Les copines d'abord | Un podcast à soi (39) - ARTE Radio Podcast
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- เผยแพร่เมื่อ 15 ต.ค. 2022
- Peu représentées en littératures, au cinéma ou dans les séries, les histoires d’amitiés entre femmes sont tantôt perçues comme futiles ou pleine de rivalités et de trahison, tantôt comme dangereuses et violentes, ou encore suspectées de lesbianisme. Cet épisode interroge les mécanismes qui empêchent les amitiés féminines d’advenir. Mais aussi la puissance qu’elles permettent et la portée politique qu’elles représentent. À travers une grande histoire d’amitié, entre Avril et Alenka, qui se sont mariées pour célébrer leur relation, devant leurs familles, il y a quelques mois.
Avec :
- Avril et Alenka
- Flore Labrande, masteurante en sociologie à l’EHESS. Autrice d’un mémoire sur les amitiés entre femmes
-Vx, autrice d’un mémoire de DHEPS (Diplôme des Hautes études des Pratiques Sociales) autour des relations affectives et amoureuses
Remerciements :
- Kevin Diter, sociologue
- Camille Masclet, chargée de recherche au CNRS
Textes :
- « Frangines », Anne Sylvestre
- « Ni oubli, ni pardon », Sandra Calderan. Issu du spectacle Poèmes à cracher
- « Baise moi », Virginie Despentes, Editions Florent Massot, 1994
Liens :
- Dossier sur les amies, dans la revue Nouvelles Questions Féministes
- « Utopies féministes sur nos écrans », Pauline Le Gall, Editions Daronnes
- Entretien avec Kevin Diter, autour de sa thèse « L’enfance des sentiments »
- « De la marge au centre », Bell hooks, Editions Cambourakis, 2017
- « Sororité », collectif dirigé par Chloé Delaume, Editions Points, 2021
- « Les orageuses », Marcia Burnier, Editions Cambourakis, 2020
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✊ Un podcast à soi
Féminismes, genre, égalité : tous les premiers mercredis du mois, Un podcast à soi mêle documentaires et entretiens, récits intimes et paroles d’expert.e.s, textes inspirants et réflexions personnelles, pour évoquer les questions de société liées à l’égalité entre les femmes et les hommes. Travail, éducation, santé, écologie, sport, parentalités, sexualités, violences, discriminations...Charlotte Bienaimé invite à la réflexion sur un enjeu de société majeur.
#podcast #féminisme #amitié
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Une création de Charlotte Bienaimé
Prise de son, montage, textes et voix : Charlotte Bienaimé
Réalisation, mixage et musique originale : Samuel Hirsch
Lectures : Estelle Clément Béalem
Sélection des textes, réseaux sociaux et et accompagnement éditorial : Sarah Bénichou
Illustrations : Anna Wanda Gogusey
A retrouver sur : www.arteradio.com/son/6167416...
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Un podcast à soi c'est devenu ma bouffée d'oxygène. Je vous remercie tellement d'exister et de faire tout ce travail ! Les normes relationnelles sont tellement ancrées qu'il est difficile pour la majorité des gens de voir leur toxicité... De voir que
l'on nous divise et que l'on nous conditionne jusque dans nos relations les plus intimes. Vivons nos relations comme nous le souhaitons, tant que cela ne fait souffrir personne. C'est le début de la fin de la famille nucléaire imposée comme norme, comme réussite et accomplissement.
Toujours un plaisir d'écouter cette série 🤗 .
J'ai eu les larmes aux yeux, très touchantes histoires. L'amitié féminine, la sororité, tout cela est tellement riche et bienfaiteur. L'indulgence et la compréhension les unes envers les autres surtout.
Ce podcast m'aide tellement !!!! Je l'attends avec impatience chaque mois !
Merci beaucoup pour cette série et félicitations pour ce livre 👌
super podcast, ca ma fait du bien de l'écouter!!
Très bien, magnifique, encore trop en avance sur son temps pour beaucoup de réacs. Ça m'a donné envie de partir en vacances avec mes amies, sans les gamins, et les papas 🥂🥳
Tu nous raconteras 😊
Oui moi aussi partir sans elle
Merci toujours 🙏
Merci pour cet épisode ! On pense moins à penser à l'amitié, à réfléchir dessus maks j'ai vraiment trouver ce t episode tellement pertinent !
Merci pour ce podcast cest super ! ❤️
Sororité 🤘💪
C'est très intéressant ce qu'elle dit à 50'
❤❤ j'aime bien ce posdact ❤
Oh quel excellent podcast , merci beaucoup
J'adore 👍👍👍🧡
💜💜💜💜
☮️🌹🌌
Est ce la voix de Manon Azem au tout début ?
Non, Manon Azem n'intervient pas dans ce podcast il s'agit d'une autre intervenante :)
Les phrases sont énormément à la forme passive. Ça montre déjà un gros problème. Changeons la langue d'abord.
Podcast intéressant, mais énormément à charge ou lune des deux personnes ne se remets jamais en cause et attise la haine.
-> 😏 Peut-être que nous sommes le premier groupe de Pop-Métal ou Rock Spirite de ce monde...
Mais ne faites pas trop attention à notre anglais néandertalien, ❤
*REMARQUE:
-> Spirite est celui qui professe le Spiritisme, la continuation de l'Evangile.
Cela a commencé avec les livres d'Allan Kardec et s'est poursuivi dans les livres de Francisco C. Xavier, le plus grand et le plus important Médium/Prophète des Esprits des derniers siècles...
L'invitée qui cite Michel Foucault, Judith Butler etc., elle fait quoi à part enchaîner les références ? Pas très intéressante et approfondie son intervention
C'est pas vrai. Elle parle de son enquête et d'expériences réelles, les références donnent juste des outils pour le comprendre. C'est plus conceptuel que les autres intervention mais c'est pas du name dropping pour autant.
C'est parce que tu ne les a pas lu que tu ne comprend pas le lien ... Elle les cites car nous sommes supposer savoir à quoi elle fait référence
@@sendamestiri3806 J'ai déjà lu Foucault et Judith Butler, merci de te préoccuper de ma culture...
Personnellement toute son intervention m'a juste paru être de la paraphrase, 20 minutes de pur vide.
@@user-vl5mk2xv5t Le processus prend du temps .... bon courage !
Elle est chercheuse. Elle intervient en partie en tant que telle. Elle explique donc son parcours théorique et ce qui a alimenté sa réflexion. Jusqu'ici c'est juste du boulot tout à fait normal de présentation de ses recherches et réflexions...!
Et par ailleurs : elle fait pas de name dropping, précisément pour les deux noms que tu as cités (Foucault puis Butler), elle parle de façon substantielle de comment elle comprend leurs théories et concepts et des analogies qu'elle fait elle-même avec les questions relationnelles.
Je ne comprends pas bien pourquoi attribuer toutes ces experiences au patriarcat et a la domination masculine. La competition, le rabaissement de l'autre, les violences, qu'est ce qui est typiquement feminin et patriarcal la dedans ? Statistiquement, certaines des experiences mentionnees dans la video sont meme largement plus subies par les hommes. Je trouve aussi dommager de gommer comment le systeme de classes et d'appartenance sociale joue un role preponderant dans ces dynamiques.
Depuis quand le patriarcat ne fait souffrir que les femmes? Tu n'as pas l'air d'avoir compris qu'il est aussi nocif pour les femmes que pour les hommes. Donc évidemment que ces expériences sont aussi vécues par des hommes. Personne, renseigné(e) sur le sujet ne nie cela. Je t'invite donc à creuser un peu plus ta réflexion
@@lisarabesk à partir du moment où les mêmes dynamiques ont également lieu dans les groupes d'hommes je ne suis pas tout à fait d'accord sur la pertinence du terme "domination masculine" pour décrire ce système. Je me renseigne beaucoup sur ces sujets et je ne trouve pas du tout, comme vous le suggérez, qu'il est clair et évident dans tous les discours féministes que le patriarcat affecte les hommes et les femmes avec une intensité similaire.
@@tdb517 Dans "domination masculine", il n'est pas question de domination des hommes mais bien de domination d'une certaine idée de la masculinité, attribuée en grande partie, et à tord, aux hommes. La définition des termes est en effet trés importante et beaucoup se meprènnent. Maintenant, même s'il est vrai que le patriarcat affecte aussi nombre d'hommes qui ne se reconnaissent pas ni s'identifient à la "masculinité dominante" si l'on parle d'intensité, on ne peut pas nier que, nous les femmes, nous mourrons bien plus, pour le simple fait d'être une femme, que des hommes pour être des hommes. Qu'en penses-tu?
@@lisarabesk Ca dépend de ce que vous entendez par "mourir parce que nous sommes des femmes". Le taux de suicide des hommes est, en France, environ 7 fois plus élevé que les femmes. Les morts accidentelles sur les lieux de travail sont 30 à 40 fois plus élevées chez les hommes, comme les morts de sans abris en rue qui ne concernent à peu près que des hommes.
Je ne cherche pas à faire un concours de qui est le plus victime, ça n'a pas de sens, mais je pense que les hommes et les femmes sont affectés différemment mais comparablement par ce que vous appelez le patriarcat. Et je ne veux certainement pas minimiser les féminicides qui sont évidemment une terrible conséquence de ce système. J'interroge simplement l'utilisation du terme patriarcat ou domination masculine pour décrire une réalité qui affecte les deux genres.
En réalité, la seule constante absolue qui existe dans ce système de domination relève d'une question de classe et pas de genre. Ce sont les personnes influentes (et donc en haut de la pyramide sociale) qui déterminent ce que doit être la "masculinité" ou la "féminité", et il se fait qu'une majorité d'entre eux sont des hommes, mais pas tous. Il n'y a par contre aucun pauvre (au sens économique comme culturel) qui ait un pouvoir d'action sur cette question.
La grille de lecture genrée et féministe est pertinente jusqu'à un certain point pour analyser ce genre de questions, mais elle me semble tout à fait incomplète et nécessite d'être associée à une grille de lecture marxiste et classiste pour être juste, me semble-t-il. Et je déplore que, dans de nombreux discours féministes, seule la lentille du genre soit utilisée pour analyser cette réalité.
@@tdb517 Je suis entièrement d'accord avec vous. L'enjeu va bien au dela du prisme du genre. D'ailleurs je vous recommande la lecture d'Hilaria : récits intimes pour un féminisme révolutionnaire d'Irene. Il y est questions de classes et d'anarchisme. Trés interessant. Bonne continuation
"ouin ouin le patriarcat " au bout de même pas 2min (ss le générique) décidément pleurer c'est vraiment un truc de fille
Après t'es un peu con si t'as pas compris que le féminisme et le patriarcat c'est le thème du podcast
As Tu écouter ce podcast en entier ? Ce podcast (comme plein d'autre d'ailleurs) recueille des témoignages, des professionnels qui font des études/des recherches, bourrée de réflection.
Bref, l'ouverture d'esprit n'est pas une fracture du crâne. Un mouvement révolutionnaire ne crie jamais pour rien
"ouin ouin je suis frustré dans la vie"
J'aime beaucoup cette série, mais l'introduction de cet episode " j'ai perdu mon amie, c'est la faute du patriarcat" m'a déçu. Je pensais trouver ici un feminisme raisonné et enfin construit, non sur des reproches a tout va sur les hommes, mais sur des pistes de construction. Autant dire que j'ai été déçu 😞.
Le déni déçoit aussi... L'auteur pointe ici la difficulté d'instaurer une sororité jusque dans l'intimité d'une amitié. En effet, les codes patriarcaux influent jusqu'à l'amitié entre femmes parce qu'ils imprègnent nos jugements. Peut-être faut-il être femme et l'avoir vécu pour savoir que ça existe. Si on y a pas été confronté, on préfère penser que ça n'est pas possible. C'est rassurant dans notre grille de lecture du monde. Peut-être que vous trouveriez plus les réponses "constructives" que vous cherchez actuellement sur les relations hommes-femmes en sélectionnant un épisode du podcast plus axé sur ce thème. Merci à Arte et à l'auteure de ce podcast d'avoir osé abordé un sujet sensible et délicat.
@@mv3739 La relation entre deux personnes dépend de tellement de facteurs qui sont liés à nos personnalités, nos vécus, nos choix. Certes certaines parties de ce que nous visons dépend d'un modèle qui a été construit, mais de là à dire que l'échec d'une relation est à imputer seul sur le patriarcat, je trouve que c'est le moyen de ne pas se remettre en question. Ce n'était pas ma faute, car c'est le patriarcat qui m'empêche de construire une bonne relation. Ceci s'appelle un dogme, on le retrouve souvent dans les religions qui ont tendance à placer tout le mal dans une dimension de toute façon incontrôlable.
Alors je ne dis pas que le patriarcat ne joue pas un rôle dans la relation de sororité, comme il joue un rôle dans la relation de fraternité. Toutefois, imputer un échec d'une relation à cela revient à dire que les individus ne sont responsable de rien.
@@kaecilkaecil2043 Je suis d'accord avec vous! Je suis féministe et je pense aussi qu'une amitié ne dépend pas seulement de la société dans laquelle on vit....Il faut aussi se remettre un peu en question....On a toustes été malheureusement confronté.es à des amitiés qui nous ont déçues....La rupture d'amitié est parfois plus difficile qu'une rupture amoureuse....! Les raisons sont multiples et les torts souvent partagés....! Vive l'amitié et les amitiés retrouvées!
Le fait est que cette histoire est celle de cette personne. Elle ne fait pas de son expérience une généralité, mais raconte ce qu'il s'est passé pour elle. On ne peux pas juger une anecdote personnelle comme si c'était une énonciation de fait généralisé
Faut lire de la théorie féministe en fait
le féminisme raisonné c'est comme l'antiracisme qui plaît aux personnes blanches : une supercherie
La lutte des classes ne plaît pas non plus aux classes supérieures c'est normal
Un outil de libération révolutionnaire c'est pas fait pour caresser les dominants dans le sens du poil
Vs perdez des abonnés à vue d’eouil les reuf faut arrêter mtn remettez nous des docu intéressant balec de trois gourgandine ou gourgandin peut importe en manque de reconnaissance
de ouff, on dirait un plaidoyer NUPES
Dommage que tu existe
Je ne vois pas en quoi le fait de perdre une amitié est la faute du patriarcat. Encore du féminisme à 2, balles
Elle évoque la question parce que leur séparation est du au regard et actions que portaient les garçons de sa classe sur son amie " trop jolie"...
La comparaison devenait donc une chose évidente voir l'objet de tous les rapports et donc un motif de souffrance et/ou de jalousie...
@@augustinedebosson9343 T'en as pas marre ? Ça devient ridicule tout ce cirque lesbo-féministe.
Si tu ne vois pas, réfléchis-y. Peut-être que tu passes à côté de quelque chose?
"La domination masculine" par Pierre Bourdieu
allez lire un peu de sociologie et ça va vous rassurer : c'est écrit par un HOMME
😂🤣
@@marcoprolo7318si t’es pas contant du contenue proposer désabonne toi Marco ou lui de chouines dans les commentaires.
Même quand c'est pas nous ben c'est nous quand même
Aller encore du ouin ouin inutile et qui alimente encore plus les clichés au final