François Civil : «Les professeurs sont trop seuls»
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- เผยแพร่เมื่อ 15 ก.ย. 2024
- Un professeur de français est accusé à tort de harcèlement par une élève. Un déferlement de critiques s’abat, sans interruption. Dans le nouveau film de Teddy Lussi-Modeste, «Pas de vagues», François Civil campe un de ces hussards noirs de la République
qui tient, bon gré mal gré, seul face à sa classe et sa hiérarchie.
Notre critique de Pas de vagues: tableau d’horreur → www.lefigaro.fr/cinema/pas-de-vagues-tableau-d-horreur-20240325
Je pensais qu’il n’aurait rien à raconter d’intéressant, comme la plupart des acteurs en interview, eh bien j’ai été sacrément surpris et je crois que j’irai voir le film!
j'ai eu la chance de le voir, il est vraiment bon. allez-y l'experience est très intéressante
film très réaliste sur le métier
Tu sens la moutarde qui monte au nez lorsqu'elle mentionne Samuel Paty et Dominique Bernard et lorsquelle veut le faire taper sur l'école publique et qu'il prend le contrepied tout en expliquant que l'école traditionelle n'a pas fonctionné pour lui.
Carrément, je suis d'accord. L'interview l'envoie dans des retranchements très étroits et qui sont propices à des scandales, heureusement François Civil arrive à répondre honnêtement et sans réponses ambiguës qui pourrait lui causer des soucis.
Bien joué à FC, pour ce type d'interview orienté politiquement....
Orienté à gauche ? Ou orienté à droite ?
@@picloppiclop2810 les questions avaient il me semble un gout de politique. c'est tout. Je vais pas plus loin.
Et peut etre ne l'a t il pas remarqué ou bien que conscient il n'y a pas prété attention.
En tout cas bien joué à lui pour ne pas tombé dans un parti pris, comme je ferai avec vous.
@@baptistem4439 oui ok je comprends mieux ce que vous voulez dire. Oui, ce film sur l'Education nationale va connaitre une promotion délicate, une vraie ligne de crète, en veillant à montrer une réalité davantage qu'un parti pris.
Génération djadja avec un nivo djadja.
le rapport avec l'interview ?
ils se font tuer quand même !
sassè byin vrè sa
a lékeule toulè peti kamarade son tousse devenu dè vilin peti bendi