Traduction mélodique de : Anidha tedjam mmi (Où avez-vous laissé mon fils) Ô compagnons, à trois Vous qui êtes là, m'entourez Je vois la mort, elle est là Je la vois et elle me voit Portez la nouvelle à ma mère Qui arrivera lui dira Dites-lui : Il n'a pas souffert Qu'elle surmonte le deuil de moi Si je lui manque, il y aura Mon fils qu'elle regardera A vous de la consoler Avant de partir, jurez-moi J'ai fait un cauchemar, cette nuit Des morts qui m'ont visitée Un pigeon que je tenais C'est des mains qu'ils me l'ont pris La gargoulette m'est tombée Des mains, avant de marcher Son eau, la terre, arrosant Dépitée, en la cassant Toujours, en rêve, voyant Celui que, le plus, je chéris Il m'a dit : C'est ça , la vie Tout ce que tu tiens le perdant Voilà quelqu'un arrivant Ce rêve-là ne me plaisant Je te demande, s'il te plaît Mon fils, où l'as-tu laissé ? Du travail, usine-logement La lumière ne la voyant Longtemps, même pas un salut Je ne l'ai vu, il ne m'a vu J’ai entendu, il n’a rien Par son travail, affairé Notre occupation nous tient Aucun ne voit son copain C’est cela, gagner son pain Chenus, de pénibilité Toujours plus, cette vie Elle fait de nous son envie Deux amis vont arriver Ils l’ont peut-être rencontré Il leur a peut-être parlé Tu trouveras la vérité Tout ce qu’il aurait affirmé Eux, te le rapporteraient Inutile cette crainte, ainsi Ton fils n’a rien, lui aussi A une française, marié Fondant un nouveau foyer De la vie, bien profiter Avoir la prospérité La Kabyle est oubliée Et nos fêtes abandonnées Pour lui, c’est comme s’il renaît Heureux, la route est tracée Il anéantit, il sait Les aînés et le passé La maison non édifiée Enlève-le de ton cœur, va Mer qui veut l’emportera L’amer ne devient sucré Assieds-toi, ô ma chère mère Entière est la vérité Je vais dire des mots amers J'ai vu ce qui s'est passé Tu te rappelles le laboureur Aux champs versant sa sueur C'est la terre qui l'a élevé Qui, maintenant, l'a mangé De tous les morts, te souvenant Vivants, triomphant du temps En un seul instant, partis Chacun d'eux perdant la vie Tu te rappelles ceux qui frappaient Éternelle leur force, croyant Quand ils tombèrent, t'en souvenant Chacun eut sa destinée Tu te rappelles les murs tenant La lumière, ils l’arrêtaient Tu étais là, ils tombèrent La voie, ils la libérèrent Montre-moi qui va rester Comme une bougie, nous brûlons Éteints, nous disparaissons Et c'est l'obscurité La richesse, quel intérêt La vérité, on la voit Moi, je te dis ce qu'il y a Le bon Dieu sait ce qu'Il fait Ton fils, par le temps, trompé Et sa trace, on la suivra J'ai promis de te dire ça Peu avant sa mort. Voilà. N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Quand j'entends a cette chanson ça me rappelle les années 85 jusqu'à 89
Ça me fait rappeler à mon père
Allah y rhamo 🙏🏻
très belle chanson sur les émigrés qui ont oublié leurs familles leurs parents et leurs enfants , grand bravo a notre grand poète
Très belle musique
Traduction mélodique de : Anidha tedjam mmi (Où avez-vous laissé mon fils)
Ô compagnons, à trois
Vous qui êtes là, m'entourez
Je vois la mort, elle est là
Je la vois et elle me voit
Portez la nouvelle à ma mère
Qui arrivera lui dira
Dites-lui : Il n'a pas souffert
Qu'elle surmonte le deuil de moi
Si je lui manque, il y aura
Mon fils qu'elle regardera
A vous de la consoler
Avant de partir, jurez-moi
J'ai fait un cauchemar, cette nuit
Des morts qui m'ont visitée
Un pigeon que je tenais
C'est des mains qu'ils me l'ont pris
La gargoulette m'est tombée
Des mains, avant de marcher
Son eau, la terre, arrosant
Dépitée, en la cassant
Toujours, en rêve, voyant
Celui que, le plus, je chéris
Il m'a dit : C'est ça , la vie
Tout ce que tu tiens le perdant
Voilà quelqu'un arrivant
Ce rêve-là ne me plaisant
Je te demande, s'il te plaît
Mon fils, où l'as-tu laissé ?
Du travail, usine-logement
La lumière ne la voyant
Longtemps, même pas un salut
Je ne l'ai vu, il ne m'a vu
J’ai entendu, il n’a rien
Par son travail, affairé
Notre occupation nous tient
Aucun ne voit son copain
C’est cela, gagner son pain
Chenus, de pénibilité
Toujours plus, cette vie
Elle fait de nous son envie
Deux amis vont arriver
Ils l’ont peut-être rencontré
Il leur a peut-être parlé
Tu trouveras la vérité
Tout ce qu’il aurait affirmé
Eux, te le rapporteraient
Inutile cette crainte, ainsi
Ton fils n’a rien, lui aussi
A une française, marié
Fondant un nouveau foyer
De la vie, bien profiter
Avoir la prospérité
La Kabyle est oubliée
Et nos fêtes abandonnées
Pour lui, c’est comme s’il renaît
Heureux, la route est tracée
Il anéantit, il sait
Les aînés et le passé
La maison non édifiée
Enlève-le de ton cœur, va
Mer qui veut l’emportera
L’amer ne devient sucré
Assieds-toi, ô ma chère mère
Entière est la vérité
Je vais dire des mots amers
J'ai vu ce qui s'est passé
Tu te rappelles le laboureur
Aux champs versant sa sueur
C'est la terre qui l'a élevé
Qui, maintenant, l'a mangé
De tous les morts, te souvenant
Vivants, triomphant du temps
En un seul instant, partis
Chacun d'eux perdant la vie
Tu te rappelles ceux qui frappaient
Éternelle leur force, croyant
Quand ils tombèrent, t'en souvenant
Chacun eut sa destinée
Tu te rappelles les murs tenant
La lumière, ils l’arrêtaient
Tu étais là, ils tombèrent
La voie, ils la libérèrent
Montre-moi qui va rester
Comme une bougie, nous brûlons
Éteints, nous disparaissons
Et c'est l'obscurité
La richesse, quel intérêt
La vérité, on la voit
Moi, je te dis ce qu'il y a
Le bon Dieu sait ce qu'Il fait
Ton fils, par le temps, trompé
Et sa trace, on la suivra
J'ai promis de te dire ça
Peu avant sa mort. Voilà.
N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
vous appelez ça un clip c des photos collées les unes avec les autres
Vous appelez ça des photos collées les unes avec les autres!!!