Quelle exagération dans les propos de "Theo Didymus"! Oui, Uzès est une petite ville touristique, oui des commerces ont disparu mais de nouveaux sont apparus , ainsi que de nouveaux restaurants dont certains très bien notés et appréciés. Oui, il y a du monde en juillet -août mais juin et septembre sont tout à fait vivables ( je vis ici depuis plus de trente ans!). Et l'été ,il suffit d'être un peu malin et d'éviter les créneaux horaires touristiques pour vivre tranquillement... Peu de monde sur les marchés avant 10H, un peu de marche à pied et personne autour de soi hormis sur la place aux herbes et quelques rues adjacentes. besoin de fraîcheur et l'on fait un petit tour dans la vallée de l'Eure... Rien à voir avec les Baux de Provence! Quant à comparer Uzès à Venise, je souris... Uzès est toujours la même et il y fait bon vivre.
"Open my heart, and you will see graved inside of it, Uzès"...pour paraphraser une célèbre citation. 40 ans après ce documentaire inespéré, où l'on peut voir la ville avant et après restauration, qu'est devenu ce bijou, coincé entre Cévennes, Languedoc et Provence, qui avait tant séduit mais parents amoureux des cigales et du midi, mais en quête de calme et d'authenticité ? Malheureusement ce que craignait les interviewés : un haut lieu du tourisme de masse, à l'instar des Baux-de-Provence ou de St-Paul-de-Vence, envahi entre avril et septembre par des hordes affamées s'attablant dans les innombrables mauvais restaurants d'une Place aux Herbes dévoyée et invivable. Et ce n'est pas fini !Les autochtones, chassés par les prix, se réfugient dans la périphérie, évitant la ville 4 mois par an. Les petits commerçants ferment les uns après les autres, comme la boulangerie Uzétienne, ou le traiteur Nougarède, ou le primeur place aux Herbes, pour être remplacés par des restaurants, ou des commerces de glaces, de fringues, de fripes, et de frites : une évolution comme Venise, où chaque appartement à vocation à se transformer en Airbnb.Espérons que la mairie réagisse avant qu'il ne soit trop tard, avant que cet écrin ne devienne définitivement un Disneyland provençal idéalisé pour européen moyen. Les autres se sauvent plus loin : Sauve, Durfort, Nyons, Haut-Languedoc...
Beaucoup trop intéressant de voir des lieux de sa ville il y a 40~ ans !
Effectivement
Quelle exagération dans les propos de "Theo Didymus"! Oui, Uzès est une petite ville touristique, oui des commerces ont disparu mais de nouveaux sont apparus , ainsi que de nouveaux restaurants dont certains très bien notés et appréciés. Oui, il y a du monde en juillet -août mais juin et septembre sont tout à fait vivables ( je vis ici depuis plus de trente ans!). Et l'été ,il suffit d'être un peu malin et d'éviter les créneaux horaires touristiques pour vivre tranquillement... Peu de monde sur les marchés avant 10H, un peu de marche à pied et personne autour de soi hormis sur la place aux herbes et quelques rues adjacentes. besoin de fraîcheur et l'on fait un petit tour dans la vallée de l'Eure... Rien à voir avec les Baux de Provence! Quant à comparer Uzès à Venise, je souris... Uzès est toujours la même et il y fait bon vivre.
Ma ville mes racines ❤
Fabulous film:restorationof Uzès
Ma ville
"Open my heart, and you will see graved inside of it, Uzès"...pour paraphraser une célèbre citation. 40 ans après ce documentaire inespéré, où l'on peut voir la ville avant et après restauration, qu'est devenu ce bijou, coincé entre Cévennes, Languedoc et Provence, qui avait tant séduit mais parents amoureux des cigales et du midi, mais en quête de calme et d'authenticité ? Malheureusement ce que craignait les interviewés : un haut lieu du tourisme de masse, à l'instar des Baux-de-Provence ou de St-Paul-de-Vence, envahi entre avril et septembre par des hordes affamées s'attablant dans les innombrables mauvais restaurants d'une Place aux Herbes dévoyée et invivable. Et ce n'est pas fini !Les autochtones, chassés par les prix, se réfugient dans la périphérie, évitant la ville 4 mois par an. Les petits commerçants ferment les uns après les autres, comme la boulangerie Uzétienne, ou le traiteur Nougarède, ou le primeur place aux Herbes, pour être remplacés par des restaurants, ou des commerces de glaces, de fringues, de fripes, et de frites : une évolution comme Venise, où chaque appartement à vocation à se transformer en Airbnb.Espérons que la mairie réagisse avant qu'il ne soit trop tard, avant que cet écrin ne devienne définitivement un Disneyland provençal idéalisé pour européen moyen. Les autres se sauvent plus loin : Sauve, Durfort, Nyons, Haut-Languedoc...
Maintenant on est envahi de belge anglais et autres casses burnes....
des taudis partout a l'epoque...