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Il y a aussi moyen de faire son coming out sans le faire explicitement. Par exemple avec ma mère, j'avais préparé le terrain en faisant de l'explication de termes en mode "alliée", mais après ça s'est plutôt sorti en mode "Si je trouve quelqu'un" sans préciser de genre et au fil du temps, ça a continué avec des conversations où je râle contre ma grand-mère qui veut absolument que je trouve un copain et où je râle donc à ma mère "je n'aurai jamais de copain". Le mot lesbienne ou gay n'est jamais entré dans nos conversations et je n'ai jamais fait de coming out explicité aussi parce qu'on ne parle pas de relations romantiques avec ma mère de base, mais c'est établi maintenant que j'aime les filles et que le jour où je ramènerai quelqu'un à la maison, ça sera une fille. Si ça te semble complètement antithétique de faire un coming out explicite, il n'y a aucune obligation. Ma grand-mère a des doutes, mais je n'ai pas envie d'avoir une conversation avec elle parce qu'elle a fait des remarques homophobes (du style les autres ça va, mais pas toi) et elle saura le jour où je leur présenterai ma copine.
J'en suis qu'à la première minute et justement le co avec ma coiffeuse a été très drôle ! Le contexte, elle me connaît depuis que j'ai 6 ans (j'en ai 25 aujourd'hui) et je n'avais pas pris de rdv depuis genre 1 ans. Du coup, j'appelle pour prendre le rdv et je dis mon nouveau prénom, qu'elle ne connait pas. Le jour J arrive, je vais au salon : "Ah bonjour deadname, ça fait longtemps. Tu viens pour prendre rdv ?" - Non, non j'ai déjà rendez vous. Camille, c'est moi. - Ah ! Tu as changé de prénom. Bah très bien installe toi Camille." Voilà fin de l'histoire :3 j'ai pas osé lui dire que j'étais une meuf trans par contre, j'étais encore très androgyne à l'époque et très peu confiante en moi. Mais je pense qu'elle l'a plus ou moins compris sans que je le dise, dans le sens où elle ne m'a pas mise sur le siège "homme" et qu'elle me disait beaucoup de truc du style "Tu es très jolie comme ça" etc et je l'ai perçu comme une volonté de ne pas me genrer parce qu'elle avait des doutes. Bref j'ai hâte d'y retourner en robe ça va être rigolo :3 Et si je devais parler des mes coming out "Important". Le premier a été à un ami qui a trouvé mon Twitter et sur lequel je suis ouvertement trans. C'est lui qui est venue m'en parler par message et ça m'a fait un bien incroyable d'en parler à une personne de mon entourage. Puis y a eu un effet boule de neige ou je voulais le dire à tout le monde. J'ai commencé par mes autres amis, avec un appel discord et je leur ai parlé pendant genre 3h, c'est trop miou. Puis y a eu le plus dur, le co à ma mère. Y avait un passif transphobe avec ma mère donc j'en avais extrêmement peur et jetais, suis toujours, dépendante d'elle, donc je ne suivais pas du tout le conseil numéro 1 de cette vidéo. Mais c'était plus fort que moi, il fallait que je le fasse... Je lui ai écrite une lettre que j'ai déposé sur sa table de chevet en plein milieu de la nuit. Dans la lettre j'expliquais mon mal être, et que j'étais prête à ce qu'elle me jette dehors plutôt que de continuer à ne pas être qui je suis. Et finalement, c'était beaucoup plus de peur que de mal. Elle a pas forcément tout bien compris mais elle a compris que son enfant, sa fille, était malheureuse et ça lui était insupportable. Donc aujourd'hui elle me soutient à 100% dans toutes mes démarches. Et pour finir, il y a eu mon CO au travail. J'ai commencé le 2 septembre 2019 après avoir passé un entretien sous mon deadname. Lors de mon premier jour, je suis arrivée 30min en avance pour voir mon responsable et lui faire mon CO tour de suite. Au départ je voulais juste lui dire que je changeai de prénom, et que j'allais avoir des rdv médicals fréquents. Puis sans qu'il me demande rien, j'en avais juste un peu marre de tourner autour du pot, j'ai finit par lui dire que j'étais trans. Et tout c'est bien passé, il m'a dit qu'il n'y avait aucun soucis de son côté ou du côté de l'association mais que si ma transidentité venait à être un problème dans le cadre de ma mission, je devais l'avertir immédiatement et qu'il ferait le nécessaire pour me protéger et que tout se passe au mieux pour moi. J'ai même rencontrer son supérieur qui m'a tenue le même discours. Bref c'était vraiment chouette. Du côté, une collègue à tout de suite compris que j'étais trans quand j'ai dit avoir changé de prénom donc ça cassé la glace tout de suite et ils sont tous très miou avec moi à ce sujet. Des nouveau, collègues sont arrivés après moi, j'ai suscité des interrogations chez eux. Ils ont demandé à mes autres collègues si j'étais il ou elle, mes collègues leur on dit elle et depuis tout roule, je leur parle plus ouvertement de ma transidentité et tout ce passe pour le mieux. Voilà pour ma petite histoire. Aujourd'hui, bien que dépressive, je n'en suis pas moins une meuf qui s'épanouit un peu plus chaque jour parce que j'ai la chance d'être dans un environnement extrêmement safe. Je vous souhaite à tous'tes que vos coming out se passe aussi bien. Soyez fort'e's et prenez soin de vous ❤️
J'en rajouterai 2 si je puis me permettre, de ma propre expérience 1) Se préparer psychologiquement à des réactions inattendues / bizarres. Comme tu l'as dit, quelqu'un qui fait des réflexions homophobes peut réagir très positivement quand il s'agit de son enfant... et inversement quelqu'un qui se dit totalement ouvert peut avoir des premières réactions de réticences J''ai expérimenté la deuxième situation et ce n'est pas agréable quand tu n'y es pas pas préparée. Une amie m'a beaucoup rassurée en me disant : "Beaucoup de parents ont des réactions bizarres après un CO mais ça dure pas ,ils s'y font" Il faut juste s''y préparer. 2) Ne pas prendre trop à cœur ces réactions "à chaud" : même si la personne est très maladroite, voire blessante. C'est difficile quand on est sensible et vulnérable (le CO est toujours un moment de vulnérabilité) mais le temps permet une réaction plus réfléchie, plus vraie. La façon dont votre proche réagit sur le moment n'est pas forcément révélatrice de sa vraie façon de penser. Alors ne vous inquiétez pas forcément trop. J'approuve totalement le conseil : "Tu ne dois de CO à personne". J'ai fait l'erreur lors de mon premier CO d'avoir l'impression de devoir une explication à mes proches, de devoir me justifier. Ce qui fait que je n'étais pas du tout prête ni à l'aise. ça se serait sûrement mieux passé la première fois si je l'avais fait au moment où je l'avais décidé et non pas "pour les autres" Et j’approuve aussi totalement le conseil de chercher du soutien auprès d'autres personnes concernées :) ça m'a bien aidé après ce premier CO mitigé, ça m'a rassuré et m'a aidé à prendre du recul. Je me suis même fait une amie proche grâce à ça :)
En gros dire " Maman , papa , jsuis devenu une merde et je kiffe , je fais chier le monde en leur disant que pour moi c est un pronom qui existe pas qui est " iel " . Dans un monde idéal hahahahaha mais la nature n est pas idéal !!! C est le sang qui coule tout les jours . Vous vous ferez tous bouffé par le sentimentalisme
Mes CO ont été TELLEMENT différents les uns des autres, ça a été de mon amie qui m'a soutenu quand je pleurais lors de mon CO à moi même, m'assurant qu'elle serait toujours là, ma soeur pour qui ça n'a pas été une surprise et qui a explosé de joie quand je lui ai dit. Et des moment plus difficiles, mais pas insurmontables. Des appels longs et douloureux de rejet total etc... Toujours est il que je me sens enfin moi depuis, je ne me cache plus, alors, pour toustes mes adelphes, dès que vous le pouvez/sentez, allez y. Encore merci Matthieu pour ton travail, on sait à quel point tu donnes de ta personne pour nous offrir ton contenu. Je te souhaite tellement de bonheur... Koeurs avec les doigts
En tant que personne "pas tout à fait sur d'être un mec trans mais qui sait ne pas être cis" ta vidéo m'a beaucoup aidé Merci vraiment de nous faire partager tout ça !!
Je vais partager mon expérience, ça peut toujours être intéressant pour celleux qui s'apprêtent à sortir du placard. J'ai 17 ans et j'ai fait mon premier coming-out (trans) quand j'en avais 15. Après avoir posé un mot sur ce que je ressentais (à l'aide d'une amie elle aussi queer), j'en ai parlé à mes ami.e.s du lycée. Je leur ai envoyé un message sur notre groupe Snapchat, et tout s'est bien passé. Iels ont mis un peu de temps à s'y faire, mais après quelques mois iels utilisaient toustes mon prénom et mes pronoms correctement. J'ai ensuite fait mon coming-out à mes deux meilleur.e.s ami.e.s. Ça peut paraître bizarre qu'iels n'aient pas été les premier.es au courant, mais j'appréhendais leur réaction, surtout de l'une d'elle qui est croyante et pratiquante. Là encore, tout s'est passé pour le mieux, et c'était même plutôt amusant parce que mon meilleur ami m'a fait son CO genderfluid au même moment. :') Après les ami.e.s, j'ai décidé de faire mon CO à ma mère. Je savais qu'elle était plutôt ouverte d'esprit, et donc que je ne courais aucun risque pour ma sécurité. Je lui ai envoyé un long mail, parce que j'étais totalement incapable de lui parler en face. Elle a été très surprise, et plutôt virulente au début. Elle m'a dit qu'elle m'aimait toujours, mais qu'elle ne pourrait jamais utiliser un autre prénom et d'autres pronoms (spoiler: Elle a changé d'avis, c'était juste la réaction à chaud.) C'était un moment horriblement stressant pour moi, que ce soit l'envoi du mail ou l'attente de la revoir le week-end d'après (j'étais en internat.) Petit à petit, toute ma famille a été mise au courant, et je n'ai eu aucune mauvaise réaction (je m'estime particulièrement chanceux.) Aujourd'hui, tout le monde utilise mon bon prénom, à part mon frère qui a toujours du mal. À la place il utilise des périphrases 😂 mais au moins il n'utilise plus mon prénom de naissance. Pour ce qui est des pronoms, il y a encore des cafouillages, mais rien de mal intentionné. Après tout ça, j'ai fait mon coming-out au lycée avant la rentrée. Il faut savoir que j'allais dans un lycée catholique, donc j'avais vraiment très peur de la réaction du corps enseignant. Mais encore une fois, j'ai été agréablement surpris. J'ai demandé un rendez-vous avec le proviseur du lycée qui était très à l'écoute et compréhensif. Je lui ai simplement expliqué que je souhaitais qu'on m'appelle par mon prénom choisi, et qu'on s'adresse à moi comme à un garçon. Les professeur.e.s ont été mis au courant, et il n'y a eu aucun problème. Je sais que je suis extrêmement chanceux parce que je n'ai essuyé aucune réaction violente, mais je pense que c'est important de se dire que oui, les coming-out peuvent très bien se passer. Même si ça reste un moment difficile, vous vous sentirez merveilleusement bien après l'avoir fait (si vous pouvez le faire, évidemment.) Maintenant j'en suis à un point de ma transition où je vais changer de ville pour les études, et je vais devoir éventuellement faire mon coming-out dans "l'autre sens" (expliquer que je ne suis pas un mec cis). Ça m'inquiète un peu, surtout dans les interactions romantiques, mais on verra bien comment tout cela se passera.
Je suis en couple avec quelqu'un depuis 10 ans et la personne que j'aime m'a aidé à me questionner sur mon genre et ma sexualité. Je suis genderfluid et bisexuelle et je ferai jamais de coming out à ma mère car elle lgbtiphobe et comme tu le dis si bien : on ne doit de coming out à personne. Merci pour les instants de douceur avec les patates 💖
Salut ! Je suis le gérant du discord et de la (future) association BeYou dont tu as parlé dans ton article. Premièrement, je te remercie infiniment pour ton coup de pub
Coucou Matthieu. Perso, je suis de l'autre côté, c'est à dire que c'est à nous qu'une personne a fait son CO. "La filleule" de mon chéri nous a annoncé, il y a quelques années, qu'"elle" ne sentait pas à sa place et nous a demandé a demi-mot si ça changerait quelque chose si, un jour, "elle" devenait un garçon. On lui a dit que non car "elle" serait toujours la même personne. On l'a senti soulagé car notre avis et notre regard comptait beaucoup pour "elle". Et, en août 2019, lors d'une visite, "elle" nous a annoncé qu'elle changeait officiellement de genre, que les démarches à l'Etat Civil étaient en cours et qu'il commençait les injections. Il vient d'avoir 16 ans et il a le soutien de toute sa famille, de ses profs, de ses copains et le notre car, pour tout le monde, c'était une évidence. Même pour ma fille de 8 ans, c'est naturel et elle ne comprend pas pourquoi on aurait pas le droit de choisir si on est un garçon ou une fille et qu'on décide a notre place
Alors...personnellement mon coming-out ne sais pas passer comme prévue.. En faite c'était un soir où j'était au bord du "craquage mental", ma mère viens me voir en me disant que moi et elle étions convoquer (pour des raisons personnelle) car les élèves de ma classe avait alerter l'administration de mon lycée...alors ma mère me demande ce qui ce passe et j'ai tout sortit, j'ai toujours tout garder pour moi...et je crois que mon cerveau c'est mit en mode "vas-y lâche tout". Donc en plus de déballer mes angoisses, mes craintes pour l'avenir et j'en passe j'ai avouer devant ma mère et mon beau père que j'était gay d'abord (puis plus tard pansexuel)... J'avais peur oui, peur de leurs réactions et ma mère et mon beau père l'on ultra bien prit (j'avoue que j'avais énormément pleurer, non pas de tristesse mais de soulagement), ma sœur la plus grande (15 ans, j'en ai 17) elle aussi l'as bien prit et ma mère m'avait proposer de le dire à mes grands parents.. et j'ai dit oui, je savais que ma grand mère était ultra ouverte d'esprit et pour tout dire elle m'as avouer plus tard qu'elle avait déjà quelques soupçons ^^ Si c'était à refaire...je pense que je le referais différement. Voilà voilà, merci en tout cas pour cette superbe vidéo, comme d'habitude tu fait un super taff ! Continue comme sa, au plaisir de te revoir pour une prochaine vidéo ^^
J'ai presque fait un CO public avant même de savoir ce qu'était la non-binarité ^^ avec un poste sur facebook qui demandait, suite à une sorte de dispute avec un gars, pourquoi on devait forcément être fille ou garçon... Quelques années plus tard, ça a fait son bout de chemin dans ma tête, et j'en ai parlé à mon copain, je sais même plus comment. Je l'ai aussi mentionné en fufu à ma classe dans un exercice sur les réseaux sociaux, en me référant au post dont j'ai parlé. Après, ou à la même période, j'ai commencé à utiliser d'autres pronoms, j'ai expérimenté le binder. Je répondais "j'suis pas une demoiselle !!" à un pote qui me donnait de la demoiselle, je parlais sur le ton de la plaisanterie des noms que je voulais, auxquels je pensais à l'époque, à mes copines... En fait, je le vis tellement simplement, je n'ai jamais vraiment ressenti le besoin de l'annoncer officiellement, ou d'en faire une chose auprès de mon entourage. En même temps, c'était probablement aussi un manque de légitimité... Je n'ai jamais eu de remarques, ni sur les pronoms, sur les habits, sur rien du tout, j'avais de la chance d'avoir un entourage super cool - ou alors qui ne faisait pas attention. Pour ma maman, je me disais que ça pouvait être bien de lui dire, un jour, on est allés voir le film "Coming out", et, à la sortie, je lui ai dit "au fait, je suis non-binaire". En vrai, pour moi c'est assez compliqué d'avoir la reconnaissance de ta non binarité. Je veux dire, même dans des milieux "tolérants", ce que sont ma mère et mon copain. Je ne dis pas, dans tout mon blabla, comment ils ont réagi... En fait, ils ne comprennaient pas, ils me disaient "non mais tu es tel genre, de toutes façons ça ne définit pas qui tu es, donc la non-binarité ne sert à rien"... Ce, avec de longues discussions sur le sujet à la clé. Et, malgré le fait que la première réaction de ma mère après définition était un prometteur "ah mais j'étais comme toi à ton âge"... Et en fait c'est à cause de ça, notamment de ma mère, que sur un coup de tête j'ai fait un coming out officiel sur facebook, avec demande d'utiliser les pronoms que je veux - s'il vous plait, parce que quand-même... Bref, tout ça pour dire que, faire son coming out, c'est une chose, mais il peut y avoir du travail sur la durée après pour que l'entourage comprenne. Aussi, si vous vivez dans un environnement safe ou au moins indifférent/pas ouvertement homophobes ou transphobes, vous n'avez pas forcément besoin de faire votre coming-out pour assumer ce que vous voulez montrer de vous ou une partie. J'ai senti que mon copain n'a pas apprécié que je lui apprenne un peu violemment peut-être, avec moi qui avais avancé mentalement sans lui, mais aussi ça donne un sentiment de légitimité, de se dire queer quand on a le vit au quotidien, que ça prépare un peu le terrain, et, franchement, les très rares feedbacks que j'ai eus étaient très positifs, personne ne m'a demandé de justifications, alors, si vous sentez que vous êtes dans un milieu safe mais que c'est juste le geste du coming-out qui fait peur, commencez à vivre votre best life avant. Et, du coup, n'attendez pas la validation de proches post-co pour vous sentir légitimes et forts. Si vous pouvez. Je veux dire, vous êtes légitimes et forts, que vous ayez fait votre co ou pas, que vos proches l'acceptent ou pas. (je sais pas si je dis des choses censées, et désolé pour le pavé........) Et merci pour ta vidéo
Un petit conseil si vous devez faire un coming out aux proches avec qui vous vivez, autant que possible préparez vous et entendez vous avec des ami'es au courant de votre situation pour avoir un endroit de repli si ça se passe pas bien tout de suite. Bien souvent vous aurez des réactions différées ou lea proche va revenir sur votre CO dans les jours voir les semaines qui viennent donc préparez vous à être challengé'es plusieurs fois dans les premiers temps. Pis si possible, préparez leur des ressources pour se renseigner si iels sont bien intentionné'es et veulent vraiment comprendre ça évitera les errances et d'en discuter avec Géraldine la voisine de palier dont le neveu connait quelqu'un à son travail avec un'e proche concerné'e.
Dans les "formes de CO", j'ai expérimenté une forme assez ... audacieuse : faire venir sa personne préférée. C'est ainsi que je n'ai jamais fait de CO verbalisé à mon frère, mon père ou ma grand-mère, je les ai simplement mis devant le fait accompli. Voici la personne que j'aime, deal with it. C'est un peu abrupt, et je ne conseille pas si vous avez peur (cf conseil 1 de la vidéo !) mais ... comme je ne savais pas quoi dire, c'était plus simple ! Pour mon CO non-binaire, seule ma personne préférée le sait. Je pense que mes ami.e.s proches s'en doutent. Pour l'instant, ça me suffit :) (cf dernier conseil) Courage sur vous, vous êtes légitimes et vous méritez amour et sécurité
J'ai regardé ta vidéo pour me donner le courage de faire mon coming-out non-binaire à mes potes et ça s'est super bien passé, c'est trop bien! Merci pour cette vidéo c'est super bien expliqué, rien à redire !
J'ai réussi à faire mon coming-out bi (ou en quelque sorte, puisque j'ai avoué que j'étais attirée par les filles) de manière complètement involontaire à mes cousins, cousines, oncles et tantes (ma famille proche et ma grand-mère étaient déjà au courant). Pour l'anecdote, c'était le jour des 80 ans de ma grand-mère et on était au resto. J'avais mon oncle, plutôt conservateur, à côté de moi et il se met à râler à cause des féministes qui ne veulent plus du mademoiselle. Il propose alors qu'au lieu de d'utiliser madame quand une femme est mariée, on l'utilise plutôt une fois qu'elle n'est plus vierge. Et là, spontanément, je demande alors qu'est ce qu'on fait quand on est lesbienne. Résultat, coming-out fait et j'ai été la seule membre de ma famille a réussir à clouer le bec de mon oncle. Le plus rigolo, c'est que ça a été tellement bien accepté que je n'ai appris que 4 ans plus tard que tout le monde savait que j'étais attirée par les filles.
Merci beaucoup pour cette vidéo très claire, bienveillante et surtout réaliste. Je pense "qu'une partie" de mon coming out est faite avec quelques amis proches et j'en ai déjà parlé avec mes parents, mais ça remonte à plus d'un an en arrière. Sur le coup ils étaient choqués, puis s'y attendaient en même temps et puis avec le temps ils ont mis tout ça de côté comme si c'était juste un petite passage de ma vie où je me questionnais alors que ce n'est pas le cas en réalité... Et là vient le moment où je vais leur annoncer que je vais bientôt commencer l'hormonothérapie... Et la c'est un peu la panique dans ma tête... même si je sais que je vais leur écrire une lettre et qu'ils sont déjà plus ou moins au courant, j'apprehende énormément... surtout que j'habite un peu à l'autre bout de la France comparé à eux, je les vois peu ces derniers temps mais je suis très proche d'eux en même temps depuis petit... J'ai tellement peur d'être déçu par leur réaction... peur de les décevoir réellement... peur de les rendre malade même... Et peur qu'il me rejette sans même le vouloir... Mais ta vidéo m'a un peu rassuré, je garde ces 5 conseils en tête, et je te remercie ! Bonne soirée à toi ❤️
Merci Matthieu pour ces conseils ! J'aurais (et j'ai) tellement eu besoin de ces conseils. L'une des choses que j'ai fait (et à éviter si possible), c'est de faire son coming out à mi-mots, quand tu le glisses entre deux phrases et que puisque c'est genant et que personne ne réagit, faire comme si cela n'était jamais arrivée. C'est ce qui c'est passé avec mes parents pour mon CO bisexuelle, j'avais 16 ans, et je suis toujours "bloqué". Ce qui est aussi très dur, c'est de s'intégrer/trouver une communauté LGBTI+ quand on a aucun environnement similaire. J'ai vécu toute ma vie avec des Cishet qui ne sont pas ne connaissent rien des LGBTI+, et donc aujourd'hui j'ai énormément de mal à me sentir légitime et encore plus à aller vers une communauté LGBTI+ alors que j'en ai besoin. C'est dur, et peut être qu'un jour on aura plus besoin de craindre les CO, mais en attendant, c'est tes vidéos qui nous apportent du soutient, alors Merci.
J’ai enfin trouvé une façon de faire mon Coming out qui me correspond et j’avais envie d’y mettre une note artistique et humoristique car ce sont deux principes qui me guident dans ma vie donc j’ai décidé de faire un court-métrage.
Merci, cette vidéo m'a vraiment aidé. J'ai fais mon coming out bisexuel sans aucun problème à ma famille et mes amis il y a longtemps. Mais en ce moment je fais face à un mur. J'ai pu mettre des mots sur quelque chose que j'ai toujours ressenti d'aussi loin que je me souvienne. J'ai fais des recherches et j'ai pu mettre le mot genderfluid sur ma situation. Et plus j'avance plus je suis sur de moi. Même pour moi c'est dure de me dire que c'est normal d'être comme ça et que c'est pas juste une idée. Une très grande partie de mes proches sont ouverts ou font parti de la communauté lgbtqia+ pourtant ça me fait peur. J'en ai parlé à deux trois personnes dont je ne dépends pas mais pour les autres c'est très complique. Je suis toujours resté très pudique sur ce sujet et à propos de tout ce qui touche à moi très personnellement. Et puisque je ne leur ai donc jamais fais part de mon ressenti à ce sujet j'ai peur qu'ils me disent que c'est une phase ou qu'ils ne me prennent pas au sérieux, ne me croient pas. Donc j'ai un énorme blocage à ce niveau là. De plus plusieurs de mes amis ont fait leur coming out trans ou non binaire recement et j'ai peur que mes amis pensent juste que je suis le mouvement ou quelque chose du style. C'est dure...
Perso j'ai été "out" à mon insu, par ma mère, alors que mon père est homophobe et je n'étais pas prêt du tout à lui dire...Mauvaise idée! À tous les autres, ne faites pas la même erreur que moi!!! Ne le faites que quand vous vous sentez prêts, dites à ceux qui savent de vous laissez le temps! J'ai eu vachement la pression sur mes épaules et ma famille ne comprenait pas comment ça pouvait être si difficile à dire...Ben parce qu'il est homophobe peut-être! Vraiment, prenez votre temps, se faire out par quelqu'un d'autre c'est très gênant et désagréable surtout quand tu n'étais pas prêt à ce que cela se sache! Bonne chance à ceux qui le feront🥰
Merci beaucoup pour ces conseils ! J'ai fait mon premier CO pan à mon fiancé, je savais qu'il n'y aurais pas de problème avec lui et c'était important pour moi qu'il soit le premier au courant. Ensuite ça a été envers mes amis et amies et là c'était magique: on a été 4 à faire notre CO bi/pan en même temps! Ça a été un petite bulle de douceur. Maintenant j'envisage de faire mon CO à mes parents vu que la relation avec eux c'est améliorée et que ma mère est plus ouverte aux questions LGBTI+ depuis quelques temps. Et entre-temps, j'ai intégré un chouette petit groupe de créateurs handi et queer sur discord! Si ça intéresse des gens, je peux voir avec les créateurs du discord pour vous inviter !
Ton histoire me parle un peu : c'est quand une de mes meilleures amies m'a parlé de sa pansexualité que j'ai compris qu'en fait moi aussi. En fait on a toujours été très ouvertes toutes les deux sur les questions de genre, d'amour et de sexualité (on a plus de 40 ans et on se connaît depuis le lycée) et je me suis rendue compte que je ne mettais des mots sur rien parce que je n'ai jamais pensé qu'une manière de vivre l'amour soit plus normale qu'une autre. Deux de mes ex (hommes) vivent maintenant avec des hommes, par exemple, et jamais ça m'a fait lever un sourcil (alors que ça a pu choquer des gens dans mon entourage, en mode "tu n'es pas vexée?"... euh.. nan, pourquoi je devrais ?). Tout ça me paraissait tellement pas important que je m'étais même jamais rendue compte qu'en vrai, je suis pan depuis toujours. En fait, tout ça devenait important pour moi quand j'étais témoin d'homophobie (et plus récemment de transphobie) autour de moi, ce qui est encore très courant, et ça me fait souffrir beaucoup... Aujourd'hui je me rends compte aussi que si je me considère comme une femme c'est plus par habitude (et que j'aime mon corps "féminin" comme il est) mais qu'en fait je ne vois pas le monde de manière binaire, pour moi on est tous des individus différents, et homme ou femme, les deux ou aucun des deux, je n'en ai jamais eu rien à foutre. Ma mère, qui pourtant même si elle est cool manque de connaissances sur le sujet, commence à me dire "ah en fait tu es non-binaire" et peut-être qu'elle a pas tort. Ou pas. En vrai j'ai pas besoin de mots, je suis juste moi. Les mots j'en ai besoin dans les situations où on me pose des questions, ou quand je prends la parole face à des propos oppressifs (encore trop courants) qui me choquent. Par contre il m'a fallu dépasser les 40 ans pour me rendre compte de tout ça, mettre des mots sur ce que je suis, c'est un peu fou. Merci à tous les jeunes WOKE et WARRIOR comme Mathieu de faire des vidéos pour nous faire ouvrir les yeux à nous, les vieilleux :D On n'avait pas tout ça de mon temps (on dirait que je suis un dinosaure haha) et même si j'ai eu la chance d'avoir des amis LGBTI+ ou très ouverts, c'était loin d'être le cas de toutes les personnes queer autour de moi (j'ai vu des choses horribles, par exemple de la part de certains parents)... donc les militants des internets d'aujourd'hui, vous rendez le monde plus beau, MERCI
@@HakugeiNoYume Merci beaucoup d'avoir partagé votre histoire ! Ma façon de voir le monde rejoint la vôtre sur la perception du genre. Ça me fait du bien de lire que je ne suis pas la seule à penser comme ça!
La mention de CO à son-a coiffeureuse je la ressens au plus profond de mon âme. T.T Honnêtement c'est l'une des raisons pour lesquelles j'ai déménagé loin, ça permet d'éviter ce genre de situations
Petit commentaire pour le référencement ! :D Bravo pour ton travail Matthieu, meme si je suis pas concerné directement par les sujets que tu évoques tu m'apprend beaucoup. :D Je t'envoi un petit colis sous peu je pense, je vais jeter un coup d’œil a ta liste pour me décider ^-^
Merci énormément pour tous tes conseils ! Je pense être bi mais j'ai quand même besoin d'encore du temps pour réfléchir. Tout ça m'aide vraiment pour mon temps de réflexion, pour prendre confiance en moi et me dire que faire mon coming out est possible malgré le fait que je sais que certaines personnes ne vont pas comprendre ou simplement ne pas approuver du tout. Merci du fond du coeur
Merci beaucoup pour cette vidéo 💜 étant bi personnellement, mais n'ayant jamais eu de partenaire du même sexe, je ne me sens pas légitime à faire mon coming out - en dehors d'amis au sein de la communauté LGBTQI+. Et je sais pas trop quoi en penser , parce qu'autant pour les autres bi ou pan j'ai aucun mal à reconnaître légitime leur orientation sexuelle - peu importe qui ils fréquentent ou ont fréquenté par le passé- mais pour moi j'ai toujours l'impression que je vais passer pour une grosse imposture xD
je suis un peu comme toi, je viens de poster une réponse à Helena Decoeur un peu plus haut pour en parler si jamais tu veux la lire :) Il faut qu'on apprenne à se sentir légitimes, ça viendra avec le temps
Ce que je dis souvent, c'est que les hétéros n'ont pas besoin d'avoir eu un partenaire d'un sexe et genre opposé pour savoir qu'ils sont hétéros, pourtant, personne va dire qu'ils ne sont pas légitimes Tout mon soutien en tout cas
Personnellement, je n'est pas encore fait mon coming out trans gay biromantique à ma famille mais je m'assume complètement au collège. La première fois, j'en ai parler avec une amie qui venait de me dire qu'elle même doutait de sa sexualité et elle la très bien pris. Elle a accepté de me soutenir et de n'en parler à personne pour l'instant car je n'étais pas tout à fait prêt. Finalement, j'ai abordé le sujet naturellement pendant un jeu qu'on fait souvent avec mes potes (un Qui est quoi). Aux débuts ils n'ont pas tout à fait compris mais je leur ai tout expliquer à l'aide de mon amie et ils n'y ont trouvé aucuns inconvénients. Au contraire, avec mes parents j'en ai déjà parlé indirectement pou,r comme tu le dis, "tater le terrain" et ils n'ont pas l'air d'être vraiment pour. Je ne me sens pas prêt à leur faire mon CO, de toute façon je pense qu'ils prendraient ça pour un délire effémère d'ado. Alors je laisse des indices de temps en temps mais j'attends pour leur faire mon CO. Mais bon, j'ai eu de la chance, j'ai commencé à me questioner pendant le premier confinement donc j'ai eu le bien le temps de réfléchir pour être sûr de moi. Et puis j'ai découvert Wattpad (un réseau social où tu peux écrire des livres) et j'ai rencontré beaucoup de personnes qui mon soutenus, ça m'as fait du bien.
Salut Matthieu , chouette vidéo :) Pour mon CO (je suis gay cisgenre) j'avais fait un tableur excel avec différents critères pour anticiper les diverses réactions quand je "tâtais le terrain" avant the Annonce. ça m'avait permis, en prenant note de leur familiarité à la question LGBTI+, de faire un tri dans les amitiés avant d'en parler ouvertement et donc de m'épargner des potentielles réactions moisies. J'ai arrêté après être bien rôdé. par contre je me suis rendu compte, en le relisant quelques années après, que j'avais laissé passer des choses que je considérerais inacceptables aujourd'hui... Très bonne continuation à toi et bisous à tes patates!!
J’ai déjà fait mon coming out bi et il s’est mal passé depuis j’ai mon entourage qui fait un déni énorme et me vois encore comme une personne hétéro. Je sais depuis très longtemps que je suis agenre. Mais je le garde au fond de mon cœur. Alors je vais encore devoir attendre pour ce coming out. J’essaye d’être patient mais c’est dur à la longue. Les seuls moments d’euphorie de genre sont dans mon lit, seul dans le noir où je peux être moi même. Merci pour cet vidéo 🏳️⚧️ Un.e p’tit.e emby trans planqué mais avec beaucoup d’espoir. 🏳️⚧️ Cette vidéo m’aide, merci.
Bonsoir, je trouve que tu a l’air d’une personne extraordinairement gentille. Pour ma part je suis pansexuel (enfin je suis un peu mitigé).Merci pour t’a vidéo qui m’a beaucoup aidé . J’ai déjà fait mon coming out a deux personnes : une qui est ma meilleure amie depuis 2 ans ( ça fait pas beaucoup de temps qu’on se connaît personnellement mais on a une amitié très fusionnel) et une autre amie qui habite à l’autre bout du monde ( elle habite en nouvelle caledonie) . J’ai peur de l’annoncer à. Ma meilleur amie depuis la maternel car j’ai peur qu’elle ne sache pas trop ce que c’est et qu’elle pense que j’ai de l’attirance pour elle (son oncle est gay , je pense que ca pourra aider). Sinon ma mère est très ouverte d’esprit et quand je lui donne des petits indices ,ça ne l’a dérange pas du tout. Mon père lui ne parle pas trop mais je ne sais pas comment il va réagir. Sinon , j’ai deux grand Peres et une grand mère homophobe , je ne pense pas leur dire car je me dit qu’ils sont vieux et qu’ils n’ont pas besoins de le savoir. Sinon mon autre grand mère et moi sommes très proche alors je pense qu’il ni aura aucun problème. Merci pour cette vidéo et désolé pour les fautes d’orthographe. Passe une bonne journée et soirée 😘 Ps : je suis allée sur youtip pour regarde des pubs et te donne de l’argent car tu le mérite et tu fais du très bon travail
Coucou, ta vidéo est géniale ! Je viens de découvrir ta chaîne et on se sent dans un environnement safe dès les premières minute:) je suis lesbienne, mais j'ai été en couple/discuté avec pas mal de garçons jusque là, par peur d'assumer et d'être confrontée à la réalité que oui, j'aime les filles. Je me suis décidée à m'accepter il y a quelques mois, et j'en ai parlé à trois amis de confiance qui ont super bien réagis et m'ont vraiment rassuré. J'aimerais sincèrement faire mon coming out à ma famille, parce que je sais que ça fait partie de moi et je serais vraiment heureuse s'ils pouvaient m'accepter comme je suis. Le truc, c'est que ce sont des gens un peu conservateurs, un peu homophobes, qui critiquent beaucoup et auxquels on n'enlève pas des préjugés ultra facilement... bon on dirait des personnes horribles comme ça mais quoi qu'il en soit, je les aime, enfin c'est ma famille quoi. Donc forcément j'ai vraiment peur de leurs réactions, j'ai une vraiment bonne relation avec eux et je détesterais que ça change ou que ça installe une sorte de gêne, j'en sais rien... bref, j'hésite à leur en parler, surtout que j'ai peu de chances d'être prise au sérieux vu que je suis mineure et qu'ils sont partisan du "Avant 30 ans de toute façon t'as rien vécu." Voilà voilà:)
Une "erreur" que j'ai fait pour mon coming out bi, c'était de pas rendre ça un peu officiel J'ai vraiment dit ça en plein milieu d'une conversation en rapport, genre en me prenant comme example Ça a pas aidé mes parents à assimiler et prendre ça au sérieux Couplé au fait que j'étais pas prête à répondre à des questions qui mettaient un peu en doute ce que je disais (genre comment tu sais que t'aimes les filles si t'es jamais sortie avec une fille), mes parents ont vraiment pris ça comme une phase Heureusement, ils sont hyper ouverts, et je savais que je risquais rien, c'est pour ça que j'ai annoncé ça comme ça. Mais il a fallu que j'en reparle plus sérieusement avec eux plus tard, pour m'assurer qu'ils m'avaient compris
Haaaaaa le truc de "comment je sais si j'ai jamais fait?" je me le suis longtemps imposé à moi-même : c'est que depuis récemment que je sais que je ne suis pas hétéro, que je dis que je suis pan (ou bi, selon les connaissances de la personne en face). Avant, malgré ce que je vivais en dedans, je me disais toujours "j'ai eu des relations qu'avec des hommes, donc je suis hétéro". Alors que NOPE, vraiment pas. C'est allé loin parce que quand je fantasmais ou crushais sur des filles (ou plus largement des personnes LGBTI+ avec un genre pas "conventionnel") je me voilais carrément la face (et me dépréciais) en me disant "c'est juste un kink, t'as aucune légitimité de penser que t'es pas hétéro!" Il m'a fallu entendre d'autres personnes queer dire "et les hétéros vierges, comment ils savent qu'ils ont hétéro?" pour comprendre que je suis légitime même si j'ai pas "pratiqué". D'ailleurs même encore maintenant j'ai du mal à dire que je suis LGBT, j'ai toujours ce fort syndrome de l'imposteur. Le fait d'avoir un passing hétéro et donc de vivre assez peu d'oppression comparé à d'autres personne que je connais n'aide pas. Ça va loin quand même parce que je m'interdis encore de "draguer" autre chose que des hommes cis, de peur d'effrayer les personnes queers : j'ai peur qu'elleux prennent ça pour un kink et pas du sérieux, et je sais que c'est un truc qui leur arrive souvent et les angoisse...
Merci beaucoup pour la vidéo, c'est le genre de choses que j'aurai aimé avoir vu avant mon premier CO. Petit conseil que je rajoute : Toujours choisir avec attention son premier CO. Perso, il a été très négatif et ça a conditionné tout les autres, à la limite de devenir une angoisse parce que j'avais peur d'avoir à nouveau cette réaction qui a bouleversé pas mal de choses dans ma vie et pas en bien.
Je viens juste de faire mon coming out en tant que non-binaire à mes amis qui l'ont très bien pris. Mais disons que j'ai un peu plus peur pour ma famille... Donc merci. Merci pour ta vidéo. Elle m'a vraiment aidé.
Mon coming a été un peu compliqué au début, les 2 premières personnes à qui je l’ai dit sont les 2 personnes les plus importantes pour moi ( ma mère et ma meilleure pote ) et les 2 seules qui l’ont mal pris. Donc forcément au début c’était pas la joie. Mais le reste ( fin je l’ai pas encore dit à tout le monde mais quasiment ) l’a plutôt bien pris et je ne regrette rien. Si je peux ajouter un conseil: Si possible, fais le 1personne par 1 personne ou par petits groupes, parce que j’ai eu une expérience avec beaucoup de gens d’un coup et ça peux créer des courants de pensées ( si plusieurs personnes disent c’est pas bien les autres auront tendance à dire la même chose par sécurité ) et empêcher une personne peut-être dans la même cas ou pas sure de s’exprimer ou de t’apporter son soutien. Donc 1 à la fois c’est mieux. Merci de la vidéo, c’est super cool de ta part, chuis presque dégoûtée d’être déjà out ça m’aurais grave aidée. Ceci dit va peut-être falloir que j’en refasse un bientôt ( je suis bie et en questionnement sur mon genre ) donc peut-être que je passerais la revoir.
Du coup, si on prend très strictement la définition donnée ici de "être dans le placard" qui est "cacher une partie de son identité" et la définition du coming-out qui en découle dans la vidéo (ne plus cacher cette partie de son identité), pourrait-on dire qu'il existe des coming-out : - pour des personnes autistes ? - pour des personnes malades chroniques ? - pour des véganes ? - pour des polyamoureuxes ? Je connais dans plusieurs de ces cas des personnes qui ont caché (voire cachent encore, au moins à certaines personnes) cette facette de leur identité. Or je sais que parler de "coming-out" dans ces situations gêne beaucoup une partie (importante ou pas je n'en sais rien, je n'ai pas de statistiques !) des personnes LGBTQIAP+. L'argument souvent donné est que les risques encourus ne sont pas les mêmes. Du coup, faut-il revoir la définition du coming-out ? En proposer une autre ? Ou bien étendre cette notion à des situations qui génèrent peut-être moins de dangers, mais qui consistent bien à prendre un risque (plus ou moins grand) en dévoilant une facette de son identité que l'on cachait auparavant ?? (Ou bien que l'on _essayait_ de cacher !) Tout cela me questionne je l'avoue ! Parler de coming-out, est-ce un manque de respect envers les personnes qui prennent plus de risques à le faire ? Et si l'on suit d'ailleurs cet argument, une personne homosexuelle en France par exemple, serait donc moins légitime à parler de coming-out qu'une personne homosexuelle en Afghanistan ? S'il y a des ressources sur le sujet, qu'on n'hésite pas à me les indiquer. (Certes j'en ai déjà lu un certain nombre comme le laisse entendre mon commentaire, mais je n'ai pas réussi à arriver à une conclusion jusqu'à maintenant.)
Je suis bi et je considères que le coming out concerne aussi les personnes polyamoureuse ou même handicapé... je ne vois pas en quoi c'est différent ou moins dangereux. Quand j'ai dis à mes proche ma dépression et ma surdouance, je me suis pris énormément de validisme dans la face, et je l'ai vraiment vécu comme mon coming out bi.
Je suis autiste, je le sais depuis quelques mois, et je tiens la liste des gens à qui j'ai fait mon "coming out autiste" x) Mais je te rejoins et je comprends que des personnes LGBTI+ trouvent que ce mot est mal employé pour des gens qui n'ont pas tout à fait les mêmes enjeux en sortant du placard. Cela dit, le validisme, la psychophobie ou autre peuvent également blesser, quand il est question de notre identité. C'est pas 100% les mêmes enjeux, mais c'est quand même des oppressions systémiques, avec leurs particularités et leurs points communs. En cela je suis contente d'avoir lu la réponse ci-dessus, merci à son auteurice 😊 Et merci à toi pour tes questionnements, ton com est très intéressant, et je te rejoins dans tes questionnements ! D'autres pdv m'intéresseraient aussi, et je dois dire que le tien est très intéressant !
Les enjeux ne sont pas les mêmes mais côté psychophobie, je repense à cet adolescent (je crois), neuroatypique, qui a été tué par des policiers alors qu'il n'était dangereux - au pire des cas - que pour lui-même... Du coup je repense à l'argument "ces personnes-là ne risquent pas la mort" : ben....si. Ca arrive. Concernant les personnes véganes on aurait notamment des cas de suicides (liés par exemple à du harcèlement en raison du véganisme, c'était le cas d'un adolescent, un article était sorti là-dessus). Alors je me questionne beaucoup !
Je peux répondre sur un autre point : je suis LGBT et végane. Et clairement je comprends que le mot de coming-out n'est pas du tout approprié pour le véganisme : oui, quand on est végane on s'en prend plein la gueule, je vais pas mentir MAIS !... on est végane par choix, ce n'est pas du tout pareil que de se faire attaquer sur son identité ou sa façon d'aimer. Pour ma part j'ai un passing hétéro, donc je subis beaucoup plus de connerie et d'agressivité face à mon véganisme que sur mon identité sexuelle,, mais c'est vraiment incomparable avec le vécu de personnes trans, homo, bi... Si je ne veux pas être embêtée j'ai juste à ne pas manger devant les personnes chiantes qui vont commencer à se moquer, ou à trouver une excuse pour éviter un repas, et ça n'ira pas plus loin. Les vraies victimes dans "l'anti-véganisme", ce sont les animaux, pas les véganes. Je souffre de voir certains discours face au véganisme, notamment celui de dire qu'on aime les animaux plus que nos semblables (ce qui est faux : quand on a de la compassion, on en a autant pour les humains que les animaux, et en plus plein d'études l'ont montré, ça se discute même pas!). Et y aura toujours des gens qui se pensent drôles en me mettant leur steak saignant sous le nez (j'avoue, au fond, ça me fait vraiment mal - pour l'animal) mais restons raisonnables : avant d'être végane je mangeais des animaux, je pensais comme elleux. Et attaquer quelqu'un sur une de ses pratiques alimentaires ou d'achat, ça n'a rien à voir avec le fait d'attaquer son identité profonde, on sa façon d'aimer. Personne ne m'agressera physiquement ou ne m'assassinera jamais parce que je suis végane. Alors que le sexisme, l'homophobie, la psychophobie et la transphobie TUENT des gens tous les jours dans le monde. Je risque beaucoup plus parce que je suis une femme, parce que je ne suis pas hétéro, ou quand je suis en dépression, que parce que j'aime les animaux. Donc en résumé annoncer qu'on est vegan, pour moi, ce n'est pas un coming out, même si ça peut être difficile. Et ça me gêne quand certaines personnes véganes avec une plateforme sur internet font sans arrêt le parallèle avec un coming out (ou disent que les vaches inséminées de force sont "violées"...)
Personnellement je suis non binaire et gray aromantique,et pour moi c'est vraiment quelque chose de très important,j'aimerais beaucoup avoir mon propre drapeau,ce serait un peu comme une sorte de trésor,mais j'ai aussi peur de la réaction de mes parents et de la question "pourquoi tu veux ce drapeau ?" ce qui me conduirait à leur révéler ma non binarité (voir le fait que je suis gray aromantique),ce qui m'effraie un peu même si je sais que mes parents n'ont en principe pas de problèmes avec les LGBT+,mais grâce à ta vidéo je me sens déjà mieux quand à cette question de coming out et cela me soulage beaucoup,merciiii ❤
J'aurai avoir ces conseils quand j'étais plus jeune, car j'ai fais mon coming-out trans et bi auprès de ma famille à 30 ans. Je m'interroge sur mon identité depuis le début du collège et sur mon orientation sexuel quasiment depuis la même période. J'ai fais mon coming out en commençant par des personnes en qui j'avais confiance et qui cotoyaient beaucoup de personnes de la communauté LGBTI+. Elles m'ont beaucoup soutenu. Malheureusement mon coming out s'est très mal passé avec ma fiancée qui a finit par me quitter. C'est à ce moment que j'ai décidé que mes parents devaient savoir que le garçon qu'ils avaient mit au monde n'en était pas un. Et.. cela s'est très bien passé. Mes parents ont très bien prit la chose et me soutiennent, puis mes frères et soeurs dans la majorité aussi me soutiennent. J'ai énormément de chance car je n'ai eu que très peu de réaction négative. J'espère entamer prochainement ma transition. Merci encore pour tes vidéos qui apportent conseils et qui nous permettent d'apprendre énormément de choses.
Merci c'est grâce à tes personnes toi que les petits écureuils comme moi comprennent finalement qu'ils sont des petits écureuils normaux et pas des monstres
Merci beaucoup , maintenant je sais comment faire mon coming out ( je vais faire une video et la poster , je sais que je vais recevoir des insultes mais je m'en fous )
Je suis hétéro et j’ai l’impression de devoir faire un coming out vis à vis de mes parents Je ne suis pas en couple Et j’ai l’impression qu’ils attendent qu’une chose c’est que je leur disent que je j’aime les filles alors que non C’est bizarre non? Personne n’est dans mon cas?
Non non, mon frère a du faire pareil : tout le monde pensait qu'il est gay (toujours célib à 30 ans). Il nous a pris un par un pour nous annoncer que non, il n'est pas gay :-D
Les joies d'un monde où quand t'es pas en couple amoureux monogame, c'est forcément que t'es bizarre... Alors que non, être célib (volontairement ou non) ne veut pas dire être queer ! Et on peut être célib et heureuxe ! Ou toute autre configuration !
Merci pour ta vidéo ! J'aime tout particulièrement ton deuxième conseil, "tu ne dois de CO à personne". En effet, je pense que je suis ace et je me demandais si je devais l'annoncer. Et je me pose la question: pourquoi faire, finalement? Donc ce conseil me réconforte beaucoup. Sinon, ma meilleure amie m'a fait un CO trans il y a presque un an. Ca faisait quelques temps qu'elle parlait des questions de genre donc elle a pu tâter le terrain. L'annonce "je suis une femme" et "je veux que mon prénom soit celui-là" s'est faite le même jour. Parler des questions du genre avant de faire son CO, ça permet de faire en sorte que la personne ait des connaissances sur le sujet, je suppose que ça aide.
J'ai fais mon coming out bi à mes parents sous la pression de mon (ex) petite amie... Ben je regrette énormément car elle n'avait pas le droit de me menacer de me quitter si je ne le disais pas à mes parents. Maintenant que j'ai ENVIE de faire mon CO trans je vais réfléchir correctement en prenant appuis sur des témoignages et des conseils (tu m'aides énormément dans ma recherche). Heureusement je suis maintenant majeur (ce qui n'était pas le cas à l'époque) et bientôt loin de la maison familiale ^^
Hello! Pour ce qui est des coming out, j’ai beaucoup de chance personnellement car les gens qui m’entourent sont majoritairement safe, du coup j’ai juste abordé le sujet au détour d’une conversation en mode « a au fait je crois bien que je suis ... »
Moi j'ai fait mon coming-out à 14 ans et ma mère m'a sorti en rigolant: " tu es bisexuelle? mais tu est sexuelle au moins?" c'était très embarrassant (surtout quand tu est ado) mais c'était simplement de la maladresse. :) Plus tard elle m'a dit qu'elle avait deja été attirée par des femmes mais n'avait jamais sauté le pas.
Moi j’avais dis à une de mes amie que j’étais lesbienne elle a été le dire à tout mon collège alors que j’étais pas prête...j’ai perdu ma patience...comment dire...je l’ai frappé tellement j’étais énervé qu’elle ai fais le choix à ma place..
Coucou Matthieu ! Pour ma part, j'ai fais majoritairement des "demi coming-out", c'est à dire que je prépare psychologiquement mon entourage à des changements (physique notamment mais pas que) et que je dis des choses qui font sens et qu'elleux maintenant commencent à comprendre ("non mais je ne suis pas vraiment une fille de toute façon) sans pour autant avoir fait un "vrai" coming out trans. J'ai besoin d'être sur des pronoms et si je change de nom avant, et comme en général quand j'ai de la dysphorie ça vient de remarque très genrées de personnes qui ne me sont pas proches, je peux gérer cette attente. Par contre, alors que j'avais prévu de parler de l'évolution de mes douleurs, mes RDV médicaux et mon sommeil avec ma psy, je ne sais pas comment ni pourquoi mais j'ai tout à coup fait mon coming-out et je crois que j'ai été plus surpris qu'elle que ça sorte XD Après avec elle aussi j'avais tâté le terrain (je l'estime beaucoup car elle m'a beaucoup aidé par le passé et je voulais être sur de ne pas me sentir blessé trop violemment d'un coup si elle avait des mots maladaptés). Merci pour cette vidéo et prends soin de toi
Moi je pense que je pourrais pas faire mon coming out POURQUOI premièrement je ne sais pas exactement ce que je suis je me demande si je suis pansexuel , genre -fluide ou pansexuel, genre -fluide et lesbiennes (j'ai une petite préférence pour les filles) deuxièmement ma mère est homophobe mais elle prétend le contraire mon père c'est pareil mais si je fais mon coming out à lui il serait content pour moi alors que ma mère je pense quel sera choqué et puis mais parent se doute que je suis LGBT mais je sais un peu trop bien mantire j'ai déjà fait mon coming out à ton mon école les gens se moquent de moi ou ils me taquine se qui est cool c'est que tout mon groupe d'amis est LGBT ou ils soutiennent les LGBT donc sa m'encourage.Dans ma famille il n'y a que trois personnes qui sont au courant que je suis LGBT et il y en a un qui est bisexuel.Tes conseils mon bien aidé même si je pense que je ne pourrai pas faire mon coming out avent longtemps mais cette vidéo ma redonné espoir et peut-être que je vais faire mon coming out cette année ENFIN SI JE ME DÉGONFLE PAS 😂😂😂😂😂😂😂😂😂 (désolé pour les fautes d'orthographe)🥺🥺🥺🥺🤟🤟🤟🤟🏳️🌈🏳️🌈🏳️🌈🏳️🌈🏳️🌈🏳️🌈🏳️🌈🏳️🌈🏳️🌈🏳️🌈🏳️🌈🏳️🌈👏👏👏👏👏👏🎉🎉🎉🎉🎉🎉🎉👌👌👌👌👌👌
Ma mere es au courant mes pas mon pere ni sa famille et ma mere ma dis que meme si il ete contre sa cetter moi en premier et j’ai vraiment peur sa m’angoisse tous les soir je pleur car je me sens mal
merci pour ta vidéo J'ai dit que j'étais un homme transgenre a mes parents en juin, la semaine dernière je l'ai dit à mes frères, ils m'acceptent comme je suis mais ne veulent pas me genrer au masculin, il ne font aucun effort, ce n'est pas grave le principal c'est qu'il m'accepte Mais depuis début septembre mes parents me demande de le dire a mes grand-parent mais je ne me sens pas près et aujourd'hui mon père ma dit "je te donne jusqu'à la fin du mois car ca nous rend mal à l'aise et on leur ment". Je ne sais pas quoi faire, je me sens pas près car je suis très proches de mes grand parents et puis j'ai l'impression que ca va trop vite j'ai découvert qui j'étais en décembre, j'ai dit à mes parent que j'était trans en juin mais c'était pas voulu j'était vraiment pas bien donc je leur dit quand j'était en colère
Pour les parents je peux donner une expérience que j ai utiliser pour tater le terrain moi j ai dit que j avait perdu un defi et que j avait fini en jupe ma mère ayant tres mal réagi j ai compris qu il ne fallait pas que j en parle tendi que mon père ma Conseiller de ne pas parler de ce genre de chose a ma mere car elle n est pas ouverte d'esprit j rsite donc a lui en parler mais je pense que pour les parents ma technique peux aider
Moi j'ai 13ans et je suis lesbienne et genderfluid et je suis en internat du coup c'est difficile d'en parler mais casiment tous mes amis sont au courant, il y a également ma grand mere et mes soeurs qui savent que j'aime les filles mais ne savent pas que je suis genderfluid... ...voilà c'est tout pour moi je t'adore ❤❤❤
Ma soeur (enfin, à cette heure je sais plus) dit qu'elle est une souris. Elle s'est fait tatouer une queue dans le dos et des moustaches sur les joues... Elle dort sur une étagère de la bibliothèque de mes parents...... Je suis perdu. Je sais plus quoi faire... Je pleure H24....
je suis non-binaire/genderfluid et je redoute le sport au lycée et la piscine car je vais devoir choisir fille ou garcon, alors que je suis les deux. Je crois que je vais d'abord faire mon coming out à mes profs, pour pouvoir avoir une place au lycée.. Une chose que je redoute beaucoup est la réaction de mes parents car ils sont pas fan de la communauté LGBTQ+, et en plus d'avoir un genre différent, j'ai une petite amie.. En tout cas merci pour ta vidéo
Merci beaucoup ! J'ai hâte de faire mon coming-out à ma famille maintenant.. tu m'a apporter beaucoup d'aide ! Je te remercie ! Mais maintenant je dois faire mon coming-out dans les trois semaines car ma sœur va arriver au collège, et j'aimerai qu'elle l'apprenne de moi meme pas de mes amis ou autre xd Je t'expliquerai si tu veux comment j'ai fait ☺️
J'aimerais bien faire mon coming out, ça fait un an que je sais pour le fait que je suis pans et genderfluid, mais le problème c'est que je n'ose pas parler à ma famille, je sais que ma mère n'est pas anti LGBT (elle m'a piqué mon yaoi T^T), donc je ne pense pas qu'elle réagirai mal. J'ai quand même peur.... Mais j'ai en vie de lui dire 😭😭 ça me fait peur de ne pas en parler à ma famille 😭
Cc, j'ai 11 ans et je suis lesbienne j'en ai parler a mes ami(e)s sans avoir de problème mais je n'arrive pas a le dire facilement a mes parents...Mais avec mes parents j'en parle beaucoup...Mais je n'ai aucune personne que je connais qui est lgbti+...Sinon merci beaucoup pour tes conseils je pense leur faire une lettre merci vraiment beaucoup je viens de voir cette vidéo je ne te connaissais pas merci vraiment du fond du coeur
j'ai vécu un coming out il n'y a pas longtemps. La techinque que mon ami a utilisé était juste de changer le genre de son speudo sur facebook. Au début je ne comprenais pas trop son geste jusqu'au moment ou il m'a écrit "j'suis trans dude". Et apres on a juste continué notre conversation sur le prochain test de math.
Comme tu l'a dit j'ai essayer de voir la réaction de ma mère on parlais des lgbt+ ect.. Et aprés je lui dit maman imagine que je suis lesbienne elle m'a répondue : "bah c'est normal tranquile" je me sentais a moitié libérer c'est vrais et je vous poses cette question: est ce que je fait mon coming out j'en ai envie mais je sais pas si je suis prète :)
Je suis cisgenre et bisexuelle, j'ai fait mon CO en première année de fac (donc il y a 4/5 ans) et je n'ai jamais eu de soucis avec mes ami.e.s proches, dont une partie sont d'ailleurs LGBTI+. Pour ma famille, ma petite soeur a été la première au courant après une déception amoureuse et elle m'a toujours soutenue. 3 ans après, j'ai fait mon CO à une partie à mes cousines, qui ont très bien pris la nouvelle, puisqu'elles connaissaient d'autres personnes bisexuelles. Finalement, les seuls qui ne sont pas au courant, ce sont mes parents, mais ne vivant plus chez eux, je n'ai jamais ressentis le besoin d'en parler ni eu le sentiment de cacher quelque chose. Je pense que ça se fera en temps voulu.
Bonjour, Pour les personnes qui (ou ont des proches qui) envisagent une transition - surtout les filles apparemment ; mais tous - : pour plus d'info au sujet des dangers potentiels, pour la santé physique et mentale, de la transaffirmation, surtout chez les non adultes, la vidéo (et le site) de SOS éducation est à conseiller. Ainsi que les vidéos 'Trans Train' (trouvable avec sous-titres fr sur yt).
Moi je suis pan et la première personne à qui je l'ai dit (d'ailleurs la seule) car je savais qu'il me comprendrais et en plus il est gay don il allait pas me reprocher d'être LGBT
Super vidéo ça me motive a faire mon coming out a mes parents mais concernant le 1 er conseils je ne sais pas vraiment quoi faire J'ai essayé de le faire une fois mais mon père m'a dit que se n'était pas normal et ma mère a dit que l'ont peut aller chez le médecin pour de la testostérone pour pas que me foute en l'air Et après ils ont engueuler ma sœur en disant que c'est de ça faut si je suis comme ça ... Bref je ne sais pas quoi faire T^T s'ils vous plaît aidez-moi a trouver une solution
Merci pour cette vidéo mais je ne pourrai jamais faire de coming out à ma famille car je me suis fait outer par mon frère depuis je me fait insulter chez moi ,mon vrai coming out sera au clg avec mes amies lgbti+ on se dessinera le drapeau de notre sexualité et une phrase avec "j'en suis fière !!" À la fin
Mon coming out c'était tellement naturel mdr on parlait de couple avec ma mère et j'ai dit tout naturellement que je tomberai amoureuse d'un être humain et qu'importe son genre, et ma mère à juste trouvé ça bien mdr Et perso j'ai pas du tout le besoin d'appartenir à une communauté lgbti+, je me trouve juste normal et je trouve que c'est limite dégradant de me considérer comme différente des cis hetero. Je sais pas on est tous humain 🤷♀️ donc je préfère appartenir au groupe humain même si dedans y'a des gens qui vont pas aimer ma manière de voir les choses et ma sexualité. Si ça leur plaît pas bah tant pis pour eux !
Coucou, je suis une fille cis genre, et je ne connais pas personnellement de gay ou de trans, mais c'est toujours très important de s'éduquer sur des sujets comme ça, bisous !
par rapport a l'education ; "gay" et "trans" c'est surtout des adjectifs et la plupart des personnes concernées preferent la formule "personne gay" ou "personne trans" (parce que sans le "personne" ca fait un peu deshumanisant) ^^
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J'ai peur de faire mon coming out
@@_ari_stochat_ tu n'est pas obligé de le faire, moi nn plsu j'y arrive pas, la boule au ventre 😪
@@Neyfaro ses marrant de te voir me répondre un ans plus tard mdr , mais moi je les fait est ma famille la bien prit alors bonne chance à toi vraiment
@@_ari_stochat_ désolé j'ai découvert sa chaîne aujourd'hui mais merci quand même 👍🏻
Il y a aussi moyen de faire son coming out sans le faire explicitement. Par exemple avec ma mère, j'avais préparé le terrain en faisant de l'explication de termes en mode "alliée", mais après ça s'est plutôt sorti en mode "Si je trouve quelqu'un" sans préciser de genre et au fil du temps, ça a continué avec des conversations où je râle contre ma grand-mère qui veut absolument que je trouve un copain et où je râle donc à ma mère "je n'aurai jamais de copain". Le mot lesbienne ou gay n'est jamais entré dans nos conversations et je n'ai jamais fait de coming out explicité aussi parce qu'on ne parle pas de relations romantiques avec ma mère de base, mais c'est établi maintenant que j'aime les filles et que le jour où je ramènerai quelqu'un à la maison, ça sera une fille. Si ça te semble complètement antithétique de faire un coming out explicite, il n'y a aucune obligation. Ma grand-mère a des doutes, mais je n'ai pas envie d'avoir une conversation avec elle parce qu'elle a fait des remarques homophobes (du style les autres ça va, mais pas toi) et elle saura le jour où je leur présenterai ma copine.
J'en suis qu'à la première minute et justement le co avec ma coiffeuse a été très drôle !
Le contexte, elle me connaît depuis que j'ai 6 ans (j'en ai 25 aujourd'hui) et je n'avais pas pris de rdv depuis genre 1 ans.
Du coup, j'appelle pour prendre le rdv et je dis mon nouveau prénom, qu'elle ne connait pas. Le jour J arrive, je vais au salon : "Ah bonjour deadname, ça fait longtemps. Tu viens pour prendre rdv ?"
- Non, non j'ai déjà rendez vous. Camille, c'est moi.
- Ah ! Tu as changé de prénom. Bah très bien installe toi Camille."
Voilà fin de l'histoire :3 j'ai pas osé lui dire que j'étais une meuf trans par contre, j'étais encore très androgyne à l'époque et très peu confiante en moi. Mais je pense qu'elle l'a plus ou moins compris sans que je le dise, dans le sens où elle ne m'a pas mise sur le siège "homme" et qu'elle me disait beaucoup de truc du style "Tu es très jolie comme ça" etc et je l'ai perçu comme une volonté de ne pas me genrer parce qu'elle avait des doutes.
Bref j'ai hâte d'y retourner en robe ça va être rigolo :3
Et si je devais parler des mes coming out "Important". Le premier a été à un ami qui a trouvé mon Twitter et sur lequel je suis ouvertement trans. C'est lui qui est venue m'en parler par message et ça m'a fait un bien incroyable d'en parler à une personne de mon entourage.
Puis y a eu un effet boule de neige ou je voulais le dire à tout le monde. J'ai commencé par mes autres amis, avec un appel discord et je leur ai parlé pendant genre 3h, c'est trop miou.
Puis y a eu le plus dur, le co à ma mère. Y avait un passif transphobe avec ma mère donc j'en avais extrêmement peur et jetais, suis toujours, dépendante d'elle, donc je ne suivais pas du tout le conseil numéro 1 de cette vidéo. Mais c'était plus fort que moi, il fallait que je le fasse...
Je lui ai écrite une lettre que j'ai déposé sur sa table de chevet en plein milieu de la nuit. Dans la lettre j'expliquais mon mal être, et que j'étais prête à ce qu'elle me jette dehors plutôt que de continuer à ne pas être qui je suis.
Et finalement, c'était beaucoup plus de peur que de mal. Elle a pas forcément tout bien compris mais elle a compris que son enfant, sa fille, était malheureuse et ça lui était insupportable. Donc aujourd'hui elle me soutient à 100% dans toutes mes démarches.
Et pour finir, il y a eu mon CO au travail. J'ai commencé le 2 septembre 2019 après avoir passé un entretien sous mon deadname. Lors de mon premier jour, je suis arrivée 30min en avance pour voir mon responsable et lui faire mon CO tour de suite. Au départ je voulais juste lui dire que je changeai de prénom, et que j'allais avoir des rdv médicals fréquents. Puis sans qu'il me demande rien, j'en avais juste un peu marre de tourner autour du pot, j'ai finit par lui dire que j'étais trans. Et tout c'est bien passé, il m'a dit qu'il n'y avait aucun soucis de son côté ou du côté de l'association mais que si ma transidentité venait à être un problème dans le cadre de ma mission, je devais l'avertir immédiatement et qu'il ferait le nécessaire pour me protéger et que tout se passe au mieux pour moi. J'ai même rencontrer son supérieur qui m'a tenue le même discours. Bref c'était vraiment chouette.
Du côté, une collègue à tout de suite compris que j'étais trans quand j'ai dit avoir changé de prénom donc ça cassé la glace tout de suite et ils sont tous très miou avec moi à ce sujet.
Des nouveau, collègues sont arrivés après moi, j'ai suscité des interrogations chez eux. Ils ont demandé à mes autres collègues si j'étais il ou elle, mes collègues leur on dit elle et depuis tout roule, je leur parle plus ouvertement de ma transidentité et tout ce passe pour le mieux.
Voilà pour ma petite histoire. Aujourd'hui, bien que dépressive, je n'en suis pas moins une meuf qui s'épanouit un peu plus chaque jour parce que j'ai la chance d'être dans un environnement extrêmement safe.
Je vous souhaite à tous'tes que vos coming out se passe aussi bien. Soyez fort'e's et prenez soin de vous ❤️
Ca va si je te pique l'idée du coming out par lettre? Ca pourrait m'aider
@@ponyosurlafalaise1186 bien sur ! Je n'ai pas la priorité du coming out par lettre ! :o
Je te souhaite que ça se passe au mieux pour toi 🤞❤️
@@Rileystrasza merci! Je le ferais dès que possible (et je vais essayer de me souvenir de repasser donner des nouvelles de comment ca s'est passé)
Oh mon dieu tu tombe à pic ! J'avais besoin de cette vidéo !!! Sincèrement tu me sauve la vie (et surtout ma santé mentale)
Pareil
J'en rajouterai 2 si je puis me permettre, de ma propre expérience
1) Se préparer psychologiquement à des réactions inattendues / bizarres. Comme tu l'as dit, quelqu'un qui fait des réflexions homophobes peut réagir très positivement quand il s'agit de son enfant... et inversement quelqu'un qui se dit totalement ouvert peut avoir des premières réactions de réticences J''ai expérimenté la deuxième situation et ce n'est pas agréable quand tu n'y es pas pas préparée. Une amie m'a beaucoup rassurée en me disant : "Beaucoup de parents ont des réactions bizarres après un CO mais ça dure pas ,ils s'y font" Il faut juste s''y préparer.
2) Ne pas prendre trop à cœur ces réactions "à chaud" : même si la personne est très maladroite, voire blessante. C'est difficile quand on est sensible et vulnérable (le CO est toujours un moment de vulnérabilité) mais le temps permet une réaction plus réfléchie, plus vraie. La façon dont votre proche réagit sur le moment n'est pas forcément révélatrice de sa vraie façon de penser. Alors ne vous inquiétez pas forcément trop.
J'approuve totalement le conseil : "Tu ne dois de CO à personne". J'ai fait l'erreur lors de mon premier CO d'avoir l'impression de devoir une explication à mes proches, de devoir me justifier. Ce qui fait que je n'étais pas du tout prête ni à l'aise. ça se serait sûrement mieux passé la première fois si je l'avais fait au moment où je l'avais décidé et non pas "pour les autres"
Et j’approuve aussi totalement le conseil de chercher du soutien auprès d'autres personnes concernées :) ça m'a bien aidé après ce premier CO mitigé, ça m'a rassuré et m'a aidé à prendre du recul. Je me suis même fait une amie proche grâce à ça :)
Merci 👍🏻
En gros dire " Maman , papa , jsuis devenu une merde et je kiffe , je fais chier le monde en leur disant que pour moi c est un pronom qui existe pas qui est " iel " .
Dans un monde idéal hahahahaha mais la nature n est pas idéal !!! C est le sang qui coule tout les jours . Vous vous ferez tous bouffé par le sentimentalisme
Mes CO ont été TELLEMENT différents les uns des autres, ça a été de mon amie qui m'a soutenu quand je pleurais lors de mon CO à moi même, m'assurant qu'elle serait toujours là, ma soeur pour qui ça n'a pas été une surprise et qui a explosé de joie quand je lui ai dit. Et des moment plus difficiles, mais pas insurmontables. Des appels longs et douloureux de rejet total etc...
Toujours est il que je me sens enfin moi depuis, je ne me cache plus, alors, pour toustes mes adelphes, dès que vous le pouvez/sentez, allez y.
Encore merci Matthieu pour ton travail, on sait à quel point tu donnes de ta personne pour nous offrir ton contenu. Je te souhaite tellement de bonheur... Koeurs avec les doigts
En tant que personne "pas tout à fait sur d'être un mec trans mais qui sait ne pas être cis" ta vidéo m'a beaucoup aidé
Merci vraiment de nous faire partager tout ça !!
Oui pareil 😭
Je vais partager mon expérience, ça peut toujours être intéressant pour celleux qui s'apprêtent à sortir du placard.
J'ai 17 ans et j'ai fait mon premier coming-out (trans) quand j'en avais 15. Après avoir posé un mot sur ce que je ressentais (à l'aide d'une amie elle aussi queer), j'en ai parlé à mes ami.e.s du lycée. Je leur ai envoyé un message sur notre groupe Snapchat, et tout s'est bien passé. Iels ont mis un peu de temps à s'y faire, mais après quelques mois iels utilisaient toustes mon prénom et mes pronoms correctement. J'ai ensuite fait mon coming-out à mes deux meilleur.e.s ami.e.s. Ça peut paraître bizarre qu'iels n'aient pas été les premier.es au courant, mais j'appréhendais leur réaction, surtout de l'une d'elle qui est croyante et pratiquante. Là encore, tout s'est passé pour le mieux, et c'était même plutôt amusant parce que mon meilleur ami m'a fait son CO genderfluid au même moment. :')
Après les ami.e.s, j'ai décidé de faire mon CO à ma mère. Je savais qu'elle était plutôt ouverte d'esprit, et donc que je ne courais aucun risque pour ma sécurité. Je lui ai envoyé un long mail, parce que j'étais totalement incapable de lui parler en face. Elle a été très surprise, et plutôt virulente au début. Elle m'a dit qu'elle m'aimait toujours, mais qu'elle ne pourrait jamais utiliser un autre prénom et d'autres pronoms (spoiler: Elle a changé d'avis, c'était juste la réaction à chaud.) C'était un moment horriblement stressant pour moi, que ce soit l'envoi du mail ou l'attente de la revoir le week-end d'après (j'étais en internat.) Petit à petit, toute ma famille a été mise au courant, et je n'ai eu aucune mauvaise réaction (je m'estime particulièrement chanceux.) Aujourd'hui, tout le monde utilise mon bon prénom, à part mon frère qui a toujours du mal. À la place il utilise des périphrases 😂 mais au moins il n'utilise plus mon prénom de naissance. Pour ce qui est des pronoms, il y a encore des cafouillages, mais rien de mal intentionné.
Après tout ça, j'ai fait mon coming-out au lycée avant la rentrée. Il faut savoir que j'allais dans un lycée catholique, donc j'avais vraiment très peur de la réaction du corps enseignant. Mais encore une fois, j'ai été agréablement surpris. J'ai demandé un rendez-vous avec le proviseur du lycée qui était très à l'écoute et compréhensif. Je lui ai simplement expliqué que je souhaitais qu'on m'appelle par mon prénom choisi, et qu'on s'adresse à moi comme à un garçon. Les professeur.e.s ont été mis au courant, et il n'y a eu aucun problème.
Je sais que je suis extrêmement chanceux parce que je n'ai essuyé aucune réaction violente, mais je pense que c'est important de se dire que oui, les coming-out peuvent très bien se passer. Même si ça reste un moment difficile, vous vous sentirez merveilleusement bien après l'avoir fait (si vous pouvez le faire, évidemment.)
Maintenant j'en suis à un point de ma transition où je vais changer de ville pour les études, et je vais devoir éventuellement faire mon coming-out dans "l'autre sens" (expliquer que je ne suis pas un mec cis). Ça m'inquiète un peu, surtout dans les interactions romantiques, mais on verra bien comment tout cela se passera.
C’est super ^^ !
Je suis en couple avec quelqu'un depuis 10 ans et la personne que j'aime m'a aidé à me questionner sur mon genre et ma sexualité.
Je suis genderfluid et bisexuelle et je ferai jamais de coming out à ma mère car elle lgbtiphobe et comme tu le dis si bien : on ne doit de coming out à personne.
Merci pour les instants de douceur avec les patates 💖
Slt excuse moi mais c’est quoi genderfluid, je juge pas tktp je suis pansexuelle donc 🥰🏳️🌈🏳️🌈
@@rcklaboxeclavie5355 ça veut dire que ton genre n'est pas fixe
crogy 59 ok merci beaucoup ☺️
Enfin je ne suis pas la seule qui a une mère comme toi sinon j'suis comme toi bisexuel et genderfluid
Salut ! Je suis le gérant du discord et de la (future) association BeYou dont tu as parlé dans ton article.
Premièrement, je te remercie infiniment pour ton coup de pub
Coucou Matthieu.
Perso, je suis de l'autre côté, c'est à dire que c'est à nous qu'une personne a fait son CO. "La filleule" de mon chéri nous a annoncé, il y a quelques années, qu'"elle" ne sentait pas à sa place et nous a demandé a demi-mot si ça changerait quelque chose si, un jour, "elle" devenait un garçon. On lui a dit que non car "elle" serait toujours la même personne. On l'a senti soulagé car notre avis et notre regard comptait beaucoup pour "elle".
Et, en août 2019, lors d'une visite, "elle" nous a annoncé qu'elle changeait officiellement de genre, que les démarches à l'Etat Civil étaient en cours et qu'il commençait les injections. Il vient d'avoir 16 ans et il a le soutien de toute sa famille, de ses profs, de ses copains et le notre car, pour tout le monde, c'était une évidence. Même pour ma fille de 8 ans, c'est naturel et elle ne comprend pas pourquoi on aurait pas le droit de choisir si on est un garçon ou une fille et qu'on décide a notre place
Merci infiniment de m'aider a faire mon coming out !🏳🌈
Love u ❤
Alors...personnellement mon coming-out ne sais pas passer comme prévue.. En faite c'était un soir où j'était au bord du "craquage mental", ma mère viens me voir en me disant que moi et elle étions convoquer (pour des raisons personnelle) car les élèves de ma classe avait alerter l'administration de mon lycée...alors ma mère me demande ce qui ce passe et j'ai tout sortit, j'ai toujours tout garder pour moi...et je crois que mon cerveau c'est mit en mode "vas-y lâche tout". Donc en plus de déballer mes angoisses, mes craintes pour l'avenir et j'en passe j'ai avouer devant ma mère et mon beau père que j'était gay d'abord (puis plus tard pansexuel)...
J'avais peur oui, peur de leurs réactions et ma mère et mon beau père l'on ultra bien prit (j'avoue que j'avais énormément pleurer, non pas de tristesse mais de soulagement), ma sœur la plus grande (15 ans, j'en ai 17) elle aussi l'as bien prit et ma mère m'avait proposer de le dire à mes grands parents.. et j'ai dit oui, je savais que ma grand mère était ultra ouverte d'esprit et pour tout dire elle m'as avouer plus tard qu'elle avait déjà quelques soupçons ^^
Si c'était à refaire...je pense que je le referais différement.
Voilà voilà, merci en tout cas pour cette superbe vidéo, comme d'habitude tu fait un super taff ! Continue comme sa, au plaisir de te revoir pour une prochaine vidéo ^^
J'ai presque fait un CO public avant même de savoir ce qu'était la non-binarité ^^ avec un poste sur facebook qui demandait, suite à une sorte de dispute avec un gars, pourquoi on devait forcément être fille ou garçon...
Quelques années plus tard, ça a fait son bout de chemin dans ma tête, et j'en ai parlé à mon copain, je sais même plus comment.
Je l'ai aussi mentionné en fufu à ma classe dans un exercice sur les réseaux sociaux, en me référant au post dont j'ai parlé.
Après, ou à la même période, j'ai commencé à utiliser d'autres pronoms, j'ai expérimenté le binder. Je répondais "j'suis pas une demoiselle !!" à un pote qui me donnait de la demoiselle, je parlais sur le ton de la plaisanterie des noms que je voulais, auxquels je pensais à l'époque, à mes copines...
En fait, je le vis tellement simplement, je n'ai jamais vraiment ressenti le besoin de l'annoncer officiellement, ou d'en faire une chose auprès de mon entourage. En même temps, c'était probablement aussi un manque de légitimité... Je n'ai jamais eu de remarques, ni sur les pronoms, sur les habits, sur rien du tout, j'avais de la chance d'avoir un entourage super cool - ou alors qui ne faisait pas attention.
Pour ma maman, je me disais que ça pouvait être bien de lui dire, un jour, on est allés voir le film "Coming out", et, à la sortie, je lui ai dit "au fait, je suis non-binaire".
En vrai, pour moi c'est assez compliqué d'avoir la reconnaissance de ta non binarité. Je veux dire, même dans des milieux "tolérants", ce que sont ma mère et mon copain. Je ne dis pas, dans tout mon blabla, comment ils ont réagi... En fait, ils ne comprennaient pas, ils me disaient "non mais tu es tel genre, de toutes façons ça ne définit pas qui tu es, donc la non-binarité ne sert à rien"... Ce, avec de longues discussions sur le sujet à la clé. Et, malgré le fait que la première réaction de ma mère après définition était un prometteur "ah mais j'étais comme toi à ton âge"...
Et en fait c'est à cause de ça, notamment de ma mère, que sur un coup de tête j'ai fait un coming out officiel sur facebook, avec demande d'utiliser les pronoms que je veux - s'il vous plait, parce que quand-même...
Bref, tout ça pour dire que, faire son coming out, c'est une chose, mais il peut y avoir du travail sur la durée après pour que l'entourage comprenne.
Aussi, si vous vivez dans un environnement safe ou au moins indifférent/pas ouvertement homophobes ou transphobes, vous n'avez pas forcément besoin de faire votre coming-out pour assumer ce que vous voulez montrer de vous ou une partie. J'ai senti que mon copain n'a pas apprécié que je lui apprenne un peu violemment peut-être, avec moi qui avais avancé mentalement sans lui, mais aussi ça donne un sentiment de légitimité, de se dire queer quand on a le vit au quotidien, que ça prépare un peu le terrain, et, franchement, les très rares feedbacks que j'ai eus étaient très positifs, personne ne m'a demandé de justifications, alors, si vous sentez que vous êtes dans un milieu safe mais que c'est juste le geste du coming-out qui fait peur, commencez à vivre votre best life avant.
Et, du coup, n'attendez pas la validation de proches post-co pour vous sentir légitimes et forts. Si vous pouvez. Je veux dire, vous êtes légitimes et forts, que vous ayez fait votre co ou pas, que vos proches l'acceptent ou pas.
(je sais pas si je dis des choses censées, et désolé pour le pavé........)
Et merci pour ta vidéo
Un petit conseil si vous devez faire un coming out aux proches avec qui vous vivez, autant que possible préparez vous et entendez vous avec des ami'es au courant de votre situation pour avoir un endroit de repli si ça se passe pas bien tout de suite. Bien souvent vous aurez des réactions différées ou lea proche va revenir sur votre CO dans les jours voir les semaines qui viennent donc préparez vous à être challengé'es plusieurs fois dans les premiers temps. Pis si possible, préparez leur des ressources pour se renseigner si iels sont bien intentionné'es et veulent vraiment comprendre ça évitera les errances et d'en discuter avec Géraldine la voisine de palier dont le neveu connait quelqu'un à son travail avec un'e proche concerné'e.
OMG Ta vidéo est tellement cool! Elle m’a tellement aider! Tu parle avec une voix tellement rassurante!
Dans les "formes de CO", j'ai expérimenté une forme assez ... audacieuse : faire venir sa personne préférée. C'est ainsi que je n'ai jamais fait de CO verbalisé à mon frère, mon père ou ma grand-mère, je les ai simplement mis devant le fait accompli. Voici la personne que j'aime, deal with it. C'est un peu abrupt, et je ne conseille pas si vous avez peur (cf conseil 1 de la vidéo !) mais ... comme je ne savais pas quoi dire, c'était plus simple !
Pour mon CO non-binaire, seule ma personne préférée le sait. Je pense que mes ami.e.s proches s'en doutent. Pour l'instant, ça me suffit :) (cf dernier conseil)
Courage sur vous, vous êtes légitimes et vous méritez amour et sécurité
J'ai regardé ta vidéo pour me donner le courage de faire mon coming-out non-binaire à mes potes et ça s'est super bien passé, c'est trop bien! Merci pour cette vidéo c'est super bien expliqué, rien à redire !
J'ai réussi à faire mon coming-out bi (ou en quelque sorte, puisque j'ai avoué que j'étais attirée par les filles) de manière complètement involontaire à mes cousins, cousines, oncles et tantes (ma famille proche et ma grand-mère étaient déjà au courant). Pour l'anecdote, c'était le jour des 80 ans de ma grand-mère et on était au resto. J'avais mon oncle, plutôt conservateur, à côté de moi et il se met à râler à cause des féministes qui ne veulent plus du mademoiselle. Il propose alors qu'au lieu de d'utiliser madame quand une femme est mariée, on l'utilise plutôt une fois qu'elle n'est plus vierge. Et là, spontanément, je demande alors qu'est ce qu'on fait quand on est lesbienne. Résultat, coming-out fait et j'ai été la seule membre de ma famille a réussir à clouer le bec de mon oncle. Le plus rigolo, c'est que ça a été tellement bien accepté que je n'ai appris que 4 ans plus tard que tout le monde savait que j'étais attirée par les filles.
Merci beaucoup pour cette vidéo très claire, bienveillante et surtout réaliste. Je pense "qu'une partie" de mon coming out est faite avec quelques amis proches et j'en ai déjà parlé avec mes parents, mais ça remonte à plus d'un an en arrière. Sur le coup ils étaient choqués, puis s'y attendaient en même temps et puis avec le temps ils ont mis tout ça de côté comme si c'était juste un petite passage de ma vie où je me questionnais alors que ce n'est pas le cas en réalité... Et là vient le moment où je vais leur annoncer que je vais bientôt commencer l'hormonothérapie... Et la c'est un peu la panique dans ma tête... même si je sais que je vais leur écrire une lettre et qu'ils sont déjà plus ou moins au courant, j'apprehende énormément... surtout que j'habite un peu à l'autre bout de la France comparé à eux, je les vois peu ces derniers temps mais je suis très proche d'eux en même temps depuis petit... J'ai tellement peur d'être déçu par leur réaction... peur de les décevoir réellement... peur de les rendre malade même... Et peur qu'il me rejette sans même le vouloir... Mais ta vidéo m'a un peu rassuré, je garde ces 5 conseils en tête, et je te remercie ! Bonne soirée à toi ❤️
Merci Matthieu pour ces conseils !
J'aurais (et j'ai) tellement eu besoin de ces conseils.
L'une des choses que j'ai fait (et à éviter si possible), c'est de faire son coming out à mi-mots, quand tu le glisses entre deux phrases et que puisque c'est genant et que personne ne réagit, faire comme si cela n'était jamais arrivée. C'est ce qui c'est passé avec mes parents pour mon CO bisexuelle, j'avais 16 ans, et je suis toujours "bloqué".
Ce qui est aussi très dur, c'est de s'intégrer/trouver une communauté LGBTI+ quand on a aucun environnement similaire. J'ai vécu toute ma vie avec des Cishet qui ne sont pas ne connaissent rien des LGBTI+, et donc aujourd'hui j'ai énormément de mal à me sentir légitime et encore plus à aller vers une communauté LGBTI+ alors que j'en ai besoin.
C'est dur, et peut être qu'un jour on aura plus besoin de craindre les CO, mais en attendant, c'est tes vidéos qui nous apportent du soutient, alors Merci.
C'est là que, je trouve, les communautés sur internet sont si importantes et essentielles
Désolée que tu n'ai pas de personnes plus informées autour de toi
J’ai enfin trouvé une façon de faire mon Coming out qui me correspond et j’avais envie d’y mettre une note artistique et humoristique car ce sont deux principes qui me guident dans ma vie donc j’ai décidé de faire un court-métrage.
Merci, cette vidéo m'a vraiment aidé. J'ai fais mon coming out bisexuel sans aucun problème à ma famille et mes amis il y a longtemps. Mais en ce moment je fais face à un mur. J'ai pu mettre des mots sur quelque chose que j'ai toujours ressenti d'aussi loin que je me souvienne. J'ai fais des recherches et j'ai pu mettre le mot genderfluid sur ma situation. Et plus j'avance plus je suis sur de moi. Même pour moi c'est dure de me dire que c'est normal d'être comme ça et que c'est pas juste une idée. Une très grande partie de mes proches sont ouverts ou font parti de la communauté lgbtqia+ pourtant ça me fait peur. J'en ai parlé à deux trois personnes dont je ne dépends pas mais pour les autres c'est très complique. Je suis toujours resté très pudique sur ce sujet et à propos de tout ce qui touche à moi très personnellement. Et puisque je ne leur ai donc jamais fais part de mon ressenti à ce sujet j'ai peur qu'ils me disent que c'est une phase ou qu'ils ne me prennent pas au sérieux, ne me croient pas. Donc j'ai un énorme blocage à ce niveau là. De plus plusieurs de mes amis ont fait leur coming out trans ou non binaire recement et j'ai peur que mes amis pensent juste que je suis le mouvement ou quelque chose du style. C'est dure...
Perso j'ai été "out" à mon insu, par ma mère, alors que mon père est homophobe et je n'étais pas prêt du tout à lui dire...Mauvaise idée! À tous les autres, ne faites pas la même erreur que moi!!! Ne le faites que quand vous vous sentez prêts, dites à ceux qui savent de vous laissez le temps! J'ai eu vachement la pression sur mes épaules et ma famille ne comprenait pas comment ça pouvait être si difficile à dire...Ben parce qu'il est homophobe peut-être! Vraiment, prenez votre temps, se faire out par quelqu'un d'autre c'est très gênant et désagréable surtout quand tu n'étais pas prêt à ce que cela se sache! Bonne chance à ceux qui le feront🥰
Merci pour cette vidéo Matthieu
Merci beaucoup pour ces conseils ! J'ai fait mon premier CO pan à mon fiancé, je savais qu'il n'y aurais pas de problème avec lui et c'était important pour moi qu'il soit le premier au courant.
Ensuite ça a été envers mes amis et amies et là c'était magique: on a été 4 à faire notre CO bi/pan en même temps! Ça a été un petite bulle de douceur.
Maintenant j'envisage de faire mon CO à mes parents vu que la relation avec eux c'est améliorée et que ma mère est plus ouverte aux questions LGBTI+ depuis quelques temps.
Et entre-temps, j'ai intégré un chouette petit groupe de créateurs handi et queer sur discord! Si ça intéresse des gens, je peux voir avec les créateurs du discord pour vous inviter !
Ton histoire me parle un peu : c'est quand une de mes meilleures amies m'a parlé de sa pansexualité que j'ai compris qu'en fait moi aussi. En fait on a toujours été très ouvertes toutes les deux sur les questions de genre, d'amour et de sexualité (on a plus de 40 ans et on se connaît depuis le lycée) et je me suis rendue compte que je ne mettais des mots sur rien parce que je n'ai jamais pensé qu'une manière de vivre l'amour soit plus normale qu'une autre. Deux de mes ex (hommes) vivent maintenant avec des hommes, par exemple, et jamais ça m'a fait lever un sourcil (alors que ça a pu choquer des gens dans mon entourage, en mode "tu n'es pas vexée?"... euh.. nan, pourquoi je devrais ?). Tout ça me paraissait tellement pas important que je m'étais même jamais rendue compte qu'en vrai, je suis pan depuis toujours. En fait, tout ça devenait important pour moi quand j'étais témoin d'homophobie (et plus récemment de transphobie) autour de moi, ce qui est encore très courant, et ça me fait souffrir beaucoup... Aujourd'hui je me rends compte aussi que si je me considère comme une femme c'est plus par habitude (et que j'aime mon corps "féminin" comme il est) mais qu'en fait je ne vois pas le monde de manière binaire, pour moi on est tous des individus différents, et homme ou femme, les deux ou aucun des deux, je n'en ai jamais eu rien à foutre. Ma mère, qui pourtant même si elle est cool manque de connaissances sur le sujet, commence à me dire "ah en fait tu es non-binaire" et peut-être qu'elle a pas tort. Ou pas. En vrai j'ai pas besoin de mots, je suis juste moi. Les mots j'en ai besoin dans les situations où on me pose des questions, ou quand je prends la parole face à des propos oppressifs (encore trop courants) qui me choquent. Par contre il m'a fallu dépasser les 40 ans pour me rendre compte de tout ça, mettre des mots sur ce que je suis, c'est un peu fou. Merci à tous les jeunes WOKE et WARRIOR comme Mathieu de faire des vidéos pour nous faire ouvrir les yeux à nous, les vieilleux :D On n'avait pas tout ça de mon temps (on dirait que je suis un dinosaure haha) et même si j'ai eu la chance d'avoir des amis LGBTI+ ou très ouverts, c'était loin d'être le cas de toutes les personnes queer autour de moi (j'ai vu des choses horribles, par exemple de la part de certains parents)... donc les militants des internets d'aujourd'hui, vous rendez le monde plus beau, MERCI
@@HakugeiNoYume Merci beaucoup d'avoir partagé votre histoire ! Ma façon de voir le monde rejoint la vôtre sur la perception du genre. Ça me fait du bien de lire que je ne suis pas la seule à penser comme ça!
Merci pour cette vidéo ! Tu es génial !
4:22 Merci juste merci cette vidéo arrive vraiment quand j'en ai besoin, merci, merci, merci
Heureux de savoir qu'elle va aider !
La mention de CO à son-a coiffeureuse je la ressens au plus profond de mon âme. T.T Honnêtement c'est l'une des raisons pour lesquelles j'ai déménagé loin, ça permet d'éviter ce genre de situations
Petit commentaire pour le référencement ! :D Bravo pour ton travail Matthieu, meme si je suis pas concerné directement par les sujets que tu évoques tu m'apprend beaucoup. :D Je t'envoi un petit colis sous peu je pense, je vais jeter un coup d’œil a ta liste pour me décider ^-^
Merci ! :D
4:00 autant de bienveillance en une personne c’est incroyable
Merci énormément pour tous tes conseils ! Je pense être bi mais j'ai quand même besoin d'encore du temps pour réfléchir. Tout ça m'aide vraiment pour mon temps de réflexion, pour prendre confiance en moi et me dire que faire mon coming out est possible malgré le fait que je sais que certaines personnes ne vont pas comprendre ou simplement ne pas approuver du tout. Merci du fond du coeur
Merci beaucoup pour cette vidéo 💜 étant bi personnellement, mais n'ayant jamais eu de partenaire du même sexe, je ne me sens pas légitime à faire mon coming out - en dehors d'amis au sein de la communauté LGBTQI+. Et je sais pas trop quoi en penser , parce qu'autant pour les autres bi ou pan j'ai aucun mal à reconnaître légitime leur orientation sexuelle - peu importe qui ils fréquentent ou ont fréquenté par le passé- mais pour moi j'ai toujours l'impression que je vais passer pour une grosse imposture xD
je suis un peu comme toi, je viens de poster une réponse à Helena Decoeur un peu plus haut pour en parler si jamais tu veux la lire :) Il faut qu'on apprenne à se sentir légitimes, ça viendra avec le temps
Ce que je dis souvent, c'est que les hétéros n'ont pas besoin d'avoir eu un partenaire d'un sexe et genre opposé pour savoir qu'ils sont hétéros, pourtant, personne va dire qu'ils ne sont pas légitimes
Tout mon soutien en tout cas
Ma mère m'a pris en flag' en train d'embrasser mon petit ami et du coup elle sait que je suis gay
Personnellement, je n'est pas encore fait mon coming out trans gay biromantique à ma famille mais je m'assume complètement au collège. La première fois, j'en ai parler avec une amie qui venait de me dire qu'elle même doutait de sa sexualité et elle la très bien pris. Elle a accepté de me soutenir et de n'en parler à personne pour l'instant car je n'étais pas tout à fait prêt. Finalement, j'ai abordé le sujet naturellement pendant un jeu qu'on fait souvent avec mes potes (un Qui est quoi). Aux débuts ils n'ont pas tout à fait compris mais je leur ai tout expliquer à l'aide de mon amie et ils n'y ont trouvé aucuns inconvénients.
Au contraire, avec mes parents j'en ai déjà parlé indirectement pou,r comme tu le dis, "tater le terrain" et ils n'ont pas l'air d'être vraiment pour. Je ne me sens pas prêt à leur faire mon CO, de toute façon je pense qu'ils prendraient ça pour un délire effémère d'ado. Alors je laisse des indices de temps en temps mais j'attends pour leur faire mon CO.
Mais bon, j'ai eu de la chance, j'ai commencé à me questioner pendant le premier confinement donc j'ai eu le bien le temps de réfléchir pour être sûr de moi. Et puis j'ai découvert Wattpad (un réseau social où tu peux écrire des livres) et j'ai rencontré beaucoup de personnes qui mon soutenus, ça m'as fait du bien.
Salut Matthieu , chouette vidéo :)
Pour mon CO (je suis gay cisgenre) j'avais fait un tableur excel avec différents critères pour anticiper les diverses réactions quand je "tâtais le terrain" avant the Annonce. ça m'avait permis, en prenant note de leur familiarité à la question LGBTI+, de faire un tri dans les amitiés avant d'en parler ouvertement et donc de m'épargner des potentielles réactions moisies.
J'ai arrêté après être bien rôdé. par contre je me suis rendu compte, en le relisant quelques années après, que j'avais laissé passer des choses que je considérerais inacceptables aujourd'hui...
Très bonne continuation à toi et bisous à tes patates!!
Salut ! Est ce qu'il serait possible de savoir ce qu'il y avait dans ce tableur ? Merci !
J’ai déjà fait mon coming out bi et il s’est mal passé depuis j’ai mon entourage qui fait un déni énorme et me vois encore comme une personne hétéro. Je sais depuis très longtemps que je suis agenre.
Mais je le garde au fond de mon cœur. Alors je vais encore devoir attendre pour ce coming out. J’essaye d’être patient mais c’est dur à la longue. Les seuls moments d’euphorie de genre sont dans mon lit, seul dans le noir où je peux être moi même. Merci pour cet vidéo
🏳️⚧️ Un.e p’tit.e emby trans planqué mais avec beaucoup d’espoir. 🏳️⚧️
Cette vidéo m’aide, merci.
Bonsoir, je trouve que tu a l’air d’une personne extraordinairement gentille.
Pour ma part je suis pansexuel (enfin je suis un peu mitigé).Merci pour t’a vidéo qui m’a beaucoup aidé . J’ai déjà fait mon coming out a deux personnes : une qui est ma meilleure amie depuis 2 ans ( ça fait pas beaucoup de temps qu’on se connaît personnellement mais on a une amitié très fusionnel) et une autre amie qui habite à l’autre bout du monde ( elle habite en nouvelle caledonie) .
J’ai peur de l’annoncer à. Ma meilleur amie depuis la maternel car j’ai peur qu’elle ne sache pas trop ce que c’est et qu’elle pense que j’ai de l’attirance pour elle (son oncle est gay , je pense que ca pourra aider).
Sinon ma mère est très ouverte d’esprit et quand je lui donne des petits indices ,ça ne l’a dérange pas du tout.
Mon père lui ne parle pas trop mais je ne sais pas comment il va réagir.
Sinon , j’ai deux grand Peres et une grand mère homophobe , je ne pense pas leur dire car je me dit qu’ils sont vieux et qu’ils n’ont pas besoins de le savoir.
Sinon mon autre grand mère et moi sommes très proche alors je pense qu’il ni aura aucun problème.
Merci pour cette vidéo et désolé pour les fautes d’orthographe.
Passe une bonne journée et soirée 😘
Ps : je suis allée sur youtip pour regarde des pubs et te donne de l’argent car tu le mérite et tu fais du très bon travail
Coucou, ta vidéo est géniale ! Je viens de découvrir ta chaîne et on se sent dans un environnement safe dès les premières minute:) je suis lesbienne, mais j'ai été en couple/discuté avec pas mal de garçons jusque là, par peur d'assumer et d'être confrontée à la réalité que oui, j'aime les filles. Je me suis décidée à m'accepter il y a quelques mois, et j'en ai parlé à trois amis de confiance qui ont super bien réagis et m'ont vraiment rassuré. J'aimerais sincèrement faire mon coming out à ma famille, parce que je sais que ça fait partie de moi et je serais vraiment heureuse s'ils pouvaient m'accepter comme je suis. Le truc, c'est que ce sont des gens un peu conservateurs, un peu homophobes, qui critiquent beaucoup et auxquels on n'enlève pas des préjugés ultra facilement... bon on dirait des personnes horribles comme ça mais quoi qu'il en soit, je les aime, enfin c'est ma famille quoi. Donc forcément j'ai vraiment peur de leurs réactions, j'ai une vraiment bonne relation avec eux et je détesterais que ça change ou que ça installe une sorte de gêne, j'en sais rien... bref, j'hésite à leur en parler, surtout que j'ai peu de chances d'être prise au sérieux vu que je suis mineure et qu'ils sont partisan du "Avant 30 ans de toute façon t'as rien vécu."
Voilà voilà:)
Une "erreur" que j'ai fait pour mon coming out bi, c'était de pas rendre ça un peu officiel
J'ai vraiment dit ça en plein milieu d'une conversation en rapport, genre en me prenant comme example
Ça a pas aidé mes parents à assimiler et prendre ça au sérieux
Couplé au fait que j'étais pas prête à répondre à des questions qui mettaient un peu en doute ce que je disais (genre comment tu sais que t'aimes les filles si t'es jamais sortie avec une fille), mes parents ont vraiment pris ça comme une phase
Heureusement, ils sont hyper ouverts, et je savais que je risquais rien, c'est pour ça que j'ai annoncé ça comme ça. Mais il a fallu que j'en reparle plus sérieusement avec eux plus tard, pour m'assurer qu'ils m'avaient compris
Haaaaaa le truc de "comment je sais si j'ai jamais fait?" je me le suis longtemps imposé à moi-même : c'est que depuis récemment que je sais que je ne suis pas hétéro, que je dis que je suis pan (ou bi, selon les connaissances de la personne en face). Avant, malgré ce que je vivais en dedans, je me disais toujours "j'ai eu des relations qu'avec des hommes, donc je suis hétéro". Alors que NOPE, vraiment pas. C'est allé loin parce que quand je fantasmais ou crushais sur des filles (ou plus largement des personnes LGBTI+ avec un genre pas "conventionnel") je me voilais carrément la face (et me dépréciais) en me disant "c'est juste un kink, t'as aucune légitimité de penser que t'es pas hétéro!" Il m'a fallu entendre d'autres personnes queer dire "et les hétéros vierges, comment ils savent qu'ils ont hétéro?" pour comprendre que je suis légitime même si j'ai pas "pratiqué". D'ailleurs même encore maintenant j'ai du mal à dire que je suis LGBT, j'ai toujours ce fort syndrome de l'imposteur. Le fait d'avoir un passing hétéro et donc de vivre assez peu d'oppression comparé à d'autres personne que je connais n'aide pas. Ça va loin quand même parce que je m'interdis encore de "draguer" autre chose que des hommes cis, de peur d'effrayer les personnes queers : j'ai peur qu'elleux prennent ça pour un kink et pas du sérieux, et je sais que c'est un truc qui leur arrive souvent et les angoisse...
J'ai une question . j'ai 13ans est je peur de faire mon coming out bi a mes parent comment faire ?
( désoler pour les faute d'orthographe)
Merci beaucoup pour la vidéo, c'est le genre de choses que j'aurai aimé avoir vu avant mon premier CO.
Petit conseil que je rajoute : Toujours choisir avec attention son premier CO. Perso, il a été très négatif et ça a conditionné tout les autres, à la limite de devenir une angoisse parce que j'avais peur d'avoir à nouveau cette réaction qui a bouleversé pas mal de choses dans ma vie et pas en bien.
La seule personne de ma famille à qui j'ai fait mon CO c'est ma cousine , et j'ai fait ça avec un dessin =^=
Ce coming out est si cute je suis obligéx de te le voler X3
Je viens juste de faire mon coming out en tant que non-binaire à mes amis qui l'ont très bien pris. Mais disons que j'ai un peu plus peur pour ma famille... Donc merci. Merci pour ta vidéo. Elle m'a vraiment aidé.
Très chouette vidéo, merci pour ton partage et travail =)
Mon coming a été un peu compliqué au début, les 2 premières personnes à qui je l’ai dit sont les 2 personnes les plus importantes pour moi ( ma mère et ma meilleure pote ) et les 2 seules qui l’ont mal pris. Donc forcément au début c’était pas la joie. Mais le reste ( fin je l’ai pas encore dit à tout le monde mais quasiment ) l’a plutôt bien pris et je ne regrette rien.
Si je peux ajouter un conseil: Si possible, fais le 1personne par 1 personne ou par petits groupes, parce que j’ai eu une expérience avec beaucoup de gens d’un coup et ça peux créer des courants de pensées ( si plusieurs personnes disent c’est pas bien les autres auront tendance à dire la même chose par sécurité ) et empêcher une personne peut-être dans la même cas ou pas sure de s’exprimer ou de t’apporter son soutien. Donc 1 à la fois c’est mieux.
Merci de la vidéo, c’est super cool de ta part, chuis presque dégoûtée d’être déjà out ça m’aurais grave aidée. Ceci dit va peut-être falloir que j’en refasse un bientôt ( je suis bie et en questionnement sur mon genre ) donc peut-être que je passerais la revoir.
Du coup, si on prend très strictement la définition donnée ici de "être dans le placard" qui est "cacher une partie de son identité" et la définition du coming-out qui en découle dans la vidéo (ne plus cacher cette partie de son identité), pourrait-on dire qu'il existe des coming-out :
- pour des personnes autistes ?
- pour des personnes malades chroniques ?
- pour des véganes ?
- pour des polyamoureuxes ?
Je connais dans plusieurs de ces cas des personnes qui ont caché (voire cachent encore, au moins à certaines personnes) cette facette de leur identité.
Or je sais que parler de "coming-out" dans ces situations gêne beaucoup une partie (importante ou pas je n'en sais rien, je n'ai pas de statistiques !) des personnes LGBTQIAP+.
L'argument souvent donné est que les risques encourus ne sont pas les mêmes.
Du coup, faut-il revoir la définition du coming-out ? En proposer une autre ?
Ou bien étendre cette notion à des situations qui génèrent peut-être moins de dangers, mais qui consistent bien à prendre un risque (plus ou moins grand) en dévoilant une facette de son identité que l'on cachait auparavant ?? (Ou bien que l'on _essayait_ de cacher !)
Tout cela me questionne je l'avoue !
Parler de coming-out, est-ce un manque de respect envers les personnes qui prennent plus de risques à le faire ?
Et si l'on suit d'ailleurs cet argument, une personne homosexuelle en France par exemple, serait donc moins légitime à parler de coming-out qu'une personne homosexuelle en Afghanistan ?
S'il y a des ressources sur le sujet, qu'on n'hésite pas à me les indiquer. (Certes j'en ai déjà lu un certain nombre comme le laisse entendre mon commentaire, mais je n'ai pas réussi à arriver à une conclusion jusqu'à maintenant.)
Je suis bi et je considères que le coming out concerne aussi les personnes polyamoureuse ou même handicapé... je ne vois pas en quoi c'est différent ou moins dangereux.
Quand j'ai dis à mes proche ma dépression et ma surdouance, je me suis pris énormément de validisme dans la face, et je l'ai vraiment vécu comme mon coming out bi.
Je suis autiste, je le sais depuis quelques mois, et je tiens la liste des gens à qui j'ai fait mon "coming out autiste" x)
Mais je te rejoins et je comprends que des personnes LGBTI+ trouvent que ce mot est mal employé pour des gens qui n'ont pas tout à fait les mêmes enjeux en sortant du placard. Cela dit, le validisme, la psychophobie ou autre peuvent également blesser, quand il est question de notre identité. C'est pas 100% les mêmes enjeux, mais c'est quand même des oppressions systémiques, avec leurs particularités et leurs points communs.
En cela je suis contente d'avoir lu la réponse ci-dessus, merci à son auteurice 😊
Et merci à toi pour tes questionnements, ton com est très intéressant, et je te rejoins dans tes questionnements ! D'autres pdv m'intéresseraient aussi, et je dois dire que le tien est très intéressant !
Les enjeux ne sont pas les mêmes mais côté psychophobie, je repense à cet adolescent (je crois), neuroatypique, qui a été tué par des policiers alors qu'il n'était dangereux - au pire des cas - que pour lui-même...
Du coup je repense à l'argument "ces personnes-là ne risquent pas la mort" : ben....si. Ca arrive.
Concernant les personnes véganes on aurait notamment des cas de suicides (liés par exemple à du harcèlement en raison du véganisme, c'était le cas d'un adolescent, un article était sorti là-dessus).
Alors je me questionne beaucoup !
Je peux répondre sur un autre point : je suis LGBT et végane. Et clairement je comprends que le mot de coming-out n'est pas du tout approprié pour le véganisme : oui, quand on est végane on s'en prend plein la gueule, je vais pas mentir MAIS !... on est végane par choix, ce n'est pas du tout pareil que de se faire attaquer sur son identité ou sa façon d'aimer. Pour ma part j'ai un passing hétéro, donc je subis beaucoup plus de connerie et d'agressivité face à mon véganisme que sur mon identité sexuelle,, mais c'est vraiment incomparable avec le vécu de personnes trans, homo, bi... Si je ne veux pas être embêtée j'ai juste à ne pas manger devant les personnes chiantes qui vont commencer à se moquer, ou à trouver une excuse pour éviter un repas, et ça n'ira pas plus loin. Les vraies victimes dans "l'anti-véganisme", ce sont les animaux, pas les véganes. Je souffre de voir certains discours face au véganisme, notamment celui de dire qu'on aime les animaux plus que nos semblables (ce qui est faux : quand on a de la compassion, on en a autant pour les humains que les animaux, et en plus plein d'études l'ont montré, ça se discute même pas!). Et y aura toujours des gens qui se pensent drôles en me mettant leur steak saignant sous le nez (j'avoue, au fond, ça me fait vraiment mal - pour l'animal) mais restons raisonnables : avant d'être végane je mangeais des animaux, je pensais comme elleux. Et attaquer quelqu'un sur une de ses pratiques alimentaires ou d'achat, ça n'a rien à voir avec le fait d'attaquer son identité profonde, on sa façon d'aimer. Personne ne m'agressera physiquement ou ne m'assassinera jamais parce que je suis végane. Alors que le sexisme, l'homophobie, la psychophobie et la transphobie TUENT des gens tous les jours dans le monde. Je risque beaucoup plus parce que je suis une femme, parce que je ne suis pas hétéro, ou quand je suis en dépression, que parce que j'aime les animaux. Donc en résumé annoncer qu'on est vegan, pour moi, ce n'est pas un coming out, même si ça peut être difficile. Et ça me gêne quand certaines personnes véganes avec une plateforme sur internet font sans arrêt le parallèle avec un coming out (ou disent que les vaches inséminées de force sont "violées"...)
@@HakugeiNoYume merci beaucoup, c'est aussi ce que je pense, mais je n'étais pas sur de la validité de mon raisonnement ^^
Super vidéo ! Merci :-)
Personnellement je suis non binaire et gray aromantique,et pour moi c'est vraiment quelque chose de très important,j'aimerais beaucoup avoir mon propre drapeau,ce serait un peu comme une sorte de trésor,mais j'ai aussi peur de la réaction de mes parents et de la question "pourquoi tu veux ce drapeau ?" ce qui me conduirait à leur révéler ma non binarité (voir le fait que je suis gray aromantique),ce qui m'effraie un peu même si je sais que mes parents n'ont en principe pas de problèmes avec les LGBT+,mais grâce à ta vidéo je me sens déjà mieux quand à cette question de coming out et cela me soulage beaucoup,merciiii ❤
J'aurai avoir ces conseils quand j'étais plus jeune, car j'ai fais mon coming-out trans et bi auprès de ma famille à 30 ans. Je m'interroge sur mon identité depuis le début du collège et sur mon orientation sexuel quasiment depuis la même période. J'ai fais mon coming out en commençant par des personnes en qui j'avais confiance et qui cotoyaient beaucoup de personnes de la communauté LGBTI+. Elles m'ont beaucoup soutenu. Malheureusement mon coming out s'est très mal passé avec ma fiancée qui a finit par me quitter. C'est à ce moment que j'ai décidé que mes parents devaient savoir que le garçon qu'ils avaient mit au monde n'en était pas un. Et.. cela s'est très bien passé. Mes parents ont très bien prit la chose et me soutiennent, puis mes frères et soeurs dans la majorité aussi me soutiennent. J'ai énormément de chance car je n'ai eu que très peu de réaction négative. J'espère entamer prochainement ma transition. Merci encore pour tes vidéos qui apportent conseils et qui nous permettent d'apprendre énormément de choses.
Je te souhaite une transition tout en douceur, à ton rythme et sur mesure :)
Je Suis tombé sur ta vidéo est un grand merci car elle tombe hyper bien tu ma aidé a préparer mon coming out
Merci c'est grâce à tes personnes toi que les petits écureuils comme moi comprennent finalement qu'ils sont des petits écureuils normaux et pas des monstres
Merci beaucoup , maintenant je sais comment faire mon coming out ( je vais faire une video et la poster , je sais que je vais recevoir des insultes mais je m'en fous )
non non ma belle moi je te soutiens 💕💕💕💕
@@chuusupremacy4685 merci beaucoup , ça fait plaisir des personnes comme ça :)
Je suis hétéro et j’ai l’impression de devoir faire un coming out vis à vis de mes parents Je ne suis pas en couple Et j’ai l’impression qu’ils attendent qu’une chose c’est que je leur disent que je j’aime les filles alors que non C’est bizarre non? Personne n’est dans mon cas?
Non non, mon frère a du faire pareil : tout le monde pensait qu'il est gay (toujours célib à 30 ans). Il nous a pris un par un pour nous annoncer que non, il n'est pas gay :-D
Les joies d'un monde où quand t'es pas en couple amoureux monogame, c'est forcément que t'es bizarre... Alors que non, être célib (volontairement ou non) ne veut pas dire être queer ! Et on peut être célib et heureuxe ! Ou toute autre configuration !
Hé hop un abonné en plus pour toiii 😊
Merci pour ta vidéo !
J'aime tout particulièrement ton deuxième conseil, "tu ne dois de CO à personne".
En effet, je pense que je suis ace et je me demandais si je devais l'annoncer. Et je me pose la question: pourquoi faire, finalement? Donc ce conseil me réconforte beaucoup.
Sinon, ma meilleure amie m'a fait un CO trans il y a presque un an. Ca faisait quelques temps qu'elle parlait des questions de genre donc elle a pu tâter le terrain. L'annonce "je suis une femme" et "je veux que mon prénom soit celui-là" s'est faite le même jour. Parler des questions du genre avant de faire son CO, ça permet de faire en sorte que la personne ait des connaissances sur le sujet, je suppose que ça aide.
J'ai fais mon coming out bi à mes parents sous la pression de mon (ex) petite amie...
Ben je regrette énormément car elle n'avait pas le droit de me menacer de me quitter si je ne le disais pas à mes parents. Maintenant que j'ai ENVIE de faire mon CO trans je vais réfléchir correctement en prenant appuis sur des témoignages et des conseils (tu m'aides énormément dans ma recherche). Heureusement je suis maintenant majeur (ce qui n'était pas le cas à l'époque) et bientôt loin de la maison familiale ^^
Hello! Pour ce qui est des coming out, j’ai beaucoup de chance personnellement car les gens qui m’entourent sont majoritairement safe, du coup j’ai juste abordé le sujet au détour d’une conversation en mode « a au fait je crois bien que je suis ... »
Moi j'ai fait mon coming-out à 14 ans et ma mère m'a sorti en rigolant: " tu es bisexuelle? mais tu est sexuelle au moins?" c'était très embarrassant (surtout quand tu est ado) mais c'était simplement de la maladresse. :) Plus tard elle m'a dit qu'elle avait deja été attirée par des femmes mais n'avait jamais sauté le pas.
Salut ma copine a déjà essayer de faire son comming out à sa mère elle la très mal pris et 11mois après elle veut réessayer tu lui Conseil quoi
Moi j’avais dis à une de mes amie que j’étais lesbienne elle a été le dire à tout mon collège alors que j’étais pas prête...j’ai perdu ma patience...comment dire...je l’ai frappé tellement j’étais énervé qu’elle ai fais le choix à ma place..
J'ai été beaucoup trop déconcentré par ce petit lapin trop mignon 😅
Cette vidéo était très intéressante
Coucou Matthieu !
Pour ma part, j'ai fais majoritairement des "demi coming-out", c'est à dire que je prépare psychologiquement mon entourage à des changements (physique notamment mais pas que) et que je dis des choses qui font sens et qu'elleux maintenant commencent à comprendre ("non mais je ne suis pas vraiment une fille de toute façon) sans pour autant avoir fait un "vrai" coming out trans. J'ai besoin d'être sur des pronoms et si je change de nom avant, et comme en général quand j'ai de la dysphorie ça vient de remarque très genrées de personnes qui ne me sont pas proches, je peux gérer cette attente.
Par contre, alors que j'avais prévu de parler de l'évolution de mes douleurs, mes RDV médicaux et mon sommeil avec ma psy, je ne sais pas comment ni pourquoi mais j'ai tout à coup fait mon coming-out et je crois que j'ai été plus surpris qu'elle que ça sorte XD Après avec elle aussi j'avais tâté le terrain (je l'estime beaucoup car elle m'a beaucoup aidé par le passé et je voulais être sur de ne pas me sentir blessé trop violemment d'un coup si elle avait des mots maladaptés). Merci pour cette vidéo et prends soin de toi
Moi je pense que je pourrais pas faire mon coming out POURQUOI premièrement je ne sais pas exactement ce que je suis je me demande si je suis pansexuel , genre -fluide ou pansexuel, genre -fluide et lesbiennes (j'ai une petite préférence pour les filles) deuxièmement ma mère est homophobe mais elle prétend le contraire mon père c'est pareil mais si je fais mon coming out à lui il serait content pour moi alors que ma mère je pense quel sera choqué et puis mais parent se doute que je suis LGBT mais je sais un peu trop bien mantire j'ai déjà fait mon coming out à ton mon école les gens se moquent de moi ou ils me taquine se qui est cool c'est que tout mon groupe d'amis est LGBT ou ils soutiennent les LGBT donc sa m'encourage.Dans ma famille il n'y a que trois personnes qui sont au courant que je suis LGBT et il y en a un qui est bisexuel.Tes conseils mon bien aidé même si je pense que je ne pourrai pas faire mon coming out avent longtemps mais cette vidéo ma redonné espoir et peut-être que je vais faire mon coming out cette année ENFIN SI JE ME DÉGONFLE PAS 😂😂😂😂😂😂😂😂😂 (désolé pour les fautes d'orthographe)🥺🥺🥺🥺🤟🤟🤟🤟🏳️🌈🏳️🌈🏳️🌈🏳️🌈🏳️🌈🏳️🌈🏳️🌈🏳️🌈🏳️🌈🏳️🌈🏳️🌈🏳️🌈👏👏👏👏👏👏🎉🎉🎉🎉🎉🎉🎉👌👌👌👌👌👌
Merci bcp pour les conseils
Je l'ai envoyée à une amie qui voulais faire son coming out je vois en dirais des nouvelle 💙🖤
Ma mere es au courant mes pas mon pere ni sa famille et ma mere ma dis que meme si il ete contre sa cetter moi en premier et j’ai vraiment peur sa m’angoisse tous les soir je pleur car je me sens mal
merci pour ta vidéo
J'ai dit que j'étais un homme transgenre a mes parents en juin, la semaine dernière je l'ai dit à mes frères, ils m'acceptent comme je suis mais ne veulent pas me genrer au masculin, il ne font aucun effort, ce n'est pas grave le principal c'est qu'il m'accepte
Mais depuis début septembre mes parents me demande de le dire a mes grand-parent mais je ne me sens pas près et aujourd'hui mon père ma dit "je te donne jusqu'à la fin du mois car ca nous rend mal à l'aise et on leur ment".
Je ne sais pas quoi faire, je me sens pas près car je suis très proches de mes grand parents et puis j'ai l'impression que ca va trop vite j'ai découvert qui j'étais en décembre, j'ai dit à mes parent que j'était trans en juin mais c'était pas voulu j'était vraiment pas bien donc je leur dit quand j'était en colère
Pour les parents je peux donner une expérience que j ai utiliser pour tater le terrain moi j ai dit que j avait perdu un defi et que j avait fini en jupe ma mère ayant tres mal réagi j ai compris qu il ne fallait pas que j en parle tendi que mon père ma Conseiller de ne pas parler de ce genre de chose a ma mere car elle n est pas ouverte d'esprit j rsite donc a lui en parler mais je pense que pour les parents ma technique peux aider
Moi j'ai 13ans et je suis lesbienne et genderfluid et je suis en internat du coup c'est difficile d'en parler mais casiment tous mes amis sont au courant, il y a également ma grand mere et mes soeurs qui savent que j'aime les filles mais ne savent pas que je suis genderfluid...
...voilà c'est tout pour moi je t'adore ❤❤❤
Ma soeur (enfin, à cette heure je sais plus) dit qu'elle est une souris. Elle s'est fait tatouer une queue dans le dos et des moustaches sur les joues... Elle dort sur une étagère de la bibliothèque de mes parents...... Je suis perdu. Je sais plus quoi faire... Je pleure H24....
je suis non-binaire/genderfluid et je redoute le sport au lycée et la piscine car je vais devoir choisir fille ou garcon, alors que je suis les deux. Je crois que je vais d'abord faire mon coming out à mes profs, pour pouvoir avoir une place au lycée.. Une chose que je redoute beaucoup est la réaction de mes parents car ils sont pas fan de la communauté LGBTQ+, et en plus d'avoir un genre différent, j'ai une petite amie.. En tout cas merci pour ta vidéo
Merci beaucoup ! J'ai hâte de faire mon coming-out à ma famille maintenant.. tu m'a apporter beaucoup d'aide ! Je te remercie ! Mais maintenant je dois faire mon coming-out dans les trois semaines car ma sœur va arriver au collège, et j'aimerai qu'elle l'apprenne de moi meme pas de mes amis ou autre xd
Je t'expliquerai si tu veux comment j'ai fait ☺️
Merci ça a beaucoup aidé mon petit frère Nash
J'aimerais bien faire mon coming out, ça fait un an que je sais pour le fait que je suis pans et genderfluid, mais le problème c'est que je n'ose pas parler à ma famille, je sais que ma mère n'est pas anti LGBT (elle m'a piqué mon yaoi T^T), donc je ne pense pas qu'elle réagirai mal. J'ai quand même peur.... Mais j'ai en vie de lui dire 😭😭 ça me fait peur de ne pas en parler à ma famille 😭
Merci beaucoup je savais pas trop comment le faire puisque je suis bi depuis un petit moment donc je savais pas comment l'annoncer a ma famille
Cc, j'ai 11 ans et je suis lesbienne j'en ai parler a mes ami(e)s sans avoir de problème mais je n'arrive pas a le dire facilement a mes parents...Mais avec mes parents j'en parle beaucoup...Mais je n'ai aucune personne que je connais qui est lgbti+...Sinon merci beaucoup pour tes conseils je pense leur faire une lettre merci vraiment beaucoup je viens de voir cette vidéo je ne te connaissais pas merci vraiment du fond du coeur
Pour moi il est 6h du matin et je rate pas la vidéo quand même
Aucun rapport mais tu les as trouvé les étagères derrière toi? je les aime trop!
Elle vient de là : amzn.to/2SBKoEr (c'est mon lien affilié)
Je suis mal barré des le 1er point...🤦♀️🤦♀️je vais attendre un peux ducoup
Est ce que je vais avoir des galère pour mon futur travail si je suis trans
j'attendrais d'être en couple pour faire mon coming-out bi/lesbienne, pour l'instant ça ne sert à rien de l'annoncer à ma famille :)
Faire son coming out a 10 ans a sa famille en l'aiyant déjà fais a beaucoup de gens c'est trop tau ?
j'ai vécu un coming out il n'y a pas longtemps. La techinque que mon ami a utilisé était juste de changer le genre de son speudo sur facebook. Au début je ne comprenais pas trop son geste jusqu'au moment ou il m'a écrit "j'suis trans dude". Et apres on a juste continué notre conversation sur le prochain test de math.
Comme tu l'a dit j'ai essayer de voir la réaction de ma mère on parlais des lgbt+ ect.. Et aprés je lui dit maman imagine que je suis lesbienne elle m'a répondue : "bah c'est normal tranquile" je me sentais a moitié libérer c'est vrais et je vous poses cette question: est ce que je fait mon coming out j'en ai envie mais je sais pas si je suis prète :)
Et pour les coming-out homosexuels ?
Pense tu qu'à 12 ans je peux le dire à mes parents car ça parrai si facile mais tu as tellement peur d'une movèse réaction que tu ésites trop ?
Je suis cisgenre et bisexuelle, j'ai fait mon CO en première année de fac (donc il y a 4/5 ans) et je n'ai jamais eu de soucis avec mes ami.e.s proches, dont une partie sont d'ailleurs LGBTI+. Pour ma famille, ma petite soeur a été la première au courant après une déception amoureuse et elle m'a toujours soutenue. 3 ans après, j'ai fait mon CO à une partie à mes cousines, qui ont très bien pris la nouvelle, puisqu'elles connaissaient d'autres personnes bisexuelles. Finalement, les seuls qui ne sont pas au courant, ce sont mes parents, mais ne vivant plus chez eux, je n'ai jamais ressentis le besoin d'en parler ni eu le sentiment de cacher quelque chose. Je pense que ça se fera en temps voulu.
Bonjour,
Pour les personnes qui (ou ont des proches qui) envisagent une transition - surtout les filles apparemment ; mais tous - : pour plus d'info au sujet des dangers potentiels, pour la santé physique et mentale, de la transaffirmation, surtout chez les non adultes, la vidéo (et le site) de SOS éducation est à conseiller.
Ainsi que les vidéos 'Trans Train' (trouvable avec sous-titres fr sur yt).
Moi je suis pan et la première personne à qui je l'ai dit (d'ailleurs la seule) car je savais qu'il me comprendrais et en plus il est gay don il allait pas me reprocher d'être LGBT
Ma mère et mon frère sont un peu fâcher à cause de mon coming out...
Je te soutiens et espère que ça ira mieux pour toi !
Je me permet de poser une question : est-ce que c'est possible d'être transgenre même si l'on ne fais pas de transition ?
Super vidéo ça me motive a faire mon coming out a mes parents mais concernant le 1 er conseils je ne sais pas vraiment quoi faire
J'ai essayé de le faire une fois mais mon père m'a dit que se n'était pas normal et ma mère a dit que l'ont peut aller chez le médecin pour de la testostérone pour pas que me foute en l'air
Et après ils ont engueuler ma sœur en disant que c'est de ça faut si je suis comme ça ...
Bref je ne sais pas quoi faire T^T s'ils vous plaît aidez-moi a trouver une solution
Merci pour cette vidéo mais je ne pourrai jamais faire de coming out à ma famille car je me suis fait outer par mon frère depuis je me fait insulter chez moi ,mon vrai coming out sera au clg avec mes amies lgbti+ on se dessinera le drapeau de notre sexualité et une phrase avec "j'en suis fière !!" À la fin
Ba moi chui toujours bien au fond de mon placard
Mon coming out c'était tellement naturel mdr on parlait de couple avec ma mère et j'ai dit tout naturellement que je tomberai amoureuse d'un être humain et qu'importe son genre, et ma mère à juste trouvé ça bien mdr
Et perso j'ai pas du tout le besoin d'appartenir à une communauté lgbti+, je me trouve juste normal et je trouve que c'est limite dégradant de me considérer comme différente des cis hetero. Je sais pas on est tous humain 🤷♀️ donc je préfère appartenir au groupe humain même si dedans y'a des gens qui vont pas aimer ma manière de voir les choses et ma sexualité. Si ça leur plaît pas bah tant pis pour eux !
Perso je suis trans ( je passe de il à elle ) et je suis pan mais mon père n'est pas d'accord et ma mère je n'en sais rien, j'ai super peur 😭😭😭
Force à toi ça vas aller !
Ma meilleure amie est homophobe je suis bi je ne lui ai pas dis j’ai trop peur de la perdre...
4:00 merchi du soutien snif TuT
Coucou, je suis une fille cis genre, et je ne connais pas personnellement de gay ou de trans, mais c'est toujours très important de s'éduquer sur des sujets comme ça, bisous !
par rapport a l'education ; "gay" et "trans" c'est surtout des adjectifs et la plupart des personnes concernées preferent la formule "personne gay" ou "personne trans" (parce que sans le "personne" ca fait un peu deshumanisant) ^^
Ses quoi trans ?