Intellectuellement et idéologiquement séduit comme toujours avec M. Supiot je reste cependant un peu sur ma faim. Maints chapitres et aspects de cet ensemble d'épisodes mériterait de plus longs développements. Mais merci infiniment pour cette nourriture spirituelle à la fois savante et érudite tout en restant accessible. Cordiales et respectueuses salutations
Merci de rappeler ce retour au Moyen Âge qui correspond à l'évolution démographique de nos pays dits développés. On est passé de l'équilibre haut médiéval à l'équilibre bas actuel après la transition démographique entamée au XVIII° siècle.
M.Le Rouméliote. Désolé, mais, je visé une autre personne et pas Vous. Moi, ausi, j'ai une fille Handicapé, depuis 50 ans.. Bon courage à Vous et votre famille. ...
Vous semblez lier l'équilibre bas actuel à la transition démographique. Il me semble que les choix économico-politiques sont plus pertinents en la matière, non ?
Je continue d'écouter, mais ne voit-on pas l'évidence ? Que le règne de la Loi, la Justice, et la gouvernance par l'allégeance, sont incompatibles : les intérêts des dits seigneurs, sont icompatibles avec la Loi, la Justice, et cela se manifeste très rapidement. Ou encore, que l'intérêt des dits "Seigneurs", n'est pas l'intérêt général, et cela se manifeste très rapidement. En effet, la grande différence entre la Loi, La Justice, et la gouvernance par l'allégeance, et la performance, ainsi que présentée, est que Loa Loi est censée écrire dans le Marbre, l'intérêt Général. De plus, la notion de performance seule, n'a pas de sens en soi : l'exact même travail pourrait évalué extrêmement performant par une méthode de mesure, et extrêmeent peu performant par une autre, méthode de mesure. Peut-être même qu'il n'a jamais été néccessaire, d'avoir une quelconque notion de mesure de performance, pour définir l'intérêt général, et l'écrire dans la Loi, depuis des siècles : a-t-on jamais pu concevoir de condamner dans un tribunal une personne coupable de basses performances ? Certainement pas, c'est évident, une fois dit, et l'on trouve même, en écoutant Yohann Chapoutot, un exemple extrême, de ce que peut donner la performance, lorsqu'elle devient Loi. cf. l'étude de Chapoutot montrant en quoi le "management" par la performance, est un aspect central, de l'idéologie Nazie, et c. le scandale déclenché par cette analyse de Chapoutot, dans les "écoles de management". Que cela plaise ou non, aux "Ecoles de Management", le management par la performance, "par les Nombres", est un aspect fondamental, de la doctrine Nazie. C'est très exactement ce que nous vivons aujourd'hui, tout simplement : Lorsque l'état, lui-même, impose uniformément en son sein même, le management par la perfomance, c'est l'instauration d'un aspect central, de la doctrine Nazie dans l'état, qui se produit. Et pour ce qui pourrait être une plaisanterie qui vienne à l'esprit du Lecteur, je réponds à l'avance, que vous entendrez Monsieur Chapoutot, vous confirmer, que les résultats en performance des Nazis, en leur sein, étaient catastrophiques, bien au contraire de ce que tous pourraient penser à priori, et selon les apparences. Si bien que même cette plaisanterie, laisse encore plus profondément à penser. Je suis curieux d'entendre si ces évidences, émerge de ce discours, que je continue donc d'écouter. J'ajouterai que la formule "gouvernance par les nombres", est, au mieux, une erreur : Aucun Nombre, n'a jamais eut, et n'aura jamais, d'intérêt propre, qui puisse devenir incompatible avec l'intérêt général. Tout comme les technologies, ou les machines : elles ne sont que des prétextes, desdits "Seigneurs", pour essayer de cacher que ce sont leurs intérêts personnels, et non les nombres, ou les machines, qui entre en conflit avec l'Intérêt Général. Aussi, je m'interroge quant à l'étendue de cette erreur de raisonnement, faite dans une bien élaborée langue Française : Sept Chapitres au moins, consacrés à "La gouvernance par les Nombres" ? Sept Chapitres entier, d'erreur, ou à propos d'une erreur ? Je suis cependant tout à fait d'accord avec le constat de la ré-instauration de systèmes féodaux, en France : Oui, sans Loi, la loi du plus fort s'instaure, et l'allégeance devient obligatoire, pour la survie. La révision de tous les droits sociaux, en prétextant les objectifs européens, et la réduction duc oût du travail, comme seul levier de performance des entreprises, n'est qu'une stratégie, pour détruire la Loi, et la remplacer par la Loi du plus fort, et rendre obligatoire l'allégeance discutée. D'ailleurs le maître mot constant n'est-il pas "supprimer totue régulation" ? J'eu voulu l'écrire par e-mail, à Monsieur Supiot, impossible cependant de trouver la moindre adresse email permettant de s'adresser personellement à Monsieur Supiot. Je l'écris donc ici.
C'est très bien réalisé, bravo.
Intellectuellement et idéologiquement séduit comme toujours avec M. Supiot je reste cependant un peu sur ma faim. Maints chapitres et aspects de cet ensemble d'épisodes mériterait de plus longs développements. Mais merci infiniment pour cette nourriture spirituelle à la fois savante et érudite tout en restant accessible.
Cordiales et respectueuses salutations
Brillant! Quel plaisir! La qualité de la langue et la pertinence des analyses, voilà qui est de plus en plus rare! Merci.
OUI ?? IL EST TRÈS. RAR ??
sympathiquement merci beaucoup
Merci pour ces cours excellents
Une analyse de haute voltige et bien évidement que ne fait pas les 1M de vus x) Merci
Merci de rappeler ce retour au Moyen Âge qui correspond à l'évolution démographique de nos pays dits développés. On est passé de l'équilibre haut médiéval à l'équilibre bas actuel après la transition démographique entamée au XVIII° siècle.
A, Moyen. AG. ONT RESPECTÉ LES HANDICAPÉS ET. VOUS ??
@@ikasutic1280 Je respecte les handicapés, d'autant plus que j'ai un fils handicapé. Je ne comprends pas votre remarque.
M.Le Rouméliote. Désolé, mais, je visé une autre personne et pas Vous. Moi, ausi, j'ai une fille Handicapé, depuis 50 ans.. Bon courage à Vous et votre famille. ...
Vous semblez lier l'équilibre bas actuel à la transition démographique. Il me semble que les choix économico-politiques sont plus pertinents en la matière, non ?
Et encore plus merci sur la "crise" grecque et l'humiliation du peuple grec par la troïka. À lire : Conversations entre adultes de Yanis Varoufakis.
Je continue d'écouter, mais ne voit-on pas l'évidence ? Que le règne de la Loi, la Justice, et la gouvernance par l'allégeance, sont incompatibles : les intérêts des dits seigneurs, sont icompatibles avec la Loi, la Justice, et cela se manifeste très rapidement. Ou encore, que l'intérêt des dits "Seigneurs", n'est pas l'intérêt général, et cela se manifeste très rapidement.
En effet, la grande différence entre la Loi, La Justice, et la gouvernance par l'allégeance, et la performance, ainsi que présentée, est que Loa Loi est censée écrire dans le Marbre, l'intérêt Général.
De plus, la notion de performance seule, n'a pas de sens en soi : l'exact même travail pourrait évalué extrêmement performant par une méthode de mesure, et extrêmeent peu performant par une autre, méthode de mesure.
Peut-être même qu'il n'a jamais été néccessaire, d'avoir une quelconque notion de mesure de performance, pour définir l'intérêt général, et l'écrire dans la Loi, depuis des siècles : a-t-on jamais pu concevoir de condamner dans un tribunal une personne coupable de basses performances ?
Certainement pas, c'est évident, une fois dit, et l'on trouve même, en écoutant Yohann Chapoutot, un exemple extrême, de ce que peut donner la performance, lorsqu'elle devient Loi.
cf. l'étude de Chapoutot montrant en quoi le "management" par la performance, est un aspect central, de l'idéologie Nazie, et c. le scandale déclenché par cette analyse de Chapoutot, dans les "écoles de management".
Que cela plaise ou non, aux "Ecoles de Management", le management par la performance, "par les Nombres", est un aspect fondamental, de la doctrine Nazie.
C'est très exactement ce que nous vivons aujourd'hui, tout simplement : Lorsque l'état, lui-même, impose uniformément en son sein même, le management par la perfomance, c'est l'instauration d'un aspect central, de la doctrine Nazie dans l'état, qui se produit.
Et pour ce qui pourrait être une plaisanterie qui vienne à l'esprit du Lecteur, je réponds à l'avance, que vous entendrez Monsieur Chapoutot, vous confirmer, que les résultats en performance des Nazis, en leur sein, étaient catastrophiques, bien au contraire de ce que tous pourraient penser à priori, et selon les apparences.
Si bien que même cette plaisanterie, laisse encore plus profondément à penser.
Je suis curieux d'entendre si ces évidences, émerge de ce discours, que je continue donc d'écouter.
J'ajouterai que la formule "gouvernance par les nombres", est, au mieux, une erreur :
Aucun Nombre, n'a jamais eut, et n'aura jamais, d'intérêt propre, qui puisse devenir incompatible avec l'intérêt général.
Tout comme les technologies, ou les machines : elles ne sont que des prétextes, desdits "Seigneurs", pour essayer de cacher que ce sont leurs intérêts personnels, et non les nombres, ou les machines, qui entre en conflit avec l'Intérêt Général.
Aussi, je m'interroge quant à l'étendue de cette erreur de raisonnement, faite dans une bien élaborée langue Française : Sept Chapitres au moins, consacrés à "La gouvernance par les Nombres" ? Sept Chapitres entier, d'erreur, ou à propos d'une erreur ?
Je suis cependant tout à fait d'accord avec le constat de la ré-instauration de systèmes féodaux, en France : Oui, sans Loi, la loi du plus fort s'instaure, et l'allégeance devient obligatoire, pour la survie.
La révision de tous les droits sociaux, en prétextant les objectifs européens, et la réduction duc oût du travail, comme seul levier de performance des entreprises, n'est qu'une stratégie, pour détruire la Loi, et la remplacer par la Loi du plus fort, et rendre obligatoire l'allégeance discutée.
D'ailleurs le maître mot constant n'est-il pas "supprimer totue régulation" ?
J'eu voulu l'écrire par e-mail, à Monsieur Supiot, impossible cependant de trouver la moindre adresse email permettant de s'adresser personellement à Monsieur Supiot. Je l'écris donc ici.