Gran admiración a nuestro Maestro JOSE MARIA Arguedas , escuchar su voz, que nos hace sentir el amor a nuestra raza, y recordar nuestra historia, Kausachun ,
Estoy confundido yo desde los 13 vivo en usa y ahora a mis 34 eh vuelto al peru pero siempre añoraba nuestra tradicion y cultura a jose maria siempre me preservava orgulloso y digno de nuestros ancestros y no me aliene tanto a la cultura stadounidense, pero ahora que eh vuelto al peru me doy cuenta que en lima la gente te envidia si tienes un poco mas y a danie le importa las tradiciones ni los ancestros me eh llevado ya bastante desepcion de la gente del peru de lima y ahora ire a la fiesta del agua en puquio pero tengo miedo que la gente de provincia tanbien me decepcionen me jusgen me traten mal como en lima en usa ya bastante eh tratado de no cambiar y creer en todo lo q dice este video pero si la gente de provincia me fallara ya nada tendria sentido ni mis creencias ni los tantos años q aguante en no volverme un estado unidence mas tantas beces eh llorafo de anelo de conocer la cultura de los ancestros y su gente ojala dios ayudame que no me fallen por q si me demuestran que son egoitas envidiosos materialistas todo lo que eh creido no va servir de nada y ya no tendre un origen al vual sentirme orgulloso de los ancestros oh religioso cultural porfavor peru no me falles porfavor gente del peru profundo no me des la espalda no me rompas mi sueño que eh tenido en conoser gente de valores y buenas y llenas de tradicion prehispanica le pido a dios y dejo este comentario por q mañana viajare a conocer lo que siempre eh añorado creido y amado sin estar aki, esto lo dogo hoy y luego dejare otro comentario diciendoles q fue lo que vi aprendi y como me trataron este mensaje va para el mundo andino, ojala no me fallen que aki en lima me desepcionaron, me encuentro confundido triste y con mido de pensar q me traicionara lo q mas amo
que gran homenaje para no olvidar nuestra historia que somos hijos del sol mediante tupac amaru pertenesemos ala cultura andina , ala pacha mama kausachun peru suyo
Arquedas locutor de nuestro padre: somos mil razas! Libertad par los hombres, libertad para nuetros cerros! kausachum Peru, kausahum Qosqo Kausahum tahuantisuyo !!!
Tupac Amaru Llegaremos mas lejos que cuanto tu quisistes y soñaste Odiaremos mas que cuanto tu odiaste Amaremos mas de lo que tu amaste Tranquilo espera Con ese odio y con ese amor sin sosiego y sin limite lo que tu no pudiste lo haremos nosotros TUPAC AMARU !!
Realmente que grandes Arguedas también hermano mayor como Tupac Amaru ejemplo a seguir para lograr nuestra verdadera libertad, la lucha continua hasta la victoria. Así como ellos tenemos que luchar cada uno desde nuestras trincheras ser protagonistas directos en cada día de nuestros actos, no es necesario matar, con la educación verdadera cambiaremos nuestra historia.
Llevatelo a tu casa para que te gobierne vieja vendida nadie quiere a ese viejo racista y el más millonario de ECUADOR no se cansa de robar yo no me he olvidado que que mando a nuestras raíces al páramo a sembrar papas y que Guayaquil es la élite y que nadie puede entrar porque son de sangre azul sólo porque tu y el viejo sarnoso dicen
..., solo el amor que inspira el valor de nuestra cultura milenaria por eso nada que pedir a ese Perú oficial que se negó a si mismo esa gloriosa herencia desde que nacio,solo al Perú de nuestro corazón esa que latió en tu corazón y en el nuestro para forjarlo en ese camino de nuestros ancestros para que un día sea el Perú de todos y todos de ella,nuestra patria grandiosa.
ESTE SERÁ LA BASE PARA LA NUEVA RELIGIÓN O MEJOR DICHO DEL REGRESO DEL CULTO AL SOL Y A TUPAC AMARU, QUE TIRARÁ POR LA BORDA A LA DECADENTE RELIGIÓN JUDEO-CRISTIANA.!!!
Toda la creación es de Dios, creo que por la gracia de Dios hemos podido sobrevivir ante tanta maldad que existe de parte de los hombres que solo buscan poder y gloria terrenal. 😔😔
Tienes razón esa mirada es de spinoza. Pero la religión es una mercancía lo que más se promociona y se oferta es la que más acogida tiene y aún así solo es una herramienta de dominio muy cerca a los círculos de poder; claro que eso no le quita a ninguna alguna parte moral o digamoslo simplemente buena.
Huaukjichaliay Jose Maria en tus ojos despertaron los nuestros a la tarea relampagueante de ser la continuidad de ese universo prohibido por los adoradores del ocaso,fuimos ,somos, y seremos eterno,nada de lamentos ni nobel ni compasión......
Las libertades más valiosas...la ideológica, la libre expresión. Quién encierra una mente en un puño o domina el vuelo sereno del pensamiento a latigazos? Al fin....no buscamos todos los humanos mismo? Wiracocha,Yahvé, Jehová,Alá....Dios CREADOR pero sobre todo LIBERTARIO y DESBORDANTE DE AMOR.
Tupac Amaru, fils du Dieu Serpent, conçu avec la neige du Salqantay, ton ombre touche le plus profond des cœurs, tout comme l’ombre du dieu montagne, sans fin et sans limites. Tes yeux de serpent dieu, brillants comme les yeux de cristal de tous les aigles, purent entrevoir le futur, purent voir au loin. Et me voilà, là, renforcé par ton sang, toujours en vie, criant encore. Je crie, je suis ton peuple, tu as renouvelé mon âme, tu as renouvelé mes larmes, tu as obligé ma blessure à ne pas se refermer afin qu’elle puisse ainsi blesser encore plus fort à chaque fois. Depuis ce jour où tu as parlé, depuis cette fois où tu as combattu contre l’espagnol dur et sanguinaire, depuis ce moment où tu lui as craché à la figure, depuis que ton sang mordant s’est répandu sur la terre mordante, en mon cœur se sont éteintes la paix et la résignation. Il n’y a plus que du feu, de la haine de serpent contre les démons, nos maîtres. Le fleuve chante, L’oiseau calandre pleure, Le vent tourne et tourne, Jour et nuit, les herbes de la steppe vibrent, Notre fleuve ensanglanté mugit Sur les crêtes de nos monts Wamanis, Le long de ses dents, la neige dégouline et étincelle. Où donc te trouves-tu depuis ce jour où ils t’ont tué pour avoir défendu notre cause ? Notre père à nous, écoute attentivement la voix de nos fleuves, écoute les arbres redoutables de la grande forêt, le chant endiablé et immaculé de l’océan. Nous sommes en vie, nous sommes toujours en vie ! Dans l’agitation des fleuves et des pierres, dans la danse des arbres et des montagnes, dans leur agitation, nous buvons un sang puissant et à chaque fois plus fort. Dans ta maison, nous nous soulevons en remémorant ton nom et ta mort ! Dans les villages, avec leurs cœurs si minuscules, les enfants pleurent. Dans la puna, sans habits, sans chapeau, sans abri, presque aveugles, les hommes pleurent, plus tristes, encore plus tristement que tous les enfants. À l’ombre d’un arbre, lui, l’homme, le Serpent Dieu, il pleure encore, plus blessé qu’avant, de ton temps, comme persécuté par des colonies de poux. Écoute les ondes de mon corps ! écoute la froideur de mon sang, ses tremblements glacés. Écoute dans les forêts de bouleaux le chant de la colombe abandonnée, sans amour, Le doux sanglot des fleuves calmes, Des sources qui émergent tranquillement sur la terre. Nous existons encore, nous sommes en vie ! (Kachqanirakmi) De ton immense blessure, de ta douleur que personne n’aurait pu éteindre, pour nous, la colère qui bouillonnait dans tes veines surgit. Il est temps de nous soulever, mon père, notre frère, mon Dieu Serpent. Nous n’avons plus peur de l’éclair de poudre de ces messieurs, des balles et des mitraillettes, nous n’en avons plus peur. Nous existons encore ! Clamant ton nom, comme les fleuves en crue et le feu qui dévore la paille sèche, comme les multitudes sans fin de fourmis dans la jungle, nous devons nous déployer, jusqu’à ce que notre terre soit réellement notre terre et nos peuples soient vraiment nos peuples. Écoute, père, mon Dieu Serpent, écoute: Les balles assassinent, Les mitraillettes éclatent les veines, Les sables d’acier déchirent la chair humaine, Les chevaux, leurs armes, avec leurs casques furieux et pesants, ma tête, mon estomac éclatent, Ici et partout, Sur les flancs gelés des collines de Cerro de Pasco, Dans les plaines froides, dans les vallées tièdes de la côte, Sur les hautes herbes vives, entre les déserts. Mon petit père, Dieu Serpent, ton visage était comme le grand ciel, sois à mon écoute: maintenant, le coeur de ces messieurs est encore plus effrayant, plus souillé, il inspire encore plus de haine. Ils ont corrompu nos propres frères, ils ont retourné leur cœur et, avec eux, leur procurant des armes que même le démon de tous les démons ne pourrait inventer et fabriquer, ils nous tuent. Malgré cela, il y a, dans nos vies, une énorme lumière. Nous brillons ! Nous sommes descendus dans les villes de ces messieurs. Et c’est de là que je te parle. Nous sommes descendus là-bas comme le font les interminables colonies de fourmis de la grande jungle. Et nous sommes ici, avec toi, chef bien-aimé, inoubliable, Amaru éternel. Ils nous ont volé nos terres. Nos brebis se nourrissent des feuilles sèches arrachées par le vent qui, même lui, n’en voudrait pas, notre unique vache lèche, dans l’agonie, le peu de sel que contient la terre. Serpent Dieu, notre père à nous, de ton temps, nous avions encore des biens, nos biens communautaires. Aujourd’hui, comme un chien fuyant la mort, nous dévalons vers les vallées chaudes. Nous nous sommes dispersés dans des milliers de lieux étrangers, oiseaux apeurés. Écoute, mon père: à partir des vallées lointaines, des plaines froides ou brûlantes que les faux wiraqochas nous ont volées, nous avons pris la fuite et nous nous sommes répandus par les quatre coins du monde. Certains s’accrochent encore à leurs terres menacées et réduites. Ils sont restés là-bas en haut, dans leurs foyers et, tout comme nous, ils frémissent de colère, ils pensent, ils contemplent. Nous n’avons plus peur de la mort. Nos vies sont plus glacées et nous font plus souffrir que la mort. Écoute, Serpent Dieu : le fouet, la prison, les souffrances interminables, la mort, tout cela nous a fortifiés, tout comme toi, grand frère, tout comme ton corps, ton esprit. Où va nous mener cette nouvelle vie ? La force, fermentée par la mort et entretenue en l’homme, cette force ne pourrait-elle pas permettre à cet homme de renverser le monde, de le secouer ? Je suis à Lima, dans cet immense village, repère des faux wiraqochas. Dans la Pampa de Comas, sur le sable, avec toutes mes larmes, avec toute ma force, avec mon sang, chantant, j’ai construit ma maison. La rivière de mon village, son ombre, sa grande croix de bois, les herbes et les arbres qui y poussent, l’entourent, tout cela vibre, vibre dans ma maison. Un colibri doré joue dans les airs au-dessus du toit. Nous sommes arrivés dans l’immense village de ces messieurs et nous l’avons transformé. Nous l’avons touché avec notre cœur, nous l’avons pénétré, avec notre recueillement encore éveillé, avec la joie éclairée de l’homme qui souffre et qui possède les pouvoirs de tous les cieux, avec nos hymnes anciens et nouveaux, nous sommes en train de l’envelopper. Avec des larmes, de l’amour ou du feu, nous nous devons de nettoyer une partie des fautes cultivées depuis des siècles dans les têtes corrompues des faux wiracochas. Nous y arriverons avec tous les moyens possibles ! Nous sommes des milliers de milliards, ici, maintenant. Nous sommes ensemble. Nous nous sommes regroupés, communauté par communauté, noms de famille par noms de famille. Nous tenons dans nos mains cette immense ville qui nous haïssait, qui nous méprisait comme si nous étions de la bouse de cheval. Nous allons la transformer en grand village des hommes entonnant les hymnes des quatre régions de notre monde, en ville heureuse, où chaque homme pourrait travailler, un immense hameau qui ne puisse transmettre la haine et qui soit limpide et propre, comme les neiges des dieux montagnes, lieu que l’odeur insoutenable du mal ne peut atteindre. C’est ainsi, c’est ainsi que cela doit être, père, cela ne peut en être qu’ainsi, et cela en ton nom, ce nom qui se jette dans la vie comme une cascade d’eau éternelle qui plonge et illumine touts les esprits et le chemin aussi. Calme, attends, Calme, écoute, Calme, contemple le monde. Je suis bien, me rapprochant de moi ! Je chante, J’entonne le même chant. J’apprends déjà la langue de Castille, Je comprends ce qu’est la roue, ce que sont les machines, Ton nom grandit avec nous, Les fils de wiracocha te parlent et t’écoutent Comme un guerrier qui enseigne, feu Pur qui crépite, qui éclaire. L’aurore arrive, On m’a dit que, dans d’autres villages Les hommes que l’on fouette, ceux qui souffrent, Maintenant sont des aigles, des condors Au vol grandiose et libre. Calme, attends. Nous irons encore plus loin que tout ce que tu as voulu faire, tout ce que tu as rêvé d’entreprendre. Nous allons détester encore plus que tout ce que tu auras détesté, Nous aimerons encore plus que tout ce que tu as aimé, Avec l’amour d’une colombe enchantée, d’un oiseau calandre. Calme, attends, avec cette colère et cet amour sans répit et sans limites, nous, nous ferons tout ce que tu n’as pu faire. Le lac gelé endormi, le noir précipice, la mouche bleutée qui voit la mort et qui l’annonce à la lune, les étoiles et la terre, le doux et puissant cœur des hommes, tout être vivant et non-vivant qui peuple ce monde, ce monde alimenté ou non par le sang, homme ou colombe, pierre ou sable, nous leur redonnerons vie, une lumière infinie, Amaru, père à nous tous. La sainte mort viendra alors d’elle-même, cette fois-ci elle ne sera plus lancée par des frondes de cuir tressé, elle n’explosera plus dans un rayon de poudre. Le monde, ce sera l’homme, l’homme sera le monde, tout sera à sa mesure. Descends sur terre, Serpent Dieu, inspire-moi ton souffle, pose tes mains sur la couche imperceptible qui recouvre le cœur. Donne-moi ta force, mon père.
la cultura occidental en nestro peru en latinoamerica y a nivel mundial se descompone es una podredumbre de corrupcion, la alternativa es la cultura andina natural, sana y creativa sin hambre ni miseria
TODOS SOMOS HIJOS DE DIOS Y ESTA EN LA BIBLIA, ASI ES Y TAMBIEN NUESTRA MADRE ES UNA SOLA. SOMOS DE POLVO Y EN POLVO NOS CONVERTIMOS POR QUE SOMOS HIJOS DE PACHAMAMA Y NUESTRA ENERGIA, FUERZA, ESPIRITU Y ALMA VIENE DE ARRIBA QUE ES WIRACCOCHA... LAGO DE PODER Y ENERGIA QUIEN CONTRADIGA ESTA LÓGICA TIENE QUE TENER MAS SABIDURÍA QUE NUESTRO CREADOR
Los españoles se fueron...lo que queda es UN pueblo que, en el extranjero, sin importar si tiene pelo rubio u ojos claros, son discriminados cuando abren la boca y muestran el pasaporte del Perú...entonces...los que VERDADERAMENTE son peruanos nacionalistas...usen la cabeza y vean que la lucha NO es entre colores de piel...sinó contra los MALOS - aunque sean blancos, negros o cobrizos!
negros son una minoria de 1% Ya los negros son usados para probar una multiculturalidad con su musica negra inexistente. Somos andinos originarios la gran mayoria.
Efectivamente, es su voz, tiene un cuento también narrado por él, titulado El sueño del pongo, búscalo te va a sorprender, también tiene muchos huaynos cantados por él en quechua.
Bueno tus discrepancias enfocan un radicalismo no escribí de ninguna religión solo mencione la biblia como un documento histórico lógicamente y estoy enfocando de donde viene lo místico y la dualidad q ud menciona
@PELUCHEJUSTICIERO123 ¿que lea un poco? Vaya atrevimiento el suyo!, asdemás que yo no contradigo nada a lo que Ud. escribe en su comentario, expliquese y a ver si le entiendo.
![เขามัทรี - เอ็กซ์ ศุภกฤต - จอนนี่มิวสิค [ Official MV ]](http://i.ytimg.com/vi/AS9ufKuQIVs/mqdefault.jpg)
Estupendo, extraordinario, es la voz de J. M. Arguedas.
Gran admiración a nuestro Maestro JOSE MARIA Arguedas , escuchar su voz, que nos hace sentir el amor a nuestra raza, y recordar nuestra historia, Kausachun ,
iii Gloria eterna a nuestro gran amauta JOSÉ MARÍA ARGUEDAS !!! 💪🏼💪🏼💪🏼
Estoy confundido yo desde los 13 vivo en usa y ahora a mis 34 eh vuelto al peru pero siempre añoraba nuestra tradicion y cultura a jose maria siempre me preservava orgulloso y digno de nuestros ancestros y no me aliene tanto a la cultura stadounidense, pero ahora que eh vuelto al peru me doy cuenta que en lima la gente te envidia si tienes un poco mas y a danie le importa las tradiciones ni los ancestros me eh llevado ya bastante desepcion de la gente del peru de lima y ahora ire a la fiesta del agua en puquio pero tengo miedo que la gente de provincia tanbien me decepcionen me jusgen me traten mal como en lima en usa ya bastante eh tratado de no cambiar y creer en todo lo q dice este video pero si la gente de provincia me fallara ya nada tendria sentido ni mis creencias ni los tantos años q aguante en no volverme un estado unidence mas tantas beces eh llorafo de anelo de conocer la cultura de los ancestros y su gente ojala dios ayudame que no me fallen por q si me demuestran que son egoitas envidiosos materialistas todo lo que eh creido no va servir de nada y ya no tendre un origen al vual sentirme orgulloso de los ancestros oh religioso cultural porfavor peru no me falles porfavor gente del peru profundo no me des la espalda no me rompas mi sueño que eh tenido en conoser gente de valores y buenas y llenas de tradicion prehispanica le pido a dios y dejo este comentario por q mañana viajare a conocer lo que siempre eh añorado creido y amado sin estar aki, esto lo dogo hoy y luego dejare otro comentario diciendoles q fue lo que vi aprendi y como me trataron este mensaje va para el mundo andino, ojala no me fallen que aki en lima me desepcionaron, me encuentro confundido triste y con mido de pensar q me traicionara lo q mas amo
que gran homenaje para no olvidar nuestra historia que somos hijos del sol mediante tupac amaru pertenesemos ala cultura andina , ala pacha mama kausachun peru suyo
Arquedas locutor de nuestro padre: somos mil razas! Libertad par los hombres, libertad para nuetros cerros! kausachum Peru, kausahum Qosqo Kausahum tahuantisuyo !!!
El poema es un tributo a nuestro pasado y presente. Valoro y respeto el trabajo de Jose Maria Arguedas.
Gracias
En paz descansen los hijos del sol 🌞 en paz descansen los incas y todas las culturas que estas hermosas tierras algunas vez les dio vida 🇵🇪
Un Inca nunca muere; o sea, los Dioses nunca mueren. Cuidado con lo que se dice.
Hermoso ....cantado por uno de nuestros grandes escritores....
Tupac Amaru
Llegaremos mas lejos que cuanto tu quisistes y soñaste
Odiaremos mas que cuanto tu odiaste
Amaremos mas de lo que tu amaste
Tranquilo espera
Con ese odio y con ese amor sin sosiego y sin limite
lo que tu no pudiste lo haremos nosotros
TUPAC AMARU !!
Increíble. Cómo está joya permanece en las sombras, prodígenla. Completaremos tu deseo, Tayta Amaru.
UN YATIRI Y AMAUTA JOSÈ MARÍA ARGUEDAS ALTAMIRANO. UN PENSAMIENTO DEL PERU PROFUNDO...LA VERDADERA ORACIÓN DEL PENSAMIENTO ANDINO...
Realmente que grandes Arguedas también hermano mayor como Tupac Amaru ejemplo a seguir para lograr nuestra verdadera libertad, la lucha continua hasta la victoria.
Así como ellos tenemos que luchar cada uno desde nuestras trincheras ser protagonistas directos en cada día de nuestros actos, no es necesario matar, con la educación verdadera cambiaremos nuestra historia.
Llevatelo a tu casa para que te gobierne vieja vendida nadie quiere a ese viejo racista y el más millonario de ECUADOR no se cansa de robar yo no me he olvidado que que mando a nuestras raíces al páramo a sembrar papas y que Guayaquil es la élite y que nadie puede entrar porque son de sangre azul sólo porque tu y el viejo sarnoso dicen
Excelente poema, a levantarnos hermanos frente al yugo que nos domina Gracias tayta Arguedas
Hermoso poema escrito y cantado por nuestro gran José María Arguedas
..., solo el amor que inspira el valor de nuestra cultura milenaria por eso nada que pedir a ese Perú oficial que se negó a si mismo esa gloriosa herencia desde que nacio,solo al Perú de nuestro corazón esa que latió en tu corazón y en el nuestro para forjarlo en ese camino de nuestros ancestros para que un día sea el Perú de todos y todos de ella,nuestra patria grandiosa.
Grande jose maria arguedas
ESTE SERÁ LA BASE PARA LA NUEVA RELIGIÓN O MEJOR DICHO DEL REGRESO DEL CULTO AL SOL Y A TUPAC AMARU, QUE TIRARÁ POR LA BORDA A LA DECADENTE RELIGIÓN JUDEO-CRISTIANA.!!!
Toda la creación es de Dios, creo que por la gracia de Dios hemos podido sobrevivir ante tanta maldad que existe de parte de los hombres que solo buscan poder y gloria terrenal. 😔😔
👍👍👌
Tienes razón esa mirada es de spinoza. Pero la religión es una mercancía lo que más se promociona y se oferta es la que más acogida tiene y aún así solo es una herramienta de dominio muy cerca a los círculos de poder; claro que eso no le quita a ninguna alguna parte moral o digamoslo simplemente buena.
Q hermoso Poemá Á nuestro HEŔOE TUPAC ÁMÁRUX ÉL GRÁN ESCRITÓR J MÁRIA ARĢUÉDÁS
Seguir luchando
Compatriotas. Saludos desde Andahuaylas
Tupac y Jose Maria, padres nuestros...
Gracias es maravilloso..!!!
Huaukjichaliay Jose Maria en tus ojos despertaron los nuestros a la tarea relampagueante de ser la continuidad de ese universo prohibido por los adoradores del ocaso,fuimos ,somos, y seremos eterno,nada de lamentos ni nobel ni compasión......
taita , hermozo canto de amor y guerra , de lucha y esperanza , inmortal Tupac Amaru
Somos hijos del Sol Inkas guerreros recordando a nuestro padre tupac Amaru y madre Micaela Bastidas que lucho por amor esta tierras del Tawantinsuyo.
ES ALGO ESPECIAL DEL PERU DE LA RAZA ANDINA
Raza incaica.
eh estupendo gracias por subir el video y conocer algo de jose y del peru
Gracias!!!
Las libertades más valiosas...la ideológica, la libre expresión.
Quién encierra una mente en un puño o domina el vuelo sereno del pensamiento a latigazos?
Al fin....no buscamos todos los humanos mismo?
Wiracocha,Yahvé, Jehová,Alá....Dios CREADOR pero sobre todo LIBERTARIO y DESBORDANTE DE AMOR.
Tupac Amaru, fils du Dieu Serpent, conçu avec la neige du Salqantay, ton ombre touche le plus profond des cœurs, tout comme l’ombre du dieu montagne, sans fin et sans limites.
Tes yeux de serpent dieu, brillants comme les yeux de cristal de tous les aigles, purent entrevoir le futur, purent voir au loin. Et me voilà, là, renforcé par ton sang, toujours en vie, criant encore.
Je crie, je suis ton peuple, tu as renouvelé mon âme, tu as renouvelé mes larmes, tu as obligé ma blessure à ne pas se refermer afin qu’elle puisse ainsi blesser encore plus fort à chaque fois. Depuis ce jour où tu as parlé, depuis cette fois où tu as combattu contre l’espagnol dur et sanguinaire, depuis ce moment où tu lui as craché à la figure, depuis que ton sang mordant s’est répandu sur la terre mordante, en mon cœur se sont éteintes la paix et la résignation. Il n’y a plus que du feu, de la haine de serpent contre les démons, nos maîtres.
Le fleuve chante,
L’oiseau calandre pleure,
Le vent tourne et tourne,
Jour et nuit, les herbes de la steppe vibrent,
Notre fleuve ensanglanté mugit
Sur les crêtes de nos monts Wamanis,
Le long de ses dents, la neige dégouline et étincelle.
Où donc te trouves-tu depuis ce jour où ils t’ont tué pour avoir défendu notre cause ?
Notre père à nous, écoute attentivement la voix de nos fleuves, écoute les arbres redoutables de la grande forêt, le chant endiablé et immaculé de l’océan. Nous sommes en vie, nous sommes toujours en vie ! Dans l’agitation des fleuves et des pierres, dans la danse des arbres et des montagnes, dans leur agitation, nous buvons un sang puissant et à chaque fois plus fort. Dans ta maison, nous nous soulevons en remémorant ton nom et ta mort !
Dans les villages, avec leurs cœurs si minuscules, les enfants pleurent.
Dans la puna, sans habits, sans chapeau, sans abri, presque aveugles, les hommes pleurent, plus tristes, encore plus tristement que tous les enfants.
À l’ombre d’un arbre, lui, l’homme, le Serpent Dieu, il pleure encore, plus blessé qu’avant, de ton temps, comme persécuté par des colonies de poux.
Écoute les ondes de mon corps !
écoute la froideur de mon sang, ses tremblements glacés.
Écoute dans les forêts de bouleaux le chant de la colombe abandonnée, sans amour,
Le doux sanglot des fleuves calmes,
Des sources qui émergent tranquillement sur la terre.
Nous existons encore, nous sommes en vie ! (Kachqanirakmi)
De ton immense blessure, de ta douleur que personne n’aurait pu éteindre, pour nous, la colère qui bouillonnait dans tes veines surgit.
Il est temps de nous soulever, mon père, notre frère, mon Dieu Serpent. Nous n’avons plus peur de l’éclair de poudre de ces messieurs, des balles et des mitraillettes, nous n’en avons plus peur. Nous existons encore !
Clamant ton nom, comme les fleuves en crue et le feu qui dévore la paille sèche, comme les multitudes sans fin de fourmis dans la jungle, nous devons nous déployer, jusqu’à ce que notre terre soit réellement notre terre et nos peuples soient vraiment nos peuples.
Écoute, père, mon Dieu Serpent, écoute:
Les balles assassinent,
Les mitraillettes éclatent les veines,
Les sables d’acier déchirent la chair humaine,
Les chevaux, leurs armes, avec leurs casques furieux et pesants, ma tête, mon estomac éclatent,
Ici et partout,
Sur les flancs gelés des collines de Cerro de Pasco,
Dans les plaines froides, dans les vallées tièdes de la côte,
Sur les hautes herbes vives, entre les déserts.
Mon petit père, Dieu Serpent, ton visage était comme le grand ciel, sois à mon écoute: maintenant, le coeur de ces messieurs est encore plus effrayant, plus souillé, il inspire encore plus de haine. Ils ont corrompu nos propres frères, ils ont retourné leur cœur et, avec eux, leur procurant des armes que même le démon de tous les démons ne pourrait inventer et fabriquer, ils nous tuent. Malgré cela, il y a, dans nos vies, une énorme lumière. Nous brillons ! Nous sommes descendus dans les villes de ces messieurs. Et c’est de là que je te parle.
Nous sommes descendus là-bas comme le font les interminables colonies de fourmis de la grande jungle. Et nous sommes ici, avec toi, chef bien-aimé, inoubliable, Amaru éternel.
Ils nous ont volé nos terres. Nos brebis se nourrissent des feuilles sèches arrachées par le vent qui, même lui, n’en voudrait pas, notre unique vache lèche, dans l’agonie, le peu de sel que contient la terre. Serpent Dieu, notre père à nous, de ton temps, nous avions encore des biens, nos biens communautaires. Aujourd’hui, comme un chien fuyant la mort, nous dévalons vers les vallées chaudes. Nous nous sommes dispersés dans des milliers de lieux étrangers, oiseaux apeurés.
Écoute, mon père: à partir des vallées lointaines, des plaines froides ou brûlantes que les faux wiraqochas nous ont volées, nous avons pris la fuite et nous nous sommes répandus par les quatre coins du monde. Certains s’accrochent encore à leurs terres menacées et réduites. Ils sont restés là-bas en haut, dans leurs foyers et, tout comme nous, ils frémissent de colère, ils pensent, ils contemplent. Nous n’avons plus peur de la mort. Nos vies sont plus glacées et nous font plus souffrir que la mort. Écoute, Serpent Dieu : le fouet, la prison, les souffrances interminables, la mort, tout cela nous a fortifiés, tout comme toi, grand frère, tout comme ton corps, ton esprit. Où va nous mener cette nouvelle vie ? La force, fermentée par la mort et entretenue en l’homme, cette force ne pourrait-elle pas permettre à cet homme de renverser le monde, de le secouer ?
Je suis à Lima, dans cet immense village, repère des faux wiraqochas. Dans la Pampa de Comas, sur le sable, avec toutes mes larmes, avec toute ma force, avec mon sang, chantant, j’ai construit ma maison. La rivière de mon village, son ombre, sa grande croix de bois, les herbes et les arbres qui y poussent, l’entourent, tout cela vibre, vibre dans ma maison. Un colibri doré joue dans les airs au-dessus du toit.
Nous sommes arrivés dans l’immense village de ces messieurs et nous l’avons transformé. Nous l’avons touché avec notre cœur, nous l’avons pénétré, avec notre recueillement encore éveillé, avec la joie éclairée de l’homme qui souffre et qui possède les pouvoirs de tous les cieux, avec nos hymnes anciens et nouveaux, nous sommes en train de l’envelopper. Avec des larmes, de l’amour ou du feu, nous nous devons de nettoyer une partie des fautes cultivées depuis des siècles dans les têtes corrompues des faux wiracochas. Nous y arriverons avec tous les moyens possibles ! Nous sommes des milliers de milliards, ici, maintenant. Nous sommes ensemble. Nous nous sommes regroupés, communauté par communauté, noms de famille par noms de famille. Nous tenons dans nos mains cette immense ville qui nous haïssait, qui nous méprisait comme si nous étions de la bouse de cheval. Nous allons la transformer en grand village des hommes entonnant les hymnes des quatre régions de notre monde, en ville heureuse, où chaque homme pourrait travailler, un immense hameau qui ne puisse transmettre la haine et qui soit limpide et propre, comme les neiges des dieux montagnes, lieu que l’odeur insoutenable du mal ne peut atteindre. C’est ainsi, c’est ainsi que cela doit être, père, cela ne peut en être qu’ainsi, et cela en ton nom, ce nom qui se jette dans la vie comme une cascade d’eau éternelle qui plonge et illumine touts les esprits et le chemin aussi.
Calme, attends,
Calme, écoute,
Calme, contemple le monde.
Je suis bien, me rapprochant de moi !
Je chante,
J’entonne le même chant.
J’apprends déjà la langue de Castille,
Je comprends ce qu’est la roue, ce que sont les machines,
Ton nom grandit avec nous,
Les fils de wiracocha te parlent et t’écoutent
Comme un guerrier qui enseigne, feu
Pur qui crépite, qui éclaire.
L’aurore arrive,
On m’a dit que, dans d’autres villages
Les hommes que l’on fouette, ceux qui souffrent,
Maintenant sont des aigles, des condors
Au vol grandiose et libre.
Calme, attends.
Nous irons encore plus loin que tout ce que tu as voulu faire, tout ce que tu as rêvé d’entreprendre.
Nous allons détester encore plus que tout ce que tu auras détesté,
Nous aimerons encore plus que tout ce que tu as aimé,
Avec l’amour d’une colombe enchantée, d’un oiseau calandre.
Calme, attends, avec cette colère et cet amour sans répit et sans limites, nous, nous ferons tout ce que tu n’as pu faire.
Le lac gelé endormi, le noir précipice, la mouche bleutée qui voit la mort et qui l’annonce à la lune, les étoiles et la terre, le doux et puissant cœur des hommes, tout être vivant et non-vivant qui peuple ce monde, ce monde alimenté ou non par le sang, homme ou colombe, pierre ou sable, nous leur redonnerons vie, une lumière infinie, Amaru, père à nous tous. La sainte mort viendra alors d’elle-même, cette fois-ci elle ne sera plus lancée par des frondes de cuir tressé, elle n’explosera plus dans un rayon de poudre. Le monde, ce sera l’homme, l’homme sera le monde, tout sera à sa mesure.
Descends sur terre, Serpent Dieu, inspire-moi ton souffle, pose tes mains sur la couche imperceptible qui recouvre le cœur. Donne-moi ta force, mon père.
Tres bel traduction, merci bien,vous ce est du perou o française, salut du turin italie, je suis du cusco.
Merci ! Il y a des paroles importantes à transmettre. Catherine, Bruxelles, Belgique.
@@huwartcatherine5396 merci catherine de m'avoir répondu!! parle vu espagnol? J'aime la langue français.je serai hereux de te parler,
Oui, je parle espagnol. J'ai appris cette langue lors de mes voyages sur le continent américain. Et vous ? Où avez-vous appris le français ?
@@huwartcatherine5396 j'ai étudié catherine a alliance français de turin, parce ja ai vécu en italie, vous habité en bruxelles?
Hermoso
Excelente
Ese Arguedas es un crak.
Hoy más que nunca Tupac Amaru serpiente Dios. El presidente vacado, los corruptos asegurando su puesto, la gente ya muriendo.
Los incas son Dioses, y somos sus hijos, entonces debemos imitarlos:ser dioses también.
la cultura occidental en nestro peru en latinoamerica y a nivel mundial se descompone es una podredumbre de corrupcion, la alternativa es la cultura andina natural, sana y creativa sin hambre ni miseria
Juan Alpaca tienes razon. Es el individualismo anti- natural ante la colectividad sana. (nada de marxismo)
TODOS SOMOS HIJOS DE DIOS Y ESTA EN LA BIBLIA, ASI ES Y TAMBIEN NUESTRA MADRE ES UNA SOLA.
SOMOS DE POLVO Y EN POLVO NOS CONVERTIMOS POR QUE SOMOS HIJOS DE PACHAMAMA Y NUESTRA ENERGIA, FUERZA, ESPIRITU Y ALMA VIENE DE ARRIBA QUE ES WIRACCOCHA... LAGO DE PODER Y ENERGIA QUIEN CONTRADIGA ESTA LÓGICA TIENE QUE TENER MAS SABIDURÍA QUE NUESTRO CREADOR
Es un invento de los Españoles para cubrir las festividades paganas. :)
@@MordeSenpai el problema no es que nos engañen el problema es que nos dejamos engañar y encima defendemos a los que nos engañan y maltratan 😔
Nuestros antepasados incas.
Jamás aceptaron la Biblia de los judíos
Los españoles se fueron...lo que queda es UN pueblo que, en el extranjero, sin importar si tiene pelo rubio u ojos claros, son discriminados cuando abren la boca y muestran el pasaporte del Perú...entonces...los que VERDADERAMENTE son peruanos nacionalistas...usen la cabeza y vean que la lucha NO es entre colores de piel...sinó contra los MALOS - aunque sean blancos, negros o cobrizos!
negros son una minoria de 1% Ya los negros son usados para probar una multiculturalidad con su musica negra inexistente. Somos andinos originarios la gran mayoria.
por favor a quien pueda aclararme una duda:
es la voz de la narración la de José María Arguedas?
o en tal caso, quién lo narra?
Tu gfa :v
SI ES SU VOS
Es su voz, ciertamente. Con toda seguridad.
Efectivamente, es su voz, tiene un cuento también narrado por él, titulado El sueño del pongo, búscalo te va a sorprender, también tiene muchos huaynos cantados por él en quechua.
Es la voz del difunto.
y bueno, empecemos
es Arguedas
Si escuchas sus canciones te darás cuenta si es arquedas.
Wifala wifala!
Bueno tus discrepancias enfocan un radicalismo no escribí de ninguna religión solo mencione la biblia como un documento histórico lógicamente y estoy enfocando de donde viene lo místico y la dualidad q ud menciona
@PELUCHEJUSTICIERO123 ¿que lea un poco? Vaya atrevimiento el suyo!, asdemás que yo no contradigo nada a lo que Ud. escribe en su comentario, expliquese y a ver si le entiendo.
Guerra popular carajo no seáis cobardeis
Tenemos que ser más inteligentes, la violencia solo genera más violencia.
Inmenso gran peruano JOSE MARIA ARGUEDAS está relatando nuestra cruda REALIDAD.
GLORIA ETERNA A JOSÉ MARÍA ARGUEDAS.