D'accord. Des vieilles mémoires qui remontent à la surface...... C'est le mental qui ravive les blessures sans fin....... Comme un vieux qui radote toujours la même histoire.😅 Nous manquons cruellement de clarté d'Esprit dans nos ressentis, nos sentiments et toutes la palette d'émotions. 🎉🎉🎉 😊🙏 Merci.
Nisargadatta Maharaj Nalo Nalo · · Le monde vous a trompé en vous faisant croire que vous êtes un homme ou une femme, que vous êtes né et que vous allez mourir. LE CORPS A L'APPARANCE DE QUELQUE CHOSE, MAIS IL N'EST RIEN. C'EST UNE ILLUSION. Écoutez attentivement ! Avant d'être, vous étiez inconnu de vous. Après avoir quitté le corps, vous serez inconnu à vous-même. À présent, vous vous connaissez vous-même dans le corps-forme. Ce corps-forme ne va rester. Ce corps n'est pas votre Identité permanente, et il ne va pas durer. Ce quelque chose, quoi que soit ce quelque chose, que vous considérez vous-même être, doit être sortie de rien. Donc, cela que vous considérez être quelque chose, est, en fait, une illusion. La Réalité est avant d'être. La Réalité est après l'êtreté. Ce laps de temps dans le corps-forme est une illusion. Il peut être vu comme un interlude, une interruption, une perturbation de la RÉALITÉ. Mon Maître, Nisargadatta Maharaj, déclare : « Vous êtes la Réalité ». En dehors de vous, il n'y a rien d'autre. La Réalité n'existe pas ailleurs. Il résume ces enseignements en une phrase : « Il n'y a pas de Dieu, pas de Brahman, pas d'Atman, pas de Paramatman, pas de Maître, excepté le Soi Sans Rien », c'est-à-dire, Il n'y a rien sauf VOUS SANS FORME. Il n'y a rien sauf votre Soi Sans Rien. En dehors du Soi Sans Rien, il n'y a rien. IL N'Y A RIEN, EXCEPTÉ POUR LE SOI SANS RIEN. Ramakant Maharaj
Déjà, bien voir que la cause de la souffrance n’est jamais à l’extérieur de nous-même. Le contexte joue le rôle de catalyseur pour éveiller une souffrance qui était déjà présente en nous. On perd ainsi la croyance que l’autre en est le responsable. Ensuite, on va regarder de près les mécanismes qui construisent la souffrance, dans notre propre esprit. Et en premier lieu, le refus de la situation, qui est une cause majeure de souffrance. Vouloir changer l’autre est une simple vue de l’esprit, une stratégie de fuite des ajustements qui sont nécessaires en nous. Une fois qu’on laisse de côté l’idée qu’il faille que l’autre soit différent de ce qu’il est, on peut prêter attention au fait que le refus est un vieil ami, qui a toujours existé, même avant que la situation présente ne se mette en place. Cette conscience du refus est un pas important, car elle va permettre de voir, avec clarté, que refuser est une habitude, un réflexe, un conditionnement, mais non une nécessité. Cette habitude va pouvoir ainsi décroître, simplement parce qu’elle n’est plus nourrie par notre complicité, consciente ou inconsciente. Le refus est des moyens de l’ego pour renforcer son existence. Et la dissolution du refus est un des moyens de la libération de l’emprise égotique. Voyez que, dans toute cette démarche, "l’autre" n’est même pas directement concerné. Si la relation se maintient pour l’instant, c’est bien qu’elle a une fonction. Autant donc l’utiliser comme un moyen de connaissance du fonctionnement de notre propre esprit. Une fois que la confusion sera levée, la vie décidera ce qu’il doit advenir de cette mode relationnel. Il n’est pas rare que, lorsque la posture intérieure change, la situation et le fonctionnement de "l’autre" change aussi. C’est tout le rapport de forces qui en est ainsi modifié.
D'accord.
Des vieilles mémoires qui remontent à la surface......
C'est le mental qui ravive les blessures sans fin.......
Comme un vieux qui radote toujours la même histoire.😅
Nous manquons cruellement de clarté d'Esprit dans nos ressentis, nos sentiments et toutes la palette d'émotions. 🎉🎉🎉 😊🙏
Merci.
❤Magnifique, Merci 🙏❤️
Merci 😊
Merci
merci
🙌
💖
Accueillir Jean-Marc ou regarder c’est quoi comment faire??? Gratitude
Vous vous mettez face à un objet quelconque, et au lieu de le regarder, vous vous laissez regarder par lui.
Nisargadatta Maharaj
Nalo Nalo ·
·
Le monde vous a trompé en vous faisant croire
que vous êtes un homme ou une femme,
que vous êtes né et que vous allez mourir.
LE CORPS A L'APPARANCE DE QUELQUE CHOSE,
MAIS IL N'EST RIEN.
C'EST UNE ILLUSION.
Écoutez attentivement !
Avant d'être, vous étiez inconnu de vous.
Après avoir quitté le corps,
vous serez inconnu à vous-même.
À présent, vous vous connaissez vous-même dans le corps-forme. Ce corps-forme ne va rester. Ce corps n'est pas votre Identité permanente, et il ne va pas durer. Ce quelque chose, quoi que soit ce quelque chose, que vous considérez vous-même être, doit être sortie de rien. Donc, cela que vous considérez être quelque chose, est, en fait, une illusion.
La Réalité est avant d'être.
La Réalité est après l'êtreté.
Ce laps de temps dans le corps-forme
est une illusion.
Il peut être vu comme un interlude,
une interruption, une perturbation
de la RÉALITÉ.
Mon Maître, Nisargadatta Maharaj, déclare : « Vous êtes la Réalité ».
En dehors de vous, il n'y a rien d'autre.
La Réalité n'existe pas ailleurs.
Il résume ces enseignements en une phrase : « Il n'y a pas de Dieu, pas de Brahman, pas d'Atman, pas de Paramatman, pas de Maître, excepté le Soi Sans Rien », c'est-à-dire,
Il n'y a rien sauf
VOUS SANS FORME.
Il n'y a rien sauf votre Soi Sans Rien.
En dehors du Soi Sans Rien, il n'y a rien.
IL N'Y A RIEN,
EXCEPTÉ POUR LE SOI SANS RIEN.
Ramakant Maharaj
Comment faire
Lorsqu il s' agit d une souffrance liée au comportement d un proche
Déjà, bien voir que la cause de la souffrance n’est jamais à l’extérieur de nous-même. Le contexte joue le rôle de catalyseur pour éveiller une souffrance qui était déjà présente en nous. On perd ainsi la croyance que l’autre en est le responsable. Ensuite, on va regarder de près les mécanismes qui construisent la souffrance, dans notre propre esprit. Et en premier lieu, le refus de la situation, qui est une cause majeure de souffrance. Vouloir changer l’autre est une simple vue de l’esprit, une stratégie de fuite des ajustements qui sont nécessaires en nous. Une fois qu’on laisse de côté l’idée qu’il faille que l’autre soit différent de ce qu’il est, on peut prêter attention au fait que le refus est un vieil ami, qui a toujours existé, même avant que la situation présente ne se mette en place. Cette conscience du refus est un pas important, car elle va permettre de voir, avec clarté, que refuser est une habitude, un réflexe, un conditionnement, mais non une nécessité. Cette habitude va pouvoir ainsi décroître, simplement parce qu’elle n’est plus nourrie par notre complicité, consciente ou inconsciente. Le refus est des moyens de l’ego pour renforcer son existence. Et la dissolution du refus est un des moyens de la libération de l’emprise égotique. Voyez que, dans toute cette démarche, "l’autre" n’est même pas directement concerné. Si la relation se maintient pour l’instant, c’est bien qu’elle a une fonction. Autant donc l’utiliser comme un moyen de connaissance du fonctionnement de notre propre esprit. Une fois que la confusion sera levée, la vie décidera ce qu’il doit advenir de cette mode relationnel. Il n’est pas rare que, lorsque la posture intérieure change, la situation et le fonctionnement de "l’autre" change aussi. C’est tout le rapport de forces qui en est ainsi modifié.