Transition et détransition
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- เผยแพร่เมื่อ 11 ก.พ. 2024
- Les droits des personnes transgenres ont fortement progressé en Suisse, de même que les opérations de réassignation sexuelle. Cependant, une petite minorité de personnes entame une détransition vers leur genre initial, et réclame plus de pondération dans la prise en charge, enquête.
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On interdit de boire de l'alcool à 15 ans mais on peut prendre une décision de changer de sexe. Beau monde
C'est ce qu'on essaie de faire croire. Les gens qui changent de sexe pensent que le bonheur depend de notre sexe. Pourtant changer de sexe ne nous épargne pas de ce qui nous rend malheureux
T'étais pas chez Morgan priest toi ? @@telespectre9764
Il faut vraiment mettre en place des lois contre cette idéologie du genre, c'est dingue comment de nos jours on en vient à normaliser les cas de psychiatrie.
Je vous recommande la lecture du livre « Transmania » de marguerite Stern et dora moutot. Si vous êtes intéressés sur le sujet c’est le livre le plus complet !
il y a aussi notre chaine ;-)
Ou sont les pères ? Pourquoi ya que les mamans dans le reportage ?
Quid des Transgenres et de la carence en matière de figures paternelle !
c'est la pire des choses qu'on puisse accepter pour son enfant
On le sait les réseaux sociaux, c'est ultra néfaste pour la confiance en soi.
Les problèmes mentaux chez les jeunes sont plus élevés que jamais.
Depuis quelques années les réseaux sont bombardés de contenu ou on peut voir comme la vie "est plus belle" une fois qu'on a transitionné.
Ce n’est pas étonnant ni grave que les jeunes qui se sentent mal pensent que c'est la solution...
Ce qui est ULTRA GRAVE, c'est qu'en tant que mineur on puisse prendre des décisions avec un impact aussi important sur sa santé à un si jeune age et que les professionnels de la santé obtempèrent.
Si on coupait ces réseaux sociaux et ces trend, la tendance retomberait d'aussi tôt, quoique ... le mal est peut-être déjà fait.
L'immaturité caractérise l'adolescence. On ne peut pas dire qu'ils font des choix en pleine maturité.
Raphael Il dit qu'il va bien, très bien, mais ça n'est se voit pas du tout.... hélas....
La transition est toujours un leurre. Soit on est femme, soit on est homme, point.
@@mirabelle7128 Non.
@@mirabelle7128 propos judicieux les 3j j'approuve j'adhère j'adore votre optique
Je n'ai pas d'enfant donc je ne me permettrais pas de juger. Cependant je trouve ça fou que la mère de Raphaël, 15 ans, lui laisse prendre seul une décision aussi importante et radicale que la mastectomie. Sachant que la maturité cérébrale n'est atteinte qu'à 25 ans...
@@Lancaster-ez1sr Évidemment mais tu peux accompagner ton enfant tout en le cadrant. Est-ce vraiment nécessaire de faire une mastectomie aussi vite ? J'accompagnerais mon enfant certes mais je poserais des limites. Après chacun fait comme il l'entend.
Exactement
@@Lancaster-ez1sr Oui l'enfant roi bien évidemment
@@Lala-ccanulle après ses 25ans ou même avant elle peut regretter une mère aime que son enfant regrette ?? Quelle amour hypocrite 😊
@@Lala-ccanulle tres peu est une expression bien timoree au regard de la realite. Ils sont loins d’etre rares parmi ceux qui regrettent.
*C'est le prochain scandale sanitaire. On traite de ça sur notre chaine.*
Triste humanité 😢
Alors pas sur pour la dernière étude travaillant dans un hôpital psy je pense avoir vu une bonne partie de la population trans et c'est rarement joyeux leur expérience
Je pense effectivement que la majorité des gens qui passent par un HP sont pas au mieux de le forme. Concernant les personnes trans, ce n'est évidemment pas toujours des vécus faciles, c'est d'ailleurs pour ça qu'ils transitionnent.
@@Tom-ww7gb la transition aggrave leurs problèmes
@@mirabelle7128 Bah non, vraiment pas. C'est vraiment le pire avis possible mdr
@@Tom-ww7gb Alors pkoi une majorité se sui-ci-dent si ça egaye tant leur vie??
@@Nanou-46 À cause de la transphobie. C'est vraiment pas très dur à comprendre je le disais plus haut dans mon premier commentaire : les personnes trans souffrent, donc elles transitionnent.
Avt de vouloir changer IL faut savoir pourquoi. Cette femme le dit bien Elle voulait etre Aimee par son pere qui ne l a reconnaissance Pas donc par logique de l enfance, si je suis un garçon je serai Aimee. Faux.
IL y a aussi bcp d enfants victimes d abus qui pensent qué chger de sexe evitera cela.
Vouloir chger de sexe pour des habits, je reve😮
Effectivement une étude demontre que 50 % des trans souffre d'une absence paternelle avéré ou ressenti. La figure paternelle c'est la construction de son soit social
Ce serait pertinent de se pencher sur ce qui provoque la dysphorie de genre (les perturbateurs endocriniens) afin de prévenir plutôt que guérir.
Quant aux chiffres avancés en fin de vidéo, ils sont fortement à nuancer. Une étude a démontré que rares étaient les personnes qui annonçaient à leur clinique qu'elles stoppaient ou regrettaient leur traitement. On peut dès lors spéculer que la réalité dépasse largement les 1% avancés.
ils sont manipulés afin d'en venir à penser que tous leurs problèmes, passés, présents et à venir n'ont qu'une seule cause et une seule solution. Une fois qu'ils réalisent que leur transition génère BCP plus de problèmes que ça n'en règle, c'est la détransition ou le suicide.
On peut toujours spéculer beaucoup de choses, oui
Je pense qu'il est important que le tabou autour de la détransition soit levé et que les personnes qui détransitionnent puissent se sentir libres de partager leurs expériences sans pression. De la même manière, je pense qu'il est important que le sujet de la détransition soit utilisé comme un argument contre les personnes transgenres ou les transitions de genres. Trans et détrans doivent être capable de partager leurs expérience sans que ça servent d'attaque contre les autres, et malheureusement, dans les médias ou sur les réseaux sociaux, ce n'est souvent pas le cas. Toutefois, je pense que cette émition est parvenue à expliquer certains enjeux tout en respectant les droits, besoins et ressentis de tout le monde.
Je suis une personne transgenre adulte, en cours de transition médicale. A ce stade, je peux dire sur mon expérience que les professionnels prennent bien leur temps pour bien évaluer la situation, informer la personne des risques d'une transition médicale, et proposer un soutien psy. Dans mon cas, il m'a même été proposé un soutien thérapeutique avec un membre de ma famille qui veut me soutenir mais qui peine avec l'idée de ma transition. Les choses me semblent parfois un peu longue (d'autant que j'ai pris plusieurs années avant de décider de me lancer dans le parcours de transition afin d'être sûr de faire le bon choix), mais au moins, mon entourage et moi avons l'assurance d'être bien informés, et que puisque ma conviction est toujours là après tout ce temps, c'est que y'a peu de risque que je regrette une transition médicale. Cela dit, je peux imaginer l'impatience et la détresse des jeunes trans qui veulent transitionner rapidement pour aller mieux psychologiquement. Tout le monde n'a pas le luxe d'avoir l'entourage ou le monde de vie que j'ai, et même si je suis partisan de prendre son temps (en mode bien suisse bien lent), je ne peux pas juger car nos expériences sont différentes.
Concernant les bloqueurs de puberté, je ne pense pas qu'il y ait de risque majeur à long terme et que c'est une bonne option pour les mineurs afin de leur laisser le temps de murir leur décision tout en évitant le trauma d'une puberté dans un genre non-désiré. Et si la prise des bloqueurs engendrent une détresse, ça peut être un signe que la transition n'est peut-être pas la bonne voie et qu'un autre problème se cache. Pour la prise d'hormone dans le genre désiré pour les mineurs ou les interventions chirurgicales, honnêtement, je pense que ça devrais être au cas par cas. Dans le cas d'un jeune qui sait être trans depuis la petite enfance et qui est sous bloqueur de puberté et avec un suivi psy pour sa transition depuis longtemps, le risque semble léger par rapport au potentiel bénéfice, et c'est ce qui est évaluer avec la famille et l'équipe thérapeutique. Mais avec mon histoire médicale, je serais bien naïf de penser que tous les médecins font bien leur travail. Il est possible que y'en a qui pousse à la transition, même si personnellement j'y crois peu, je peux pas assurer à 100% que ces gens n'existent pas. Dans ce cas, et dans tout ce qui concerne le milieu médical même hors transition de genre, il me semble primordial d'informer les personnes du droit à consulter quelqu'un d'autre pour avoir un deuxième avis. Ca pourrait notamment rassurer les parents et montrer au jeune que, même si l'attente est frustrante, le but est que les parents l'accompagnent au mieux avec amour et que toutes les informations soient transmises et réfléchies pour prendre une décision éclairée à la fin. Ca pourrait permettre de rassurer tout le monde et de minimiser encore plus les risques de regrets.
Au final, tout le monde est d'accord sur le fait que la priorité est la santé et le bien-être de la personne concernée. Si on reste focus sur ça, l'accompagnement des personnes (trans ou non) aura les meilleures chances d'une issue favorable.
Vous êtes ADULTE, comme vous le précisez dans vos propos. Permettre un changement de *exe à des adolescents en pleine construction physique et identitaire est une aberration.
@@ie-o5424 Les enfants et ado peuvent avoir accès à des bloqueurs de puberté. Vu le taux de su!cide dans cette communauté, je pense que c'est nié leur identité durant leur construction qui est une aberration qui entrainera d'autres problèmes par la suite.
@@CoryBranlafatt C'est pourquoi une thérapie AVANT TOUT psychologique, et aucun acte avant la majorité doivent être préconisés.
@@ie-o5424 si y'a pas au moins les bloqueurs de puberté, les effets peuvent être dramatique ensuite. Et jamais aucun médecin ne prescrira quoi que ce soit à des enfants sans une thérapie, c'est évident. Même pour les adultes, si on veut des traitements qui soient remboursés (car la majorité, on a pas les moyens de se les payer), c'est pas simple, t'as un suivi et des discussions avec des psys formés pour chaque étape d'une transition. Je ne crois pas qu'il y ait réellement des médecins qui hormonent et opères à la chaîne sans prendre des précautions, et surtout pas chez les enfants, surtout à une époque où simplement vivre en étant trans est devenu un débat sociétal.
Vous nous en chiez des pavés tous les jours des détransitions alors qu'il doit y en avoir trois en France en 50 ans... je vois pas où est le tabou perso, c'est toujours la transidentité sur laquelle vous foutez un tabou de malade, tu nous vendrais pas des patates pour des carottes non? -_-
Quelle misère 😢
Ça relève de la psychiatrie !!
et on se demande pourquoi la Lamal augmente... des gens normeaux ne peuvent plus manger a cause de ces gens... l'injustice
Surtout que des problèmes de santé qui touchent également à l'intégrité physique, comme par exemple l'alopécie androgénétique chez les femmes, ou, plus grave : la contraception, ne sont pas remboursés ! Allez comprendre...
la Lamal augmente mais les frais qui sont pris en charges, eux, diminuent
Le monde va mal.. très mal
force pour le jour du jugement
le mal est fait
Malheureusement
Malheureusement
@@mirabelle7128 oui 😞
Bref, un malaise, un espoir de reconnaissance par un père. :'(
interruption chez 13%, c'est énorme. Même si le taux de regrets semble faible (1%), il y a sans doute la difficulté de se dire qu'on n'aurait pas dû.
Ce changement de genre a était crée pour que les Médecins-Chirurgiens, ne soit pas au chômage et comme ça, il a du travail.
Oui, vous oubliez les pharma, eux aussi ont aussi envie que beaucoup d'argent rentre. Triste société
Vous avez tout à fait raison
Oh lala. Le ciel est pas rouge mais pk. Je ne comprends pas cet effet de mode néfaste
Attention à l'orthographe dans le titre (détransition); pour le reste je ne sais pas quoi dire