Sous la voûte étoilée du vaste univers, Où le silence se mêle aux murmures du vent, L'homme cherche, perdu dans le vaste divers, Un sens à l'infini, un instant hors du temps. Il contemple le ciel, en quête de lumière, Chaque étoile brille d'un mystère ancien, Les questions s'élèvent, telle une prière, À quoi rime la vie ? À quel étrange lien ? Sommes-nous que poussière, qu'éphémère passage, Dans ce monde changeant, où tout s'efface et fuit ? Ou portons-nous en nous, malgré ce court voyage, L'écho d'une vérité, qui jamais ne périt ? Dans le souffle d'un arbre, dans l'œil d'un enfant, Dans l'amour d'un regard, dans la chute d'une feuille, Le mystère persiste, insondable et brûlant, Un reflet de l'éternel, dans chaque instant qui cueille. Car peut-être la vie, dans son humble grandeur, N'est pas à résoudre, mais à vivre, tout bas, Un éclat de l'absolu, un chemin intérieur, Vers la paix, vers soi-même, sans détour ni combat. Et l'homme continue, fragile pèlerin, À marcher, à chercher, l'ombre et la lumière, Car le sens n'est peut-être qu'un souffle divin, Un pas après l'autre, un retour à la terre. pour finir je dirai KAKA MADE WITH CHATGPT
Sous la voûte étoilée du vaste univers,
Où le silence se mêle aux murmures du vent,
L'homme cherche, perdu dans le vaste divers,
Un sens à l'infini, un instant hors du temps.
Il contemple le ciel, en quête de lumière,
Chaque étoile brille d'un mystère ancien,
Les questions s'élèvent, telle une prière,
À quoi rime la vie ? À quel étrange lien ?
Sommes-nous que poussière, qu'éphémère passage,
Dans ce monde changeant, où tout s'efface et fuit ?
Ou portons-nous en nous, malgré ce court voyage,
L'écho d'une vérité, qui jamais ne périt ?
Dans le souffle d'un arbre, dans l'œil d'un enfant,
Dans l'amour d'un regard, dans la chute d'une feuille,
Le mystère persiste, insondable et brûlant,
Un reflet de l'éternel, dans chaque instant qui cueille.
Car peut-être la vie, dans son humble grandeur,
N'est pas à résoudre, mais à vivre, tout bas,
Un éclat de l'absolu, un chemin intérieur,
Vers la paix, vers soi-même, sans détour ni combat.
Et l'homme continue, fragile pèlerin,
À marcher, à chercher, l'ombre et la lumière,
Car le sens n'est peut-être qu'un souffle divin,
Un pas après l'autre, un retour à la terre.
pour finir je dirai KAKA
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