Le Gallicanisme - DDD #7

แชร์
ฝัง
  • เผยแพร่เมื่อ 5 พ.ย. 2024
  • DDD, Si tu savais le Don De Dieu, une formation de l'ICRSP Lille Hauts-de-France et de l'école Notre-Dame-de-Fatima, par le Chanoine Pinoteau. Retrouvez d'autres vidéos sur notre chaîne TH-cam.

ความคิดเห็น • 6

  • @antoine9211
    @antoine9211 4 ปีที่แล้ว +3

    Passionnant. Merci M. l'abbé !

  • @monsieurcyclopede6648
    @monsieurcyclopede6648 4 ปีที่แล้ว +2

    Excellent !!👌 merci monsieur le Chanoine ⚜️

  • @KimJongUnDuTerTer92
    @KimJongUnDuTerTer92 2 ปีที่แล้ว +1

    Pas mal

  • @axz4477
    @axz4477 ปีที่แล้ว

    Merci. M. l'abbé, et quelles sont les bonnes, et les mauvaises choses, de l'ultramontanisme ?

  • @AlbertDurant-zk4wj
    @AlbertDurant-zk4wj หลายเดือนก่อน

    Le gallicanisme prône l'existence d'une Église de France relativement indépendante du Saint-Siège et autonome au sujet des nominations d'évêques. Le gallicanisme ayant été porté à son paroxysme avec la Constitution civile du clergé de 1790,

  • @AlbertDurant-zk4wj
    @AlbertDurant-zk4wj หลายเดือนก่อน

    Vous ne savez pas si il faut mépriser la gallicanisme ?.. Or, c'est une hérésie tous comme le jansénisme !..
    Le gallicanisme est un ensemble de doctrines et de pratiques qui attribuaient à l’Église de France, dans ses relations avec le Saint-Siège, et aux princes, dans leurs rapports avec le pouvoir spirituel, un certain nombre de droit ou privilèges, désignés sous le nom de liberté gallicanes. Comme on le voit par cette définition, le gallicanisme avait un double aspect : il était ecclésiastique ou politique.
    Le gallicanisme ecclésiastique ou épiscopal avait un double objet : il entendait déterminer l’étendu du pouvoir spirituel et le sujet de ce pouvoir. Sur ces deux points, il était enseigné couramment dans les écoles françaises de théologie et surtout à la Sorbonne : 1) que le pouvoir spirituel du pape ne s’étendait pas sur le temporel des rois, qu’il ne pouvait donc en aucun cas les dépouiller de leur autorité, pas même indirectement. 2) que le sujet du pouvoir spirituel n’est pas le pape seul, mais l’Église universelle, que le concile général est au-dessus du pape, que, au point de vue doctrinal, le pape n’est infaillible que si son enseignement s’accorde avec l’Église entière, et au point de vue disciplinaire, il est lié par les canons de l’Église entière et par les coutumes des églises locales.