Très belle interprétation de cette oeuvre immortelle ( elle !). Musique sublime, pleine de douceur, pour accompagner avec tendresse l'ensommeillement définitif du défunt : une berceuse des morts que nous serons tous un jour...dont je me rapproche fortement (80 ans)! Cette oeuvre me rappelle étrangement la messe de requiem de Gabriel Fauré, toute en douceur mélancolique mais avec, elle aussi, des évasions brillantes : espérance, joie de la Rencontre espérée (pour les croyants, du moins, dont je ne suis pas...)
Merci, cher ami. J'aurais dû ajouter à mon commentaire l'émotion que j'éprouve à l'audition - si souvent réitérée - du Requiem de Jean Gilles qui est si proche tout à la fois de Gabriel Fauré et de Marc-Antoine Charpentier, par sa profondeur mystique, sa douceur parfois extatique. Je me dis que j'aimerais partir accompagné de l'une de ces oeuvres bouleversantes. Hélas, au mieux, aurai-je droit à ces "liturgies" affreuses de débilité qui sont désormais "servies" aux défunts et aux malheureux qui les accompagnent vers leur ultime demeure !!! En fait, ce sera rien du tout : je suis agnostique.
Éternel grandiose la musique baroque Delalande Charpentier Lully Couperin Bach Vivaldi Haendel Telemann Purcell Monteverdi Pergolesi Corelli Scarlatti Albinoni et tant d autres merci magnifique .
+Oscar Grau Quand même plus renaissance avec sa prima prattica, et effectivement transition avec l'époque baroque avec la seconda prattica et le début de la basse continue, néanmoins il est + situé à la renaissance !
Si le monarque sidéré par la préoccupation de sa propre magnificence avait eu plus de recul et de jugement, il aurait probablement préféré Marc-Antoine à Jean-Baptiste...
Il est sûr que parla qualité de sa musique, Marc-Antoine Charpentier était très supérieur à J-B Lully, lequel n'était pas pour autant méprisable. Lully avait pour tâche d'assurer les divertissements de la cour et la pompe du règne. Charpentier n'était pas pour autant tenu totalement à l'écart, loin de là mais, stupidement on lui avait rationné ses moyens en terme d'instrumentistes. C'était idiot mais peut-être cela nous a-t-il valut des compositions plus inspirées. L'orgueil de Lully dans ses fonctions de surintendant de la musique du roi était insupportable. Ceci dit cela n'a pas empêché l'épanouissement de compositeurs admirables comme Marc-Antoine Charpentier, Delalande, Jean Gilles, Couperin, mon cher Couperin et tant d'autres...quel siècle!!!
Vous parlez en sage, quel siècle, certes, mais pas du côté des huguenots et de la petite paysannerie. Aussi, pourquoi tant de sauvagerie dans le Palatinat de cette bonne princesse Charlotte (et dans les Provinces Unies et dans le Brabant) ?
alentejaneiro Certes, il y avait des ombres...tragiques mais c'était une autre musique, si j'ose dire !!! La dévastation du Palatinat etait et demeure un scandale, parfaitement inutile. La princesse palatine n'a aucunement réagit, se goinfrant à Versailles.
La malheureuse, qui lui en voudrait, avec un mari pareil, sans amis, quand son beau-frère laissait saccager Heidelberg ? Paix à ses cendres et à leurs âmes.
Très belle interprétation de cette oeuvre immortelle ( elle !). Musique sublime, pleine de douceur, pour accompagner avec tendresse l'ensommeillement définitif du défunt : une berceuse des morts que nous serons tous un jour...dont je me rapproche fortement (80 ans)! Cette oeuvre me rappelle étrangement la messe de requiem de Gabriel Fauré, toute en douceur mélancolique mais avec, elle aussi, des évasions brillantes : espérance, joie de la Rencontre espérée (pour les croyants, du moins, dont je ne suis pas...)
Votre parallèle avec la piété simple de Fauré est tout à fait remarquable !
Merci, cher ami. J'aurais dû ajouter à mon commentaire l'émotion que j'éprouve à l'audition - si souvent réitérée - du Requiem de Jean Gilles qui est si proche tout à la fois de Gabriel Fauré et de Marc-Antoine Charpentier, par sa profondeur mystique, sa douceur parfois extatique. Je me dis que j'aimerais partir accompagné de l'une de ces oeuvres bouleversantes. Hélas, au mieux, aurai-je droit à ces "liturgies" affreuses de débilité qui sont désormais "servies" aux défunts et aux malheureux qui les accompagnent vers leur ultime demeure !!! En fait, ce sera rien du tout : je suis agnostique.
God bless you from Poland +
musica sacra ...
Charpentier me gusta mucho! Sobre todo la música sacra!
Charpentier so lovely
Éternel grandiose la musique baroque Delalande Charpentier Lully Couperin Bach Vivaldi Haendel Telemann Purcell Monteverdi Pergolesi Corelli Scarlatti Albinoni et tant d autres merci magnifique .
Monteverdi c'est Renaissance.
Anthony Garcia No, c'est barroque (transition)
+Oscar Grau Quand même plus renaissance avec sa prima prattica, et effectivement transition avec l'époque baroque avec la seconda prattica et le début de la basse continue, néanmoins il est + situé à la renaissance !
i am not believe but i listen to this music and feel very nice
A Gloria- A mi también! C'est quelque chose d'intime et de royal à la fois, qui nous prend à l'âme et aux tripes!
GLORIA PATRI ET FILII ET SPIRITUI SANCTO IN SAECULA SAECULORUM AMEN +
Si le monarque sidéré par la préoccupation de sa propre magnificence avait eu plus de recul et de jugement, il aurait probablement préféré Marc-Antoine à Jean-Baptiste...
Il est sûr que parla qualité de sa musique, Marc-Antoine Charpentier était très supérieur à J-B Lully, lequel n'était pas pour autant méprisable. Lully avait pour tâche d'assurer les divertissements de la cour et la pompe du règne. Charpentier n'était pas pour autant tenu totalement à l'écart, loin de là mais, stupidement on lui avait rationné ses moyens en terme d'instrumentistes. C'était idiot mais peut-être cela nous a-t-il valut des compositions plus inspirées. L'orgueil de Lully dans ses fonctions de surintendant de la musique du roi était insupportable. Ceci dit cela n'a pas empêché l'épanouissement de compositeurs admirables comme Marc-Antoine Charpentier, Delalande, Jean Gilles, Couperin, mon cher Couperin et tant d'autres...quel siècle!!!
Vous parlez en sage, quel siècle, certes, mais pas du côté des huguenots et de la petite paysannerie. Aussi, pourquoi tant de sauvagerie dans le Palatinat de cette bonne princesse Charlotte (et dans les Provinces Unies et dans le Brabant) ?
alentejaneiro
Certes, il y avait des ombres...tragiques mais c'était une autre musique, si j'ose dire !!! La dévastation du Palatinat etait et demeure un scandale, parfaitement inutile. La princesse palatine n'a aucunement réagit, se goinfrant à Versailles.
La malheureuse, qui lui en voudrait, avec un mari pareil, sans amis, quand son beau-frère laissait saccager Heidelberg ? Paix à ses cendres et à leurs âmes.
inimaginable de parler des "huguenots" comme s'ils étaient des 'victimes'... n'importe quoi
du caviar pour les oreilles.