Bonjour. Pardonnez ma remarque très "polémique" mais je crois que tout le "corps médical" est en plein délire psychotique ou a minima a une grave alteration de la réalité (par ailleurs jamais définie par nos savants académiques, ce qui est problématique pour etablir un diagnostic digne du nom) selon le jargon du milieu: j'en veux pour preuve (fondement de ma croyance) le fait que "psyche" veut dire papillon, allegorie de l'âme chez les Grecs, Romains, Chrétiens, Protestants, Déistes. Il y avait donc des "scientifiques de l'âme", des soignants et tout le tralala, pendant 25 siecles, puisque la société humaine n'est pas née hier ni avant hier... De nos jours, l'âme n'est pas reconnue comme une vérité scientifique par nos supers intellos mega savants de Bac+30... donc comment pouvez-vous vous affubler du titre de "psy" machin si l'âme "n'existe pas"? N'est ce pas un grave manquement à la déontologie médicale de mentir sur sa qualité professionnelle en usurpant le titre de medecin ? Je termine par une citation de Emmanuel Kant, dernier grand docteur civilisé d'Occident: "Un medecin (iatros) de l'âme (psyche) est un ami"... Vous est-il permis par votre Ordre de faire des patients des amis, je veux dire en masse, tout votre cheptel de patients? Merci pour vos réponses Bien cordialement
Il n'y a pas de résultat 'final'. Le résultat c'est en cours. Et bien sûr Tous les patients ont une 'double scène' car une Histoire et forcément une forme d'inconscient (car il n'y a Pas de toute puissance de la conscience). La rencontre de la confrontation au fait du père réel peut déclencher la psychose là où il y a eu forclusion du nom du père, c'est à dire là où confronté au Réel de la fonction d'autorité référente (élue à son désir par la mère) le symbole métaphorique du 'Nom du père' fait Défaut (mort annoncée du mari). Ce qui n'a pas été symbolisé métaphoriquement fait alors retour dans le réel du sujet (halluciné puisqu'on hallucine cérébralement le réel). Qu'est-ce que ça a d'impensable. Certes c'est choquant comme une fatalité déjà potentielle. Et alors ? Ça n'empêche que la rencontre thérapeutique ensuite peut être fortement réparatrice ! Ce qui implique la Présence des êtres humains thérapeutes donc du personnel que les capitalistes refusent d'embaucher. Inhumanité !
Je ne crois pas que la psychanalyse soit très efficace pour les psychoses.Freud soignait plutôt des dépressifs et des névrosés.Les TCC sont plus efficaces pour les psychoses avec des médicaments, une éducation à la cognition sociale
Lacan et les autres concernant le sujet de la psychose existent. J'ai aussi une structure psychotique et la profondeur de la psychanalyse et son rapport au discours/corps/langage m'apporte beaucoup plus sans évincer d'autres formes d'aide au quotidien. Arrêtez de rejeter ce que vous ne vivez et ne connaissez pas. Merci de laisser la liberté d'apprendre et de traitement/ travail/support au choix des patients. À condition que choisir puisse être posé évidemment ce qui j'en conviens est plus rare.
Bonjour. Pardonnez ma remarque très "polémique" mais je crois que tout le "corps médical" est en plein délire psychotique ou a minima a une grave alteration de la réalité (par ailleurs jamais définie par nos savants académiques, ce qui est problématique pour etablir un diagnostic digne du nom) selon le jargon du milieu: j'en veux pour preuve (fondement de ma croyance) le fait que "psyche" veut dire papillon, allegorie de l'âme chez les Grecs, Romains, Chrétiens, Protestants, Déistes. Il y avait donc des "scientifiques de l'âme", des soignants et tout le tralala, pendant 25 siecles, puisque la société humaine n'est pas née hier ni avant hier... De nos jours, l'âme n'est pas reconnue comme une vérité scientifique par nos supers intellos mega savants de Bac+30... donc comment pouvez-vous vous affubler du titre de "psy" machin si l'âme "n'existe pas"? N'est ce pas un grave manquement à la déontologie médicale de mentir sur sa qualité professionnelle en usurpant le titre de medecin ? Je termine par une citation de Emmanuel Kant, dernier grand docteur civilisé d'Occident: "Un medecin (iatros) de l'âme (psyche) est un ami"... Vous est-il permis par votre Ordre de faire des patients des amis, je veux dire en masse, tout votre cheptel de patients?
Merci pour vos réponses
Bien cordialement
Il n'y a pas de résultat 'final'. Le résultat c'est en cours. Et bien sûr Tous les patients ont une 'double scène' car une Histoire et forcément une forme d'inconscient (car il n'y a Pas de toute puissance de la conscience).
La rencontre de la confrontation au fait du père réel peut déclencher la psychose là où il y a eu forclusion du nom du père, c'est à dire là où confronté au Réel de la fonction d'autorité référente (élue à son désir par la mère) le symbole métaphorique du 'Nom du père' fait Défaut (mort annoncée du mari). Ce qui n'a pas été symbolisé métaphoriquement fait alors retour dans le réel du sujet (halluciné puisqu'on hallucine cérébralement le réel). Qu'est-ce que ça a d'impensable. Certes c'est choquant comme une fatalité déjà potentielle. Et alors ? Ça n'empêche que la rencontre thérapeutique ensuite peut être fortement réparatrice ! Ce qui implique la Présence des êtres humains thérapeutes donc du personnel que les capitalistes refusent d'embaucher. Inhumanité !
Je ne crois pas que la psychanalyse soit très efficace pour les psychoses.Freud soignait plutôt des dépressifs et des névrosés.Les TCC sont plus efficaces pour les psychoses avec des médicaments, une éducation à la cognition sociale
Je pense qu'il va falloir arrêter d'opposer les deux logiques et les faire s'imbriquer pour permettre aux patients une aide maximale
Lacan et les autres concernant le sujet de la psychose existent. J'ai aussi une structure psychotique et la profondeur de la psychanalyse et son rapport au discours/corps/langage m'apporte beaucoup plus sans évincer d'autres formes d'aide au quotidien. Arrêtez de rejeter ce que vous ne vivez et ne connaissez pas. Merci de laisser la liberté d'apprendre et de traitement/ travail/support au choix des patients. À condition que choisir puisse être posé évidemment ce qui j'en conviens est plus rare.