Celui qui a disliké sort d'où ? Vraiment hein , longue vie à La Chaîne Bio❤️❤️❤️. Longue Le Nde Sport un chef d'œuvre disque d'or ! Que des larmes dans mes yeux papa me jouait ce morceau de son vivant aujourd'hui je parle de lui au passé ! Mon cœur pleure chaque jour. Merci à toi papa Joe MBOULE pour ces œuvres atemporelles.
@@lobambappe1497 c'est stratégique et juste un modèle. J'ai aimé le costume du mannequin et je l'ai donc porté le jour de ma soutenance de Master. Avec cette photo, je parviens à discuter avec des professeurs de l'étranger pas pour dire qu'ils sont racistes mais le feedback est très rapide. Voilà l'histoire derrière ce profil. Il n'est pas horrible, c'est une créature comme vous et moi. 😊😊😊
Pond'a bwam (bonjour en langue Douala). "Malabar" fait allusion dans les années 70 dans l'imaginaire Douala - pour ne pas dire camerounais - à un homme en surcharge pondérale comme ne l'était pas paradoxalement l'homme musclé qui illustrait les chewing-gums éponymes de l'époque. Joe Mboulè y rajoute une dimension négligée d'un homme dépressif, à la dérive, depuis qu'il a imprudemment chassé son épouse et perclu de regrets et de remords, tente vainement de la récupérer! Celle-ci lui répond (et c'est le refrain) qu'elle ne le reconnait plus, il est un "Malabar" (...) "Après tout, n'est ce pas lui qui a pris l'initiative de leur séparation? Elle ne veut plus de lui, il est devenu un "Malabar" (...)"!
Tous les musiciens se sont surpassés! Ce magnifique solo de Jules KAMGA, la basse de TOURE, les arrangements et les accompagnements de TOTO, sans oublier l'inspiration de MBOULE! Écouter "Malabar" et mourir. "L'humanité est faite de plus de morts que de vivants" prend tout son sens. NB: cette version est presque l'intégrale.
Mon chéri, c'est toi qui est à l'origine de nos problèmes Maintenant tu souhaites que je retourne chez les miens afin qu'on pense que c'est moi qui ai provoqué la rupture Aujourd'hui que tu m'as congédiée pourquoi me cours tu encore après Laisse-moi tranquille à présent, nous n'avons plus rien à nous dire. A présent chacun reste de son côté, et c'est beaucoup mieux ainsi.... En substance c'est une épouse qui se plaint de son mari qui l'a rabrouée parce qu'elle n'aurait pas été une bonne épouse puis se ravise (l'époux) et veut la récupérer.
Pond'a bwam (bonjour en langue Douala). "Malabar" fait allusion dans les années 70 dans l'imaginaire Douala - pour ne pas dire camerounais - à un homme en surcharge pondérale comme ne l'était pas paradoxalement l'homme musclé qui illustrait les chewing-gums éponymes de l'époque. Joe Mboulè y rajoute une dimension négligée d'un homme dépressif, à la dérive, depuis qu'il a imprudemment chassé son épouse et perclu de regrets et de remords, tente vainement de la récupérer! Celle-ci lui répond (et c'est le refrain) qu'elle ne le reconnait plus, il est un "Malabar" (...) "Après tout, n'est ce pas lui qui a pris l'initiative de leur séparation? Elle ne veut plus de lui, il est devenu un "Malabar" (...)"!
Celui qui a disliké sort d'où ? Vraiment hein , longue vie à La Chaîne Bio❤️❤️❤️. Longue Le Nde Sport un chef d'œuvre disque d'or ! Que des larmes dans mes yeux papa me jouait ce morceau de son vivant aujourd'hui je parle de lui au passé ! Mon cœur pleure chaque jour. Merci à toi papa Joe MBOULE pour ces œuvres atemporelles.
J'ai levé le pouce pour votre contribution fils, frère, père OWONA. Mais pourquoi cette horrible photographie de blanc comme illustration de profil?
Cameroun
@@lobambappe1497 c'est stratégique et juste un modèle. J'ai aimé le costume du mannequin et je l'ai donc porté le jour de ma soutenance de Master. Avec cette photo, je parviens à discuter avec des professeurs de l'étranger pas pour dire qu'ils sont racistes mais le feedback est très rapide. Voilà l'histoire derrière ce profil. Il n'est pas horrible, c'est une créature comme vous et moi. 😊😊😊
Pond'a bwam (bonjour en langue Douala). "Malabar" fait allusion dans les années 70 dans l'imaginaire Douala - pour ne pas dire camerounais - à un homme en surcharge pondérale comme ne l'était pas paradoxalement l'homme musclé qui illustrait les chewing-gums éponymes de l'époque. Joe Mboulè y rajoute une dimension négligée d'un homme dépressif, à la dérive, depuis qu'il a imprudemment chassé son épouse et perclu de regrets et de remords, tente vainement de la récupérer! Celle-ci lui répond (et c'est le refrain) qu'elle ne le reconnait plus, il est un "Malabar" (...) "Après tout, n'est ce pas lui qui a pris l'initiative de leur séparation? Elle ne veut plus de lui, il est devenu un "Malabar" (...)"!
Tous les musiciens se sont surpassés! Ce magnifique solo de Jules KAMGA, la basse de TOURE, les arrangements et les accompagnements de TOTO, sans oublier l'inspiration de MBOULE! Écouter "Malabar" et mourir. "L'humanité est faite de plus de morts que de vivants" prend tout son sens. NB: cette version est presque l'intégrale.
@@lobambappe1497 c'est l'intégrale je pense bien la flûte et la durée du morceau sont des indicateurs. Quel morceau !!!
Avec leur musique les artistes sont éternels et sont toujours avec nous
JO tu fus un artiste talentueux
La version originale.
MERCI,!
Merci beaucoup pour cette version intégrale !!!
Vraiment merci. Je la cherchais depuis longtemps. Je ne sais pas pourquoi la version tronquée est plus connue alors que celle-ci est la meilleure.
c’est pour les besoins du clip qu’ils ont fait la version courte
kelkun peut traduir?, il parle de koi svp
Mon chéri, c'est toi qui est à l'origine de nos problèmes
Maintenant tu souhaites que je retourne chez les miens afin qu'on pense que c'est moi qui ai provoqué la rupture
Aujourd'hui que tu m'as congédiée pourquoi me cours tu encore après
Laisse-moi tranquille à présent, nous n'avons plus rien à nous dire.
A présent chacun reste de son côté, et c'est beaucoup mieux ainsi....
En substance c'est une épouse qui se plaint de son mari qui l'a rabrouée parce qu'elle n'aurait pas été une bonne épouse puis se ravise (l'époux) et veut la récupérer.
Pond'a bwam (bonjour en langue Douala). "Malabar" fait allusion dans les années 70 dans l'imaginaire Douala - pour ne pas dire camerounais - à un homme en surcharge pondérale comme ne l'était pas paradoxalement l'homme musclé qui illustrait les chewing-gums éponymes de l'époque. Joe Mboulè y rajoute une dimension négligée d'un homme dépressif, à la dérive, depuis qu'il a imprudemment chassé son épouse et perclu de regrets et de remords, tente vainement de la récupérer! Celle-ci lui répond (et c'est le refrain) qu'elle ne le reconnait plus, il est un "Malabar" (...) "Après tout, n'est ce pas lui qui a pris l'initiative de leur séparation? Elle ne veut plus de lui, il est devenu un "Malabar" (...)"!