Le meilleur de son album " Le Chant des Sirènes" j'ai pris une gifle en l'écoutant la première fois en 2011 il y a 11 ans des frissons un excellent rappeur comme on voit peu aujourd'hui qui savent nous toucher avec des textes pertinent merci Orelsan.
Aujourd'hui sera le dernier jour de mon existence La dernière fois que je ferme les yeux Mon dernier silence J'ai longtemps cherché la solution à ces nuisances Ça m'apparaît maintenant comme une évidence Fini d'être une photocopie Finies la monotonie, la lobotomie Aujourd'hui je mettrai ni ma chemise ni ma cravate J'irai pas jusqu'au travail, je donnerai pas la patte Adieu les employés de bureau et leurs vies bien rangées Si tu pouvais rater la tienne, ça les arrangerait Ça prendrait un peu de place dans leurs cerveaux étriqués Ça les conforterait dans leur médiocrité Adieu les représentants grassouillets Qui boivent jamais d'eau comme s'ils ne voulaient pas se mouiller Les commerciaux qui sentent l'after-shave et le cassoulet Mets de la mayonnaise sur leur mallette, ils se la boufferaient Adieu, adieu les vieux comptables séniles Adieu les secrétaires débiles et leurs discussions stériles Adieu les jeunes cadres fraîchement diplômés Qu'empileraient les cadavres pour arriver jusqu'au sommet Adieu tous ces grands PDG Essaie d'ouvrir ton parachute doré quand tu te fais défenestrer Ils font leur beurre sur des salariés désespérés Et jouent les vierges effarouchées quand ils se font séquestrer Tous ces fils de quelqu'un Ces fils d'une pute snob Qui partagent les trois quarts des richesses du globe Adieu les petits patrons Ces beaufs embourgeoisés Qui grattent des RTT pour payer leurs vacances d'été Adieu les ouvriers, ces produits périmés C'est la loi du marché mon pote, t'es bon qu'à te faire virer Ça t'empêchera d'engraisser ta gamine affreuse Qui se fera sauter par un pompier, qui va finir coiffeuse Adieu la campagne et ses familles crasseuses Proches du porc au point d'attraper la fièvre aphteuse Toutes ces vieilles, ces commères qui se bouffent entre elles Ces vieux radins et leurs économies de bouts de chandelles Adieu cette France profonde Profondément stupide, cupide, inutile, putride C'est fini, vous êtes en retard d'un siècle Plus personne n'a besoin de vos bandes d'incestes Adieu tous ces gens prétentieux dans la capitale Qui essaient de prouver qu'ils valent mieux que toi chaque fois qu'ils te parlent Tous ces connards dans la pub, dans la finance Dans la com', dans la télé, dans la musique, dans la mode Ces Parisiens, jamais contents, médisants Faussement cultivés, à peine intelligents Ces répliquant qui pensent avoir le monopole du bon goût Qui regardent la province d'un œil méprisant Adieu les sudistes abrutis par leur soleil cuisant Leur seul but dans la vie c'est la troisième mi-temps Accueillants, soi-disant Ils te baisent avec le sourire Tu peux le voir à leur façon de conduire Adieu ces nouveaux fascistes Qui justifient leurs vies de merde par des idéaux racistes Devenu néo-nazis parce que t'avais aucune passion Au lieu de jouer les SS, trouve une occupation Adieu les piranhas dans leur banlieue Qui voient pas plus loin que le bout de leur haine au point qu'ils se bouffent entre eux Qui deviennent agressifs une fois qu'ils sont à 12 Seuls ils lèveraient pas le petit doigt dans un combat de pouce Adieu les jeunes moyens, les pires de tous Ces baltringues supportent pas la moindre petite secousse Adieu les fils de bourges Qui possèdent tout mais ne savent pas quoi en faire Donne leur l'Eden ils t'en font un Enfer Adieu tous ces profs dépressifs T'as raté ta propre vie, comment tu comptes élever mes fils? Adieu les grévistes et leur CGT Qui passent moins de temps à chercher des solutions que des slogans pétés Qui fouettent la défaite du survêt' au visage Transforment n'importe quelle manif' en fête au village Adieu les journalistes qui font dire ce qu'ils veulent aux images Vendraient leur propre mère pour écouler quelques tirages Adieu la ménagère devant son écran Prête à gober la merde qu'on lui jette entre les dents Qui pose pas de question tant qu'elle consomme Qui s'étonne même plus de se faire cogner par son homme Adieu, ces associations bien-pensantes Ces dictateurs de la bonne conscience Bien contents qu'on leur fasse du tort C'est à celui qui condamnera le plus fort Adieu lesbiennes refoulées, surexcitées Qui cherchent dans leur féminité une raison d'exister Adieu ceux qui vivent à travers leur sexualité Danser sur des chariots, c'est ça votre fierté? Les Bisounours et leur pouvoir de l'arc-en-ciel Qui voudraient me faire croire qu'être hétéro c'est à l'ancienne Tellement tellement susceptibles Pour prouver que t'es pas homophobe faudra bientôt que tu suces des types Adieu ma nation, tous ces incapables dans les administrations Ces rois de l'inaction Avec leur bâtiments qui donnent envie de vomir Qui font exprès d'ouvrir à des heures où personne peut venir Mêh, tous ces moutons pathétiques Change une fonction dans leur logiciel, ils se mettent au chômage technique À peu près le même Q.I. Que ces saletés de flics Qui savent pas construire une phrase en dehors de leur sales répliques Adieu les politiques, en parler serait perdre mon temps Tout le système est complètement incompétent Adieu les sectes, adieu les religieux Ceux qui voudraient m'imposer des règles pour que je vive mieux Adieu les poivrots qui rentrent jamais chez eux Qui préfèrent se faire enculer par la Française des Jeux Adieu les banquiers véreux Le monde leur appartient Adieu tous les pigeons qui leur mangent dans la main Je comprends que j'ai rien à faire ici quand je branche la un Adieu la France de Joséphine Ange-Gardien Adieu les hippies leur naïveté qui changera rien Adieu les SM, libertins et tous ces gens malsains Adieu ces pseudo-artistes engagés Pleins de banalités démagogues dans la trachée Écouter des chanteurs faire la morale ça me fait chier Essaie d'écrire des bonnes paroles avant de la prêcher Adieu les petits mongoles qui savent écrire qu'en abrégé Adieu les sans papiers, les clochards, tous ces tas de déchets Je les hais! Les sportifs, les hooligans dans les stades Les citadins, les bouseux dans leur étables Les marginaux, les gens respectables Les chômeurs, les emplois stables, les génies, les gens passables De la plus grande crapule à la Médaille du Mérite De la première dame au dernier trav' du pays!
On a vraiment 2 vibes différentes entre l'audio de l'album et ce live de fou furieux. Quoi qu'il en soit, les 2 sont tout autant excellentes tu gères toujours de fou Orel, merci❤
Quelle émotion grandissante en écoutant ce texte, plus vrai que jamais, qui donne raison quand on se dit qu'on a tort. Engagée, cette chanson fait découler une haine de tout, qu'on retrouve sur BFM et autres médias, aussi bien réseaux sociaux que blablabla....merci Orelsan, qui m'a fait sursauter au coup de pétard. On entend, du début à la fin, cette montée en puissance du ras-le-bol qui nous inonde tous mais comme tu dis dans la chanson, on subit sans rien pouvoir faire car même ceux qui font, se retrouvent par terre. BRAVO!!!! Quelle fin sublime, malgré le malheur qu'on retrouve sur le mur de beaucoup d'humains dépassés
Haine d'un système mais on sent un Amour tellement puissant d'un autre monde. Pour moi ce n'est pas du tout une chanson négative surtout à entendre un sous texte qui supplie d'un monde d'amour. Enfin peut être que je divague. Elle me fiche le frisson. Ce type est au delà de la masse. Il est déjà dans la 5 D.
adieu les rappeurs qui ont rien à dire ni à créer à part gueuler ce que tout le monde pense tout bas la médiocrité et à l'arrogance des autres critiqués leur reflet Discours de haine contre la haine comme c'est intelligent et novateur (humour noir)
Il faut voir au delà des mots. C'est incroyable de lire et entendre ce texte au ras des pâquerettes à ce point. Ce type est un interprète de haut vol. Écoutez le sous texte. Encore faut il en avoir la capacité.
Aujourd'hui sera le dernier jour de mon existence La dernière fois que je ferme les yeux Mon dernier silence J'ai longtemps cherché la solution à ces nuisances Ça m'apparaît maintenant comme une évidence Fini d'être une photocopie Finies la monotonie, la lobotomie Aujourd'hui je mettrai ni ma chemise ni ma cravate J'irai pas jusqu'au travail, je donnerai pas la patte Adieu les employés de bureau et leurs vies bien rangées Si tu pouvais rater la tienne, ça les arrangerait Ça prendrait un peu de place dans leurs cerveaux étriqués Ça les conforterait dans leur médiocrité Adieu les représentants grassouillets Qui boivent jamais d'eau comme s'ils ne voulaient pas se mouiller Les commerciaux qui sentent l'after-shave et le cassoulet Mets de la mayonnaise sur leur mallette, ils se la boufferaient Adieu, adieu les vieux comptables séniles Adieu les secrétaires débiles et leurs discussions stériles Adieu les jeunes cadres fraîchement diplômés Qu'empileraient les cadavres pour arriver jusqu'au sommet Adieu tous ces grands PDG Essaie d'ouvrir ton parachute doré quand tu te fais défenestrer Ils font leur beurre sur des salariés désespérés Et jouent les vierges effarouchées quand ils se font séquestrer Tous ces fils de quelqu'un Ces fils d'une pute snob Qui partagent les trois quarts des richesses du globe Adieu les petits patrons Ces beaufs embourgeoisés Qui grattent des RTT pour payer leurs vacances d'été Adieu les ouvriers, ces produits périmés C'est la loi du marché mon pote, t'es bon qu'à te faire virer Ça t'empêchera d'engraisser ta gamine affreuse Qui se fera sauter par un pompier, qui va finir coiffeuse Adieu la campagne et ses familles crasseuses Proches du porc au point d'attraper la fièvre aphteuse Toutes ces vieilles, ces commères qui se bouffent entre elles Ces vieux radins et leurs économies de bouts de chandelles Adieu cette France profonde Profondément stupide, cupide, inutile, putride C'est fini, vous êtes en retard d'un siècle Plus personne n'a besoin de vos bandes d'incestes Adieu tous ces gens prétentieux dans la capitale Qui essaient de prouver qu'ils valent mieux que toi chaque fois qu'ils te parlent Tous ces connards dans la pub, dans la finance Dans la com', dans la télé, dans la musique, dans la mode Ces Parisiens, jamais contents, médisants Faussement cultivés, à peine intelligents Ces répliquant qui pensent avoir le monopole du bon goût Qui regardent la province d'un œil méprisant Adieu les sudistes abrutis par leur soleil cuisant Leur seul but dans la vie c'est la troisième mi-temps Accueillants, soi-disant Ils te baisent avec le sourire Tu peux le voir à leur façon de conduire Adieu ces nouveaux fascistes Qui justifient leurs vies de merde par des idéaux racistes Devenu néo-nazis parce que t'avais aucune passion Au lieu de jouer les SS, trouve une occupation Adieu les piranhas dans leur banlieue Qui voient pas plus loin que le bout de leur haine au point qu'ils se bouffent entre eux Qui deviennent agressifs une fois qu'ils sont à 12 Seuls ils lèveraient pas le petit doigt dans un combat de pouce Adieu les jeunes moyens, les pires de tous Ces baltringues supportent pas la moindre petite secousse Adieu les fils de bourges Qui possèdent tout mais ne savent pas quoi en faire Donne leur l'Eden ils t'en font un Enfer Adieu tous ces profs dépressifs T'as raté ta propre vie, comment tu comptes élever mes fils? Adieu les grévistes et leur CGT Qui passent moins de temps à chercher des solutions que des slogans pétés Qui fouettent la défaite du survêt' au visage Transforment n'importe quelle manif' en fête au village Adieu les journalistes qui font dire ce qu'ils veulent aux images Vendraient leur propre mère pour écouler quelques tirages Adieu la ménagère devant son écran Prête à gober la merde qu'on lui jette entre les dents Qui pose pas de question tant qu'elle consomme Qui s'étonne même plus de se faire cogner par son homme Adieu, ces associations bien-pensantes Ces dictateurs de la bonne conscience Bien contents qu'on leur fasse du tort C'est à celui qui condamnera le plus fort Adieu lesbiennes refoulées, surexcitées Qui cherchent dans leur féminité une raison d'exister Adieu ceux qui vivent à travers leur sexualité Danser sur des chariots, c'est ça votre fierté? Les Bisounours et leur pouvoir de l'arc-en-ciel Qui voudraient me faire croire qu'être hétéro c'est à l'ancienne Tellement tellement susceptibles Pour prouver que t'es pas homophobe faudra bientôt que tu suces des types Adieu ma nation, tous ces incapables dans les administrations Ces rois de l'inaction Avec leur bâtiments qui donnent envie de vomir Qui font exprès d'ouvrir à des heures où personne peut venir Mêh, tous ces moutons pathétiques Change une fonction dans leur logiciel, ils se mettent au chômage technique À peu près le même Q.I. Que ces saletés de flics Qui savent pas construire une phrase en dehors de leur sales répliques Adieu les politiques, en parler serait perdre mon temps Tout le système est complètement incompétent Adieu les sectes, adieu les religieux Ceux qui voudraient m'imposer des règles pour que je vive mieux Adieu les poivrots qui rentrent jamais chez eux Qui préfèrent se faire enculer par la Française des Jeux Adieu les banquiers véreux Le monde leur appartient Adieu tous les pigeons qui leur mangent dans la main Je comprends que j'ai rien à faire ici quand je branche la un Adieu la France de Joséphine Ange-Gardien Adieu les hippies leur naïveté qui changera rien Adieu les SM, libertins et tous ces gens malsains Adieu ces pseudo-artistes engagés Pleins de banalités démagogues dans la trachée Écouter des chanteurs faire la morale ça me fait chier Essaie d'écrire des bonnes paroles avant de la prêcher Adieu les petits mongoles qui savent écrire qu'en abrégé Adieu les sans papiers, les clochards, tous ces tas de déchets Je les hais! Les sportifs, les hooligans dans les stades Les citadins, les bouseux dans leur étables Les marginaux, les gens respectables Les chômeurs, les emplois stables, les génies, les gens passables De la plus grande crapule à la Médaille du Mérite De la première dame au dernier trav' du pays!
Cette chanson, ces paroles, cette haine, ce désespoir, cette fin. Adieu. Merci Mr Orelsan.
@@deimos7860 dommage il et rentré dans le rang cordialement patricianne 🖤
Le meilleur de son album " Le Chant des Sirènes" j'ai pris une gifle en l'écoutant la première fois en 2011 il y a 11 ans des frissons un excellent rappeur comme on voit peu aujourd'hui qui savent nous toucher avec des textes pertinent merci Orelsan.
Qui savent ^^
Puissant
Même étant fan de heavy metal, je trouve ce morceau parfait! chaque mots ont leurs places, rien à changer. Juste la perfection!!
J'y étais avec mes gamins. Ça restera un souvenir inoubliable ils étaient tellement heureux ❤
Merci Mr Orel, cette chanson est et reste encore, plus que jamais D'actualité 😐😥👍👍
Inlassable, tuerie, en réel j'imagine même pas
Quelle lucidité !je ne m’en lasse pas . .. merci d’ouvrir les consciences à travers cette chanson !!❤
Quel génie. J'ai la chair de poule. TOUT Y EST. MERCI. c'est au delà des mots. Merci Orel.
Aujourd'hui sera le dernier jour de mon existence
La dernière fois que je ferme les yeux
Mon dernier silence
J'ai longtemps cherché la solution à ces nuisances
Ça m'apparaît maintenant comme une évidence
Fini d'être une photocopie
Finies la monotonie, la lobotomie
Aujourd'hui je mettrai ni ma chemise ni ma cravate
J'irai pas jusqu'au travail, je donnerai pas la patte
Adieu les employés de bureau et leurs vies bien rangées
Si tu pouvais rater la tienne, ça les arrangerait
Ça prendrait un peu de place dans leurs cerveaux étriqués
Ça les conforterait dans leur médiocrité
Adieu les représentants grassouillets
Qui boivent jamais d'eau comme s'ils ne voulaient pas se mouiller
Les commerciaux qui sentent l'after-shave et le cassoulet
Mets de la mayonnaise sur leur mallette, ils se la boufferaient
Adieu, adieu les vieux comptables séniles
Adieu les secrétaires débiles et leurs discussions stériles
Adieu les jeunes cadres fraîchement diplômés
Qu'empileraient les cadavres pour arriver jusqu'au sommet
Adieu tous ces grands PDG
Essaie d'ouvrir ton parachute doré quand tu te fais défenestrer
Ils font leur beurre sur des salariés désespérés
Et jouent les vierges effarouchées quand ils se font séquestrer
Tous ces fils de quelqu'un
Ces fils d'une pute snob
Qui partagent les trois quarts des richesses du globe
Adieu les petits patrons
Ces beaufs embourgeoisés
Qui grattent des RTT pour payer leurs vacances d'été
Adieu les ouvriers, ces produits périmés
C'est la loi du marché mon pote, t'es bon qu'à te faire virer
Ça t'empêchera d'engraisser ta gamine affreuse
Qui se fera sauter par un pompier, qui va finir coiffeuse
Adieu la campagne et ses familles crasseuses
Proches du porc au point d'attraper la fièvre aphteuse
Toutes ces vieilles, ces commères qui se bouffent entre elles
Ces vieux radins et leurs économies de bouts de chandelles
Adieu cette France profonde
Profondément stupide, cupide, inutile, putride
C'est fini, vous êtes en retard d'un siècle
Plus personne n'a besoin de vos bandes d'incestes
Adieu tous ces gens prétentieux dans la capitale
Qui essaient de prouver qu'ils valent mieux que toi chaque fois qu'ils te parlent
Tous ces connards dans la pub, dans la finance
Dans la com', dans la télé, dans la musique, dans la mode
Ces Parisiens, jamais contents, médisants
Faussement cultivés, à peine intelligents
Ces répliquant qui pensent avoir le monopole du bon goût
Qui regardent la province d'un œil méprisant
Adieu les sudistes abrutis par leur soleil cuisant
Leur seul but dans la vie c'est la troisième mi-temps
Accueillants, soi-disant
Ils te baisent avec le sourire
Tu peux le voir à leur façon de conduire
Adieu ces nouveaux fascistes
Qui justifient leurs vies de merde par des idéaux racistes
Devenu néo-nazis parce que t'avais aucune passion
Au lieu de jouer les SS, trouve une occupation
Adieu les piranhas dans leur banlieue
Qui voient pas plus loin que le bout de leur haine au point qu'ils se bouffent entre eux
Qui deviennent agressifs une fois qu'ils sont à 12
Seuls ils lèveraient pas le petit doigt dans un combat de pouce
Adieu les jeunes moyens, les pires de tous
Ces baltringues supportent pas la moindre petite secousse
Adieu les fils de bourges
Qui possèdent tout mais ne savent pas quoi en faire
Donne leur l'Eden ils t'en font un Enfer
Adieu tous ces profs dépressifs
T'as raté ta propre vie, comment tu comptes élever mes fils?
Adieu les grévistes et leur CGT
Qui passent moins de temps à chercher des solutions que des slogans pétés
Qui fouettent la défaite du survêt' au visage
Transforment n'importe quelle manif' en fête au village
Adieu les journalistes qui font dire ce qu'ils veulent aux images
Vendraient leur propre mère pour écouler quelques tirages
Adieu la ménagère devant son écran
Prête à gober la merde qu'on lui jette entre les dents
Qui pose pas de question tant qu'elle consomme
Qui s'étonne même plus de se faire cogner par son homme
Adieu, ces associations bien-pensantes
Ces dictateurs de la bonne conscience
Bien contents qu'on leur fasse du tort
C'est à celui qui condamnera le plus fort
Adieu lesbiennes refoulées, surexcitées
Qui cherchent dans leur féminité une raison d'exister
Adieu ceux qui vivent à travers leur sexualité
Danser sur des chariots, c'est ça votre fierté?
Les Bisounours et leur pouvoir de l'arc-en-ciel
Qui voudraient me faire croire qu'être hétéro c'est à l'ancienne
Tellement tellement susceptibles
Pour prouver que t'es pas homophobe faudra bientôt que tu suces des types
Adieu ma nation, tous ces incapables dans les administrations
Ces rois de l'inaction
Avec leur bâtiments qui donnent envie de vomir
Qui font exprès d'ouvrir à des heures où personne peut venir
Mêh, tous ces moutons pathétiques
Change une fonction dans leur logiciel, ils se mettent au chômage technique
À peu près le même Q.I. Que ces saletés de flics
Qui savent pas construire une phrase en dehors de leur sales répliques
Adieu les politiques, en parler serait perdre mon temps
Tout le système est complètement incompétent
Adieu les sectes, adieu les religieux
Ceux qui voudraient m'imposer des règles pour que je vive mieux
Adieu les poivrots qui rentrent jamais chez eux
Qui préfèrent se faire enculer par la Française des Jeux
Adieu les banquiers véreux
Le monde leur appartient
Adieu tous les pigeons qui leur mangent dans la main
Je comprends que j'ai rien à faire ici quand je branche la un
Adieu la France de Joséphine Ange-Gardien
Adieu les hippies leur naïveté qui changera rien
Adieu les SM, libertins et tous ces gens malsains
Adieu ces pseudo-artistes engagés
Pleins de banalités démagogues dans la trachée
Écouter des chanteurs faire la morale ça me fait chier
Essaie d'écrire des bonnes paroles avant de la prêcher
Adieu les petits mongoles qui savent écrire qu'en abrégé
Adieu les sans papiers, les clochards, tous ces tas de déchets
Je les hais!
Les sportifs, les hooligans dans les stades
Les citadins, les bouseux dans leur étables
Les marginaux, les gens respectables
Les chômeurs, les emplois stables, les génies, les gens passables
De la plus grande crapule à la Médaille du Mérite
De la première dame au dernier trav' du pays!
Merci pour les paroles, ma mémoire étant relativement inefficace, grâce à toi je peux chanter 🤣
❤
On a vraiment 2 vibes différentes entre l'audio de l'album et ce live de fou furieux. Quoi qu'il en soit, les 2 sont tout autant excellentes tu gères toujours de fou Orel, merci❤
quelle masterclass
Quelle émotion grandissante en écoutant ce texte, plus vrai que jamais, qui donne raison quand on se dit qu'on a tort. Engagée, cette chanson fait découler une haine de tout, qu'on retrouve sur BFM et autres médias, aussi bien réseaux sociaux que blablabla....merci Orelsan, qui m'a fait sursauter au coup de pétard. On entend, du début à la fin, cette montée en puissance du ras-le-bol qui nous inonde tous mais comme tu dis dans la chanson, on subit sans rien pouvoir faire car même ceux qui font, se retrouvent par terre. BRAVO!!!! Quelle fin sublime, malgré le malheur qu'on retrouve sur le mur de beaucoup d'humains dépassés
Haine d'un système mais on sent un Amour tellement puissant d'un autre monde. Pour moi ce n'est pas du tout une chanson négative surtout à entendre un sous texte qui supplie d'un monde d'amour. Enfin peut être que je divague. Elle me fiche le frisson. Ce type est au delà de la masse. Il est déjà dans la 5 D.
@@geraldinedemange541 entièrement d'accord
Greetings from amsterdamse...what a song what a lyrics! Fenomenale
fenomenal
Tout simplement artistique
Incroyable cette chanson…
It's the objective reality in our today. 😢
Waw je veut devenir comme toi orelsaan😊❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤Tu chante bien
🎉❤❤❤❤❤😮😮😮😮😊😊😊😊😊😊😊❤❤
Pour mon frère 🙏🌹
T’inquiète une grande mère ❤️
Gretting from Russia
Je travaille dans la pub dans la comm et dans la mode 😱
Le meilleur tellement vrai marre de cette vie de merde
juste chéri combien tu prends ?
adieu les rappeurs qui ont rien à dire ni à créer à part gueuler ce que tout le monde pense tout bas la médiocrité et à l'arrogance des autres critiqués leur reflet Discours de haine contre la haine comme c'est intelligent et novateur (humour noir)
Il faut voir au delà des mots. C'est incroyable de lire et entendre ce texte au ras des pâquerettes à ce point. Ce type est un interprète de haut vol. Écoutez le sous texte. Encore faut il en avoir la capacité.
Fake
hein?
@@Maax_im MDDDDDR j'ai eu la meme reaction que toi, comment ca fake
@@hoyo8738 j’en ai vu des gens avec un qi négatif, mais là c’est trop💀
Aujourd'hui sera le dernier jour de mon existence
La dernière fois que je ferme les yeux
Mon dernier silence
J'ai longtemps cherché la solution à ces nuisances
Ça m'apparaît maintenant comme une évidence
Fini d'être une photocopie
Finies la monotonie, la lobotomie
Aujourd'hui je mettrai ni ma chemise ni ma cravate
J'irai pas jusqu'au travail, je donnerai pas la patte
Adieu les employés de bureau et leurs vies bien rangées
Si tu pouvais rater la tienne, ça les arrangerait
Ça prendrait un peu de place dans leurs cerveaux étriqués
Ça les conforterait dans leur médiocrité
Adieu les représentants grassouillets
Qui boivent jamais d'eau comme s'ils ne voulaient pas se mouiller
Les commerciaux qui sentent l'after-shave et le cassoulet
Mets de la mayonnaise sur leur mallette, ils se la boufferaient
Adieu, adieu les vieux comptables séniles
Adieu les secrétaires débiles et leurs discussions stériles
Adieu les jeunes cadres fraîchement diplômés
Qu'empileraient les cadavres pour arriver jusqu'au sommet
Adieu tous ces grands PDG
Essaie d'ouvrir ton parachute doré quand tu te fais défenestrer
Ils font leur beurre sur des salariés désespérés
Et jouent les vierges effarouchées quand ils se font séquestrer
Tous ces fils de quelqu'un
Ces fils d'une pute snob
Qui partagent les trois quarts des richesses du globe
Adieu les petits patrons
Ces beaufs embourgeoisés
Qui grattent des RTT pour payer leurs vacances d'été
Adieu les ouvriers, ces produits périmés
C'est la loi du marché mon pote, t'es bon qu'à te faire virer
Ça t'empêchera d'engraisser ta gamine affreuse
Qui se fera sauter par un pompier, qui va finir coiffeuse
Adieu la campagne et ses familles crasseuses
Proches du porc au point d'attraper la fièvre aphteuse
Toutes ces vieilles, ces commères qui se bouffent entre elles
Ces vieux radins et leurs économies de bouts de chandelles
Adieu cette France profonde
Profondément stupide, cupide, inutile, putride
C'est fini, vous êtes en retard d'un siècle
Plus personne n'a besoin de vos bandes d'incestes
Adieu tous ces gens prétentieux dans la capitale
Qui essaient de prouver qu'ils valent mieux que toi chaque fois qu'ils te parlent
Tous ces connards dans la pub, dans la finance
Dans la com', dans la télé, dans la musique, dans la mode
Ces Parisiens, jamais contents, médisants
Faussement cultivés, à peine intelligents
Ces répliquant qui pensent avoir le monopole du bon goût
Qui regardent la province d'un œil méprisant
Adieu les sudistes abrutis par leur soleil cuisant
Leur seul but dans la vie c'est la troisième mi-temps
Accueillants, soi-disant
Ils te baisent avec le sourire
Tu peux le voir à leur façon de conduire
Adieu ces nouveaux fascistes
Qui justifient leurs vies de merde par des idéaux racistes
Devenu néo-nazis parce que t'avais aucune passion
Au lieu de jouer les SS, trouve une occupation
Adieu les piranhas dans leur banlieue
Qui voient pas plus loin que le bout de leur haine au point qu'ils se bouffent entre eux
Qui deviennent agressifs une fois qu'ils sont à 12
Seuls ils lèveraient pas le petit doigt dans un combat de pouce
Adieu les jeunes moyens, les pires de tous
Ces baltringues supportent pas la moindre petite secousse
Adieu les fils de bourges
Qui possèdent tout mais ne savent pas quoi en faire
Donne leur l'Eden ils t'en font un Enfer
Adieu tous ces profs dépressifs
T'as raté ta propre vie, comment tu comptes élever mes fils?
Adieu les grévistes et leur CGT
Qui passent moins de temps à chercher des solutions que des slogans pétés
Qui fouettent la défaite du survêt' au visage
Transforment n'importe quelle manif' en fête au village
Adieu les journalistes qui font dire ce qu'ils veulent aux images
Vendraient leur propre mère pour écouler quelques tirages
Adieu la ménagère devant son écran
Prête à gober la merde qu'on lui jette entre les dents
Qui pose pas de question tant qu'elle consomme
Qui s'étonne même plus de se faire cogner par son homme
Adieu, ces associations bien-pensantes
Ces dictateurs de la bonne conscience
Bien contents qu'on leur fasse du tort
C'est à celui qui condamnera le plus fort
Adieu lesbiennes refoulées, surexcitées
Qui cherchent dans leur féminité une raison d'exister
Adieu ceux qui vivent à travers leur sexualité
Danser sur des chariots, c'est ça votre fierté?
Les Bisounours et leur pouvoir de l'arc-en-ciel
Qui voudraient me faire croire qu'être hétéro c'est à l'ancienne
Tellement tellement susceptibles
Pour prouver que t'es pas homophobe faudra bientôt que tu suces des types
Adieu ma nation, tous ces incapables dans les administrations
Ces rois de l'inaction
Avec leur bâtiments qui donnent envie de vomir
Qui font exprès d'ouvrir à des heures où personne peut venir
Mêh, tous ces moutons pathétiques
Change une fonction dans leur logiciel, ils se mettent au chômage technique
À peu près le même Q.I. Que ces saletés de flics
Qui savent pas construire une phrase en dehors de leur sales répliques
Adieu les politiques, en parler serait perdre mon temps
Tout le système est complètement incompétent
Adieu les sectes, adieu les religieux
Ceux qui voudraient m'imposer des règles pour que je vive mieux
Adieu les poivrots qui rentrent jamais chez eux
Qui préfèrent se faire enculer par la Française des Jeux
Adieu les banquiers véreux
Le monde leur appartient
Adieu tous les pigeons qui leur mangent dans la main
Je comprends que j'ai rien à faire ici quand je branche la un
Adieu la France de Joséphine Ange-Gardien
Adieu les hippies leur naïveté qui changera rien
Adieu les SM, libertins et tous ces gens malsains
Adieu ces pseudo-artistes engagés
Pleins de banalités démagogues dans la trachée
Écouter des chanteurs faire la morale ça me fait chier
Essaie d'écrire des bonnes paroles avant de la prêcher
Adieu les petits mongoles qui savent écrire qu'en abrégé
Adieu les sans papiers, les clochards, tous ces tas de déchets
Je les hais!
Les sportifs, les hooligans dans les stades
Les citadins, les bouseux dans leur étables
Les marginaux, les gens respectables
Les chômeurs, les emplois stables, les génies, les gens passables
De la plus grande crapule à la Médaille du Mérite
De la première dame au dernier trav' du pays!