Dessine-moi l'éco : Pourquoi le marché du livre est-il encadré ?

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  • เผยแพร่เมื่อ 30 ก.ค. 2019
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    Dessine-moi l'éco est une série de vidéos expliquant les thèmes de l'actualité économique. Les vidéos sont téléchargeables gratuitement sur www.dessinemoileco.com.

ความคิดเห็น • 7

  • @j.j.6677
    @j.j.6677 5 ปีที่แล้ว +12

    Une jolie illustration de la précieuse exception culturelle française qu'il faut défendre.

  • @Thetakerrr
    @Thetakerrr 4 ปีที่แล้ว

    Bonjour, pouvez vous faire une vidéo comparative des différents courtiers intéressant pour les français ? Je viens de découvrir DEGIRO et je suis assez surpris des tarif à 0.04% pour les frais de courtages. Que pensez vous de Bourse Direct Binck et interactive brooker qui propose des tarif à 0.1% de fais de courtages pour les actions donc plus que DEGIRO. Merci (si vous pouvez faire une réponse en vidéo pédagogique je vous remerci)

  • @coraliesw3626
    @coraliesw3626 ปีที่แล้ว

    Merci beaucoup

  • @theo_couesn
    @theo_couesn 9 หลายเดือนก่อน

    ya des 1g3 ou pas

  • @DominiqueLin
    @DominiqueLin 4 ปีที่แล้ว +1

    5% pour la diffusion, vous avez vu ça où?
    Les diffuseurs distributeurs, en incluant la marge librairie prennent aux alentours de 55%, sans compter les frais de stockage et de retour.
    On est loin du compte et de la marge éditeur que vous signalez.

    • @fifa-rb8dm
      @fifa-rb8dm 4 ปีที่แล้ว

      55 % pour la diffusion donc pour vous 45 % en prenant en compte toutes les autres éléments réfléchissez un peu c'est du grand n'importe quoi.

  • @Davout86
    @Davout86 5 ปีที่แล้ว +5

    L'exigence de solidarité ne devrait pas empêcher des soldes d'avoir lieu.
    Le livre souffre du même problème que le cinéma français : subventionné pour préserver la qualité et l'indépendance, il est néanmoins contaminé par la médiocrité (les romans feel-good, entre autres) et la banalité, mais intouchable !
    La vidéo n'a pas parlé de l'incroyable quantité de livres envoyée au pilon... Il faudrait donc revoir le système de starification dont font indûment l'objet certains auteurs, toujours parisiens, toujours dans le sens du vent, toujours américanisés, ce qui permettrait de réaliser quelques économies et donc de faire baisser le prix des livres, à défaut de supprimer le prix unique.