Fayçal ~ In articulo mortis

แชร์
ฝัง
  • เผยแพร่เมื่อ 3 ม.ค. 2025

ความคิดเห็น • 13

  • @thesunryze4658
    @thesunryze4658 2 ปีที่แล้ว +4

    j'écoutais ce son à une époque très particulière.. une époque où celui dont on parle dans le son avait failli être moi, où jeune j'ai rencontré la mort comme peu de personnes pourraient en parler..
    Pour une raison que j'ignore j'qi eu besoin de réecouter ce son des années aprés. Merci Fayçal pour toutes ces beaux morceaux. J'ai beaucoup de gratitude et de respect pour toi.

  • @Batchesko
    @Batchesko 4 ปีที่แล้ว +7

    Ce son est une blessure (flow, fond et forme).

  • @christiandigier5477
    @christiandigier5477 3 ปีที่แล้ว +3

    Super travail pour votre aide cordialement à bientôt et bonne fin de semaine prochaine pour le sonkifou

  • @kayzo7268
    @kayzo7268 3 ปีที่แล้ว +7

    Faycal tes textes sont très durs à comprendre, ton vocabulaire est vraiment impressionnant , il me faut un dico pour déchiffrer tout ça 🌞 faycal une des meilleures plumes du hip hop français ✊🏼

    • @Prophet49
      @Prophet49 2 ปีที่แล้ว +2

      Fayçal est clairement au dessus du lot en terme de rappeur français, je ne connais pas d'autre rappeur avec une plume si aiguisée et des textes si fort, un poète des temps modernes !

  • @irtaman2725
    @irtaman2725 4 ปีที่แล้ว +13

    L'œil sous un ciel de fer, dans une lueur d'Avril
    Son deuil me rend viril et que mon fiel meurt en Enfer
    A l'ombre d'un cyprès, sous le regard des corneilles
    Hagard et de vermeille, dans le nombre j'étais si près
    Des mea culpa, quelques crachats de vipère
    Moi dans l'émoi je ne coule pas et son rachat j'espère
    Devant le calme des graviers, certains vitupèrent
    Hautain, lui si vous saviez mais que son âme le récupère
    Entre le marbre et leurs bottines, un léger vent croasse
    Les arbres tels des paroisses sont enneigés de nicotine
    A l'écart, j'assistais aux funérailles
    Je pistais les traîtres qui braillent, il était midi et quart
    A 10 mètres, l'entourage, ces camarades, une belle murette
    La tête froide, il y a belle lurette qu'ils gardent courage
    Dans l'assistance peu bavarde, des chemises noirs ébènes
    Des déboires, des remises de peine, je prends distance et regarde
    Le craquement des pas des quelques retardataires
    C'est uniquement à son trépas que je vis leur vrai caractère
    Leurs claquements de doigt, rudes, mal évalués
    Quand des attitudes saluaient leur manquement comme il se doit
    Au nom du Seigneur, trois poignées de sable
    Que son futur soit meilleur, éloigné du Diable
    Des prières, des alouettes, peu de nuages mais des rayons
    Moi en marge je suis un crayon, dernière lumière d'une silhouette
    Le soleil au zénith, j'étais son double
    Témoin du doute et de ces troubles, une goutte d'eau bénite
    Très loin des fourbes, de l'oseille, on a poursuivi nos richesses
    On a mis toutes vos courbes H.S, suivi avec soin des conseils
    Le soleil au zénith, j'étais son double
    Témoin du doute et de ces troubles, une goutte d'eau bénite
    Car c'est ce gamin espiègle, un cycle que je commémore
    Sous ma main, c'est son quart de siècle à l'article de la mort
    Dans la primeur d'une saison, qu'ils reviennent bien de l'enterrement
    Combien se souviennent entièrement de lui, rimeur de raison?
    Etant alter ego, j'ai vu un temps à la vierge
    Peu de cierges mais tant de mégots attisaient sa gamberge
    On a vu sur la falaise émerger l'étoile du berger
    Traumatisé par un malaise quand elle nous hébergeait
    Sous le voile de l'adolescent ferme et irrité
    Parfois l'obscurité renferme un cœur fluorescent
    Des allées marines au Q.G, on discutait d'empire
    Percutait peu sur le sujet, dans les narines que des soupirs
    Persécuté dans cet univers ambigu
    Tant de faux plans à réfuter comme autant de verre de ciguë
    On affûtait très tôt la plume sous l'échauguette
    Entre le marteau et l'enclume, souvent l'étau nous guette
    Et il me disait constamment que les siens, les vrais
    Sont ceux qui l'ont vu se livrer bien avant son testament
    Timoré, faussement prétentieux, ce printemps
    Me remémorait nos 20 ans, nos vrilles et nos contentieux
    Pour des broutilles on s'embrouillait, place de la Halle
    Mais parmi les as de la balle, sur nos quilles, on se débrouillait
    Des reproches ont crépité sur ses brindilles
    Sa famille, ses proches ont fait palpiter sa cédille
    A l'heure où les valeurs succombent, dans ces décombres suis-je fauteur?
    Sous une chaleur de catacombes, je suis l'ombre de mon auteur

    • @christiandigier5477
      @christiandigier5477 2 ปีที่แล้ว

      salut 👋 super 👍 bon texte je voulais juste savoir si tu l’a fait toi-même merci ☺️ pour ce petit moment de bonheur 💥

  • @christiandigier48
    @christiandigier48 2 ปีที่แล้ว +2

    salut vous êtes de vrais compétiteurs et votre flow est grave puissant

  • @Prophet49
    @Prophet49 2 ปีที่แล้ว +3

    si tu fait écouter ce son a un fan de Jul, son cerveau explose direct 😂😂

  • @josenoche6398
    @josenoche6398 5 ปีที่แล้ว +6

    Putainggg

  • @omarmoutal9983
    @omarmoutal9983 ปีที่แล้ว +1

    Bonjour ! Quelqu'un sait-il où on peut trouver l'chant utilisé en fond? Cdlt.

    • @MrRbus
      @MrRbus 4 หลายเดือนก่อน

      Bill Douglas : the cloud