Bravo pour vos vidéos didactiques sur l'IRM faisant preuve d'une excellente pédagogie et qualité.... N'hésitez pas à proposer une playlist sur votre chaines pour proposer un ordre de lecture ;) Merci !
Merci beaucoup. Vous avez quasiment resume un chapitre que nous avons fait en 2h30 en moins de 30 min.j'ai beaucoup apprecier l'analogie avec les deux bonhommes j'ai mieux compris.
Bonjour j'aimerai savoir ce qui se passe sur l'image sur si on choisit un TR court dans le but de pondérer en T1 mais sans dépondérer en T2. merci une fois encore
Bonsoir, bonne question ! Effectivement, un TR court permet de pondérer en T1. Si on ne dépondère pas en T2, cela signifie qu'on pondère en T2, donc avec un TE long.Donc on pondère à la fois en T1 (TR court) et en T2 (TE long) : le résultat est une image qui mélange T1 et T2, donc sans contraste bien déterminé. De plus, comme le TR est court, le signal n'est pas élevé (puisqu'on n'a pas beaucoup laissé repousser en T1) et comme le TE est long aussi, le signal est encore plus faible au moment de la mesure puisque on a beaucoup laissé la décroissance s'effectuer. D'où une très mauvaise image, très bruitée et ayant un mauvais contraste ! A éviter ! Cordialement.
bonjour, super explications et super détaillées. J'ai bien compris le fonctionnement pour l'encephale mais comment cela fonctionne t il pour la prostate? merci
Bonsoir, merci pour le commentaire ! Pour les autres régions anatomiques, le principe est toujours le même : il faut juste voir quelles sont les valeurs de T1 ou T2 des tissus concernés. Court ou long. Ou encore mieux si on dispose des valeurs en ms... Pour la prostate, il me semble que c'est un mélange de tissu conjonctif et de muscle.... Il y aura moins de différences qu'au niveau de l'encéphale. Cordialement.
Merci Please ce que j ai compris : 1// les signaux de relaxation ( transversal et longitudinal) depend de la nature du tissus ( densité de proton : varie d'un tissu à l'autre) et les 2 parametres TR , TE / le choix de l'operateur : 2/// on mesure le contrast entre les tissu ( entre la graisse et le fluide par exemple ) , jaurai un contrat noir , blan ou entre les deux ( tout depend des résultats) 3/ comment detecter une tumeur ou autre dans une partie du tissu? 4/ c'est à dire faire un IRM pour analyser une anomalie dans le tissu on mesure le contrast :comment analyser l'image à partir du contrast Merci beaucoup
Pour 1/ c'est exactement ça. 2/ On mesure en effet le contraste en T1, T2 ou DP entre les tissus en fonction du TR et du TE choisis. 3/ Pour une tumeur ou une autre anomalie, tout dépend de la nature des tissus de cette anomalie. Par exemple un lipome (tumeur graisseuse bénigne) va se comporter comme de la graisse au niveau du contraste. Un kyste (exemple kyste arachnoïdien) va se comporter comme de l'eau. En fonction du signal de la lésion et du tableau clinique du patient, on peut éventuellement avoir une idée du type de lésion. Même si ce n'est pas toujours aussi évident que les 2 exemples que je viens de donner ! Cordialement.
@@promi2043 merci,1///// ce que j ai compris on a les résultats de référence ( merci) pour une comprendre IRM il nous faut ne année ( Merci beaucoup) 2///////please une vidéo sur le codage spatial ( comment remplir la matrice des pixel)... Merci
Merci, c'est très bien et nécessaire mais pourquoi ne pas montrer aussi plus d' images pour ne pas rester que théorique? Pour voir la graisse en blanc on fait des séquences SE pondérées en T1, car les atomes d'hydrogène y sont nombreux et surtout plus liés entre eux que partout ailleurs : le T1 repousse plus vite dans la graisse. Et pour vérifier que c'est bien de la graisse que l'on voit, on réalise, par exemple, une séquence en T1 fat sat (avec saturation de la graisse), qui montre bien la disparition de l'hypersignal. Pour voir l'eau libre (les liquides purs) en blanc (en hypersignal) on fait des séquences SE pondérées en T2, et on vérifie sur le T1 que ces liquides sont bien noirs.
Merci pour vos commentaires constructifs. Je me suis effectivement concentré d'abord sur l'aspect théorique car c'est indispensable pour comprendre. Et je ne voulais pas trop rallonger la vidéo. Mais il n'est pas exclu que j'en refasse une avec des images. En y ajoutant aussi des exemples non seulement en écho de spin mais aussi en écho de gradient, en inversion récupération, en écho de spin rapide... En pondération T1, T2 (ou T2*) mais aussi en densité protonique. Merci pour vos encouragements ! Cordialement.
Bonjour, bonne question ! On peut traduire "pondération" par "principalement dépendant de". Par exemple si on dit "pondération en T1" cela veut donc dire "principalement dépendant du T1" des tissus. En effet, comme vous avez vu dans la vidéo, le contraste n'est jamais "pur". Comme on mesure toujours dans le plan transversal (perpendiculaire à B0), le T2 s'exprime toujours plus ou moins : il s'exprime plus si le TE est long. Donc pour une "pondération" T1, on choisit un TR court pour que le contraste en T1 apparaisse, et un TE court (le plus court sera le mieux) pour que le T2 s'exprime le moins possible. Donc pour que le résultat obtenu "dépende principalement du T1", donc que la séquence soit "pondérée" en T1. Cordialement.
Bonjour, Merci beaucoup pour vos vidéos qui sont d'une excellente qualité, très didactique, vous aidez beaucoup d'étudiants! J'ai toutefois une/des questions, j'ai beaucoup de mal à visualiser comment on "mesure" le T1 en effet on ne peut pas mesurer sur l'axe Mz, donc comment faire une pondération en T1 si celui-ci n'est pas mesurable directement? De plus sur vos schémas je n'ai pas compris le séquencage TR=>TE en effet pour moi le TR contient le TE, Le TE qui est la mesure en elle même et qui dépend exclusivement de T2... J'ai du loupé quelque chose, je vous remercie de votre réponse. Cordialement ! @@promi2043
@@luckystrike7601 Bonjour, merci pour le commentaire ! Questions intéressantes. Pour mesurer le T1 : en effet, on ne peut mesurer que dans le plan transversal, donc sur la courbe en T2. En fait, on mesure toujours dans le cycle "suivant". Je m'explique : dans le 1er cycle, on laisse repousser les tissus en T1. Si on veut une pondération T1 justement, on ne laisse pas trop repousser (TR court) pour que les différences entre tissus à T1 différents s'expriment. Puis, au temps TR, on bascule de nouveau de 90°. Et là, on mesure au temps TE : les différences en T1 qui se seront exprimées durant le premier cycle se retrouvent dans le plan transversal. Si on mesure très rapidement (TE court) (le T2 n'a pas trop le temps de s'exprimer), on mesure donc bien des différences de T1 ! (bien qu'on soit dans le plan transversal). Ce cycle se répète pour remplir chaque ligne du plan de Fourier. On "lit" toujours au cycle suivant. TR et TE : j'ai partiellement répondu précédemment : le TR est le temps laissé aux tissus pour repousser. Le TE est le temps au bout duquel on réceptionne le signal après bascule dans le plan transversal. Quand vous dites que "le TR contient le TE" ce n'est pas faux : par exemple si le TR est de 500 ms et qu'on mesure le signal au bout d'un TE de 20 ms (dans le cycle suivant), cela signifie qu'après la mesure au temps TE, il faut attendre 480 ms, c'est-à-dire la fin de ce nouveau cycle, avant de recommencer. C'est ce "temps mort" qui permet de faire du "multicoupes" (le nombre de coupes possible, c'est environ TR/TE). A chaque cycle, on remplit une ligne du plan de Fourier. A votre disposition pour en reparler. Cordialement.
@@promi2043 Je vous remercie grandement pour votre réponse complète et d'avoir pris le temps de rédiger votre explication, c'est déjà beaucoup plus clair pour moi! Toutefois je me demande quelle est la nature du lien qui uni T1 et T2 car le premier constitue (pour moi) une moyenne de spin sur le plan z et le second une représentation de la synchronisation du mouvement de précession de ces mêmes spins que l'on ne peut mesurer que sur l'axe x,y. Peut être que ma question n'est pas claire, je me demande comment avec ces 2 propriétés qui sont différentes, ne sont pas égales (l'une n'est pas l'inverse de l'autre par exemple) on peut retrouver, en signal T2 la conséquence d'un T1 qui "s'exprime" mieux grâce à un TR court qui induirait un meilleur contraste T1 visible en mesure de T2 ? Et petite question supplémentaire, mais "couper" un signal en pleine relaxation, n'induirait pas au fil des coupes une perte de puissance de signal (car à chaque impulsion on resynchroniserait les precessions de spins ainsi que leurs directions dans des plans différents de l'espace => autre que 90° par rapport à l'antenne pour T2 par exemple) J'espère que ma question est claire et que je n'ai pas fais trop d'erreurs, merci encore pour ces vidéos qui sont très utiles et qui participent à la diffusion de la connaissance.
@@luckystrike7601Bonsoir, désolé j'étais pris par des cours. T1 et T2 sont vraiment indépendants. T1 concerne la repousse de Mz liée au retour des spins sur le niveau de basse énergie (à la fin de l’excitation) donc à l’état d’équilibre. T2 concerne le déphasage des spins donc la décroissance de Mxy. Pas de relation entre les deux. Comme je le disais précédemment, la mesure des différences de T1 des tissus ou de T2 n’est jamais « pure ». Pour mesurer des différences de T2 (donc pondération en T2), il faut que T1 n’intervienne pas. Donc avec un TR long pour que les tissus aient repoussés le plus possible. Puis, toujours dans le cycle suivant, on peut mesurer (après bascule de 90°) les différence en T2 à condition d’utiliser un TE long pour que les différences de T2 s’expriment. Alors avec un TR court (en « coupant » la repousse), on perd effectivement du signal car on ne laisse pas repousser… Mais ce n’est pas grave : c’est le contraste qui importe. Cordialement.
J'ai strictement rien compris, j'ai juste entendu T1 T2 T3 T... T-Long T-court... Le matin quand je me lève je bois du thé sans me poser de question s'il est court ou long 😅
Merci infiniment pour votre vidéo. J’ai fais plusieurs recherches sans comprendre mais c’est votre explication qui m’a fait un hypersignal 😂👍
Merci !!!
Incroyable l’exemple avec la montagne !! J’ai tt compris merci ^^
Merci !!
Vous êtes mon héro monsieur
Merci, c'est sympa !!
Merci beaucoup pour cette super vidéo vous m'aidez grandement dans ma première année de médecine !
Merci, c'est sympa !
incroyable vidéo, super bien expliqué. Permet d'économiser 2h de fac
Merci pour votre commentaire ! C’est sympa !
Bravo pour vos vidéos didactiques sur l'IRM faisant preuve d'une excellente pédagogie et qualité....
N'hésitez pas à proposer une playlist sur votre chaines pour proposer un ordre de lecture ;)
Merci !
Merci, c’est très sympa ! Je vais voir ça. Cordialement.
merci ! je n'avais rien compris et vraiment pas envie de comprendre ce cours mais avec cette vidéo je retrouve l'envie!! :)
Ah super que ça vous aide !! Merci !
Vous me sauvez, merci beaucoup c'était très clair !!!
Merci, c'est sympa !
Ça ma beaucoup aidé pour comprendre mon cours Bonne continuation. Cordialement
Merci, c'est sympa !
cette vidéo frôle la perfection merci
Merci !!!
Vidéo incroyable ! Merci Monsieur 🎉
Merci !!
Merci infiniment vraiment ça résume tout❤
Merci !!
Merci beaucoup. Vous avez quasiment resume un chapitre que nous avons fait en 2h30 en moins de 30 min.j'ai beaucoup apprecier l'analogie avec les deux bonhommes j'ai mieux compris.
Merci !!!
Merci infiniment votre vidéo m'a beaucoup aidé
Merci, c'est sympa !
Très clair et pédagogique! merci pour cette video!
Merci, c'est sympa !
Merci vous me sauvez surement mon semestre
Merci !!
Merci le sang
Bonjour
j'aimerai savoir ce qui se passe sur l'image sur si on choisit un TR court dans le but de pondérer en T1 mais sans dépondérer en T2. merci une fois encore
Bonsoir, bonne question ! Effectivement, un TR court permet de pondérer en T1. Si on ne dépondère pas en T2, cela signifie qu'on pondère en T2, donc avec un TE long.Donc on pondère à la fois en T1 (TR court) et en T2 (TE long) : le résultat est une image qui mélange T1 et T2, donc sans contraste bien déterminé. De plus, comme le TR est court, le signal n'est pas élevé (puisqu'on n'a pas beaucoup laissé repousser en T1) et comme le TE est long aussi, le signal est encore plus faible au moment de la mesure puisque on a beaucoup laissé la décroissance s'effectuer. D'où une très mauvaise image, très bruitée et ayant un mauvais contraste ! A éviter ! Cordialement.
@@promi2043 je comprend, merci beaucoup j'espère qu'il y'aura d'autres vidéos sur le sujet.
bonjour, super explications et super détaillées. J'ai bien compris le fonctionnement pour l'encephale mais comment cela fonctionne t il pour la prostate? merci
Bonsoir, merci pour le commentaire ! Pour les autres régions anatomiques, le principe est toujours le même : il faut juste voir quelles sont les valeurs de T1 ou T2 des tissus concernés. Court ou long. Ou encore mieux si on dispose des valeurs en ms... Pour la prostate, il me semble que c'est un mélange de tissu conjonctif et de muscle.... Il y aura moins de différences qu'au niveau de l'encéphale. Cordialement.
merci beaucoup
Merci !!
Merci
Please ce que j ai compris : 1// les signaux de relaxation ( transversal et longitudinal) depend de la nature du tissus ( densité de proton : varie d'un tissu à l'autre) et les 2 parametres TR , TE / le choix de l'operateur :
2/// on mesure le contrast entre les tissu ( entre la graisse et le fluide par exemple ) , jaurai un contrat noir , blan ou entre les deux ( tout depend des résultats)
3/ comment detecter une tumeur ou autre dans une partie du tissu?
4/ c'est à dire faire un IRM pour analyser une anomalie dans le tissu
on mesure le contrast :comment analyser l'image à partir du contrast
Merci beaucoup
Pour 1/ c'est exactement ça. 2/ On mesure en effet le contraste en T1, T2 ou DP entre les tissus en fonction du TR et du TE choisis. 3/ Pour une tumeur ou une autre anomalie, tout dépend de la nature des tissus de cette anomalie. Par exemple un lipome (tumeur graisseuse bénigne) va se comporter comme de la graisse au niveau du contraste. Un kyste (exemple kyste arachnoïdien) va se comporter comme de l'eau. En fonction du signal de la lésion et du tableau clinique du patient, on peut éventuellement avoir une idée du type de lésion. Même si ce n'est pas toujours aussi évident que les 2 exemples que je viens de donner ! Cordialement.
@@promi2043 merci,1///// ce que j ai compris on a les résultats de référence ( merci)
pour une comprendre IRM il nous faut ne année ( Merci beaucoup)
2///////please une vidéo sur le codage spatial ( comment remplir la matrice des pixel)...
Merci
@@amianifineug1353 Merci pour vos commentaires ! Oui, le codage spatial viendra en vidéo ! J'y travaille. Cordialement.
super vidéo!
Merci !
J’ai jamais autant aimé un homme de ma vie
Merci !!!
Merci
Merci !
Merci, c'est très bien et nécessaire mais pourquoi ne pas montrer aussi plus d' images pour ne pas rester que théorique? Pour voir la graisse en blanc on fait des séquences SE pondérées en T1, car les atomes d'hydrogène y sont nombreux et surtout plus liés entre eux que partout ailleurs : le T1 repousse plus vite dans la graisse. Et pour vérifier que c'est bien de la graisse que l'on voit, on réalise, par exemple, une séquence en T1 fat sat (avec saturation de la graisse), qui montre bien la disparition de l'hypersignal. Pour voir l'eau libre (les liquides purs) en blanc (en hypersignal) on fait des séquences SE pondérées en T2, et on vérifie sur le T1 que ces liquides sont bien noirs.
Merci pour vos commentaires constructifs. Je me suis effectivement concentré d'abord sur l'aspect théorique car c'est indispensable pour comprendre. Et je ne voulais pas trop rallonger la vidéo. Mais il n'est pas exclu que j'en refasse une avec des images. En y ajoutant aussi des exemples non seulement en écho de spin mais aussi en écho de gradient, en inversion récupération, en écho de spin rapide... En pondération T1, T2 (ou T2*) mais aussi en densité protonique. Merci pour vos encouragements ! Cordialement.
Bonjour, que veut dire Pondération
Bonjour, bonne question ! On peut traduire "pondération" par "principalement dépendant de". Par exemple si on dit "pondération en T1" cela veut donc dire "principalement dépendant du T1" des tissus. En effet, comme vous avez vu dans la vidéo, le contraste n'est jamais "pur". Comme on mesure toujours dans le plan transversal (perpendiculaire à B0), le T2 s'exprime toujours plus ou moins : il s'exprime plus si le TE est long. Donc pour une "pondération" T1, on choisit un TR court pour que le contraste en T1 apparaisse, et un TE court (le plus court sera le mieux) pour que le T2 s'exprime le moins possible. Donc pour que le résultat obtenu "dépende principalement du T1", donc que la séquence soit "pondérée" en T1. Cordialement.
Bonjour, Merci beaucoup pour vos vidéos qui sont d'une excellente qualité, très didactique, vous aidez beaucoup d'étudiants! J'ai toutefois une/des questions, j'ai beaucoup de mal à visualiser comment on "mesure" le T1 en effet on ne peut pas mesurer sur l'axe Mz, donc comment faire une pondération en T1 si celui-ci n'est pas mesurable directement? De plus sur vos schémas je n'ai pas compris le séquencage TR=>TE en effet pour moi le TR contient le TE, Le TE qui est la mesure en elle même et qui dépend exclusivement de T2... J'ai du loupé quelque chose, je vous remercie de votre réponse. Cordialement ! @@promi2043
@@luckystrike7601 Bonjour, merci pour le commentaire ! Questions intéressantes.
Pour mesurer le T1 :
en effet, on ne peut mesurer que dans le plan transversal, donc sur la courbe en T2. En fait, on mesure toujours dans le cycle "suivant". Je m'explique : dans le 1er cycle, on laisse repousser les tissus en T1. Si on veut une pondération T1 justement, on ne laisse pas trop repousser (TR court) pour que les différences entre tissus à T1 différents s'expriment. Puis, au temps TR, on bascule de nouveau de 90°. Et là, on mesure au temps TE : les différences en T1 qui se seront exprimées durant le premier cycle se retrouvent dans le plan transversal. Si on mesure très rapidement (TE court) (le T2 n'a pas trop le temps de s'exprimer), on mesure donc bien des différences de T1 ! (bien qu'on soit dans le plan transversal).
Ce cycle se répète pour remplir chaque ligne du plan de Fourier. On "lit" toujours au cycle suivant.
TR et TE : j'ai partiellement répondu précédemment : le TR est le temps laissé aux tissus pour repousser. Le TE est le temps au bout duquel on réceptionne le signal après bascule dans le plan transversal. Quand vous dites que "le TR contient le TE" ce n'est pas faux : par exemple si le TR est de 500 ms et qu'on mesure le signal au bout d'un TE de 20 ms (dans le cycle suivant), cela signifie qu'après la mesure au temps TE, il faut attendre 480 ms, c'est-à-dire la fin de ce nouveau cycle, avant de recommencer. C'est ce "temps mort" qui permet de faire du "multicoupes" (le nombre de coupes possible, c'est environ TR/TE). A chaque cycle, on remplit une ligne du plan de Fourier.
A votre disposition pour en reparler. Cordialement.
@@promi2043 Je vous remercie grandement pour votre réponse complète et d'avoir pris le temps de rédiger votre explication, c'est déjà beaucoup plus clair pour moi! Toutefois je me demande quelle est la nature du lien qui uni T1 et T2 car le premier constitue (pour moi) une moyenne de spin sur le plan z et le second une représentation de la synchronisation du mouvement de précession de ces mêmes spins que l'on ne peut mesurer que sur l'axe x,y. Peut être que ma question n'est pas claire, je me demande comment avec ces 2 propriétés qui sont différentes, ne sont pas égales (l'une n'est pas l'inverse de l'autre par exemple) on peut retrouver, en signal T2 la conséquence d'un T1 qui "s'exprime" mieux grâce à un TR court qui induirait un meilleur contraste T1 visible en mesure de T2 ? Et petite question supplémentaire, mais "couper" un signal en pleine relaxation, n'induirait pas au fil des coupes une perte de puissance de signal (car à chaque impulsion on resynchroniserait les precessions de spins ainsi que leurs directions dans des plans différents de l'espace => autre que 90° par rapport à l'antenne pour T2 par exemple)
J'espère que ma question est claire et que je n'ai pas fais trop d'erreurs, merci encore pour ces vidéos qui sont très utiles et qui participent à la diffusion de la connaissance.
@@luckystrike7601Bonsoir, désolé j'étais pris par des cours.
T1 et T2 sont vraiment indépendants.
T1 concerne la repousse de Mz liée au retour des spins sur le niveau de basse énergie (à la fin de l’excitation) donc à l’état d’équilibre.
T2 concerne le déphasage des spins donc la décroissance de Mxy.
Pas de relation entre les deux.
Comme je le disais précédemment, la mesure des différences de T1 des tissus ou de T2 n’est jamais « pure ».
Pour mesurer des différences de T2 (donc pondération en T2), il faut que T1 n’intervienne pas. Donc avec un TR long pour que les tissus aient repoussés le plus possible. Puis, toujours dans le cycle suivant, on peut mesurer (après bascule de 90°) les différence en T2 à condition d’utiliser un TE long pour que les différences de T2 s’expriment.
Alors avec un TR court (en « coupant » la repousse), on perd effectivement du signal car on ne laisse pas repousser… Mais ce n’est pas grave : c’est le contraste qui importe.
Cordialement.
merci les reuf mais à 0:40’ ???????¿
Bonsoir, comment puis-je vous aider ?
madame قلنا MF تكون dans la périphérie كيفاه تكون labiles يعني ف mitose
?
Bonjour, que voulez-vous dire ?
Bonjour, pourriez vous faire une vidéo sur le codage spatiale.
Je suis en dernière année de DTS IMRT et vos vidéos m'aide beaucoup.
Bonjour, merci pour vos encouragements ! J'ai un projet sur ce sujet et je ferai cela dès que possible... Cordialement.
J'ai strictement rien compris, j'ai juste entendu T1 T2 T3 T... T-Long T-court... Le matin quand je me lève je bois du thé sans me poser de question s'il est court ou long 😅
Euh, désolé ! L'IRM c'est compliqué !