Un organiste « dont on ne sait pas grand chose à son sujet » , « nous ne savons seulement que » - ouf, ça ne fait pas un peu beaucoup ? Mais merci pour cette rareté ! Quelques infos sur l’instrument, peut-être, SVP ? De fières anches, en tout cas ! Et une belle interprétation.
Les formules sont assez lourdes, j'en conviens : les joies d'écrire rapidement ces petites explications sans relecture ! Il s'agit de l'orgue de la cathédrale de Troyes : orgue Cochu du XVIIIe, profondément remanié (mais pas vraiment amélioré) au XXe siècle par George Danion, selon les conventions neoclassiques de l'époque. Reste que le grand jeu a quand même de la vigueur et est assez fidèle aux timbres du grand jeu classique (c'est bien moins le cas pour les plein jeu par exemple). J'ajoute, dans le dernier couplet de la pièce (qui précède la dernière itération du refrain, les trompettes et clairons du Récit et du Positif, puis les bombardes du GO et du Récit. Merci pour le compliment, Musicalement vôtre, Jean P
Un organiste « dont on ne sait pas grand chose à son sujet » , « nous ne savons seulement que » - ouf, ça ne fait pas un peu beaucoup ?
Mais merci pour cette rareté !
Quelques infos sur l’instrument, peut-être, SVP ?
De fières anches, en tout cas ! Et une belle interprétation.
Les formules sont assez lourdes, j'en conviens : les joies d'écrire rapidement ces petites explications sans relecture !
Il s'agit de l'orgue de la cathédrale de Troyes : orgue Cochu du XVIIIe, profondément remanié (mais pas vraiment amélioré) au XXe siècle par George Danion, selon les conventions neoclassiques de l'époque.
Reste que le grand jeu a quand même de la vigueur et est assez fidèle aux timbres du grand jeu classique (c'est bien moins le cas pour les plein jeu par exemple). J'ajoute, dans le dernier couplet de la pièce (qui précède la dernière itération du refrain, les trompettes et clairons du Récit et du Positif, puis les bombardes du GO et du Récit.
Merci pour le compliment,
Musicalement vôtre,
Jean P
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