C'était hier

แชร์
ฝัง
  • เผยแพร่เมื่อ 16 ม.ค. 2025

ความคิดเห็น • 48

  • @COLLECTIFREOS
    @COLLECTIFREOS 6 หลายเดือนก่อน +1

    Merci pour ce moment de belle poésie.
    La superposition finale des peaux jeune et vieille m'a particulièrement touchée. William A.

  • @COLLECTIFREOS
    @COLLECTIFREOS 4 หลายเดือนก่อน

    Vu et revu, écouté et à nouveau écouté. Beauté et mystère du visage humain, de la main humaine. Le temps déployé pour qu'elle advienne, pour qu'il advienne. Frédéric L.

    • @christopheschaeffermovies
      @christopheschaeffermovies  4 หลายเดือนก่อน

      C'est le temps de voir et d'écouter. En fait, le temps d'être... Merci Frédéric.

  • @COLLECTIFREOS
    @COLLECTIFREOS 6 หลายเดือนก่อน +1

    Encore un très beau film, sensible et qui m’a particulièrement touché. Merci et bravo. Dominique L.

  • @COLLECTIFREOS
    @COLLECTIFREOS 6 หลายเดือนก่อน +1

    Particulièrement ému par cette vidéo. La mémoire, le temps qui passe, le grain l’image ou se confond presque l’homme en un paysage de givre.
    Merci
    Seb

    • @christopheschaeffermovies
      @christopheschaeffermovies  6 หลายเดือนก่อน

      Merci comme toujours du retour sur les films car tes mots sont toujours très inspirés et inspirants d’ailleurs.

  • @COLLECTIFREOS
    @COLLECTIFREOS 6 หลายเดือนก่อน +1

    J’ai vu un pied et un oeil, toujours le choix des détails, les impressions trompeuses, ou les surimpression de l’imaginaire. Une attention au corps, toujours, aux peaux, à la vieillesse aussi, touchante. Giulio.

  • @BIKEMAN93
    @BIKEMAN93 7 หลายเดือนก่อน +1

    J'ai eu du mal à aller jusqu'au bout, Çà m'a un peu secoué en ce moment.. Magnifique.

    • @christopheschaeffermovies
      @christopheschaeffermovies  7 หลายเดือนก่อน

      Merci à toi. Idem pour moi. Travailler sur la perte n'est jamais neutre. Mais c'est essentiel aussi pour avancer. A chacun son rythme...

  • @angeliquecormier5735
    @angeliquecormier5735 6 หลายเดือนก่อน +1

    Peau-parchemin
    Là où l’œil et la main écrivent l’amour.
    Chaque pli est un souvenir.
    Tout est là.
    ~
    Merci pour l’émotion.

    • @christopheschaeffermovies
      @christopheschaeffermovies  6 หลายเดือนก่อน +1

      Merci… c’est joliment dit. Chaque pli est un souvenir, cache ses secrets, des non-dits qui libèrent de l’énergie dans la tectonique des émotions.

    • @angeliquecormier5735
      @angeliquecormier5735 6 หลายเดือนก่อน

      @@christopheschaeffermovies la tectonique des émotions… exactement

  • @COLLECTIFREOS
    @COLLECTIFREOS 6 หลายเดือนก่อน +1

    Je suis toujours heureux de recevoir tes poèmes, justement sur le temps qui passe …
    tes collages sont fertiles pour le sens que l’on peut y trouver.
    Je n’ai pas forcement toujours les références (quand il y en a) des images et de la musique,
    mais tes films sont évocateurs, riches d’expressions, toujours en perspective, remplis de fine tendresse ;
    en fait rien de vraiment nouveau que je ne t'ai déjà dit,
    si ce n'est que ça donnerait presque l’envie de faire de la musique sur leur projection …
    Bravo et merci pour leur réalisation. Jean-Paul A.

    • @christopheschaeffermovies
      @christopheschaeffermovies  6 หลายเดือนก่อน

      Merci Jean-Paul de ton message amical.
      Très heureux d’avoir de tes nouvelles. Je ne m’inquiétais pas de ton absence car c’est aussi le jeu (et la vie) de prendre un peu de distance comme pour savoir mieux revenir.
      Je travaille beaucoup en ce moment avec le théâtre musical et les concerts pour la lumière mais aussi pour les films. Donc quand tu me parles de ton envie de faire de la musique sur les films, ça ne tombe pas dans l’oreille d’un sourd ;)

  • @COLLECTIFREOS
    @COLLECTIFREOS 7 หลายเดือนก่อน +1

    Cette fois, les images me touchent plus encore, les sensations visuelles deviennent une émotion réelle.
    J'ai le sentiment de vivre cela et par ce court de transfigurer le réel de la vieillesse. Le visage et la main bien que marqués
    par la vie nous racontent avec une telle tendresse la vie passée qu'ils en deviennent réellement beaux.
    On en découvre l'humaine beauté et c'est une belle et rare prouesse ! Yannick L.

    • @christopheschaeffermovies
      @christopheschaeffermovies  7 หลายเดือนก่อน

      Merci Yannick.
      La beauté de la fragilité, qui transparaît à travers la peau froissée. Le mot de tendresse est absolument le bon. Ce qui nous touche est à l’opposé de la dureté. L’enfance et la vieillesse se retrouvent ici.

  • @COLLECTIFREOS
    @COLLECTIFREOS 6 หลายเดือนก่อน +1

    Bravo!!! Très très beau! Marie-Elisabeth

  • @COLLECTIFREOS
    @COLLECTIFREOS 6 หลายเดือนก่อน +1

    J’aime bcp, cette musique « tonale » narrative qui aide à l’accès aux images plus étranges mais accessibles…
    Merci
    N A

  • @COLLECTIFREOS
    @COLLECTIFREOS 6 หลายเดือนก่อน +1

    Je ne te fais pas de retour systématiquement mais sache que je suis avec toujours autant de plaisir ton travail. Bertrand C.

    • @christopheschaeffermovies
      @christopheschaeffermovies  6 หลายเดือนก่อน

      C’est aussi ainsi que je conçois la chose artistique qu’est la relation humaine ;) pas de systématisme…

  • @COLLECTIFREOS
    @COLLECTIFREOS 6 หลายเดือนก่อน

    Comment ne pas aimer un film qui progressivement, en filigrane, conduit vers l'un des chefs d'oeuvre du cinéma. J'ai été fascinée par l'oeil de ce vieil homme, l'oeil lui-même, ces cillements... C'était hier, oui... Colette K.

    • @christopheschaeffermovies
      @christopheschaeffermovies  6 หลายเดือนก่อน

      L'oeil parle du bout de la pupille. Des mots comme des battements. Merci Colette.

  • @COLLECTIFREOS
    @COLLECTIFREOS 6 หลายเดือนก่อน

    Très beau. Jean-Luc T.

  • @COLLECTIFREOS
    @COLLECTIFREOS 6 หลายเดือนก่อน +1

    Ce profil entêtant de Vladimir Horowitz -il me plaît de croire que c'est lui- et je crois savoir qu'il aimait beaucoup manger au restaurant, et notamment des plats de poissons...ce profil vit au rythme lent d'une mastication ,et c'est là que surgit ce qui le nourrit:le visage de la beauté, la longue et délicieuse et délicate séquence d'une scène de première vue comme le cinéma peut en construire pour nous rappeler que cette scène est ce qui inaugure la seconde scène:celle de la rencontre. Alors oui, on peut aimer avec passion ce film, in the mood for love, et la bande son de ton film, Christophe, est un tendre forage dans la tête du vieil homme qui songe à la beauté.La main est aussi l'instrument de ce qu'il veut (re)mettre dans sa tête:un souvenir d'amour perdu, un visage qui contiendrait tout le ravissement qui lui donnait le vertige...on ne sait pas, mais cette main est dynamogénique comme aurait pu dire Bachelard, et porte le geste de création au plus près de la vérité qui anime le visage de ce vieil homme:elle capture, retient ce qui vient se superposer à l'intensité de l'instant:un autre visage, le féminin, le visage de la grâce ,lisse et soyeux comme une image sainte, mais que la main peut brouiller, chiffonner et rendre grimaçant tant il est pénible de faire durer dans le temps l'image d'une beauté que le temps ne souillerait jamais.
    C'est un petit bijou de film, intense et qui décline le ravissement amoureux dans un présent qui est la promesse d'un retour à la première fois...Il était une fois, c'était hier, et rien n'est oublié:tout peut recommencer. Eric S.

    • @christopheschaeffermovies
      @christopheschaeffermovies  6 หลายเดือนก่อน

      Éric,
      Ton retour me touche d’une façon qu’il m’est difficile de décrire et d’écrire… Chacun de tes mots entre dans une résonance si subtile avec ce que je vis. Tu es bien au-delà de la compréhension car c’est évidemment une autre dimension qui est en jeu. Tu es au cœur du film par le sentiment qui l’anime de l’intérieur. Tes images aussi : « ce tendre forage » est l’expression exacte pour décrire le cheminement. Chaque poème est un film, chaque film est un poème, ta parole de poète irrigue le sillon du poème jusqu’à une profondeur insoupçonnée. Reconnaissance infinie.

  • @COLLECTIFREOS
    @COLLECTIFREOS 6 หลายเดือนก่อน +1

    Merci à toi.
    Hyacinthe

  • @COLLECTIFREOS
    @COLLECTIFREOS 6 หลายเดือนก่อน +1

    il aurait sans doute voulu vieillir avec elle mais elle n’est pas là…
    très touché, merci. Franck B.

    • @christopheschaeffermovies
      @christopheschaeffermovies  6 หลายเดือนก่อน

      L’histoire de la vie, non ? Ou de son fantasme peut-être. Il aurait suffi que cela soit possible pour que tout s’arrête… Sans la mélancolie les rossignols se mettraient à roter, disait Cioran.
      Merci Franck.

  • @COLLECTIFREOS
    @COLLECTIFREOS 6 หลายเดือนก่อน +1

    Encore une fois voici un instant de poésie .
    Merci pour tes transferts personnalisés qui me touchent. Elise C.

  • @COLLECTIFREOS
    @COLLECTIFREOS 6 หลายเดือนก่อน

    Tes films sont toujours beaux et curieux !! Katia M.

  • @bealinon8357
    @bealinon8357 7 หลายเดือนก่อน +1

    Un très beau film, poétique et émouvant !
    Il vient nous toucher dans notre rapport au temps et à la vie… qui file à toute vitesse. Nostalgie des souvenirs, d’un temps révolu, d’un amour ?
    Dès le début, le regard de cet homme âgé nous captive car il est lui-même captivé. Comme présent à un ailleurs que nous ne voyons pas. Nous sommes invités à entrer dans son univers et entendons des sons, des voix parlées et chantées qui évoquent des temporalités différentes. Conversations perçues ou souvenirs, ou encore les deux qui s’entremêlent… ?
    Puis soudain, sa main, au rôle jusque-là plutôt fonctionnel et machinal, semble habitée d’une intention propre et lui délivre un message qui retient son attention. Le violon d’In the Mood for Love se fraie alors un chemin plus prégnant vers ses oreilles et les nôtres, accrochant un froncement de sourcils dans les méandres de sa mélodie. Le souvenir coloré vient se superposer à la scène première, devenant tout aussi présent que celle-ci. La basse se conjugue aux battements du coeur, ici et maintenant. Il n’y a alors plus de passé, seulement un esprit qui voyage et qui rend vivant et tangible dans l’instant ce qui est ou a été vécu, rêvé, désiré, imaginé… C’était peut-être hier, ou avant-hier, ou bien en 68… ? Le temps ne se compte plus en durée mais en espace et en intensité de vécu. Seule la peau compte les bougies.
    C’est comme si le vieil homme renouait le lien avec ce souvenir, avec cette femme, grâce à sa main (mieux qu’avec un téléphone portable?!). Ambiance délicate, sentimentale, intense… Le temps est suspendu. Lorsque l’homme à la cigarette apparaît, il semble pousser la main du vieil homme, perturbant la connexion que ce dernier avait avec la jeune femme. La scène change, la musique aussi : l’un des deux hommes était-il ou serait-il toujours « fou d’amour » ?
    Puis silence… Gros plan sur le visage de cette femme et sur ses yeux, superposés en miroir sur ceux du vieil homme. Le contact est direct. Plus de décor, plus de son, juste la présence et la beauté. Toujours là.
    Les sons reviennent et se mélangent, mêlant rêverie et « réalité ». Johnny ralentit, avec un écho de 68, le visage de la femme s’estompe et disparaît. Nous revenons dans le lieu de départ.
    La main du vieil homme referme alors la porte de cet espace finalement délimité par les reliefs de sa peau, comme autant de sentiers traversés lors d’une vie vécue aussi pleinement que possible. Hier, aujourd’hui, demain…
    Quelle est réellement la substance de nos souvenirs ? Dans quelle mesure font-ils partie de nous ? Quelle empreinte leur donnons-nous sur ce que nous sommes dans un présent sans cesse renouvelé et sommes-nous libres de choisir la profondeur de cette empreinte… ?
    Merci Christophe d’avoir offert par ce nouveau film l’opportunité d’un fabuleux voyage dans la complexité du vécu humain et la richesse de la vie !
    Une ode au vivant, à l’amour, à l’éternité…

    • @christopheschaeffermovies
      @christopheschaeffermovies  7 หลายเดือนก่อน

      Une ode au vivant, à l’amour, à l’éternité… On ne peut pas mieux dire. La nostalgie est le propre de l’homme, dit Camus. Je me bats ou me débats souvent dans ce vécu. Tu retranscris le coeur du film de façon très belle en résonance avec ce qui me touche profondément. Mille Mercis… Face au temps qui passe quelque chose résiste, comme si la vie nous faisait remonter à une origine, un socle émotionnel primitif, fondamental, qui siège quelque-part dans l’enfance. L’amour ? Être vivant, pour moi, c’est ne pas court-circuiter ce chemin émotionnel, ne pas faire barrage à des émotions primaires, tellement primaires qu’elles peuvent parfois nous condamner à vivre uniquement dans le passé. C’est le danger. Mais c’est aussi l’ouverture, une forme de potentiel créatif et de dépassement. Nostalgie et transcendance était le titre de mon mémoire de maîtrise à partir de l’ouvrage merveilleux de Jankélévitch L’irréversible et la nostalgie. Dans ce vécu, face au sentiment de perte, on a dû mal à croire que le temps est une illusion… La douleur est souvent profonde et insupportable. Il ne reste qu’à essayer de « l’utiliser », de la sublimer dans une expression artistique. L’amour ? La vieillesse magnifique et fragile à l’extrême de cet homme est universelle par le chemin qu’elle retrace de la vie à la mort, par le fait que si tout passe, tout se ride, se plie, se détruit quelque chose d’autre n’est pas concerné par le temps, se manifeste comme au premier jour, comme si rien ne pouvait altérer son être : l’amour ? La nostalgie du film In the Mood for love de W. Kar-Wai me touche par ce phénomène humain d’une extraordinaire puissance : l’amour le plus fou provient de la perte (ou de son impossibilité). Et c’est en cela sa folie. Voilà le paradoxe : ce n’est pas le lien mais la séparation qui active le sentiment. Et la nostalgie est le chemin qui remonte jusqu’à lui. Mais ce chemin comme retour (nostos) est une douleur (algie) par le fait qu’il est impossible. La larme qui glisse dans le silence et la pliure du visage est le moment de ce vécu, aussi beau que douloureux. On pourrait croire que ce sentiment est seulement romantique en tant qu’attribut des êtres traumatisés de la vie, mais en réalité, il se retrouve à l’échelle de notre civilisation, remontant à ses mythes fondateurs qui, selon différentes formes, se rapportent toujours à l’expression d’un paradis perdu. En cela, ce vécu est universel et appartient collectivement à l’histoire de l’humanité. Je pense que chaque artiste, dans son intimité la plus profonde, vient toucher ce sentiment et la douleur qui lui correspond. Aucun mot, aucune note, aucune oeuvre en général, qualifiée « d’artistique », n’a pu et ne pourra voir le jour sans le vécu de la perte, du trauma inconditionnel de la séparation. A mon sens, l’artistique oeuvre à cet endroit particulier en tentant de restaurer, de réparer, de sublimer ce qui a été séparé à l’origine… Qu’en dis-tu ?

  • @COLLECTIFREOS
    @COLLECTIFREOS 7 หลายเดือนก่อน +1

    Et oui, c’était hier, et c’est encore aujourd’hui… Serge S.

  • @COLLECTIFREOS
    @COLLECTIFREOS 6 หลายเดือนก่อน +1

    S’il était besoin d’encourager le cinéaste, je dirais « de mieux en mieux ». Martin M.

  • @benoits93
    @benoits93 7 หลายเดือนก่อน +1

    Très beau les visages dans la main

  • @COLLECTIFREOS
    @COLLECTIFREOS 6 หลายเดือนก่อน +1

    « C’était hier », ce titre nous rappelle peut-être le temps qui passe. Effectivement le temps est bien passé sur ce visage pathétique, minéral qui occupe l’écran. On dirait un vieux chef indien un peu déplacé dans cet environnement futile, sonore, qui m’évoque l’ambiance de la salle d’attente d’une gare. La seule mobilité de ce visage est dans le clignement des paupières et dans le mâchouilliage de la bouche, quand on focalise sur elle. Que regarde-t-il, existe-t-il, est-ce un ectoplasme ? Ça parle tout autour et puis des images imprécises apparaissent derrière le visage et une musique légère et douce, une goguette ou un bal de troisième âge. Tout est flou comme dans un rêve. La tête d’une belle femme, celle d’un enfant rapidement, puis une image plus distincte apparaît, c’est le visage d’un homme jeune, peut-être la réminiscence de sa jeunesse, au chef indien. Ce visage vient se confondre avec le sien, pas de doute c’était lui hier, autrement dit autrefois. Et puis tout s’arrête parce qu’on est censés avoir tout compris. Mais les voyages dans le temps sont plus complexes qu’on ne le pense. La prochaine fois tu feras tourner les tables ? Franck V.

    • @christopheschaeffermovies
      @christopheschaeffermovies  6 หลายเดือนก่อน

      Ah tourner les tables ! C’est périlleux. Si je peux déjà arriver à faire tourner la tête par le jeu du miroir, ce serait pas trop mal. Le chef indien fait face à nous (de profil) avec le versant où domine le soleil couchant sur la montagne. L’autre versant, où le soleil se lève, c’est le visage de l’aube, une lumière naissante. Dans l’ombre les plis de la terre s’avèrent saillants là où de l’autre côté ils sont lisses comme l’eau paisible. Mais le paisible n’est qu’apparence. Car si on est attentif, on peut observer une goutte qui file le long de la joue comme si elle sortait de terre. Alors on se demande pourquoi il en est ainsi puisque tout n’est que naissance sur ce versant et qu’il ne devrait susciter que joie et contentement ? A croire que le versant craquelé perce la montagne au cœur et qu’elle touche l’immaculé ?
      Merci Franck.