Théodore Botrel " la Paimpolaise " de Botrel et Feautrier accompagné de violon, piano et hautbois. disque 78 tours Pathé X.3743 "ceux qu'on n'entendra plus " pressage de 1928 reprenant la matrice de 1905
ma grand mère bretonne me chantait cette chanson et je l'écoutais religieusement. Quelle période. Les gens font de cette époque un rêve, hélas ils travaillaient très dur.
Quittant ses genêts et sa lande Quand le Breton se fait marin En allant aux pêches d'Islande Voici quel est le doux refrain Que le pauvre gars Fredonne tout bas J'aime Paimpol et sa falaise Son église et son Grand Pardon J'aime surtout la Paimpolaise Qui m'attend au pays breton Le brave Islandais, sans murmure Jette la ligne et le harpon Puis, dans un relent de saumure Il se glisse dans l'entrepont Et le pauvre gars Fredonne tout bas Je serais bien mieux à mon aise Devant mon joli feu d'ajonc À côté de la Paimpolaise Qui m'attend au pays breton Mais souvent l'océan qu'il dompte Se réveillant lâche et cruel Et lorsque que le soir on se compte Bien des noms manquent à l'appel Et le pauvre gars Soupire tout bas Pour trotter la flotte irlandaise Puisqu'il faut plus d'un moussaillon J'épouserons mapetite Paimpolaise En rentrant au pays breton Puis, quand la vague le désigne L'appelant de sa grosse voix Le brave Islandais se résigne En faisant un signe de croix Et le pauvre gars Quand vient le trépas Serrant la médaille qu'il baise Glisse dans l'océan sans fond En songeant à sa Paimpolaise Qui l'attend au pays breton Paroliers : Renaud Detressan / Théodore Botrel / Eugène Feautrier
Je suis bretonne du côté de mon père (et mon oncle est né à Paimpol). Merci Théodore Botrel ❤
ma grand mère bretonne me chantait cette chanson et je l'écoutais religieusement. Quelle période. Les gens font de cette époque un rêve, hélas ils travaillaient très dur.
je redécouvre cet air que mon grand père chantait souvent , il y a pas mal de décènies , quelle émotion .............
Cela remonte loin mon grand père chantais "La Paimpolaise" formidable souvenir.merci
Je connais cette belle chanson mais c'est la première fois que j'entends la voix de Botrel.Il chante fort bien !
bien que n'étant pas de cette génération, j'aime cette chanson de Théodore Botrel, qui m'est un cousin éloigné du côté de mon père.
1905 ! Mon père dans cette époque avait 2 ans, et mon grand-père avait 34. Précieuse chanson.
Belle chanson ancienne 😘🎶💕
Que c'est sympa de nous faire redécouvrir des originaux de chansons que nous connaissons du feu de camp... mais jamais entendu en musique.
Merci pour cette belle chanson qui comme toutes les chansons de Théodore Botrel, font partie du patrimoine Français.
j'adore les chanson de mon ancêtre !!
Précieuse chanson.❤😢
lire "pêcheurs d'Islande" de Pierre Loti"...
J'aime ce chant que j'ai connu par mon par mon ami Marcel B.
Belle chanson
Il devrait la chanter en breton !
Théodore Botrel da Viken !! lol ; ma lakaat a ra da soñjal er film gant jean Pierre Marielle les Gallettes de Pont Aven.....
Il faut tout remettre dans le contexte de l'époque , mais là , là , c'est de l'exotisme pour les parisiens ... Et l'accent titi qui va
bien avec .
que de souvenirs MBJ
mon mm,
hi
Quittant ses genêts et sa lande
Quand le Breton se fait marin
En allant aux pêches d'Islande
Voici quel est le doux refrain
Que le pauvre gars
Fredonne tout bas
J'aime Paimpol et sa falaise
Son église et son Grand Pardon
J'aime surtout la Paimpolaise
Qui m'attend au pays breton
Le brave Islandais, sans murmure
Jette la ligne et le harpon
Puis, dans un relent de saumure
Il se glisse dans l'entrepont
Et le pauvre gars
Fredonne tout bas
Je serais bien mieux à mon aise
Devant mon joli feu d'ajonc
À côté de la Paimpolaise
Qui m'attend au pays breton
Mais souvent l'océan qu'il dompte
Se réveillant lâche et cruel
Et lorsque que le soir on se compte
Bien des noms manquent à l'appel
Et le pauvre gars
Soupire tout bas
Pour trotter la flotte irlandaise
Puisqu'il faut plus d'un moussaillon
J'épouserons mapetite Paimpolaise
En rentrant au pays breton
Puis, quand la vague le désigne
L'appelant de sa grosse voix
Le brave Islandais se résigne
En faisant un signe de croix
Et le pauvre gars
Quand vient le trépas
Serrant la médaille qu'il baise
Glisse dans l'océan sans fond
En songeant à sa Paimpolaise
Qui l'attend au pays breton
Paroliers : Renaud Detressan / Théodore Botrel / Eugène Feautrier
à 0:36 on voit une photo de falaise ... seul bémol il n'y a pas de falaises* à Paimpol. * enfin si il y a une mais c'est le nom d'un bar sur le port
si il y a des falaises , hauteur a quelques kilometres de Paimpol
je m'en souviens
nostalgie de st lys radio...
Il parait que les Molina était allée à PAIMPÔL !!
chez des amis?
Mais RIEN ne vaut Colognac !! ET' ses pélardons?!! N'est ce pas?
1cachet et dodo yveline