenier l’exposerait à des poursuites judiciaires en raison des renseignements personnels qu’elle contient. Il soutient également qu’il ne peut être contraint à le faire par une simple motion des parlementaires.
Depuis le printemps dernier, les élus des quatre partis représentés à l’Assemblée nationale sont dans un bras de fer avec le DGE concernant la publication de la preuve recueillie par le commissaire-enquêteur Grenier. À deux reprises, les députés ont voté à l’unanimité pour des motions réclamant la divulgation de ces documents, frappés par une ordonnance de non-publication. SOURCE: www.ledevoir.com/politique/quebec/800124/pq-rejette-arguments-dge-concernant-commission-grenier?
Le financement illégal de la campagne du Non par Ottawa lors du référendum du 30 octobre 1995, au mépris de la démocratie et des lois électorales du Québec, est encore aujourd’hui entouré de mystère:
www.journaldemontreal.com/2020/10/25/les-secrets-du-referendum-vole-de-1995
Je termine par cette autre citation adéquate dans les circonstances actuelles. «La civilisation démocratique est entièrement fondée sur l’exactitude de l’information, si le citoyen n’est pas correctement informé, le vote ne veut rien dire.» Jean-Francois Revel, Journaliste & philosophe, ancien directeur de l’Express.
@DBK936 on accepte pas ton défaitisme. On va se créer une victoire, un pays.
Bonne entrevue! Cela nous a permis de comprendre que cette femme n’est PAS indépendantiste!
C'est grâce à des personnes comme toi que le mouvement indépendantiste va demeurer sectaire et ne réussira pas à convaincre d'autres personnes de l'être.
C'est le peuple qui va décider, mais «ça va être important que la vision de Québec solidaire soit celle d'un pays indépendant».
C'est ça qui me tape sur les nerfs avec QS. Ils veulent un pays, ils disent qu'ils veulent que ce soit le peuple qui décide ce que sera le pays, mais seulement si ça concorde avec leur vision. C'est pour ça que l'union des forces souverainistes, qui est nécessaire, va être difficile à faire. Faisons un pays, établissons-en les bases, il y a plein de principes et de droits fondamentaux sur lesquels on s'entend tous, et après on s'obstinera sur les détails.
J'adore ce que Gilles Duceppe a dit à ce même podcast : QS veut un Québec souverain, mais pas n'importe quel Québec, mais en attendant ils sont prêts à rester dans n'importe quel Canada. Et ça, ça a un prix pour le Québec.
53:25 C'est justement un point sur lequel je commence à prendre mes distances de QS. C'est bien beau la vertu, mais comment on concilie une crise du logement, un objectif d'accueillir 80 000 immigrants par année sans compter Roxham, et un objectif de construire 40 000 logements abordables sur 5 ans? On prévoit loger 10 immigrants par logement, ou la rue va s'occuper de la différence?
Je suis d'accord avec ça. Moi même je suis en attente sur des liste de logement social depuis 5-6 ans avec toujours aucun espoir que ça débouche bientôt quelque part.... Je veux dire, ont va les loger ou ce beau monde là?
En effet! Ainsi que tous les services sociaux: Soins de santé, scolarité, l’appauvrissement de citoyens déjà sur place qui utilisent davantage les banques alimentaires... Je connais des gens dont une centenaire qui sont sans médecin de famille pour encore plus de 3 ans.
A l’écoute de Ruba Ghazal, on perçoit la même hargne que leur politburo, et par ses commentaires des adversaires péquistes, cette même adversité qui a fait renier la signature de Québec solidaire dans la convergence indépendantiste. Ce n'est pas en soustrayant ni en divisant qu'on fera l'indépendance du Québec mais par notre union, jeunes et plus vieux, avec une déclaration d'indépendance pour être enfin maîtres chez nous.
RAPPEL avant la passoire du chemin Roxham.
Institut Fraser 2009 : « L'immigration massive nuit au bien-être des Canadiens en général; les politiques d'immigration doivent être revues.
«Depuis 1990, le taux annuel d'immigration du Canada est le plus élevé au monde, menant à une hausse de la population de 3,9 millions de personnes entre 1990 et 2006. Cette immigration massive a eu des conséquences profondes sur les conditions économiques, démographiques, sociales et politiques du Canada, nuisant au bien-être des Canadiens en général, y compris les immigrants des vagues précédentes», a affirmé Herbert Grubel, senior fellow de l'Institut Fraser et co-auteur du livre. «Malheureusement, la plupart des Canadiens sont insuffisamment informés quant à ces conséquences en partie à cause d'un code de rectitude politique qui tend à associer au racisme tout examen des politiques d'immigration et également parce que le système électoral canadien récompense les politiciens qui appuient le taux élevé d'immigration actuel. » Nos biens pensants souffrent d’une pathologie et c’est nous comme citoyens, qui récoltons les dommages collatéraux.
je te dirais qu'une partie de gens qui sont passés par Roxham sont allés aider dans les chocs pendant que des manifestants anti-vaux chialaient contre les mesures, y en a même qui sont morts pour la cause.
Honnêtement, c'est vraiment quelqu'un que j'aime Ruba. Je me questionne encore entre PQ et QS grâce à elle.
j'adore cette entrevue en profondeur avec Ruba. Une personne très intéressante et je suis ravi d'avoir pu en apprendre plus à propos d'elle.
Merci de votre commentaire! C’est plaisant à lire!
Le PQ est de centre-gauche, je me demande de qui elle parle lorsqu'elle parle des indépendantistes de droite ?
La CAQ
Perso je suis plus à droite sur plusieurs sujets mais je vote PQ surtout parce que l'indépendance est ma priorité
Le PQ est tombé dans le piège du néo-liberalisme. Depuis B.Landry, ce parti ne vaut plus grand chose pour le peuple.
Tout le PQ ne pense pas pareil ...et heureusement! Bien sûr le parti est par principe de gauche (avec la droitisation du paysage politique, je crois qu'on peut qualifier sans se tromper le PQ de gauche). Mais oui, il y a des partisans de droite du PQ, simplement parce que le parti n'a pas pour vocation principale la solidarité sociale, mais l'indépendance, position partagée par plusieurs bords politiques
Si Le PQ est du centre-gauche mais il semble bien que beaucoup de ses sympathisants ne le comprenne pas car ils sont plus de droite conservtarice.
En associant comme elle le fait à la 28e minute le PQ à l'intolérance et au racisme, Ruba Ghazal tient exactement le même discours que Pierre Elliot Trudeau en son temps. Je suppose que cela fait partie de son regard nostalgique sur les années 1970-1980. Honte à vous, madame Ghazal!
Ouf, non, une constitution n'est pas "l'acte de naissance d'un pays". Une constitution est la loi fondamentale d'un pays, et peut changer à travers le temps, être amendée, etc, et une déclaration d'indépendance est l'acte de naissance d'un pays.
Sinon c'est super intéressant comme entrevue, et je remercie l'élue solidaire de se prêter au jeu - mais je m'attends quand même à ce que les élus aient une connaissance au moins de base de ces concepts-là...
(mais bon, je ne la blâme pas, j'ai déjà entendu le même type de faussetés de la part d'élus péquistes, et plus qu'une fois ...)
Merci pour le commentaire !
Effectivement, on doit remercier notre invitée de nous avoir partagé la vision de l'indépendance de Québec Solidaire!
ON au départ c'était le parti qui reprochait au PQ de ne pas mettre l'indépendance au sommet de ses priorités, aujourd'hui ON est assimilée à un parti qui pose des conditions à l'indépendance, c'est un peu ironique.
Je la trouve ben bonne l'idée de la Constituante, mais je vois pas pourquoi elle viendrait pas en second.
30:51 Merci, enfin... Je suis pas en complet désaccord avec Ruba, après personnellement je n'ai plus ce sentiment depuis que PSPP est à la tête du PQ, autrement je serais resté chez QS. PSPP n'est pas Lisée.
Elle est vraiment sympathique,ses idées sur l'éducation me rejoignent totalement, dommage qu'elle déteste le Parti québécois 🤔
Faudrait-il trouver un moyen de se rallier sur ce qui nous rassemble? 🤔
@@generationoui
L'ouverture à l'autre lorsque l'autre refuse de s'ouvrir à nous relève du masochisme. Québec solidaire a renié sa signature de l’entente à la table des OUI-Québec. Ce n'est quand-même pas anodin! La lettre ouverte de Méganne Perry Mélançon à Ruba Ghazal incluse plus loin démontre que QS a définitivement saboté toute possibilité de convergence avec le Parti québécois. Même Ruba Ghazal l'affirme. Le chef du PQ n'a pas besoin de s'associer à QS. Les vrais indépendantistes se rejoindront au moment opportun.
LETTRE OUVERTE À RUBA GHAZAL DE MÉGANNE PERRY MÉLANÇON:
Mercredi 8 mars, 2023
INTOLÉRANCE SOLIDAIRE
Chère Ruba,
Nous nous sommes côtoyées pendant quatre ans à l’Assemblée nationale, toi de Québec solidaire, moi du Parti québécois, et j’avoue avoir développé une estime pour ta fougue. C’est donc avec intérêt que j’ai voulu t’entendre parler de ta démarche indépendantiste pendant une heure dans le récent balado de Génération Oui.
J’ai été estomaquée de t’entendre dire que tu « détestais au plus haut point » la politique nationaliste menée par mon parti, mes collègues, les militants que je côtoie au quotidien. Qu’est-ce qui peut ainsi déclencher chez toi un rejet aussi brutal des convictions d’autres indépendantistes ? Tu as expliqué : « moi c’est le discours où quand on parle de la nation québécoise, quand on parle du Québec, du pays, de l’histoire, - évidemment on ne le dit pas comme ça - mais on parle aux gens qui étaient là, disons, au début, dans le temps de la Nouvelle-France. Là je caricature, mais souvent, entre les lignes, c’est comme si on parle : ça, c’est les vrais. »
L’accusation est grave. Elle est contredite par l’ensemble de mes collègues péquistes issus de la diversité québécoise, par l’ensemble des politiques en matière d’intégration de notre parti. Quelles preuves avances-tu ? Aucune. Tu dis « lire entre les lignes ». Il s’agit donc d’un biais, d’un préjugé. D’intolérance. Les intervieweurs t’ont demandé de préciser d’où tu tirais cette perception. « Je le retrouve chez certaines personnes dans le Parti québécois qui vont un petit peu exclure ou avoir un discours de peur. » Lesquelles, quand, à quel sujet ? Roxham ? Tu admets que c’est un sujet qu’il faut aborder. Les seuils d’immigration ? Tu affirmes que c’est un débat légitime. Alors ? Alors ceci :
« C’est pas juste l’immigration, c’est tout le discours qu’on tient sur le Québec, la nation québécoise, sur une vision du Québec que je n’aime pas. »
Tu sembles donc allergique au mot « nation », à notre volonté de nous inscrire dans une histoire, de célébrer la grande aventure québécoise sur le continent. Voilà ce que tu détestes, au point de nous accuser d’avoir des discours de peur, de trier les « vrais » Québécois des autres. Tu relaies précisément la propagande fédéraliste de Pierre Trudeau et Jean Chrétien en 1980 et en 1995 contre l’idée indépendantiste. Ta volonté de salir le Parti québécois fait nécessairement une victime collatérale : l’idée d’indépendance. Pose-toi la question : pourquoi n’arrivez-vous pas même à convaincre la moitié de votre propre électorat à appuyer l’indépendance ? Peut-être est-ce parce que vous calomniez une partie des indépendantistes. Parce que vous détestez leur discours.
Les intervieweurs t’ont demandé : « Bloc québécois ou NPD ? » Tu as répondu avec enthousiasme : « NPD ».
Voilà un parti fédéraliste qui, cette dernière année seulement, s’est opposé aux positions unanimes de l’Assemblée nationale, donc aux positions de ton propre parti. Vous souhaitez un rapport d’impôt unique, le NPD dit non. Vous souhaitez des transferts en santé sans condition, Jagmeet Singh a exigé des conditions. Malgré des désaccords sur le fond, vous souhaitez que le fédéral ne se mêle pas des décisions québécoises en matière de laïcité et de langue. Le NPD réclame une intervention de la Cour suprême pour invalider nos lois. Vous estimez que les propos méprisants envers le Québec d’Amira Elghawaby la disqualifient de son poste de conseillère de Justin Trudeau. Le NPD l’appuie sans réserve.
Tu dis que tu ne ferais pas plus d’alliance avec le Parti québécois qu’avec le Parti libéral du Québec. Mais tu appuies un parti fédéraliste canadien qui tourne le dos à nos combats.
Alors. Que reproches-tu au Bloc Québécois ? Qu’il mène à Ottawa toutes les batailles du Québec ? Qu’il soit indépendantiste ? J’espère que non. Je dois comprendre que tu lui reproches de parler de nation, d’histoire, de pays.
Finalement, sache que je ne déteste pas ta position. Je crois que ce mot ne devrait pas exister entre indépendantistes. Je respecte tes opinions, sans les partager. Je sais qu’il faudra un jour rassembler au moins la moitié des Québécois pour se donner un pays. Qu’il faudra additionner des points de vue complètement différents, mais qui se rejoignent dans une même volonté d’indépendance. La détestation, l’intolérance, les procès d’intention ne sont pas les bons outils pour nous rendre à bon port. Je te les laisse.
Méganne
SOURCE: pq.org/2023/03/08/lettre-ouverte-a-ruba-ghazal-de-meganne-perry-melancon/
Le mépris de plusieurs chez Québec solidaire:
Dalila Awada, au micro du congrès de Québec Solidaire, 21 mai 2017: «Pour les communautés racisées au Québec, l’ennemi est double. Il s’incarne à la fois dans le néolibéralisme et dans le racisme. Le Parti Québécois, aujourd’hui, porte en lui ces deux bêtes»
Source-
LA DIRECTION DE QS DOIT SE DISSOCIER DES PROPOS DE DALIDA AWADA: lautjournal.info/20170529/la-direction-de-qs-doit-se-dissocier-des-propos-de-dalila-awada
SONDAGE RÉVÉLATEUR INCLUS: L'INDÉPENDANCE DE QS.
Extrait: « Les solidaires sont souvent accusés d’être indépendantistes à temps partiel. Un «indépendantisme d’entracte» entre deux propositions de gauche, en somme. J’ai voulu creuser davantage cette question. Et pour un parti souverainiste, un examen de conscience se pose. «Selon le dernier sondage Léger, seulement 35% des électeurs solidaires se déclarent indépendantistes. Il y a là un désaccord de fond entre les députés solidaires et leur base, là-dessus, qu’ils ne pourront pas toujours éviter. Une autre question, encore plus révélatrice: est-ce que le parti devrait davantage faire la promotion de l’indépendance? Sur ce coup, c’est assez clair: seulement 14% des électeurs solidaires souhaitent qu’il fasse davantage la promotion de l’indépendance, tandis que 41% souhaitent que QS en parle moins. La question de l’indépendance rime aussi inévitablement avec le nationalisme. Sur chacun des enjeux qui incarnent le nationalisme - langue, immigration, laïcité, protection du Québec dans le Canada -, les positions solidaires sont à l’opposé d’une majorité de Québécois. Ça devient de plus en plus difficile à tenir pour les solidaires.»
SOURCE- www.journaldemontreal.com/2023/11/04/le-malaise-independantiste-de-quebec-solidaire
Après 18m39 : Plus de la moitié de leurs membres ne sont pas indépendantistes -- pourquoi? Et leur assemblée constituante ne mènera jamais à un pays Québec, c'est comme faire un pays qu'à gauche --- mathématiquement impossible. Et de présenter un projet impossible est une façon de mettre des bâtons dans les roues de l'indépendance. Elle dit que c'est important d'en parler mais QS ne-le-fait-pas. Là un petit peu plus mais qu'en réaction à la popularité du nouveau chef du PQ Paul St-Pierre Plamondon. En 20 ans qu'à fait QS pour promouvoir l'indépendance à part avaler ON à leur profit? Sans la droite le projet est un échec, pas rassembleur (on a besoin de tout notre monde!) --- et elle veut que le pays Québec soit la vision de QS ---- la vision de QS ce n'est-pas-la-vision-du-peuple!! Elle parle de la droite et du droit à l'avortement --- encore une fois le Québec ce n'est pas les USA. La majorité des gens de droite au QC ne sont pas contre l'avortement. Pour la langue française: Avez-vous lu « Ce qui nous délie » ? Le chapitre 1 -Ruba, la langue et ses contradictions, ses préjugés contre les Canadian-Français ( ! ), tout est ici: (Je vais continuer une autre fois, je dois faire ce travail de rétroaction à petite dose car c'est trop pénible et surtout blessant.) www.google.ca/books/edition/CE_QUI_NOUS_DÉLIE/shFyEAAAQBAJ?hl=fr&gbpv=1&pg=PT5&printsec=frontcover
Spécial... il y avait un j'aime hier et il est disparu ce matin. Hum.. Jouer des jeux et tricher ne sera jamais payant.
"Plus de la moitié de leurs membres ne sont pas indépendantistes" il faudrait que les péquistes arrêtent de répéter ce mensonge. dans le fond, quand tu étiquettes un indépendantiste en fédéraliste tu ne fais qu'affaiblir le mouvement pour l'indépendance
@@francoislatreille6068 Le dernier sondage Mainstreet montrait que seulement 42% des électeurs de QS voteraient Oui dans un référendum à question on-ne-peut-plus claire.
J'ai toujours aimé Ruba Gazal, son histoire personnelle, son amour du Québec et de sa culture, son intégration sans faille a notre belle société et son ton positif et serein. Je découvre par contre dans cette entrevue plusieurs lacunes dans sa compréhension du Québec. Elle assimile maladroitement l'amour du pays de la la nation et la fierté de nos origines a une sorte d'extrême droite imaginaire qui n'existe pas et qui est complètement ridicule et non fondé. J'aime pas son petit mépris envers le PQ et sa naiveté quand au PQ des beaux jours. Le PQ a toujours été une coalition indépendantiste avec une aile droite très minoritaire et une aile gauche très majoritaire et une orientation social démocrate évidente. Son appui au NPD est en parfaite ligne avec la pensée de QS, la gauche passe toujours avant l'indépendance, j'ai rien contre cette posture qui rejoint certainement un pan de l'électora mais faut arrêter de dire qu'on est indépendantiste dans ce cas car dans mon livre on ne peut pas être indépendantiste à temps partiel ou de façon conditionnel, comme disait Falardeau, ''la liberté c'est pas une marque de yogourt ! ''. Ensuite mon impression général de l'entretient est qu'elle me semble assez superficiel sur plusieurs sujets.
le son manque malheureusement de compression.
40:42 Je dirais que les causes autochtones en font également parti à un certain point. J'aurais été porté à croire que l'indépendance, l'écologie et les causes autochtones sont des enjeux trop prioritaires et urgents pour ne pas laisser nos autres divergences de côté. 3 priorités qui mangent la claque sous Legault, et pourtant...
Des alliances que QS a laissées tombé à la dernière minute !
Y'a vraiment pas moyen de trouver quelconque façon de s'unir sur la question de l'indépendance tout en laissant les dissensions survivre entre les partis? Ce que je souhaite, c'est pas que QS soit assimilé au PQ comme ON a été assimilé à QS, c'est qu'on se rassemble sur quoi on s'entend sans s'imposer de se taire nos divergences d'opinion. Je veux l'indépendance, pas de la maudite partisanerie.
100% d'accord.
La politique change, les partis se transforment, mais l'indépendance est un but à atteindre.
Je suis un gauchiste et selon moi, QS et PQ doivent s'entendre et mettre leur différends de leur côté et pousser l'indépendance ensemble. Après la création de l'état, les partis placeront les idéaux dans différents partis comme la gauche et la droite.
Mais pour le moment, la gauche indépendantiste rural et urbaine doivent s'allier pour 2026.
On est pleinement d’accord avec vous deux!
Quand elle dit qu'elle se joindrais au PQ des années 70,elle ne connais pas son histoire, que disait René!
Levesque de l'immigration, en parlant de noyade sinon une inquiétude légitime... du Parti québécois d'aujourd'hui 😉
On va essayer de lui en parler lors d’une prochaine occasion!
Moi j'ai changé mon vote de QS à PQ à la dernière minute pi ça fait pas de moi un droitiste. Je t'adore Ruba mais tu m'as fait beaucoup sourciller dans cette entrevue...
Tout semble bancal chez QS. On m’avait dit beaucoup de bien de Gazhal mais cet entretien donne l’impression qu’elle a trop mijoté dans la marmite QSiste. Je m’attendais à trouver d’avantage de singularité, notamment pour ce qui est des enjeux environnementaux. Impression d’amateurisme. De sectarisme. Faudra faire avec ces gens… J’aurais aimé que l’expression politique de la gauche « ferme » du Québec ne marine pas dans ce jus. Tssé, une gauche Camusienne. Proudhonienne même. Malheureusement, malgré leur ratatinement (ils se marginalisent toujours plus), il faudra composer avec eux.
ruba ghazal nous demontre pourquoi qs ne sera jamais au pouvoir, trop radicale.
« [QS] ne fixera pas de mandat à cette constituante sauf en ce qui concerne les valeurs progressistes »
« les instances de QS [..] a rejeté une proposition pour instituer une constituante avec un mandat indépendantiste »
- Denis Monière (2017)
Ça semble avoir changé depuis. L’évolution est intéressante.
@@generationoui Qu'est-ce qui a changé ? Quel est le nouveau libellé ?
Mais la gauche n’a JAMAIS créé de richesse. Et l’indépendantisme de QS n’est qu’électoral, ils n’en parlent jamais, n’en font jamais la promotion, n’élaborent jamais un budget du nouveau pays. A l’instar de LFI en France, QS n’est pas un parti pour la majorité c.-à-d. ceux qui ont construits le Québec moderne, mais un parti de toutes les minorités qui profitent de notre Québec. Lorsque QS commencera à promouvoir l’indépendance du Québec auprès de toutes leurs minorités chéries, je commencerai à les écouter. Sinon, il m’est IMPOSSIBLE de donner quelque valeur qui soit à un parti d’extrême-gauche qui a passé la dernière décennie à déblatérer contre le PQ, seul parti dont l’indépendance est l’article 1 du programme, seul parti qui nous a amené 2 référendums et bientôt un 3e, parti dont les membres votent Bloc au fédéral. Il ne faut surtout pas se leurrer, le Canada nous mène une guerre d’extinction, une guerre, un massacre. Nous n’avons AUCUN allié au Canada et encore moins le très centralisateur NPD chéri de QS. Comme le disait Pierre Falardeau, la liberté ( se s’auto-diriger ) n’est pas une marque de yogourt et, comme il le disait encore, soit tu es avec moi et on fait un pays, soit tu est contre moi (QS, QLP, CAQ, PCQ, PLC, PCC,NPD, LaPresse, Power Corp, Cour Suprême, Toronto, etc) et je te fais la guerre.
V I V E le Q U É B E C libéré du joug du colonialisme anglo-canadian et L I B R E de se gouverner soi-même. Je souhaite que les québécois aient du courage, comme les Ukrainiens. VLQL
Est-ce que c'est vraiment les membres du PQ qui ont refusé une alliance avec Qs...?
Le parti québécois à perdu une grande partie de son bassin de ''droite'', ils sont rendu à la CAQ, de dire que l'on doit changer le mode de scrutin pour espéré avoir une chance d'entreprendre les processus de séparation c'est définitivement une attitude ''pelletage de nuage''.
De dire qu'il y a des acteurs trop identitaire dans le PQ c'est l'équivalent de dire : QS c'est des communistes à cause de leurs membre d'extrême gauche.
Pour changer le système il faut être aux commandes, pour être au commande il faut gagner, pour gagner il faut un plus grand poids que la CAQ et sa n'arriveras pas sans alliance.
Pour que le Québec soit ''sexy'' c'est quoi qui faut faire ? J'ai pas l'impression qu'il y a un plan ou une stratégie du moins rien de concret à été mentionné pour comprendre c'est quoi qu'on doit faire pour qu'on soit ''sexy''.
La pluralité va être un résultat de l'Independence, c'est naturellement le mouvement que les nations ont prises au courant de l'histoire, la majorité s'allie pour établir un plan pour un but commun et lorsqu'il est atteint les discussions de gauche-droite vont reprendre.
Ont doit avoir un projet de société commun, dans les années 1960 à 1980 c'était l'installation d'une société de support pour la population (création de société d'état, solidification du système de santé, établissement d'une diversification économique pour être un acteur mondial).
Amener des immigrants au Québec oui, mais qu'est-ce que vous allez leurs offrir ?
Pour vrai je trouve que l'invité à une compréhension très superficielle des dynamiques politiques québécoises.
Pour elle c'est plus important d'être à gauche (Sans explicité les politiques à créer pour renforcer nos institutions actuelles), que d'être allié, voila ma conclusion de se que je ressort de cette discussion.
Je pense qu'après environ 40 ans d'essais, il est clair que la très grande majortié des immigrants ne sont pas intéressés par l'indépendance. J'aimerais bien que ça soit le contraire mais, sauf exception, ils arrivent ici et ce n'est pas pour défendre une cause dont ils n'ont jamais entendus parler ou qui ont peur de où ça va nous mener. Ça n'en fait pas des gens méchants mais c'est une réalité.
@@pirlouit9334 Je tiens à noté que si tu as bien lu mon commentaire je n'ai jamais mentionné que les immigrants étaient méchant. J'ai demandé ''Comment rendre le Québec plus sexy'' car l'invité n'a jamais répondu à la question.
Deuxio, les immigrants qui arrive au Québec, arrivent au Canada dans leurs tète pas au Québec, car il ne comprennent justement pas le contexte provinciale des le premier jours donc c'est certain qu'ils ne sont pas intéresser par un projet de séparation, certain arrivent de nation qui vivent des guerre civile depuis toujours donc il est normal que leurs reflex est d'éviter qu'un autre conflit se produise sur leurs nouvelle terre d'accueil.
Alors mon point est : Comment pouvons nous rendre ce projet compréhensible et attirant au yeux des gens qui arrivent pour vivre sur le territoire québécois mais qui s'identifie Canadien par proxy de leurs contexte d'immigrant.
L'invité n'a jamais touché à des suggestions n'y a des exemples qui sont utilisé pour se basé sur une stratégie qui est applicable.
Ceci était ma critique, pas que les immigrants sont méchants....
@@gabrielhuet9370 mais j'ai pas dit que vous avez dit que les immigrants étaient méchants. Je me répondais à moi-même en répondant votre interrogatation voulant savoir comment rendre le Québec plus sexy. Ça ne marche pas car la très grande majorité des immigrants ne sont juste pas intéressés à l'indépendance quand ils arrivent ici.
17:36 eeeeeehhhh de toute les province du canada et des états des états-unis le québec est l'endroit le moins enclin à perdre le droit à l'avortement et fort heureusement. Je sais pas de qui ou de quel parti qu'elle a peur quand elle dit ça, mais je ne comprends pas vraiment cette partie la de la conversation. Bon flash de David d'avoir switcher la conversation de façon plus positive. Un peu akward mais bon.
36:35 tu parles de deux candidates solidaire sur les trois que tu as nommée pis elle te réponds en que les parti québecois c'est pas le parti Québecois et qu'elle ne ferait pas d'alliance... ayoye
Je deviens de plus en plus deçu d'avoir voté solidaire honnêtement. Même si dans le fond de moi je suis plus aligné avec les idées de QS j'aime vraiment pas comment ils abordent la question trans-partisanne indépendentiste.
52:14 OUI OUI OUI ET RE OUI David bravo pour cette belle balle courbe, j'aime tellement quand on repense les questions de façon plus intélligente, combien c'est juste ça qu'on entend, mais comment c'est tellement plus juste. En prendre moins pour en prendre soin ? ahahahhahaha évidement loin de moi l'idée d'être un CAQiste et je crois que l'aspect en prendre moins est problèmatique dans cette citation de Legault. Comme disait Ruba il y a déja 300 000 personne au Québec qui sont a statu temporaire. C'est autant que le nombre d'habitant de la ville de Gatineau la 4e en importance au Québec heinque dire. Il faut un comité d'expert selon Ruba... Un comité d'expert pour faire quoi ? Pour que la question du nombre ne soit plus politisé. Je crois que toute les partis meme le parti québecois serait d'accord avec cela. Si QS et le PQ sont d'accord sur cette question du nombre d'immigrants que l'on acceuil par année, car ce chiffre ne sera plus fixer par les politiciens, mais par des experts indépendants, alors qu'elle est le point de divergence entre le PQ et QS ? Aucun ? Et ben Tabarnouche de calibouère ça pourrait être une piste pour l'union des indépendantistes du Québec !
52:12 T'es vraiment pas tu seul, je pense qu'on est une bonne gang à avoir la larme facile sur cette question
Je suis heureux de savoir que je ne suis pas le seul!
Moi je préfère l'expression et non .
La 2e expression n'existe pas en réalité.
En répondant à la question sur une éventuelle union des forces souverainistes, quand elle attaque un discours qu'elle qualifie de droite, fermé, identitaire, selon lequel l'immigration est une menace, etc., c'est la CAQ qu'elle décrit en fait, pas le PQ. Le PQ aussi est un parti de gauche, qui a toujours été proche du peuple.
Mais c'est vrai qu'entre Bernard Landry et PSPP, le PQ se cherchait beaucoup, ne s'assumait pas et ça a causé des dérapages à quelques occasions.
50:38 Ça converge ironiquement avec la position de PSPP sur l'immigration.
En effet!
Quel bande d'hypocrites le Québec solidaire dont plus de 60% de ses membres votent pour le NPD au fédérale et que ce parti met des conditions a l'indépendance!.....
Je perçois Ruba Ghazal comme un vulgaire objet sexuel --- sûrement pas une cervelle pour diriger le Québec.
T'aurais dû demandé PQ vs PVQ; le PLQ n'a rien a offert à la gauche peu importe son opinion par rapport à l'indépendance.