Merci infiniment 🙏 Étant la marginale de ma famille, la seule à être née en France, je me reconnais dans vos témoignages qui m’aident à avancer. Je vous encourage à continuer!!!
1:01:06 J'ai subi et je subis encore du racisme. Un exemple parmi d'autres, une ancienne collègue, italienne d'origine, pourtant bac + 4 mais tellement inculte et déséquilibrée (désir maladif d'être toujours devant les autres, même pendant les moments de pause chill, où on jouait à trouver des mots avec des lettres au nombre limité) : "Rentre chez toi !" "On est en France ici" et c'était passé crème dans l'open space. Et aucun de mes autres collègues caucasiens ne s'en étaient outrés. Le racisme anti asiatique est banalisé. La psychologie humaine est ainsi ; on s'en prend toujours au plus "faible", à celui qui ne retorque pas, qui se laisse faire. Car celui (ou celle) qui se sent en insécurité (mal dans sa peau), va trouver un faire-valoir pour se sentir supérieur(e), valorisé(e).
Cette vidéo fait partie de mes préférées car elle met en lumière l'équipe et ca c'est archi cool. Bravo force à toi vous
Merci infiniment 🙏
Étant la marginale de ma famille, la seule à être née en France, je me reconnais dans vos témoignages qui m’aident à avancer.
Je vous encourage à continuer!!!
15:50 😥 Oui, ça vaut le coup de continuer de faire Banh Mi. N'en doutez jamais! Merci pour le travail fabuleux que vous faites ❤❤❤
Merci ❤ça nous donne de la force de savoir que notre travail peut vous faire du bien 🥹
1:01:06 J'ai subi et je subis encore du racisme.
Un exemple parmi d'autres, une ancienne collègue, italienne d'origine, pourtant bac + 4 mais tellement inculte et déséquilibrée (désir maladif d'être toujours devant les autres, même pendant les moments de pause chill, où on jouait à trouver des mots avec des lettres au nombre limité) :
"Rentre chez toi !" "On est en France ici" et c'était passé crème dans l'open space.
Et aucun de mes autres collègues caucasiens ne s'en étaient outrés.
Le racisme anti asiatique est banalisé.
La psychologie humaine est ainsi ; on s'en prend toujours au plus "faible", à celui qui ne retorque pas, qui se laisse faire.
Car celui (ou celle) qui se sent en insécurité (mal dans sa peau), va trouver un faire-valoir pour se sentir supérieur(e), valorisé(e).