Reportage : L'or bleu des Kerguelen
ฝัง
- เผยแพร่เมื่อ 24 มี.ค. 2019
- Quarantièmes rugissants, cinquantièmes hurlants : les termes importent peu. Ce qui compte, c’est ce qu’ils décrivent : des vagues monstrueuses, des tempêtes incessantes, des icebergs à la dérive, des vents glacés. Un désert où des hommes, pourtant, vivent et travaillent. Un enfer aussi, où ils s’affrontent. L’enjeu de cette lutte c’est la légine, un poisson “découvert” en 1991 par les Chiliens et qu’aujourd’hui les Japonais s’arrachent à prix d’or. Les prix flambent, atteignent 10.000 dollars la tonne, du jamais vu pour un poisson. Ces sommes mirobolantes provoquent une nouvelle ruée vers ce que l’on appelle déjà “l’or bleu”. Mais les pirates sont arrivés. On estime qu’ils pêchent chaque année au minimum 20.000 tonnes de légine.
Les filets des chalutiers font énormément de dégâts. Entre les tortues qui se prennent dedans, les fonds raclé, les tonnes de poissons pris en une passe. Pauvres de nous.
J'étais embarqué dans les années fin 1960 depuis Marseille sur le Sapmer port d' attache pointe des galets La Réunion pour la langouste verte aux Kerguelen "cette pêche aux casiers ce faisait en descendant des chaloupes à la mer et non à partir du pont du navire tout en guettant le coup de vent pour revenir sur le navire rapidement " le Sapmer avait des cales à moins 20 degrés pour la conservation de la pêche "l' essentiel des pécheurs sur les chaloupes venaient de Madagascar "Tananarive" et de la Réunion .....la vie à bord du Navire ...ne s' arrête pas le dimanche ni la nuit les journées de 11 heures pendant 6 mois d' affilés....
Superbe reportage. Maintenant, le débat sur la pêche c'est une autre histoire.
Tout est dans la conclusion. Des hommes courageux mais ce n'est pas de la pêche mais du massacre.
Superbe reportage... Chapeau à tous ces pêcheurs et militaires
Un remarquable reportage. Quel travail dur dans des conditions vraiment difficiles. De l'argent durement gagné.
J’ai bossé avec le contrôleur qui est à bord, Fred, chez Piriou à Concarneau vers 2010 je pense. J’adorais discuter avec lui sur ses moments en mer pour de longue période de trois mois, c’était très enrichissant.
Remarquable reportage, ces pêcheurs et militaires sont des hommes courageux. quand au débat sur ces pêches c’est une autre histoire...
Tout se qu'il pêche
Dommage que l'image ne soit pas bonne. En tout cas, chapeau bas pour tous ces marins et tant pis pour tous ces commentateurs qui n'ont jamais mis les pieds sur un bateau et qui ne savent pas de quoi ils parlent.
Oui.grand respect a tous les marins
Les pècheurs bravo respect total
لهاذ السب انقرضت الاسماك من البحر واصبح البحر مثل المسابح لا سمك يذكر فيه .( الصيد الجائر )
Le Kerguelen de Tremarec était l'ancien Commandant Gué (Terre Neuvas) ! Sacrée barque !! Le plus dur dans ce métier ce sont les départs et parfois l'appréhension de rentrer Et en mer t'as pas de bonnes femmes pour t'emmerder !! 😆😄😁 (humour)
Des hommes extrêmement courageux.
On apprécie de constater combien l'émission THALASSA a depuis ce genre de reportage permis de faire évoluer les documentaires : d'abord on dispose d'images haute définition (et là ce ne serait pas du luxe !), ensuite on sait mettre en contexte et décrire les conditions marines (ici il faut attendre la fin du film pour connaitre le nom des oiseaux Albatros et Pétrelles par exemple ! ), et surtout le montage permet de rendre plus attractif le reportage et l'histoire qu'il évoque. Dans ce film on a les yeux plombés par une méthode bien peu inspirée de présentation les sujets et images.
wow !
C'est de l'illégalité !
20 000 tonnes X 10 000 $ / T = 200 millions de dollars par an ... Cela vaut il le coup de laisser un bateau de guerre en permanence pour dissuader et empêcher la ressource de disparaitre ??? Oui, probablement... De plus, s'ils pêchent plus que les bateaux autorisés, de diviser la production par 2 ferait mécaniquement augmenter les prix... Tout bénéf pour le pays...
Dur métier que celui de pêcheurs chapeaux les gas 👍 Et bravo à la Marine nationale qui traque les pirates car les charges sociales fiscale pour les bateaux français faut bien les payé .