Pourquoi certaines notes vont-elles ensemble ? Comprendre la musique
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- เผยแพร่เมื่อ 8 ม.ค. 2022
- Tout le monde connait les notes d'une gamme, telles que Do Ré Mi Fa Sol La Si... mais au fait pourquoi avons-nous choisi celles-là justement ? Après tout il y a tellement de notes différentes, pourquoi est-ce que celles -là semblent bien fonctionner ensemble ?
J'ai enfin compris grâce à la visualisation des harmoniques sur les octaves supérieures. J'aime comprendre la musique. Merci !
Excellent !
Merci pour ces explications, une démarche plus compréhensible de l'harmonie que de juste jouer comme un exécutant ! Jean
Votre explication est une révélation. C'était comme si tout ce que je ressens faisais sens. Pourquoi 7 notes et pas 8 ou 5 ? Pourquoi certaines choses vont ensembles. Merci merci merci
Merci pour le commentaire sympa. Ce qui est sympa aussi, c'est qu'à partir de ce concept très simple, la suite de l'explication des "règles" de la musique tonale occidentale devient vraiment beaucoup plus simple !
Merci beaucoup pour cette approche de l'harmonie par la résonnance de la dominante. Tres revelateur pour moi.
Avec plaisir 🙂
Merci pour cette explication sur l'origine de la gamme diatonique majeure !
Elle introduit sans le nommer le concept de "dominante". Je n'avais jamais pensé à ce petit "artifice" allant chercher la série harmonique de la sous-dominante pour compléter la gamme.
NB c'est la culture dominante, justement, qui a établi la prédominance de cette gamme, mais remarquons que d'autres cultures musicales sont également basées sur les séries harmoniques (probablement intuitivement), en ayant pris d'autres chemins.
Les gammes orientales notamment, reposent sur des harmoniques supérieures qui, comme les animateurs de cette chaine le savent, sont de moins en moins "tempérées", et ainsi sonnent fausses à nos oreilles - conditionnées par le tempérament égal.
Plus proche de nous, dans la culture jazz s'est développé le concept "lydien dominant", basé sur la même série harmonique, mais dans ses échelons supérieurs*, donnant une gamme à sept tons avec un quatrième degré haussé et une septième mineure, ce qui l'apparente à la gamme connue "chez nous" sous l'appellation mineur mélodique ascendant. (Pardon pour l'aspect ésotérique, qui gagnerait à être débroussaillé par vos spécialistes pour le bien de vos élèves et abonnés).
Bien à vous.
PS * pour do : do-do-sol-do-mi-SIb-do-ré-mi-fa#-sol- ... (la-sib-si etc, devenant de plus en plus "méconnaissables" à mesure qu'on multiplie les fréquences...
Merci Alain d'avoir pris le temps de contribuer.
Il est bien sûr normal de trouver qu'il y a en vérité bien plus de relations entre les notes que celles qui composent la gamme majeure.
Le truc fascinant quand même c'est de se rendre compte que les racines de l'organisation des sons se trouve dans cette gamme, qui sera universellement reconnue n'import où dans le monde !
@@lachainedelecoledemusique8311
Bonjour.
Je ne partage pas votre avis sur la supposée universalité de cette gamme.
> Reconnue (et pratiquée) n'importe où dans le monde, certes, mais davantage en raison de l'hégémonie des productions culturelles occidentales que pour son caractère "naturel".
Apprenez qu'il est même des résistances à cette conquête culturelle, notamment dans le monde des "maqams" et des musiques turco-arabes.
Un maître de Oud m'a un jour catégoriquement enjoint de couper la radio-cassette du véhicule dont j'étais le chauffeur, l'amenant à son lieu de concert. J'apprenais ainsi que certains musiciens orientaux fuient les modes tempérés comme la peste, pour ne pas contaminer leur oreille et son sens des maqams (les fameux modes à quarts de tons, ou pour être plus exact, à "micro-tonalités").
Comme je le mentionnais, d'autres développements des suites harmoniques existent, qu'ils appartiennent ou non à la "tradition musicale européenne". Connaissez vous la musique éthiopienne ? Une excellente collection de disques du nom de "les Éthiopiques" permet de la découvrir. Beaucoup de bluettes pop, mais également une tradition ancestrale échappant au "soft power" ayant accompagné la colonisation de ces derniers siècles. (Dont certains modes pentatoniques, même interprétés au tempérament égal, sont d'une "puissance émotionnelle" extraordinaire. Avis que je partage avec les musiciens de groupes comme Arat Kilo, AddisAbabaBand, Black Flower et bien d'autres, appartenant à un courant dénommé "EthioJazz" - et variations).
Bàv.
PS une video qui va vous interpeler je pense (si vous ne connaissez pas) :
th-cam.com/video/XdqSYgeOuVc/w-d-xo.html
(en particulier à partir de 3'16" ; je reconnais que ceci ajoute de l'eau à votre moulin)
Encore une petite nuance ; sur le fondement harmonique de la composition des gammes. On voit ici que les possibilités sont infinies...
th-cam.com/video/vC9Qh709gas/w-d-xo.html
Parfait ❤
On a l’impression que c’est de l’illusion sonore tellement c’est clair lorsque tu fais sonner les notes qui ressortent de la fondamentale
Ce n'est pourtant pas une illusion ! 😄
Et le plus marrant c'est qu'une fois qu'on a pu l'entendre on ne peut plus ne plus l'entendre. Du coup on se rend compte que c'était toujours présent, il suffisait d'y prêter attention !
bonjour , merci , est ce que c'est avec ce paramètre que les musiques sont elles crées ? ou c' est une façon parmi d' autres ?
Je dirais seulement que c'est avec cette "loi" que la majorité des mélodies sont structurées, mais comme la musique est un language très complexe, on pourra bien sûr trouver d'autres façons de structurer ce qu'on raconte en musique.
Ok mais cette harmonie dépend des fréquences du timbre de chaque instrument donc ça marche ici que pour le piano, or ces harmonies existent bien avant le piano
Très intéressant... Dommage que les explications soient ponctuées de heuuuuu :/
Heuuuuu, ben, heuu...... chui désolé.... mais heuuuuu, chui content que heuuuu.... ça puisse heuuuuuu.... servir à quelque chose 😉 🙂
c'est vraiment très mal expliqué ...