RIP Bastian qui malgré tout son courage a déployé ses ailes pour quitter ce corps de misère il y a une semaine déjà... Merci à Aloïse de lui avoir permis de vivre cette très belle aventure avec elle
PAROLES / LYRICS J'ai les sourcils qui froncent sans cesse Le ventre qui brûle les nerfs qui contractent ma face Tu croyais m'abattre, c'est raté Sache que la provocation ne m'a jamais épatée Il y a peu je me terrais me taisant en face à la terreur trouble qui me terrassait J’errais dans les rues trop éreintée pour y voir clair Laissant mes efforts se défenestrer sans dire “au revoir” Le dégoût cramponné aux baskets Les dégâts qui chantonnent à tue-tête Été froid, hiver brûlant ne sens-tu pas le dérèglement ? Été froid, hiver brûlant j'ai besoin d’une avalanche De mots braves, détonants, couleur lave dévorants Il s’en fallu de peu, frôler le creux, serrer les crocs Des mots braves, détonants, couleur lave dévorants Il s’en fallu de peu, frôler le creux, serrer les crocs On n’avait rien à craindre et pourtant on chute On nous a dit de ne pas nous plaindre même quand on chute On est plusieurs, on est des milliers A feindre l'assurance pour éviter de s'entailler Hé toi misérable, minuscule petit personnage Qui misa sa vie sur les prises d'otages Des âmes de tous ceux qu'il est censé aimer Aucune valeur vilain voleur croyant s’élever En dévalisant les vallées qui plus tard l'avaleront Été froid, hiver brûlant j’ai besoin d’une avalanche De mots braves, détonants, couleur lave dévorants Il s’en fallu de peu, frôler le creux, serrer les crocs Des mots braves, détonants, couleur lave dévorants Il s’en fallu de peu, frôler le creux, serrer les crocs Des mots braves, détonants, couleur lave dévorants Il s’en fallu de peu, frôler le creux, serrer les crocs Des mots braves, détonants, couleur lave dévorants Il s’en fallu de peu, frôler le creux, serrer les crocs Des souvenirs en prime qui narguent mon présent Découpant l'avenir à vif en tas de marques oppressantes Et dans la nuit qui dure j'ai vu clair dans ton jeu Mais l'espoir que tu censures restera fier à jamais D'étranges fumées sortent de nos cœurs qui souffrent De nos corps qui toussent, de nos propos qui se troublent Ma nervosité m'écorche, pire elle m'accable Je n'ai plus peur de rien, je peux même te faire la danse macabre
Je kiff ce que tu fais et dans ton clip j'ai même reconnue Liza une circassienne dans le spectacle" la femme de trop". A chaque fois que j'écoute l'une de tes musiques je suis transportée dans un autre monde 😊
J'ai les sourcils qui froncent sans cesse Le ventre qui brûle les nerfs qui contractent ma face Tu croyais m'abattre c'est raté Sache que la provocation ne m'a jamais épatée Il y a peu je me terrais me taisant en face à la terreur trouble qui me terrassait J’errais dans les rues trop éreintée pour y voir clair Laissant mes efforts se défenestrer sans dire “au revoir” Le dégoût cramponné aux baskets Les dégâts qui chantonnent à tue-tête Été froid, hiver brûlant ne sens-tu pas le déréglement ? Été froid, hiver brûlant j’ai besoin d’une avalanche Des mots braves, détonants, couleur lave dévorants Il s’en fallu de peu, frôler le creux, serrer les crocs Des mots braves, détonants, couleur lave dévorants Il s’en fallu de peu, frôler le creux, serrer les crocs On n’avait rien à craindre et pourtant on chute On nous avait dit de ne pas nous plaindre et pourtant on chute On est plusieurs, on est de milliers A feindre l'assurance pour éviter de s'entailler Hé toi misérable, minuscule petit personnage Qui misa sa vie sur les prises d'otages Des âmes de tous ceux qu'il est censé aimer Aucune valeur vilain voleur croyant s’élever En dévalisant les vallées qui plus tard l'avaleront Été froid, hiver brûlant j’ai besoin d’une avalanche Des mots braves, détonants, couleur lave dévorants Il s’en fallu de peu, frôler le creux, serrer les crocs Des mots braves, détonants, couleur lave dévorants Il s’en fallu de peu, frôler le creux, serrer les crocs Des mots braves, détonants, couleur lave dévorants Il s’en fallu de peu, frôler le creux, serrer les crocs Des mots braves, détonants, couleur lave dévorants Il s’en fallu de peu, frôler le creux, serrer les crocs Des souvenirs en prime qui narguent mon présent Découpant l'avenir à vif en tas de marques oppressantes Et dans la nuit qui dure j'ai vu clair dans ton jeu Mais l'espoir que tu censures restera fier à jamais D'étranges fumées sortent de nos cœurs qui souffrent De nos corps qui toussent,t de nos propos qui se troublent Ma nervosité m'écorche, pire elle m'accable Je n'ai plus peur de rien, je peux même te faire la danse macabre
Mon album est en écoute ici : lnk.to/ASDevorantesID
En concert partout voir toutes les dates de concerts : tix.to/AloiseSauvageTourID
C'est vraiment du lourd ce son je ne comprends pas pourquoi tu n'as pas 1M de vues minimum.
Terrassé, révolté,surpris aussi, pas déçu, rénové
J’étais là au Fnac live et je suis heureux de te connaître avant que tu perces ! 👌🏼
Oh my... une TUERIE ! Incroyable, incroyable.
pffoouu... les lyrics envoient du lourd, simple, efficace, avec minutie... dévorant dévoilant. merci bravo continues !
pourquoi c'est pas sur spotify.....
J'aime le style , j'admire le vidéaste , bravo à tous.
Bravo!
vue en concert en première partie d'ibeyi... Quelle énergie Aloise !!!
Cette personne est un Alien
La meilleure que j'ai écouté de toi pour l'instant ♥️
Franchement, toujours aussi puissant... tellement d’émotions dans tes paroles ! Keep up the good work, j’adore !
De la pure merveille.
Bravo.
Bravo girl
Trop génial!! Le making of doit être drôle aussi y’a des scènes qui ont dû prendre du temps à tourner. Mais encore bravo le clip est top
RIP Bastian qui malgré tout son courage a déployé ses ailes pour quitter ce corps de misère il y a une semaine déjà... Merci à Aloïse de lui avoir permis de vivre cette très belle aventure avec elle
*Repassez la*
5 ans que j'écoute cette chanson , je l'aime tjs autant 💙 je rêve un peu qu'elle soit chanté en concert
Putain qu’est ce que c’est puissant
C'est de toute beauté!!
PAROLES / LYRICS
J'ai les sourcils qui froncent sans cesse
Le ventre qui brûle les nerfs qui contractent ma face
Tu croyais m'abattre, c'est raté
Sache que la provocation ne m'a jamais épatée
Il y a peu je me terrais me taisant en face à la terreur trouble qui me terrassait
J’errais dans les rues trop éreintée pour y voir clair
Laissant mes efforts se défenestrer sans dire “au revoir”
Le dégoût cramponné aux baskets
Les dégâts qui chantonnent à tue-tête
Été froid, hiver brûlant ne sens-tu pas le dérèglement ?
Été froid, hiver brûlant j'ai besoin d’une avalanche
De mots braves, détonants, couleur lave dévorants
Il s’en fallu de peu, frôler le creux, serrer les crocs
Des mots braves, détonants, couleur lave dévorants
Il s’en fallu de peu, frôler le creux, serrer les crocs
On n’avait rien à craindre et pourtant on chute
On nous a dit de ne pas nous plaindre même quand on chute
On est plusieurs, on est des milliers
A feindre l'assurance pour éviter de s'entailler
Hé toi misérable, minuscule petit personnage
Qui misa sa vie sur les prises d'otages
Des âmes de tous ceux qu'il est censé aimer
Aucune valeur vilain voleur croyant s’élever
En dévalisant les vallées qui plus tard l'avaleront
Été froid, hiver brûlant j’ai besoin d’une avalanche
De mots braves, détonants, couleur lave dévorants
Il s’en fallu de peu, frôler le creux, serrer les crocs
Des mots braves, détonants, couleur lave dévorants
Il s’en fallu de peu, frôler le creux, serrer les crocs
Des mots braves, détonants, couleur lave dévorants
Il s’en fallu de peu, frôler le creux, serrer les crocs
Des mots braves, détonants, couleur lave dévorants
Il s’en fallu de peu, frôler le creux, serrer les crocs
Des souvenirs en prime qui narguent mon présent
Découpant l'avenir à vif en tas de marques oppressantes
Et dans la nuit qui dure j'ai vu clair dans ton jeu
Mais l'espoir que tu censures restera fier à jamais
D'étranges fumées sortent de nos cœurs qui souffrent
De nos corps qui toussent, de nos propos qui se troublent
Ma nervosité m'écorche, pire elle m'accable
Je n'ai plus peur de rien, je peux même te faire la danse macabre
Merci 👍👍👏
Bravo!! c'est cool qu'il y ait d'autres acteurs de 120bpm
Je kiff ce que tu fais et dans ton clip j'ai même reconnue Liza une circassienne dans le spectacle" la femme de trop". A chaque fois que j'écoute l'une de tes musiques je suis transportée dans un autre monde 😊
5 ans que j'écoute cette chanson , je l'aime tjs autant 💙 je rêve un peu qu'elle soit chanté en concert
Juste cest musique nest plus dispo sur deezer etc que faire???
This song is fire my lady.
Also love your style.
Big Up from Italy.
Une punchline par ligne dans ce texte !! Le texte est juste trop abouti ... bravo bravo !
"Mais l'espoir que tu censures restera fier a jamais"
🇧🇷🇧🇷🇧🇷😍🥰💚💛💜💙💗❤️💚💜🇧🇷🇧🇷😍🥰😍😍😍🎼🎼🎞️🎥
Pour quand jimmy? 💗
Ma foi très bien tout ceci
le texte est si beau !
Les acteurs, la musique les paroles... juste génial Et la réalisation au top
👍👍👍👍
Aaaa mais c'est encore que du bon ❤❤
Mais quelle merveille .. big up aloïse
Super artiste, tu mérites de percer 😘
Je l'aime.
Trop fou trop fou trop fou
TERRIBLE..
T'es magique
FOND L APERO
Trop de talent
wooo ! J'adore !
merci adé 😍
J'ai les sourcils qui froncent sans cesse
Le ventre qui brûle les nerfs qui contractent ma face
Tu croyais m'abattre c'est raté
Sache que la provocation ne m'a jamais épatée
Il y a peu je me terrais me taisant en face à la terreur trouble qui me terrassait
J’errais dans les rues trop éreintée pour y voir clair
Laissant mes efforts se défenestrer sans dire “au revoir”
Le dégoût cramponné aux baskets
Les dégâts qui chantonnent à tue-tête
Été froid, hiver brûlant ne sens-tu pas le déréglement ?
Été froid, hiver brûlant j’ai besoin d’une avalanche
Des mots braves, détonants, couleur lave dévorants
Il s’en fallu de peu, frôler le creux, serrer les crocs
Des mots braves, détonants, couleur lave dévorants
Il s’en fallu de peu, frôler le creux, serrer les crocs
On n’avait rien à craindre et pourtant on chute
On nous avait dit de ne pas nous plaindre et pourtant on chute
On est plusieurs, on est de milliers
A feindre l'assurance pour éviter de s'entailler
Hé toi misérable, minuscule petit personnage
Qui misa sa vie sur les prises d'otages
Des âmes de tous ceux qu'il est censé aimer
Aucune valeur vilain voleur croyant s’élever
En dévalisant les vallées qui plus tard l'avaleront
Été froid, hiver brûlant j’ai besoin d’une avalanche
Des mots braves, détonants, couleur lave dévorants
Il s’en fallu de peu, frôler le creux, serrer les crocs
Des mots braves, détonants, couleur lave dévorants
Il s’en fallu de peu, frôler le creux, serrer les crocs
Des mots braves, détonants, couleur lave dévorants
Il s’en fallu de peu, frôler le creux, serrer les crocs
Des mots braves, détonants, couleur lave dévorants
Il s’en fallu de peu, frôler le creux, serrer les crocs
Des souvenirs en prime qui narguent mon présent
Découpant l'avenir à vif en tas de marques oppressantes
Et dans la nuit qui dure j'ai vu clair dans ton jeu
Mais l'espoir que tu censures restera fier à jamais
D'étranges fumées sortent de nos cœurs qui souffrent
De nos corps qui toussent,t de nos propos qui se troublent
Ma nervosité m'écorche, pire elle m'accable
Je n'ai plus peur de rien, je peux même te faire la danse macabre