Voilà pourquoi je pourrais m'abonner à ce genre de chaîne. Vous demandez des noms à votre invité, il vous les donne et vous les masquez. Vous en êtes encore à ce niveau et vous voulez combattre le pouvoir de Brazzaville.
Bonne conclusion de monsieur Dzaba sur la nécessaire fraternité des Congolais entre eux et j'espère qu'ils ont compris que c'est justement parce qu'ils ont entretenu un esprit d'hostilité réciproque, une animosité tribale des uns envers les autres qu'ils en payent aujourd'hui le prix. Rien ne pouvait justifier la guerre entre ceux qu'on a appelé les "Tcheks" et les "Niboleks". A la sortie de la Conférence Nationale Souveraine, les Congolais étaient bien dans une régression idéologique sans précédent. Ils sont passés de l'idéologie marxiste plus ou moins assimilée à l'idéologie tribale qui ne conduit jamais à la démocratie mais plutôt à la violence ethnique sous la houlette des ethno- partis. Ceux-ci ne construiront jamais autre chose qu'un Etat ethnique au Congo. Ce que l'opposition congolaise semble ne pas comprendre, d'où ses analyses politiques essentiellement subjectives contre le pouvoir de Brazzaville. On combat ici la personne de Sassou et on pense que la libération du Général Mokoko suffit pour amorcer un Etat de droit au Congo. On est là devant les mêmes naïvetés après la Conférence nationale. On le voit très bien, il manque à l'Opposition congolaise une idéologie de combat, une analyse en terme de lutte de classe dans cet espace géo- politique encore appelé la Françafrique. les concepts élaborés par les panafricanistes sont étrangement absents du vocabulaire de l'opposition congolaise Ce qui la rend stérile à jamais en confortant ainsi la pérennité au pouvoir du PCT.
Bonne analyse. En effet, la stérilité politique de l'opposition congolaise aujourd'hui vient de sa vacuité conceptuelle et idéologique. Avant la chute du mur de Berlin, les oppositions pouvaient s'appuyer sur les ideologies ambiantes de l'époque pour mener leurs combats politiques (capitalisme vs socialisme, libéralisme vs interventionnisme étatique, etc). Aujourd'hui, avec la disparition des idéologies interventionnistes (marxisme-leninisme, socialisme, communisme, etc), les oppositions sont totalement démunies idéologiquement et leur combat politique se limite à la critique et la demande de depart du pouvoir du président congolais actuel. Si cette opposition arrive demain aux affaires, on se demande sur quelle base conceptuelle et idéologique elle va pouvoir gouverner le pays et faire mieux que les tenants actuels du pouvoir congolais. En ce qui concerne l'unité des congolais, on entend souvent dire : "les congolais doivent s'unir du Nord au Sud, de l'Est à l'Ouest et au Centre" ; " les congolais doivent se lever comme un seul homme" ; " nous autres congolais, on ne s'aiment pas, aimons nous ?" ; etc. Mais l'unité nationale ne décrète pas. Elle se construit, avec souvent à la tête de cette construction un ou plusieurs leaders. A défaut, les invitations à l'union ou à l'unité nationale restent des propos incantatoires sans effets réels sur l'objectif visé. Bref, les congolais doivent aujourd'hui se réinventer en produisant eux-mêmes des concepts et des idéologies adaptés à leur situation socio-économique et politique. Et, ça, ce n'est pas facile, ce n'est pas donné à tout le monde ! C'est pourquoi nos "opposants" tournent en rond en se bornant à critiquer le pouvoir actuel sans proposer une réelle vision alternative.
Approche estimative. La solution que requièrent les problématiques ici évoquées réside essentiellement sur l'instauration d'un véritable état de droit. Nous devrons inscrire sur le fronton de chacune de nos institutions la charte sur les principes des droits et des devoirs du citoyen congolais. Ces problèmes existentiels qui sont d'ordre sociologique, anthropologique et/ou ethnologique, et auxquels vous faites allusion, y trouveront leur solution. L'adoption d'une charte sur les droits et les devoirs à l'echelle nationale , suffira pour ennoblir l'esprit du congolais, dignifier son âme, lui revêtir de sa parure d'antan. Le reste n'est que supputation.
@@moondekidek L 'instauration d'un véritable Etat de droit n'est pas une solution mais la conséquence d'une solution qui elle, provient de la résolution des contradictions sociales dûment repérées et analysées. En d'autres termes, il faut que les Congolais soient d'abord en capacité politique d'instaurer quoi que ce soit. C'est une fois le peuple au pouvoir qu'il peut entreprendre les réformes voulues. Les rapports de force en présence au Congo ne permettent pas de dire que le peuple est au pouvoir. Le Congo reste et demeure encore une néo-colonie insérée dans la zone franc cfa. Il est donc sous la tutelle des oligarchies financières et pétrolières de la France en particulier. C'est une contradiction fondamentale à résoudre qu'évoquait en son temps le Président Marien Ngouabi Cela ne sert à rien de développer de grandes phrases sur la démocratie, la chartre des droits et devoirs des Congolais dans ce contexte de la Françafrique. Le pouvoir de Brazzaville apparaît comme la forme politique de la domination française des Congolais dans le pré-carré français. C'est dire que la lutte contre le PCT au pouvoir doit s'appréhender aussitôt comme une lutte contre la bourgeoisie française. Cela, les Etats de l'AES l'ont bien compris. L'Opposition de ce point de vue est sur la lune. Une autre contradiction à résoudre est celle qui oppose le peuple Congolais à lui même, notamment à travers les idéologies ethniques régionalistes et autres. Cette problématique demande de définir ce que c'est que le peuple en tant qu'acteur majeur de sa propre histoire. Il s'agit pour les Congolais de bâtir une république en déconstruisant l'Etat ethnique actuel et donc la Françafrique qui l'entretient. On conviendra de dire ici que les acteurs politiques de cette déconstruction ne sauront être les ethno-partis actuels. Un ethno- parti de par sa nature ne peut qu'ériger un Etat ethnique, lui même plus ou moins affilié à la bourgeoisie internationale. Le peuple n'a pas intérêt à s'agglutiner autour des partis ethniques ou régionalistes qui sont de véritables foyers de l'instabilité politique. Il lui reste de se regrouper dans de puissants mouvements des masses, un peu comme à l'époque du Président Marien Ngouabi. Les jeunes peuvent se retrouver dans une puissante organisation juvénile, les travailleurs dans une puissante confédération syndicale, les femmes et les séniors n'étant pas en reste. Ces organisations créent justement les forces potentielles du peuple avec ce privilège d'envoyer eux aussi des députés dans une Assemblée Nationale Constituante et générer ainsi la démocratie participative. Quant aux ethno-partis, l'Assemblée Constituante sera amenée à prendre des mesures drastiques pour les obliger à fusionner et à créer au moins trois courants politiques tolérés par le peuple: un courant de droite, un courant du centre et un courant de gauche. Voilà, le peuple Congolais pourra ainsi retrouver son énergie politique par delà les tribus, se mobiliser facilement pour conquérir sa souveraineté et bâtir son Etat de droit
@moondekidek L'instauration d'un État de droit au Congo-B est un impératif partagé par tous. Pour autant, il faut se garder d'adopter une approche simpliste vis-à-vis de cette notion très complexe. En effet, l'État de droit est une construction longue et complexe qui ne peut se reduire à une simple inscription de la charte des droits et devoirs des citoyens sur les frontons des bâtiments abritant les institutions. Un État de droit, implique l'implémentation de la règle de droit à tous les niveaux et dans toutes les sphères publiques qu'elles soient économiques, politiques ou sociales. L'Etat de droit c'est aussi un État dans lequel aucun individu, quel que soit son rang social ou sa position sociale n'est au-dessous de la règle de droit. Enfin, L'Etat de droit c'est une culture, c'est-à-dire des citoyens respectueux de la règle de droit (lois et règlements) qui s'impose à tous. Au regard de tout ce qui précède., vous conviendrez avec moi que la simple inscription de la charte des droits et devoirs des citoyens sur les devantures des institutions ne peut constituer à elle seule la solution aux problèmes extrêmement graves que connaît notre pays sur tous les plans, à commencer par le plan politique où la loi fondamentale n'est pas toujours respectée, où certains, de part leur positionnement social se considèrent au-dessus de la loi et où le tribalisme semble devenir la seule boussole qui guide l'action publique. Pour ma part, je partage plutôt le point de vue de LaurentKOUNKOU selon lequel L'Etat de droit doit découler d'une analyse préalable des maux qui minent la société congolaise et non quelque chose d'exogène qu'il faudra "plaquer" telle quelle et qui finira par ne pas fonctionner, voire produire des résultats inverses aux attentes de la population car totalement inadaptée aux réalités socio-économiques de notre pays.
John Binith cite des noms et vous les masquez. Pourquoi ? Les congolais veulent savoir. S'il s'agit de diffamation, John Binith vit en France. Les personnes citées pourront porter plainte et John Binith sera condamné pour diffamation. Donc laissez nous prendre connaissance des noms cités.
@moussicongo3 Vraiment ! En plus il parle de liberté d'expression alors qu'il masque les noms avec un bruitage amateur. Monsieur Jonh - Binith Dzaba devrait refaire cet interwiew dans un autre média.
@@muasimoyindo4858 Bonne proposition. Si John Binith nous lit, il doit aller sur d'autres médias plus courageux et plus responsables pour nous donner ces noms. Les corrompus de la Place de Paris doivent être démasqués et connus de tous. Je répète si les gens qui seront désignés s'estiment être diffamés, ils sont en France, la France est un État de droit, ils pourront portés plainte et si John Binith a jeté en pâture des noms des gens, il sera condamné. Il dit lui-même qu'il a déjà des procès sur le dos. Je ne pense pas qu'il est masochisme au point de prendre le risque de nouveaux procès sur le dos. Donc, Congo liberty, enlever votre censure sur les noms cités par John Binith. Les congolais veulent connaître ces individus corrompus qui font que notre pays au mieux fait du surplace au pire recule !
Nous suivons John mais pourquoi quand il veut site un nom il ya un bruit qui a paru c'est quoi par la Nous sommes bouleversé Nous en voulais suivent attentivement NB
Les 100 articles dits canons sur le mariage chrétien de l'Eglise Catholique romaine sont clairs et précis. Monogamie et bien commun obligatoire pas de divorce autorisé, seule la mort d'un conjoint sépare un couple.
Mon frère Binith j ai confiance en vous et je sais que la lutte continue et nous sommes ensembles bon vent mon frère n en déplaise
Voilà pourquoi je pourrais m'abonner à ce genre de chaîne. Vous demandez des noms à votre invité, il vous les donne et vous les masquez. Vous en êtes encore à ce niveau et vous voulez combattre le pouvoir de Brazzaville.
Bonne conclusion de monsieur Dzaba sur la nécessaire fraternité des Congolais entre eux et j'espère qu'ils ont compris que c'est justement parce qu'ils ont entretenu un esprit d'hostilité réciproque, une animosité tribale des uns envers les autres qu'ils en payent aujourd'hui le prix. Rien ne pouvait justifier la guerre entre ceux qu'on a appelé les "Tcheks" et les "Niboleks". A la sortie de la Conférence Nationale Souveraine, les Congolais étaient bien dans une régression idéologique sans précédent. Ils sont passés de l'idéologie marxiste plus ou moins assimilée à l'idéologie tribale qui ne conduit jamais à la démocratie mais plutôt à la violence ethnique sous la houlette des ethno- partis. Ceux-ci ne construiront jamais autre chose qu'un Etat ethnique au Congo. Ce que l'opposition congolaise semble ne pas comprendre, d'où ses analyses politiques essentiellement subjectives contre le pouvoir de Brazzaville.
On combat ici la personne de Sassou et on pense que la libération du Général Mokoko suffit pour amorcer un Etat de droit au Congo. On est là devant les mêmes naïvetés après la Conférence nationale. On le voit très bien, il manque à l'Opposition congolaise une idéologie de combat, une analyse en terme de lutte de classe dans cet espace géo- politique encore appelé la Françafrique. les concepts élaborés par les panafricanistes sont étrangement absents du vocabulaire de l'opposition congolaise Ce qui la rend stérile à jamais en confortant ainsi la pérennité au pouvoir du PCT.
Bonne analyse. En effet, la stérilité politique de l'opposition congolaise aujourd'hui vient de sa vacuité conceptuelle et idéologique. Avant la chute du mur de Berlin, les oppositions pouvaient s'appuyer sur les ideologies ambiantes de l'époque pour mener leurs combats politiques (capitalisme vs socialisme, libéralisme vs interventionnisme étatique, etc).
Aujourd'hui, avec la disparition des idéologies interventionnistes (marxisme-leninisme, socialisme, communisme, etc), les oppositions sont totalement démunies idéologiquement et leur combat politique se limite à la critique et la demande de depart du pouvoir du président congolais actuel. Si cette opposition arrive demain aux affaires, on se demande sur quelle base conceptuelle et idéologique elle va pouvoir gouverner le pays et faire mieux que les tenants actuels du pouvoir congolais.
En ce qui concerne l'unité des congolais, on entend souvent dire : "les congolais doivent s'unir du Nord au Sud, de l'Est à l'Ouest et au Centre" ; " les congolais doivent se lever comme un seul homme" ; " nous autres congolais, on ne s'aiment pas, aimons nous ?" ; etc. Mais l'unité nationale ne décrète pas. Elle se construit, avec souvent à la tête de cette construction un ou plusieurs leaders. A défaut, les invitations à l'union ou à l'unité nationale restent des propos incantatoires sans effets réels sur l'objectif visé. Bref, les congolais doivent aujourd'hui se réinventer en produisant eux-mêmes des concepts et des idéologies adaptés à leur situation socio-économique et politique. Et, ça, ce n'est pas facile, ce n'est pas donné à tout le monde ! C'est pourquoi nos "opposants" tournent en rond en se bornant à critiquer le pouvoir actuel sans proposer une réelle vision alternative.
@@moussicongo3269 Très belle approche. Bravo
Approche estimative.
La solution que requièrent les problématiques ici évoquées réside essentiellement sur l'instauration d'un véritable état de droit. Nous devrons inscrire sur le fronton de chacune de nos institutions la charte sur les principes des droits et des devoirs du citoyen congolais. Ces problèmes existentiels qui sont
d'ordre sociologique, anthropologique et/ou ethnologique, et auxquels vous faites allusion, y trouveront leur solution. L'adoption d'une charte sur les droits et les devoirs à l'echelle nationale , suffira pour ennoblir l'esprit du congolais, dignifier son âme, lui revêtir de sa parure d'antan. Le reste n'est que supputation.
@@moondekidek L 'instauration d'un véritable Etat de droit n'est pas une solution mais la conséquence d'une solution qui elle, provient de la résolution des contradictions sociales dûment repérées et analysées. En d'autres termes, il faut que les Congolais soient d'abord en capacité politique d'instaurer quoi que ce soit. C'est une fois le peuple au pouvoir qu'il peut entreprendre les réformes voulues. Les rapports de force en présence au Congo ne permettent pas de dire que le peuple est au pouvoir. Le Congo reste et demeure encore une néo-colonie insérée dans la zone franc cfa. Il est donc sous la tutelle des oligarchies financières et pétrolières de la France en particulier. C'est une contradiction fondamentale à résoudre qu'évoquait en son temps le Président Marien Ngouabi Cela ne sert à rien de développer de grandes phrases sur la démocratie, la chartre des droits et devoirs des Congolais dans ce contexte de la Françafrique. Le pouvoir de Brazzaville apparaît comme la forme politique de la domination française des Congolais dans le pré-carré français. C'est dire que la lutte contre le PCT au pouvoir doit s'appréhender aussitôt comme une lutte contre la bourgeoisie française. Cela, les Etats de l'AES l'ont bien compris. L'Opposition de ce point de vue est sur la lune. Une autre contradiction à résoudre est celle qui oppose le peuple Congolais à lui même, notamment à travers les idéologies ethniques régionalistes et autres. Cette problématique demande de définir ce que c'est que le peuple en tant qu'acteur majeur de sa propre histoire. Il s'agit pour les Congolais de bâtir une république en déconstruisant l'Etat ethnique actuel et donc la Françafrique qui l'entretient. On conviendra de dire ici que les acteurs politiques de cette déconstruction ne sauront être les ethno-partis actuels. Un ethno- parti de par sa nature ne peut qu'ériger un Etat ethnique, lui même plus ou moins affilié à la bourgeoisie internationale. Le peuple n'a pas intérêt à s'agglutiner autour des partis ethniques ou régionalistes qui sont de véritables foyers de l'instabilité politique. Il lui reste de se regrouper dans de puissants mouvements des masses, un peu comme à l'époque du Président Marien Ngouabi. Les jeunes peuvent se retrouver dans une puissante organisation juvénile, les travailleurs dans une puissante confédération syndicale, les femmes et les séniors n'étant pas en reste. Ces organisations créent justement les forces potentielles du peuple avec ce privilège d'envoyer eux aussi des députés dans une Assemblée Nationale Constituante et générer ainsi la démocratie participative. Quant aux ethno-partis, l'Assemblée Constituante sera amenée à prendre des mesures drastiques pour les obliger à fusionner et à créer au moins trois courants politiques tolérés par le peuple: un courant de droite, un courant du centre et un courant de gauche.
Voilà, le peuple Congolais pourra ainsi retrouver son énergie politique par delà les tribus, se mobiliser facilement pour conquérir sa souveraineté et bâtir son Etat de droit
@moondekidek
L'instauration d'un État de droit au Congo-B est un impératif partagé par tous. Pour autant, il faut se garder d'adopter une approche simpliste vis-à-vis de cette notion très complexe. En effet, l'État de droit est une construction longue et complexe qui ne peut se reduire à une simple inscription de la charte des droits et devoirs des citoyens sur les frontons des bâtiments abritant les institutions. Un État de droit, implique l'implémentation de la règle de droit à tous les niveaux et dans toutes les sphères publiques qu'elles soient économiques, politiques ou sociales. L'Etat de droit c'est aussi un État dans lequel aucun individu, quel que soit son rang social ou sa position sociale n'est au-dessous de la règle de droit. Enfin, L'Etat de droit c'est une culture, c'est-à-dire des citoyens respectueux de la règle de droit (lois et règlements) qui s'impose à tous.
Au regard de tout ce qui précède., vous conviendrez avec moi que la simple inscription de la charte des droits et devoirs des citoyens sur les devantures des institutions ne peut constituer à elle seule la solution aux problèmes extrêmement graves que connaît notre pays sur tous les plans, à commencer par le plan politique où la loi fondamentale n'est pas toujours respectée, où certains, de part leur positionnement social se considèrent au-dessus de la loi et où le tribalisme semble devenir la seule boussole qui guide l'action publique.
Pour ma part, je partage plutôt le point de vue de LaurentKOUNKOU selon lequel L'Etat de droit doit découler d'une analyse préalable des maux qui minent la société congolaise et non quelque chose d'exogène qu'il faudra "plaquer" telle quelle et qui finira par ne pas fonctionner, voire produire des résultats inverses aux attentes de la population car totalement inadaptée aux réalités socio-économiques de notre pays.
John Binith cite des noms et vous les masquez. Pourquoi ? Les congolais veulent savoir. S'il s'agit de diffamation, John Binith vit en France. Les personnes citées pourront porter plainte et John Binith sera condamné pour diffamation. Donc laissez nous prendre connaissance des noms cités.
@moussicongo3
Vraiment ! En plus il parle de liberté d'expression alors qu'il masque les noms avec un bruitage amateur.
Monsieur Jonh - Binith Dzaba devrait refaire cet interwiew dans un autre média.
@@muasimoyindo4858
Bonne proposition. Si John Binith nous lit, il doit aller sur d'autres médias plus courageux et plus responsables pour nous donner ces noms. Les corrompus de la Place de Paris doivent être démasqués et connus de tous. Je répète si les gens qui seront désignés s'estiment être diffamés, ils sont en France, la France est un État de droit, ils pourront portés plainte et si John Binith a jeté en pâture des noms des gens, il sera condamné. Il dit lui-même qu'il a déjà des procès sur le dos. Je ne pense pas qu'il est masochisme au point de prendre le risque de nouveaux procès sur le dos. Donc, Congo liberty, enlever votre censure sur les noms cités par John Binith. Les congolais veulent connaître ces individus corrompus qui font que notre pays au mieux fait du surplace au pire recule !
Nous suivons John mais pourquoi quand il veut site un nom il ya un bruit qui a paru c'est quoi par la Nous sommes bouleversé Nous en voulais suivent attentivement NB
Parmi les personnes citées, vous pouvez lire des lèvres de Monsieur Ndzaba, le nom de Aristide Mobebissi(200000€)
Les 100 articles dits canons sur le mariage chrétien de l'Eglise Catholique romaine sont clairs et précis. Monogamie et bien commun obligatoire pas de divorce autorisé, seule la mort d'un conjoint sépare un couple.
Qui est madame Joli
Moi je suis animiste.
L'opposition congolaise est à l'image de l'executif de Sassou, nulle.
L'interviewer est encore plus lamentable !!
Vous pensez que c'est au pape de lui pardonner le crime du cardinal ? Même Jésus qui est amour n'a pas pardoné le péché de Judas Iscariot
😂😂😂
Les chiens aboient, la caravane passe.