Le droit de ne pas souffrir au prix d’une sédation profonde et continue ? par Véronique Blanchet

Véronique Blanchet, Médecin douleur et soins palliatifs, Hôpitaux universitaires Est Parisien, Saint-Antoine, AP-HP
Captation de la journée Vulnérabilités décisionnelles en fin de vie, organisée le 2 février à la Mairie du 4ème arrondissement de Paris, à l’occasion de l'anniversaire de la loi créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie .
Retrouvez sur notre chaîne TH-cam toute l'actualité de l'Espace éthique Île-de-France : les colloques, films, rencontres, et entretiens réalisés par les équipes.
Réalisation : Patrice Dubosc
Vous pourrez également retrouver ces vidéos, ainsi que de nombreuses ressources, sur le site de l'Espace éthique Île-de-France : www.espace-ethique.org
Suivez-nous sur les réseaux sociaux :
Facebook : espace.ethique
Twitter : EspaceEthique

[@anneorduna137]

Effectivement, si le traitement anti douleur n'est pas suffisant, pour ôter la souffrance, la seule solution reste la sédation profonde. C'est à cette technique que l'on demande d'avoir accès... même s'il n'y a pas de certitude.
A défaut de l'euthanasie active qui n'est pas autorisée, cela reste la seule solution actuelle..

[@Joanna-rh4wm]

Oui bah il faut la rendre ACTIVE