Portrait d'un Cef des plus idylliques , la réalité est bien plus complexe . La violence au quotidien qui n'apparaît pas dans le documentaire est un vrai phénomène qui préoccupe les éducateurs dans la qualité de sa gestion. Les budgets alloués par l'état sont dérisoires comparés à des centres spécialisés dans le handicap (Ime,Fam;Mas etc..) . De fait, salaires bas des encadrants, manque de personnel (personnel de moins en moins qualifié principalement en Mecs) , de financement pour sorties, embellissement structures, mis à disposition de véhicules etc.. beaucoup d' activités dites" occupationnelles" fautes de moyen qui n’intéressent pas les jeunes et ne motivent en rien l’intérêt d'une réinsertion. L'accompagnement psychologique du personnel est quasi-inexistant, les horaires de travail (en coupé) sont récurrents et pousse certains d'entre eux à des dérapages plus communément nommés "actes de maltraitance". Il est évidemment de bon ton de féliciter l'engagement les professionnels en situation, mais il serait grand temps de leur donner de vrais moyens pour exercer cette noble profession et faciliter enfin de façon non-hypocrite l'éducation de cette jeunesse qui d'ailleurs n'ignore pas qu'au final l'état se fout bien d'eux comme ils l'ont toujours admis.
C'est très bien comme ça ils sont éduqués dans le travail et la discipline 👩🎓📖💼
Portrait d'un Cef des plus idylliques , la réalité est bien plus complexe . La violence au quotidien qui n'apparaît pas dans le documentaire est un vrai phénomène qui préoccupe les éducateurs dans la qualité de sa gestion. Les budgets alloués par l'état sont dérisoires comparés à des centres spécialisés dans le handicap (Ime,Fam;Mas etc..) . De fait, salaires bas des encadrants, manque de personnel (personnel de moins en moins qualifié principalement en Mecs) , de financement pour sorties, embellissement structures, mis à disposition de véhicules etc.. beaucoup d' activités dites" occupationnelles" fautes de moyen qui n’intéressent pas les jeunes et ne motivent en rien l’intérêt d'une réinsertion. L'accompagnement psychologique du personnel est quasi-inexistant, les horaires de travail (en coupé) sont récurrents et pousse certains d'entre eux à des dérapages plus communément nommés "actes de maltraitance". Il est évidemment de bon ton de féliciter l'engagement les professionnels en situation, mais il serait grand temps de leur donner de vrais moyens pour exercer cette noble profession et faciliter enfin de façon non-hypocrite l'éducation de cette jeunesse qui d'ailleurs n'ignore pas qu'au final l'état se fout bien d'eux comme ils l'ont toujours admis.
Stagiaire dans une crêperie il est content le gargotier de la main d'œuvre gratuite
Ba pour moi ces jeune Obligation de faire l'armée pendant 1ans ou 2 l'état ta nourrie éduquée à ton tour de donner pour la patrie..ba quoi ?!
Bah non