Quel transmetteur ! Quelle intelligence ! Quelle honnêteté ! Fabrice, continuez à nous parler ; nous avons BESOIN de vous entendre. Surtout, ne vous dites pas que vous parlez trop ; nous sommes nombreux à nous nourrir de vos réflexions, de vos citations très parlantes et qui servent toujours votre propos. Nous avons le sentiment de vous connaître et de NOUS reconnaître. C’est même émouvant. Votre ambition est réalisée ; j’ai relu Céline et Flaubert et, grâce à vous, j’ai compris leur génie.
Quel homme. Je le sens franc, honnête. Même si d'aucuns diront qu'il "joue" quand il parte. C'est un homme intelligent, et quel homme de théâtre !!!!! Il me fascine, j'ai énormément d'admiration pour Monsieur Luchini. Merci à lui !!!!
L'instant, Philippe, où vous reconnaissez votre sentiment de rencontrer avec Fabrice un homme qui existe, est un moment très précieux. C'est de cette humilité dont le monde a besoin et non une course sans fin vers un tout à l'égo dont nous sommes nombreux en France à percevoir les limites sytémiques. Encore merci. Profondément merci.
Merci Philippe Bilger pour ce magnifique entretien qui va au fond des choses. Vous êtes, Philippe, un sublime demandeur et Fabrice, un sublime répondeur. Merci également à vous de défendre la liberté d'expression et la Langue Française.
Longue vie Fabrice, Longue vie Robert, Vous osez dire, vous oser bousculer ces doxas emmerdantes au possible. Vous nous rendez amoureux comme vous de la beauté de la langue française. Merci de vos efforts. Merci Philippe Bilger, ce temps que vous passez à faire ces interview uniques sont des cadeaux formidables. VIVENT vous deux...VIVE INTERNET.
Je rajouterai : il bosse beaucoup et il mérite d'être admiré et même envié, dans le sens, avoir envie de devenir un être comme lui en tant que joueur et même avec sa grandeur d'intelligence. Il ne se moque jamais ; il analyse et tout semble si juste qu'on s'imprime en lui. C'est en tout cas ce que je ressens en l'écoutant. Ses coups de gueule sont polis parce-qu'ils sont là à leur place. Ses rôles sont si bien calculés pour leur donner leur vie, leur âme. Il est unique. Il y a eu Jouvet..... Nous avons Fabrice Luchini.
et je peux ajouter que je ne pense pas qu il existe un autre FL dans un autre pays! c est une chance INOUIe dommage pour les auteurs étrangers, les grand classics dommage aussi pour nous
Luchini qui s'écoute parler sur plus d'une heure. Pour le coup le format s'y prêtait, l'occasion était trop belle pour ne pas poursuivre la psychanalyse publique qui l'aide à rester si génial au fil des années. C'est là tout le truc, Luchini en rajoute, en fait des tonnes et surjoue l'acteur surement trop imbibé de ses grandes idoles du théâtre français, il est tout à fait énervant d'égo et de caricature mais il est impossible de le détester tant il demeure génial, maniant la langue mieux que quiconque. Au delà de l'intellectuel, je vois un homme de cirque, un jongleur ayant inlassablement répété son numéro, qui sait l'adapter à n'importe quel plateau, n'importe quel public, capable de jongler avec des tomates, des roses ou des madeleines. Un peu trop long pour un commentaire TH-cam standard il serait dommage de ne pas en profiter pour saluer l'humour assez prodigieux de subtilité qui vient magnifier le tout et qui par son pouvoir magique vient rassembler un peu tout le monde autour de sa belle cause, pas seulement celle de faire exister Fabrice Luchini en tant que grand passeur de la langue française mais surtout en étant un grand passeur de la langue française.
Faux, il ne s écoute pas parler. Ce solitaire a un besoin irrépressible de partager ce qu il est mais surtout sa passion pour les écrivains géniaux. Nous sommes tous égocentriques et il reconnaîtrait cela volontiers. Il n est cabot que dans certaines émissions mais pas dans cet interview. Il ne se « menage » jamais et j admire sa lucidité sur les autres et sur lui-même.
La vérité sort de la bouche des enfants ; qui disent ce qu'ils voient et sentent, non pollués par les volutes du langage, donc bien loin des calculs et autres artifices d'apparences que chacun affiche pour se rassurer en défendant un rôle idéalisé. Ainsi bien souvent l'incarnation de l'être s'obscurcit avec le temps. Heureusement, alliant lucidité et vieillesse, l'individu peut donner à voir quelques brèches de lumière. Comme dans cet entretien, qui nous montre cette quête vers l'équilibre des deux intervenants. Chacun à sa manière de par son rapport avec le langage. Comme un refuge dans les mots, véhicules intemporels (probablement inutiles et impuissants) d'une pseudo sagesse humaine. Mais quelle splendide manière de passer le temps.
Toute une machine à parole ce Fabrice Luchini! Je me demande bine si c'est plus facile ou plus difficile pour un animateur d'avoir un invité de ce type...
Quand Fabrice Luchini dit Rimbaud, il est un médium entre la folie géniale de l’auteur et notre propre folie que l’on réfute... et qui nous empêche d’accéder totalement au texte. Et pour cela il faut être fou aussi ! Et l’assumer comme il le fait. L’art n’est-il donc pas folie sous une forme ou sous une autre...
il a une compréhension intime des textes qu'il lit. Il est habite par eux. Il parle d'obsessions. Ce n'est pas la lecture que j'en fais. Cequ'il entend intérieurement, il veut qu'on le perçoive nous aussi, public. il veut nous le faire partager.
un interview très décevant ... et fascinant à la fois ... Lucchini se cache en permanence derrière son texte ... usant des ficelles qu'il énnonce, et ainsi lui permettant de ne laisser se dévoiler une vraie nature ! mais donnant à celui qui regarde, un incroyable spectacle, un incroyable espoir d'être à un sommet de la culture ...tout en sachant que nous sommes face à un homme, juste un homme, pas un génie, pas un Rimbaud, pas un Paul Valery, non juste un comédien, un Lucchini ... mais en cela, par effet miroir, le miroir reflète du génie ! le comédien prend le pas sur l'homme ! c'est dommage, mais est ce si dommage que cela ? visiblement, beaucoup de gens préfère ce lustre, cette brillance, à une verité ! et je me demande si moi meme, ce lustre ne me fascine pas aussi ... le passage sur Michel Bouquet et son opinion sur Lucchini, lui meme, témoigne d'une nature d'un homme qui se donne des sensations mais pour l'autre, pour celui qui écoute, et en cela l'homme est généreux , l'homme est amoureux de l'autre .. Lucchini aime non pas Lucchini, mais l'autre, et comme, il est de condition sociale basse, cet amour, il le sait ne sera que trahi un jour ou l'autre par l'insoutenable légèreté de cette bourgeoisie bobo .. bobo ou pas ...bourgeoisie. Enfin, il y a quelques secondes, quelques bribes où, nous avons droit à quelques confidences ... d'un homme à quelques encablures d'une mort inéluctable. celle à 1:00:50 est d'une grande sincérité !!! un admirable passage de vie !!! Je conseillerai celui qui visionne cette vidéo de la regarder jusqu'à la fin, car, Lucchini va se dénuder au cours de l'interview ... et la fin est remarquable. P.S. pour une fois, les coups de marteaux dans une vidéo sont un plus. On y voit combien, Lucchini réussit à en faire abstraction, tout en jouant avec .... il dit c'est drole qu'il y ait du bruit .... d'un défaut, il en fait une qualité !!!! au moins nous sommes face à un grand professionnel .... du texte. Une interview Bilger .. ... sur un mode "Interrogatif" ...
Bateau ivre: Les haleurs sont ceux qui tirent les bateaux, Luchini confond avec les halos, les lueurs. C'est tout un autre sens pour ce poème. A part ça il est bon le cabot ....
Comment expliquer que ce bruit m'a gêné pendant cette interview ? La musicalité de langue interprétée par les 2 intervenants n'a pas perdu de son charme mais ma compréhension en a souffert. Je réécouterai probablement mais je m'y préparerai.
- L'homme est riche. - Il a un boulot qu'il adore. - Il est aimé dans son boulot. - Il est aimé dans sa vie privée. - Il fait une psychanalyse depuis bien longtemps. Cherchons l'intrus en tâchant de deviner pourquoi il va mal, angoisse et dort mal !
Au sujet de la dépression, la solitude, dommage qu'il ne connaisse pas l’œuvre d'un Jiddhu Krishnamurti (Se libérer du connu , La première et dernière liberté, entre autre ...) d'un Stephen Jourdain, d'un Eckhart Tolle (Le pouvoir du moment présent). Autant d'auteur qui relativise grandement efficacité de l' analyse pour un changement de paradigme en jetant un regard directe sur nos conditionnement. Le mot n’étant pas la chose. une libération.
le bon sens aurait préféré reporter cet interview....! quelle patience que celle de Fabrice!!! En tant qu'auditrice je trouve cela insupportable tout ce tintouin !
Ton micro est dans le mauvais sens, tu l'as réglé en cardioïde et tu l'orientes vers toi, c'est quand même dommage, dans la mesure où ce n'est pas toi qu'on veut entendre !
J'apprécie énormément cet homme mais je ne me satisferais jamais de cette soumission simpliste à la notion quasi militaire de : gauche/droite, je préfère les ambidextres.
Luchini face au vide. J’ai cru que P.Bilger, avec son cheveu sur la langue trop mignon, fondateur d’un institut du langage allait parler de langage avec F.Luchini. Je me suis trompé. L’interview est médiocre : à l’image de la grande médiocrité de sa réalisation (bruits dans le couloir, désynchronisation, différence d’image et de son des deux caméras, aucun cadre, son non réglé, bref un gros caca technique) Pauvre P.Bilger : il fait pitié tant il ne parvient pas s’extraire de sa fascination pour le personnage Luchini… Alors après avoir dit 3 fois c’est la dernière question, ah il faut voir l’expression désolé de Luchini à 55’ : drole à en pleurer ! Pauvre spectacle du vide que Luchini, une fois encore, ne peut que maquiller de courtisaneries comme il sait bien faire ! Il est énorme quand il dit vous avez du etre begue ou avoir eu un problème de langage sans parler de votre cheveu sur la langue ! J’ai failli me pisser dessus de rire tellement on ne voit que son art de ne pas y toucher en vous flattant parce qu’il a bien vu que vous étiez de son public de Murray… Ah Robert , Bilger !!! C’est raté tu n’as rien vu, regardez mieux son expression durant vos questions ! Le vide de votre rétention jusqu’à l’orgie vomitive de votre loghorrée infatuée : j’ai eu peur de rencontrer qqun qui existe vous lui dites ! Mais je ne sais pas dans quel monde vous vivez mais ce dit être bien triste… Vous faites pitié dan cet aveu
![La société rêvée d'Elon Musk : quel avenir ? Jean-Marc Jancovici, Philippe Bihouix [EN DIRECT]](http://i.ytimg.com/vi/6HB2WD96ByQ/mqdefault.jpg)
Quel transmetteur ! Quelle intelligence ! Quelle honnêteté ! Fabrice, continuez à nous parler ; nous avons BESOIN de vous entendre. Surtout, ne vous dites pas que vous parlez trop ; nous sommes nombreux à nous nourrir de vos réflexions, de vos citations très parlantes et qui servent toujours votre propos. Nous avons le sentiment de vous connaître et de NOUS reconnaître. C’est même émouvant. Votre ambition est réalisée ; j’ai relu Céline et Flaubert et, grâce à vous, j’ai compris leur génie.
Quel homme. Je le sens franc, honnête. Même si d'aucuns diront qu'il "joue" quand il parte. C'est un homme intelligent, et quel homme de théâtre !!!!! Il me fascine, j'ai énormément d'admiration pour Monsieur Luchini. Merci à lui !!!!
L'instant, Philippe, où vous reconnaissez votre sentiment de rencontrer avec Fabrice un homme qui existe, est un moment très précieux. C'est de cette humilité dont le monde a besoin et non une course sans fin vers un tout à l'égo dont nous sommes nombreux en France à percevoir les limites sytémiques. Encore merci. Profondément merci.
Un régal ! L'intelligence n'a rien à voir avec les études, l'école. Merci pour cette vidéo.
Merci Philippe Bilger pour ce magnifique entretien qui va au fond des choses. Vous êtes, Philippe, un sublime demandeur et Fabrice, un sublime répondeur. Merci également à vous de défendre la liberté d'expression et la Langue Française.
Splendide interview...bravo aux deux intervenants!
Enfin,de bonnes questions posées par un excellent monsieur bilger.
Longue vie Fabrice, Longue vie Robert, Vous osez dire, vous oser bousculer ces doxas emmerdantes au possible. Vous nous rendez amoureux comme vous de la beauté de la langue française. Merci de vos efforts. Merci Philippe Bilger, ce temps que vous passez à faire ces interview uniques sont des cadeaux formidables. VIVENT vous deux...VIVE INTERNET.
Oh oui, d accord avec vous. Quel transmetteur, si subtil, si original, plein d’humilité.
Superbe interview !
Quelle passion de la littérature française !
Superbe entrevue. Merci Messieurs
Bel échange, très humain et intéressant!
Merci pour la mise en ligne.
J'adore qu'elle culture, echange subtil qui nous change de ses interventions televisuelle, plus intimiste, parfait
Fabrice LUCHINI ...pour moi , si j'avais eut ce prof en français, en philo, en psycho...j'aurais adoré l'école!
Toujours aussi intéressant!
phénoménal,Fabriçe Luchini malheureusement il n'a jamais eu aucune röle a sa hauteur au cinéma mais son spectacle le point sur Robert est génial
Je rajouterai : il bosse beaucoup et il mérite d'être admiré et même envié, dans le sens, avoir envie de devenir un être comme lui en tant que joueur et même avec sa grandeur d'intelligence. Il ne se moque jamais ; il analyse et tout semble si juste qu'on s'imprime en lui. C'est en tout cas ce que je ressens en l'écoutant. Ses coups de gueule sont polis parce-qu'ils sont là à leur place. Ses rôles sont si bien calculés pour leur donner leur vie, leur âme. Il est unique. Il y a eu Jouvet..... Nous avons Fabrice Luchini.
et je peux ajouter que je ne pense pas qu il existe un autre FL dans un autre pays! c est une chance INOUIe
dommage pour les auteurs étrangers, les grand classics
dommage aussi pour nous
+Gilles Cannatella - Philippe Bilger n'a rien a lui envier concernant l'éloquence, l'un met ce talent au service du spectacle, l'autre de la justice.
T'inquiète pas il y a des génies partout. Je dirai même qu'il y a plein de Luchini et de Céline en puissance
Luchini qui s'écoute parler sur plus d'une heure. Pour le coup le format s'y prêtait, l'occasion était trop belle pour ne pas poursuivre la psychanalyse publique qui l'aide à rester si génial au fil des années.
C'est là tout le truc, Luchini en rajoute, en fait des tonnes et surjoue l'acteur surement trop imbibé de ses grandes idoles du théâtre français, il est tout à fait énervant d'égo et de caricature mais il est impossible de le détester tant il demeure génial, maniant la langue mieux que quiconque.
Au delà de l'intellectuel, je vois un homme de cirque, un jongleur ayant inlassablement répété son numéro, qui sait l'adapter à n'importe quel plateau, n'importe quel public, capable de jongler avec des tomates, des roses ou des madeleines.
Un peu trop long pour un commentaire TH-cam standard il serait dommage de ne pas en profiter pour saluer l'humour assez prodigieux de subtilité qui vient magnifier le tout et qui par son pouvoir magique vient rassembler un peu tout le monde autour de sa belle cause, pas seulement celle de faire exister Fabrice Luchini en tant que grand passeur de la langue française mais surtout en étant un grand passeur de la langue française.
Faux, il ne s écoute pas parler. Ce solitaire a un besoin irrépressible de partager ce qu il est mais surtout sa passion pour les écrivains géniaux. Nous sommes tous égocentriques et il reconnaîtrait cela volontiers. Il n est cabot que dans certaines émissions mais pas dans cet interview. Il ne se « menage » jamais et j admire sa lucidité sur les autres et sur lui-même.
Rivière aux Rats, le 20 février 2015
Merci ! pour votre partage, j'ai une certaine curiosité pour Luchini...
Merci !
Mille ************
Renaud
je suis totalement d accord !
La vérité sort de la bouche des enfants ; qui disent ce qu'ils voient et sentent, non pollués par les volutes du langage, donc bien loin des calculs et autres artifices d'apparences que chacun affiche pour se rassurer en défendant un rôle idéalisé.
Ainsi bien souvent l'incarnation de l'être s'obscurcit avec le temps.
Heureusement, alliant lucidité et vieillesse, l'individu peut donner à voir quelques brèches de lumière. Comme dans cet entretien, qui nous montre cette quête vers l'équilibre des deux intervenants. Chacun à sa manière de par son rapport avec le langage. Comme un refuge dans les mots, véhicules intemporels (probablement inutiles et impuissants) d'une pseudo sagesse humaine.
Mais quelle splendide manière de passer le temps.
Excellent interview, l'interviewer est lui même un personne de théâtre.
Toute une machine à parole ce Fabrice Luchini!
Je me demande bine si c'est plus facile ou plus difficile pour un animateur d'avoir un invité de ce type...
Luchini pas cabot... ça fait tout autant plaisir que quand il l'est
Quand Fabrice Luchini dit Rimbaud, il est un médium entre la folie géniale de l’auteur et notre propre folie que l’on réfute... et qui nous empêche d’accéder totalement au texte. Et pour cela il faut être fou aussi ! Et l’assumer comme il le fait. L’art n’est-il donc pas folie sous une forme ou sous une autre...
Je vous apprecie monsieur luchini.
Catherine mancini.
quel régal
le son! ça compte aussi!
pas encore vu, mais svp de la HD ! :)
il a une compréhension intime des textes qu'il lit. Il est habite par eux. Il parle d'obsessions. Ce n'est pas la lecture que j'en fais. Cequ'il entend intérieurement, il veut qu'on le perçoive nous aussi, public. il veut nous le faire partager.
Que l on aime les génies est sa seule ambition.
un interview très décevant ... et fascinant à la fois ... Lucchini se cache en permanence derrière son texte ... usant des ficelles qu'il énnonce, et ainsi lui permettant de ne laisser se dévoiler une vraie nature ! mais donnant à celui qui regarde, un incroyable spectacle, un incroyable espoir d'être à un sommet de la culture ...tout en sachant que nous sommes face à un homme, juste un homme, pas un génie, pas un Rimbaud, pas un Paul Valery, non juste un comédien, un Lucchini ...
mais en cela, par effet miroir, le miroir reflète du génie !
le comédien prend le pas sur l'homme ! c'est dommage, mais est ce si dommage que cela ? visiblement, beaucoup de gens préfère ce lustre, cette brillance, à une verité ! et je me demande si moi meme, ce lustre ne me fascine pas aussi ... le passage sur Michel Bouquet et son opinion sur Lucchini, lui meme, témoigne d'une nature d'un homme qui se donne des sensations mais pour l'autre, pour celui qui écoute, et en cela l'homme est généreux , l'homme est amoureux de l'autre .. Lucchini aime non pas Lucchini, mais l'autre, et comme, il est de condition sociale basse, cet amour, il le sait ne sera que trahi un jour ou l'autre par l'insoutenable légèreté de cette bourgeoisie bobo .. bobo ou pas ...bourgeoisie.
Enfin, il y a quelques secondes, quelques bribes où, nous avons droit à quelques confidences ... d'un homme à quelques encablures d'une mort inéluctable. celle à 1:00:50 est d'une grande sincérité !!! un admirable passage de vie !!!
Je conseillerai celui qui visionne cette vidéo de la regarder jusqu'à la fin, car, Lucchini va se dénuder au cours de l'interview ... et la fin est remarquable.
P.S. pour une fois, les coups de marteaux dans une vidéo sont un plus. On y voit combien, Lucchini réussit à en faire abstraction, tout en jouant avec .... il dit c'est drole qu'il y ait du bruit .... d'un défaut, il en fait une qualité !!!! au moins nous sommes face à un grand professionnel .... du texte. Une interview Bilger .. ... sur un mode "Interrogatif" ...
Bateau ivre:
Les haleurs sont ceux qui tirent les bateaux,
Luchini confond avec les halos, les lueurs.
C'est tout un autre sens pour ce poème.
A part ça il est bon le cabot ....
Comment expliquer que ce bruit m'a gêné pendant cette interview ? La musicalité de langue interprétée par les 2 intervenants n'a pas perdu de son charme mais ma compréhension en a souffert. Je réécouterai probablement mais je m'y préparerai.
comment ne pas aimer Luchini quand on aime Barthes et Rimbaud?
Vraiment dommage ce bruit de fond
- L'homme est riche.
- Il a un boulot qu'il adore.
- Il est aimé dans son boulot.
- Il est aimé dans sa vie privée.
- Il fait une psychanalyse depuis bien longtemps.
Cherchons l'intrus en tâchant de deviner pourquoi il va mal, angoisse et dort mal !
Au sujet de la dépression, la solitude, dommage qu'il ne connaisse pas l’œuvre d'un Jiddhu Krishnamurti (Se libérer du connu , La première et dernière liberté, entre autre ...) d'un Stephen Jourdain, d'un Eckhart Tolle (Le pouvoir du moment présent). Autant d'auteur qui relativise grandement efficacité de l' analyse pour un changement de paradigme en jetant un regard directe sur nos conditionnement. Le mot n’étant pas la chose. une libération.
@Robin > Ouh la !
Peut-on véritablement savoir lire quand on écrit aussi pitoyablement mal ?
...
Je l'adore, la critique...juste qu'il raconte tjrs la même chose...d'une autre manière, mais !!!
C'est vrai
J'A-DO-RE !!!!
Soyez certains qu'il n'y a pas *au dessus* de Luchini.
1ère gorgée de café à 06:13
ce type est capable de parler tout seul pendant des heures lol
le bon sens aurait préféré reporter cet interview....!
quelle patience que celle de Fabrice!!! En tant qu'auditrice je trouve cela insupportable tout ce tintouin !
jaeger Lecoultre reversible 14 K Dolls ...la belle parole ramene la merde ,
Ton micro est dans le mauvais sens, tu l'as réglé en cardioïde et tu l'orientes vers toi, c'est quand même dommage, dans la mesure où ce n'est pas toi qu'on veut entendre !
J'apprécie énormément cet homme mais je ne me satisferais jamais de cette soumission simpliste à la notion quasi militaire de : gauche/droite, je préfère les ambidextres.
Luchini face au vide.
J’ai cru que P.Bilger, avec son cheveu sur la langue trop mignon, fondateur d’un institut du langage allait parler de langage avec F.Luchini.
Je me suis trompé.
L’interview est médiocre : à l’image de la grande médiocrité de sa réalisation (bruits dans le couloir, désynchronisation, différence d’image et de son des deux caméras, aucun cadre, son non réglé, bref un gros caca technique)
Pauvre P.Bilger : il fait pitié tant il ne parvient pas s’extraire de sa fascination pour le personnage Luchini…
Alors après avoir dit 3 fois c’est la dernière question, ah il faut voir l’expression désolé de Luchini à 55’ : drole à en pleurer ! Pauvre spectacle du vide que Luchini, une fois encore, ne peut que maquiller de courtisaneries comme il sait bien faire !
Il est énorme quand il dit vous avez du etre begue ou avoir eu un problème de langage sans parler de votre cheveu sur la langue ! J’ai failli me pisser dessus de rire tellement on ne voit que son art de ne pas y toucher en vous flattant parce qu’il a bien vu que vous étiez de son public de Murray…
Ah Robert , Bilger !!! C’est raté tu n’as rien vu, regardez mieux son expression durant vos questions !
Le vide de votre rétention jusqu’à l’orgie vomitive de votre loghorrée infatuée : j’ai eu peur de rencontrer qqun qui existe vous lui dites !
Mais je ne sais pas dans quel monde vous vivez mais ce dit être bien triste… Vous faites pitié dan cet aveu
Ce qui est important est l authenticité de Luchini, pas Bolger.
Mediocre interviewer, désagréable a entendre.