Bonjour, je travaille également comme psychologue à l'hôpital. Je rencontre toutes ces problématiques très bien nommées, explicitées et réfléchies dans cette vidéo. Merci.
Je ne trouve pas que ce soit negatif qu’on prendre la psychologie comme une part de la médecine ou qu’un psychologue porte une blouse blanche... au contraire ça réduit un peu l’écart « hiérarchique » entre le médecin et le psy non ? 🤔
Cheima J bonjour, merci pour ton commentaire ! 😊 Pour rappel, le psychologue n’est pas un médecin. Cela renforce la confusion, notamment du côté des patients. L’aspect hiérarchique que tu évoques sera toujours présent car les médecins ont plus d’années d’études et surtout malheureusement un salaire nettement plus élevé que les psychologues .........
Bonjour, j'ai seulement 14 ans et plus tard, je souhaite devenir psychologue mais plutôt dans le privé, j'ai un problème, je ne sais pas si je veux aider les enfants ou les adultes avez vous un avis ?
Je te remercie pour cette vidéo, néanmoins je ne partage pas ta vision de notre métier. En tant que psychologue, je suis dans le soin. Je ne pourrais pas faire ce métier si je n'étais pas soignante. Pour autant, je ne suis pas médecin ni infirmière. Mais, je ne leur réserve pas cette fonction. Lorsque je prends en charge un patient pour une dépression et que ma thérapie lui permet de sortir de son état, je suis soignante. Il n'empêche que les antidépresseurs administrés par un médecin le soignent également, mais sans la thérapie il ne sortirait pas de sa maladie. Je suis d'accord que l'hôpital est le royaume des médecins, mais nous ne sommes pas contraints d'accepter cette autocratie. Le psychologue est cadre et n'est pas soumis hiérarchiquement au chef de service ou au cadre infirmier, il est autant cadre que ces deux statuts. Malheureusement, beaucoup de psychologues regrettent notre place mais peu sont prêts à prendre celle que la loi nous confie. Je trouve cela regrettable et c'est un peu ce que j'ai ressenti en écoutant ta vidéo. En outre, la nécessité et l'injonction aux tests psychométriques dépendent du service, je n'en fais jamais, on ne m'en demande jamais car dans mon service ce n'est pas un besoin. Je ne suis pas la seule dans cette situation. Je te remercie d'ouvrir cette discussion en espérant que les "spectateurs" comprendront qu'il s'agit de ta vision, ce que tu as dit, et non d'une situation généralisable.
ssofia1 Merci d’avoir ouvert le débat 👍🏻 Effectivement, il s’agit uniquement de mon point de vue et de mes ressentis de jeune psychologue 😊 Pour ma part, je me refuse à définir mon intervention comme soignante. De plus, bien évidement que l’aspect psychométrique dépend grandement du service et de la politique de l’hopital. Notre place se définit en grande partie par notre capacité à cadrer notre intervention mais encore faut-il qu’on nous en laisse la possibilité... car même si, nous ne dépendons pas hiérarchiquement des médecins, le médical est omniprésent et étouffant dans les services de médecine somatique 😉 Merci d’avoir exprimé ton point de vue, cela est toujours très enrichissant de pouvoir en discuter entre professionnels !
Merci pour cette vidéo qui donne un éclairage intéressant sur le rôle du psy à l'hôpital qui est souvent une source de beaucoup de fantasmes. Le caractère "psychométrique" que tu décris c'est un sentiment que beaucoup de psys partagent dans pleins d'autres structures : aussi bien à l'école, que dans le versant associatif. Beaucoup de professionnels nous définissent comme des "faiseurs" de bilans en autres car les outils psychométriques sont les rares à pouvoir recenser en matière de "chiffres" notre travail... comme si en effet la politique du chiffre doit s'appliquer partout.. De même, dans les facs de psycho à l'heure actuelle, on insiste énormément sur l'importance de maîtriser les outils au risque de ne pas trouver un poste qui pourrait nous convenir... Il est important que nous puissions nous mobiliser sur cette question car de par le statut " précaire" de notre fonction, de ce sentiment "d’illégitimité" que nous nourrissons à l'égard de notre profession nous aide en rien à valoriser l'importance de nos missions autres que par l'outil psychométrique. Mais comment ?...
AnzuHearts La création de groupe de réflexion autour de notre pratique peut être la clef, à condition que les institutions nous en donnent la possibilité et prennent en compte nos remarques 😅 En tant que jeune diplômée, je ne peux qu’être d’accord lorsque tu pointes du doigt la formation en psychométrie... Tu as très bien résumé le sentiment de beaucoup de psychologues, merci pour la qualité de ton commentaire 👍🏻
Je suis pas trop d'accord avec ton avis sur les connaissances médicales... Tous les médecins ne prennent pas la peine de faire de l'éducation thérapeutique, et c'est aussi notre rôle (à mon avis) (mais je suis en psycho de la santé). De plus, on a déjà des connaissances médicales : pharmacologie liée aux pathologies psy, neuroanatomie et neurochimie... Quand un patient nous dit qu'il prend tel traitement alors qu'on sait qu'il a telle pathologie psy qui est en contrindication, ça permet de faire un petit appel au médecin qui est pas au courant de tout le dossier psy (avec l'accord du patient). Je connais des professionnels qui ont vraiment sauvé la santé de leurs patients comme ça, et sans ces connaissances, ils seraient passés à côté... Pour moi, les connaissances et la pratique sont deux choses différentes, et je pense que le patient le comprend, il est pas idiot : il sait que les infirmiers ne prescrivent pas de médicaments alors qu'ils les administrent, il sait que le pharmacien peut modifier une prescription d'un médecin... et il ne confond pas tout ce petit monde. Tout comme un éduc spé peut avoir (et devrait avoir) des connaissances psy alors qu'il est pas psy, parce qu'il travaille parfois avec ces populations, les psy devraient avoir des connaissances médicales même s'ils ne sont pas paramédicaux, parce qu'on travaille parfois avec les mêmes populations que les médecins somatiques. C'est mon avis, je pense que c'est subjectif comme vision du rôle du psy ! Pour donner un exemple, ça m'est arrivé de parler avec ma meilleure amie de ses prescriptions médicales pour son TAG, parce que je sais que les généralistes ont tendance à prescrire des anxiolytiques au long terme alors que c'est sensé être "interdit" à cause de la dépendance et de l'impact sur le risque d'alzheimer plus tard, et j'ai bien fait !! Ca faisait deux ans qu'elle était sous benzo !! Maintenant elle voit une psychiatre, et elle a un traitement antidépresseur agissant sur l'anxiété et les ruminations, ainsi qu'un suivi psychologique. A mon avis, cette connaissance médicale elle est importante parce que le médecin n'est pas tout puissant et peut faire des erreurs ou travailler avec des pathologies qu'il connait peu, et tout comme un pharmacien peut critiquer un généraliste ou un kiné critiquer un rhumatologue, on peut critiquer un psychiatre ou un autre médecin prescrivant des soins psy : c'est un travail d'équipe, je trouve ça dommage de cloisonner avec chacun son savoir. Un psychiatre peut aussi critiquer la psychométrie d'un psychologue, ça va dans les deux sens ^^
lucicahuette Merci d’avoir posté un commentaire constructif 👍🏻 Tout d’abord comme je l’ai précisé, la connaissance médicale peut être pour sa propre culture (aider des proches, se questionner) mais je trouve que notre position ne doit pas glisser vers le médical dans le sens où nous ne sommes pas formés à la médecine 😉 je ne cloisonne aucune pratique, mais le médecin n’a pas à remettre en question la prise en charge psychologique au même titre que nous n’avons pas (en tant que psy) à remettre en cause ses prescriptions (nos domaines de compétences étant largement différents). Tout est dans le dialogue et la discussion (RCP, staff, réunions) pour que la prise en charge du patient soit optimale. Sinon, les patients ne font pas bien la différence entre les différents intervenants de l’hôpital (surtout quand on travaille avec des enfants et des personnes âgées), d’où la nécessité de toujours bien expliciter le rôle de chacun 😊 Encore une fois, il s’agit d’une vidéo où je livre mes propres réflexions à partir de mes propres représentations de notre beau métier 😌 merci de ta compréhension.
Bonjour à toi et à tous tes followers, merci pour cette vidéo! Y a-t-il parmi vous qqun qui a fait un stage dans un service de neuropédiatrie/pathologies du développement (en hôpital donc) et qui accepterait de partager son expérience avec moi? Ou qqun qui y travaille actuellement? Je vous en serai très reconnaissante, mercii
Ta réflexion est intéressante et assez rationnelle, j'apprécie que tes mots soient relativement neutres ou orientés de manière bienveillante sur la situation de l'hôpital. Tu nous dépeint ta vision et ton expérience à l'hôpital sans oublier de rester focalisé sur le rôle du psychologue et comment la situation actuelle influence ce même rôle. Je rentre en Master de psychologie clinique et je vais donc commencer mes stages et je souhaite te remercier pour cette vidéo qui alimente mes propres réflexions vis-à-vis de la place du psychologue à l'hôpital public. Mention spéciale lorsque tu expliques la place prépondérante de la psychométrie dans ton activité, je n'avais pas idée que cela était à ce point le cas.
Ouf ça donne pas trop envie de travailler à l’hôpital ... je serais intéressée par rapport au côté « pratique » : les salaires des psys à l’hôpital. Peut-être dans une autre vidéo?
Dans le cerveau d'une Psy Uliana Borzova il y a pourtant des bons cotés mais c’est vrai que la place du psy est impactée (comme pleins d’autres professions) par cette logique managériale ... ! Concernant le salaire, pourquoi pas dans une autre vidéo ^^
Bonjour et merci pour cetre vidéo, en tant que stagiaire cela me permet de mieux reflechir sur la question du positionnement du psychologue
Très intéressant, merci ! :)
Bonjour, je travaille également comme psychologue à l'hôpital. Je rencontre toutes ces problématiques très bien nommées, explicitées et réfléchies dans cette vidéo. Merci.
De rien chère collègue ☺️
Je ne trouve pas que ce soit negatif qu’on prendre la psychologie comme une part de la médecine ou qu’un psychologue porte une blouse blanche... au contraire ça réduit un peu l’écart « hiérarchique » entre le médecin et le psy non ? 🤔
Cheima J bonjour, merci pour ton commentaire ! 😊
Pour rappel, le psychologue n’est pas un médecin. Cela renforce la confusion, notamment du côté des patients. L’aspect hiérarchique que tu évoques sera toujours présent car les médecins ont plus d’années d’études et surtout malheureusement un salaire nettement plus élevé que les psychologues .........
Bonjour, j'ai seulement 14 ans et plus tard, je souhaite devenir psychologue mais plutôt dans le privé, j'ai un problème, je ne sais pas si je veux aider les enfants ou les adultes avez vous un avis ?
il n'y a que toi qui peut savoir qui tu préfères aider. cherche au fond de toi, ou attends que le temps te donne cette réponse ;)
Je te remercie pour cette vidéo, néanmoins je ne partage pas ta vision de notre métier. En tant que psychologue, je suis dans le soin. Je ne pourrais pas faire ce métier si je n'étais pas soignante. Pour autant, je ne suis pas médecin ni infirmière. Mais, je ne leur réserve pas cette fonction. Lorsque je prends en charge un patient pour une dépression et que ma thérapie lui permet de sortir de son état, je suis soignante. Il n'empêche que les antidépresseurs administrés par un médecin le soignent également, mais sans la thérapie il ne sortirait pas de sa maladie. Je suis d'accord que l'hôpital est le royaume des médecins, mais nous ne sommes pas contraints d'accepter cette autocratie. Le psychologue est cadre et n'est pas soumis hiérarchiquement au chef de service ou au cadre infirmier, il est autant cadre que ces deux statuts. Malheureusement, beaucoup de psychologues regrettent notre place mais peu sont prêts à prendre celle que la loi nous confie. Je trouve cela regrettable et c'est un peu ce que j'ai ressenti en écoutant ta vidéo. En outre, la nécessité et l'injonction aux tests psychométriques dépendent du service, je n'en fais jamais, on ne m'en demande jamais car dans mon service ce n'est pas un besoin. Je ne suis pas la seule dans cette situation.
Je te remercie d'ouvrir cette discussion en espérant que les "spectateurs" comprendront qu'il s'agit de ta vision, ce que tu as dit, et non d'une situation généralisable.
ssofia1 Merci d’avoir ouvert le débat 👍🏻
Effectivement, il s’agit uniquement de mon point de vue et de mes ressentis de jeune psychologue 😊
Pour ma part, je me refuse à définir mon intervention comme soignante. De plus, bien évidement que l’aspect psychométrique dépend grandement du service et de la politique de l’hopital. Notre place se définit en grande partie par notre capacité à cadrer notre intervention mais encore faut-il qu’on nous en laisse la possibilité... car même si, nous ne dépendons pas hiérarchiquement des médecins, le médical est omniprésent et étouffant dans les services de médecine somatique 😉
Merci d’avoir exprimé ton point de vue, cela est toujours très enrichissant de pouvoir en discuter entre professionnels !
Très bien dit
Merci pour cette vidéo qui donne un éclairage intéressant sur le rôle du psy à l'hôpital qui est souvent une source de beaucoup de fantasmes. Le caractère "psychométrique" que tu décris c'est un sentiment que beaucoup de psys partagent dans pleins d'autres structures : aussi bien à l'école, que dans le versant associatif. Beaucoup de professionnels nous définissent comme des "faiseurs" de bilans en autres car les outils psychométriques sont les rares à pouvoir recenser en matière de "chiffres" notre travail... comme si en effet la politique du chiffre doit s'appliquer partout.. De même, dans les facs de psycho à l'heure actuelle, on insiste énormément sur l'importance de maîtriser les outils au risque de ne pas trouver un poste qui pourrait nous convenir... Il est important que nous puissions nous mobiliser sur cette question car de par le statut " précaire" de notre fonction, de ce sentiment "d’illégitimité" que nous nourrissons à l'égard de notre profession nous aide en rien à valoriser l'importance de nos missions autres que par l'outil psychométrique. Mais comment ?...
AnzuHearts La création de groupe de réflexion autour de notre pratique peut être la clef, à condition que les institutions nous en donnent la possibilité et prennent en compte nos remarques 😅
En tant que jeune diplômée, je ne peux qu’être d’accord lorsque tu pointes du doigt la formation en psychométrie...
Tu as très bien résumé le sentiment de beaucoup de psychologues, merci pour la qualité de ton commentaire 👍🏻
Bonjour j'ai une question à quelle âge environ vous avez réussi à trouvé un travaille en tant que psychologue
Cook time recette 24 ans 👍🏻
Danaë Holler Psychologue et vous avez dû attendre combien de temps avant de le trouver ?
Cook time recette comme expliqué dans pas mal de vidéo, (STORYTIME) j’ai trouvé immédiatement 👍🏻😊
Je suis pas trop d'accord avec ton avis sur les connaissances médicales... Tous les médecins ne prennent pas la peine de faire de l'éducation thérapeutique, et c'est aussi notre rôle (à mon avis) (mais je suis en psycho de la santé). De plus, on a déjà des connaissances médicales : pharmacologie liée aux pathologies psy, neuroanatomie et neurochimie... Quand un patient nous dit qu'il prend tel traitement alors qu'on sait qu'il a telle pathologie psy qui est en contrindication, ça permet de faire un petit appel au médecin qui est pas au courant de tout le dossier psy (avec l'accord du patient). Je connais des professionnels qui ont vraiment sauvé la santé de leurs patients comme ça, et sans ces connaissances, ils seraient passés à côté...
Pour moi, les connaissances et la pratique sont deux choses différentes, et je pense que le patient le comprend, il est pas idiot : il sait que les infirmiers ne prescrivent pas de médicaments alors qu'ils les administrent, il sait que le pharmacien peut modifier une prescription d'un médecin... et il ne confond pas tout ce petit monde. Tout comme un éduc spé peut avoir (et devrait avoir) des connaissances psy alors qu'il est pas psy, parce qu'il travaille parfois avec ces populations, les psy devraient avoir des connaissances médicales même s'ils ne sont pas paramédicaux, parce qu'on travaille parfois avec les mêmes populations que les médecins somatiques.
C'est mon avis, je pense que c'est subjectif comme vision du rôle du psy !
Pour donner un exemple, ça m'est arrivé de parler avec ma meilleure amie de ses prescriptions médicales pour son TAG, parce que je sais que les généralistes ont tendance à prescrire des anxiolytiques au long terme alors que c'est sensé être "interdit" à cause de la dépendance et de l'impact sur le risque d'alzheimer plus tard, et j'ai bien fait !! Ca faisait deux ans qu'elle était sous benzo !! Maintenant elle voit une psychiatre, et elle a un traitement antidépresseur agissant sur l'anxiété et les ruminations, ainsi qu'un suivi psychologique. A mon avis, cette connaissance médicale elle est importante parce que le médecin n'est pas tout puissant et peut faire des erreurs ou travailler avec des pathologies qu'il connait peu, et tout comme un pharmacien peut critiquer un généraliste ou un kiné critiquer un rhumatologue, on peut critiquer un psychiatre ou un autre médecin prescrivant des soins psy : c'est un travail d'équipe, je trouve ça dommage de cloisonner avec chacun son savoir. Un psychiatre peut aussi critiquer la psychométrie d'un psychologue, ça va dans les deux sens ^^
lucicahuette Merci d’avoir posté un commentaire constructif 👍🏻
Tout d’abord comme je l’ai précisé, la connaissance médicale peut être pour sa propre culture (aider des proches, se questionner) mais je trouve que notre position ne doit pas glisser vers le médical dans le sens où nous ne sommes pas formés à la médecine 😉 je ne cloisonne aucune pratique, mais le médecin n’a pas à remettre en question la prise en charge psychologique au même titre que nous n’avons pas (en tant que psy) à remettre en cause ses prescriptions (nos domaines de compétences étant largement différents). Tout est dans le dialogue et la discussion (RCP, staff, réunions) pour que la prise en charge du patient soit optimale.
Sinon, les patients ne font pas bien la différence entre les différents intervenants de l’hôpital (surtout quand on travaille avec des enfants et des personnes âgées), d’où la nécessité de toujours bien expliciter le rôle de chacun 😊
Encore une fois, il s’agit d’une vidéo où je livre mes propres réflexions à partir de mes propres représentations de notre beau métier 😌 merci de ta compréhension.
Bonjour à toi et à tous tes followers, merci pour cette vidéo!
Y a-t-il parmi vous qqun qui a fait un stage dans un service de neuropédiatrie/pathologies du développement (en hôpital donc) et qui accepterait de partager son expérience avec moi? Ou qqun qui y travaille actuellement?
Je vous en serai très reconnaissante, mercii
Ta réflexion est intéressante et assez rationnelle, j'apprécie que tes mots soient relativement neutres ou orientés de manière bienveillante sur la situation de l'hôpital. Tu nous dépeint ta vision et ton expérience à l'hôpital sans oublier de rester focalisé sur le rôle du psychologue et comment la situation actuelle influence ce même rôle.
Je rentre en Master de psychologie clinique et je vais donc commencer mes stages et je souhaite te remercier pour cette vidéo qui alimente mes propres réflexions vis-à-vis de la place du psychologue à l'hôpital public.
Mention spéciale lorsque tu expliques la place prépondérante de la psychométrie dans ton activité, je n'avais pas idée que cela était à ce point le cas.
merci beaucoup pour ton commentaire constructif 👍🏻 belle continuation dans tes études 💪🏻
Merci pour la vidéo, j'ai beaucoup appris.
Ouf ça donne pas trop envie de travailler à l’hôpital ... je serais intéressée par rapport au côté « pratique » : les salaires des psys à l’hôpital. Peut-être dans une autre vidéo?
Dans le cerveau d'une Psy Uliana Borzova il y a pourtant des bons cotés mais c’est vrai que la place du psy est impactée (comme pleins d’autres professions) par cette logique managériale ... ! Concernant le salaire, pourquoi pas dans une autre vidéo ^^
👍🏼