Non à tous les soi-disant penseurs. Malgré qu'ils en aient; qu'ils cessent d'en faire accroire. C'est l'argent qui mène le monde; et les penseurs ne sont qu'à la solde du Capital. Kepel et toutes gens du même acabit sont à la solde.
Je m'inscrit en faux, l'économie mène le monde. Croire le crontraire c'est du bla bla de l'égo. Croire le contraire c'est baigné dans une mer de naiveté.
En attaquant Israël, le Hamas se prive de milliards de dollars en provenance d'Israël. Il doit sûrement recevoir des sommes plus importante d'autres provenances. J'ai des doutes sur la provenance. Du Québec
Il est essentiel de bien connaitre les tenants et les aboutissants d'un problème éminemment complexe avec une dimension territoriale et cultuelle étroitement imbriquées. Le nier est faire de preuve de peu de discernement, pis de cécité. Le nationalisme religieux est un mauvais nationalisme. L'islam politique, le judaïsme politique, l'absence de séparation entre le religieux et le politique sont des facteurs de guerre. L'islamisation de la cause palestinienne tue tout espoir de paix. Il y a omission d'une information importante dans la définition du sionisme donnée. Le sionisme n'est pas uniquement un mouvement dédié à l'auto-détermination du peuple juif en l'État d'Israël mais un mouvement dédié à l'auto-détermination du peuple juif dans l'optique de la création d'un État d'Israël selon les frontières de la Terre de Canaan. Ainsi, la question des frontières, au sein desquelles la capacité d'auto-détermination pourrait s'exercer, ne peut être repoussée par un "Bref" puisqu' elle est au cœur de ce mouvement politique. Ainsi lorsqu’on pose la question " Le sionisme ne veut donc pas dire la négation du droit à l'auto-détermination du peuple palestinien ?" La réponse de ne peut pas être "Absolument pas" puisque la question de l'auto-détermination ne peut se comprendre que par la définition d'une région administrative au sein de laquelle ces deux auto-déterminations pourraient s'appliquer. La connaissance est la matrice d'une analyse digne de ce nom. Le rôle de la confrérie des Frères musulmans, créée en 1928 en Egypte, dans la construction de l'islamisme en général et de son aile terroriste en particulier. En examinant les parcours biographiques de quelques personnages tels que Hassan al-Banna, le fondateur des Frères musulmans, Haj Amin al-Husseini, le Grand Mufti de Jérusalem, Cheikh Ahmed Yassine, autorité religieuse du Hamas, Oussama Ben Laden, mais aussi le leader de l'OLP Yasser Arafat, il montre la source d'inspiration qu'a constitué la rhétorique des Frères musulmans auprès d'une frange significative de l'islam. Surtout, il étaye l'idée que la « haine des Juifs » est bien antérieure à la création de l'État d'Israël, qu'elle est inhérente au fonds idéologique de la confrérie dès ses débuts. À cet égard, les connexions avec l'Allemagne nazie ne sont pas les aspects les moins troublants de cette histoire - même si c'est bien le Grand Mufti de Jérusalem qui détient la palme de la parfaite entente avec le régime nazi. On se demande pourquoi, en des temps où l'on pourrait s'affranchir de l'obscurantisme, une religion peut susciter un tel extrémisme, car quoi qu'on puisse en dire, il y a bien une spécificité de l'islam radical face aux autres intégrismes religieux. Comment, au nom d'une religion, des individus peuvent-ils choisir de tuer des innocents en se faisant exploser eux-mêmes ? Comment peuvent-ils répandre un slogan aussi effrayant que « vous aimez la vie, nous aimons la mort » ? N'est-ce pas le coeur de l'islam qu'il convient d'interroger ? N'y a-t-il pas dans la source même de cette religion, le Coran et l'éclosion guerrière de l'islam au VIIe siècle, la meilleure justification de l'extrémisme religieux et sa forme si singulière qu'est le djihad. Les successeurs d'Hassan al-Banna ne peuvent-ils pas se contenter de reprendre quantité de passages du Coran pour justifier leur délire de haine : « Tuez-les partout où vous les trouverez, et chassez-les d'où ils vous auront chassés » (2, 187), « Je punirai les infidèles d'un châtiment cruel dans ce monde et dans l'autre. Ils ne trouveront nulle part de secours » (3, 49), « Combattez-les, afin que Dieu les châtie par vos mains et les couvre d'opprobre » (9, 14), etc. ? Ayons le courage de reconnaître la responsabilité de l'islam lui-même dans l'islamisme, à ceux qui adhèrent plutôt à la conception d'un « islam modéré » face à un « islam radical ». Un texte dit incréé est peu ouvert à l'exégèse et à l'herméneutique. Les ressorts du terrorisme islamique, et la crainte (ou l'aveuglement) des élites de l'Occident qui refusent d'appréhender ce terrorisme pour ce qu'il est, ce qui conduit à des attitudes de compromis et de lâcheté, qui ne peuvent qu'encourager les extrémistes islamistes et le terrorisme. L'influence du national-socialisme dans la renaissance d'un antisémitisme islamique virulent est bien expliquée dans cette idéologie nihiliste. Que l'antisémitisme et plus généralement le refus de l'Autre par l'islam alimente dramatiquement les folies meurtrières des islamistes est mis en évidence. Est aussi bien expliqué comment la "culpabilité narcissique" (Sibony), si ce n'est aussi la peur de froisser les musulmans, empêche l'Occident d'apporter la résistance adéquate à ces menaces, car la moindre concession à un fanatique ne fait que lui montrer une faiblesse, et donc exacerber ses passions. Parmi les couardises et renoncements, celles de Jacques Chirac sont indéniables.. Mettre en exergue les racines de l'idéologie islamique, qui viennent de textes qui ont presque 1400 ans et qui, considérés comme intangibles par les musulmans, sont à la base de développements ayant conduit aujourd'hui à des exacerbations presque inimaginables, dont le principal résultat est double: haine d’Israël, des Etats Unis et de l'Occident en général d'une part (car cette civilisation occidentale construit ses lois et n'applique pas la charia), et maintien de l'essentiel du monde musulman dans la pauvreté, l'ignorance et le dénuement intellectuel de l'autre. HItler lui-même et Heinrich Himmler se sont entichés du grand mufti de Jérusalem Al-Husseini et l'on utilisé pour construire une formidable propagande anti-juive autant anti-britannique et d'une manière générale hostile à tous les intérêts des alliées occidentaux mais aussi de l'URSS pendant la seconde guerre mondiale est assez répugnante, avec des slogans d'une violence formidable comme le fameux "tuez les juifs avant qu'ils ne vous tuent". Le jihad n'est pas tout l'islam, mais ce moteur du fondamentalisme islamique violent gagne du terrain sur l'ensemble du globe, en Syrie et en Irak bien sûr mais aussi au Nigeria, en Somalie, Tunisie, en Lybie et comme on l’a vu récemment à Gaza et dans le sud du Liban.. A ceux qui pensent que l'islamisme se nourrit de la tragédie du peuple palestinien, cette assertion est contredite par l'histoire de l'islamisme radical, dont la rhétorique violemment antijuive a précédé la création de l'Etat hébreu. Le Grand Mufti de Jérusalem, Haj Amin al-Husseini, ami de Hitler et idéologue islamo-nationaliste ayant inspiré nombre de courants radicaux au Proche-Orient, a dès l'origine fait de l'antisémitisme la pierre angulaire de son édifice religieux et intellectuel. Son influence a croisé celle des Frères musulmans, dont le fondateur, Hassan al-Banna, a placé le jihad au coeur de sa vision politique d'un islam conquérant. Aujourd'hui, leurs idées sont plus vivantes que jamais. La judéophobie djihadiste n'est pas une réaction au sionisme ou à l'existence de l'Etat d'Israël. Pour l'islamiste radical, tout ce qui est juif est mal, et tout ce qui est mal est juif. Cette conviction profonde est à l’origine de la destruction des tours du World Trade Center de New York, la tuerie de l’hyper-cacher de Paris et dans d’autres actes odieux. En mettant en évidence l'impact du nazisme sur l'islamisme radical, ce livre aide à mieux comprendre la nature des enjeux auxquels nous devons faire face. La charte du Hamas mentionne la destruction d'Israël mais également l’extermination des juifs. Renseigner vous sur les relations étroites du Mufti de Jérusalem, Mohammed Amin al-Husseini, avec le régime nazi. Le Grand Mufti de Jérusalem a bien conseillé Hitler sur la destruction des juifs d’Europe. Nous ne sommes pas dans le monde des bisounours. N'oublions pas la formule de Thomas HOBBES : "L'homme est un loup pour l'homme", inspiré de Titus Maccius PLAUTUS.
@@patrickatlan3273 Soixante et dix ans de terreur qu'Israël fait subir au peuple palestinien. Ce n'est pas la religion qui est à l'origine de ce qui se passe au Moyen-Orient, mais la CONVOITISE des Européens et des Américains. Vous n'avez qu'à regarder ce que les Européens ont fait avec les autochtones d'Amérique, d'Afrique du Sud, de l'Australie, etc. Ils les ont massacrés, volé leurs terres et déplacés dans des réserves. En ce qui concerne la Palestine et la Cisjordanie, Israël, avec l'aide des Américains, tente de reproduire ce schéma (gagnant). Israël est passé de victime à agresseur ! 😣🙄😎👀
![คณะขวัญใจ - นางสาวขวัญใจ [Official Music Video]](http://i.ytimg.com/vi/a8zn5pGlRUY/mqdefault.jpg)
Monsieur KEPEL BRAVO. Comme toujours conférence d'un intérêt exceptionnel.
L'air des Pyrénées est vivifiant. Merci
Merci. Comme toujours très intéressant
Je veux les mêmes chaussures.
Non à tous les soi-disant penseurs. Malgré qu'ils en aient; qu'ils cessent d'en faire accroire. C'est l'argent qui mène le monde; et les penseurs ne sont qu'à la solde du Capital. Kepel et toutes gens du même acabit sont à la solde.
🙏
Je m'inscrit en faux, l'économie mène le monde. Croire le crontraire c'est du bla bla de l'égo. Croire le contraire c'est baigné dans une mer de naiveté.
Michel...tu ne t'inscris en rien du tout et tu écoutes mieux les gens avant de t'exprimer s'il te plaît. Allez, va faire ton lit.
En attaquant Israël, le Hamas se prive de milliards de dollars en provenance d'Israël. Il doit sûrement recevoir des sommes plus importante d'autres provenances. J'ai des doutes sur la provenance. Du Québec
Pas à mon nom.
Il est essentiel de bien connaitre les tenants et les aboutissants d'un problème éminemment complexe avec une dimension territoriale et cultuelle étroitement imbriquées.
Le nier est faire de preuve de peu de discernement, pis de cécité.
Le nationalisme religieux est un mauvais nationalisme.
L'islam politique, le judaïsme politique, l'absence de séparation entre le religieux et le politique sont des facteurs de guerre.
L'islamisation de la cause palestinienne tue tout espoir de paix.
Il y a omission d'une information importante dans la définition du sionisme donnée. Le sionisme n'est pas uniquement un mouvement dédié à l'auto-détermination du peuple juif en l'État d'Israël mais un mouvement dédié à l'auto-détermination du peuple juif dans l'optique de la création d'un État d'Israël selon les frontières de la Terre de Canaan.
Ainsi, la question des frontières, au sein desquelles la capacité d'auto-détermination pourrait s'exercer, ne peut être repoussée par un "Bref" puisqu' elle est au cœur de ce mouvement politique.
Ainsi lorsqu’on pose la question " Le sionisme ne veut donc pas dire la négation du droit à l'auto-détermination du peuple palestinien ?" La réponse de ne peut pas être "Absolument pas" puisque la question de l'auto-détermination ne peut se comprendre que par la définition d'une région administrative au sein de laquelle ces deux auto-déterminations pourraient s'appliquer.
La connaissance est la matrice d'une analyse digne de ce nom.
Le rôle de la confrérie des Frères musulmans, créée en 1928 en Egypte, dans la construction de l'islamisme en général et de son aile terroriste en particulier. En examinant les parcours biographiques de quelques personnages tels que Hassan al-Banna, le fondateur des Frères musulmans, Haj Amin al-Husseini, le Grand Mufti de Jérusalem, Cheikh Ahmed Yassine, autorité religieuse du Hamas, Oussama Ben Laden, mais aussi le leader de l'OLP Yasser Arafat, il montre la source d'inspiration qu'a constitué la rhétorique des Frères musulmans auprès d'une frange significative de l'islam. Surtout, il étaye l'idée que la « haine des Juifs » est bien antérieure à la création de l'État d'Israël, qu'elle est inhérente au fonds idéologique de la confrérie dès ses débuts. À cet égard, les connexions avec l'Allemagne nazie ne sont pas les aspects les moins troublants de cette histoire - même si c'est bien le Grand Mufti de Jérusalem qui détient la palme de la parfaite entente avec le régime nazi.
On se demande pourquoi, en des temps où l'on pourrait s'affranchir de l'obscurantisme, une religion peut susciter un tel extrémisme, car quoi qu'on puisse en dire, il y a bien une spécificité de l'islam radical face aux autres intégrismes religieux. Comment, au nom d'une religion, des individus peuvent-ils choisir de tuer des innocents en se faisant exploser eux-mêmes ? Comment peuvent-ils répandre un slogan aussi effrayant que « vous aimez la vie, nous aimons la mort » ? N'est-ce pas le coeur de l'islam qu'il convient d'interroger ?
N'y a-t-il pas dans la source même de cette religion, le Coran et l'éclosion guerrière de l'islam au VIIe siècle, la meilleure justification de l'extrémisme religieux et sa forme si singulière qu'est le djihad.
Les successeurs d'Hassan al-Banna ne peuvent-ils pas se contenter de reprendre quantité de passages du Coran pour justifier leur délire de haine : « Tuez-les partout où vous les trouverez, et chassez-les d'où ils vous auront chassés » (2, 187), « Je punirai les infidèles d'un châtiment cruel dans ce monde et dans l'autre. Ils ne trouveront nulle part de secours » (3, 49), « Combattez-les, afin que Dieu les châtie par vos mains et les couvre d'opprobre » (9, 14), etc. ? Ayons le courage de reconnaître la responsabilité de l'islam lui-même dans l'islamisme, à ceux qui adhèrent plutôt à la conception d'un « islam modéré » face à un « islam radical ».
Un texte dit incréé est peu ouvert à l'exégèse et à l'herméneutique.
Les ressorts du terrorisme islamique, et la crainte (ou l'aveuglement) des élites de l'Occident qui refusent d'appréhender ce terrorisme pour ce qu'il est, ce qui conduit à des attitudes de compromis et de lâcheté, qui ne peuvent qu'encourager les extrémistes islamistes et le terrorisme.
L'influence du national-socialisme dans la renaissance d'un antisémitisme islamique virulent est bien expliquée dans cette idéologie nihiliste. Que l'antisémitisme et plus généralement le refus de l'Autre par l'islam alimente dramatiquement les folies meurtrières des islamistes est mis en évidence.
Est aussi bien expliqué comment la "culpabilité narcissique" (Sibony), si ce n'est aussi la peur de froisser les musulmans, empêche l'Occident d'apporter la résistance adéquate à ces menaces, car la moindre concession à un fanatique ne fait que lui montrer une faiblesse, et donc exacerber ses passions. Parmi les couardises et renoncements, celles de Jacques Chirac sont indéniables..
Mettre en exergue les racines de l'idéologie islamique, qui viennent de textes qui ont presque 1400 ans et qui, considérés comme intangibles par les musulmans, sont à la base de développements ayant conduit aujourd'hui à des exacerbations presque inimaginables, dont le principal résultat est double: haine d’Israël, des Etats Unis et de l'Occident en général d'une part (car cette civilisation occidentale construit ses lois et n'applique pas la charia), et maintien de l'essentiel du monde musulman dans la pauvreté, l'ignorance et le dénuement intellectuel de l'autre.
HItler lui-même et Heinrich Himmler se sont entichés du grand mufti de Jérusalem Al-Husseini et l'on utilisé pour construire une formidable propagande anti-juive autant anti-britannique et d'une manière générale hostile à tous les intérêts des alliées occidentaux mais aussi de l'URSS pendant la seconde guerre mondiale est assez répugnante, avec des slogans d'une violence formidable comme le fameux "tuez les juifs avant qu'ils ne vous tuent".
Le jihad n'est pas tout l'islam, mais ce moteur du fondamentalisme islamique violent gagne du terrain sur l'ensemble du globe, en Syrie et en Irak bien sûr mais aussi au Nigeria, en Somalie, Tunisie, en Lybie et comme on l’a vu récemment à Gaza et dans le sud du Liban..
A ceux qui pensent que l'islamisme se nourrit de la tragédie du peuple palestinien, cette assertion est contredite par l'histoire de l'islamisme radical, dont la rhétorique violemment antijuive a précédé la création de l'Etat hébreu.
Le Grand Mufti de Jérusalem, Haj Amin al-Husseini, ami de Hitler et idéologue islamo-nationaliste ayant inspiré nombre de courants radicaux au Proche-Orient, a dès l'origine fait de l'antisémitisme la pierre angulaire de son édifice religieux et intellectuel. Son influence a croisé celle des Frères musulmans, dont le fondateur, Hassan al-Banna, a placé le jihad au coeur de sa vision politique d'un islam conquérant.
Aujourd'hui, leurs idées sont plus vivantes que jamais. La judéophobie djihadiste n'est pas une réaction au sionisme ou à l'existence de l'Etat d'Israël. Pour l'islamiste radical, tout ce qui est juif est mal, et tout ce qui est mal est juif. Cette conviction profonde est à l’origine de la destruction des tours du World Trade Center de New York, la tuerie de l’hyper-cacher de Paris et dans d’autres actes odieux. En mettant en évidence l'impact du nazisme sur l'islamisme radical, ce livre aide à mieux comprendre la nature des enjeux auxquels nous devons faire face.
La charte du Hamas mentionne la destruction d'Israël mais également l’extermination des juifs. Renseigner vous sur les relations étroites du Mufti de Jérusalem, Mohammed Amin al-Husseini, avec le régime nazi. Le Grand Mufti de Jérusalem a bien conseillé Hitler sur la destruction des juifs d’Europe.
Nous ne sommes pas dans le monde des bisounours.
N'oublions pas la formule de Thomas HOBBES : "L'homme est un loup pour l'homme", inspiré de Titus Maccius PLAUTUS.
@@patrickatlan3273 Soixante et dix ans de terreur qu'Israël fait subir au peuple palestinien. Ce n'est pas la religion qui est à l'origine de ce qui se passe au Moyen-Orient, mais la CONVOITISE des Européens et des Américains. Vous n'avez qu'à regarder ce que les Européens ont fait avec les autochtones d'Amérique, d'Afrique du Sud, de l'Australie, etc. Ils les ont massacrés, volé leurs terres et déplacés dans des réserves. En ce qui concerne la Palestine et la Cisjordanie, Israël, avec l'aide des Américains, tente de reproduire ce schéma (gagnant). Israël est passé de victime à agresseur ! 😣🙄😎👀