La littérature ( ou les romans ) s'adresse à un public , elle discute avec une telle ou telle culture , dans toute création ( littéraire, Artistique ) , il y a toujours quelqu'un qui vous désigne, qui jette une lumière sur le visage d'un livre ou sur la peau d'un roman ou sur une personne en marche , les grands objets sont abandonnés comme les grandes questions par les lecteurs , parfois un individualisme insignifiant règne, parfois un lecteur trouve du temps pour passer leur temps, les produits créés intéressent plus les écrivains , les critiques et une minorité encore pommés qui n'ont pas encore cesser de rechercher , Oui parfois mais rarement pour éblouir, le reflet est présent comme un miroir dans le miroir , la littérature combattre une déception permanente au prix d'une dépression tantôt latente tantôt patente, parfois pour échapper le réel tout en se reconnaissant dans la réalité, la littérature comme toute création Artistique pour réussir sa tâche tourne en rond , elle est toujours là, elle entre d'ou elle est sorti et elle sort d'où elle est entré, là l'esthétique joue bien son rôle pour camoufler le tissu du texte , pour faire respirer un héros quelconque pour pouvoir continuer marcher sur les mots 11/01/2019 (Nicolas Mathieu romancier )
Dans son roman, Nicolas Mathieu n'a de cesse d'appeler "cousin" le cousin d'Anthony sans jamais l'appeler par son prénom ce qui est un manque de respect pour l'intéressé et un mystère pour le lecteur !! sauf si ce roman pourrait avoir une suite et s'intituler "Le cousin d'Anthony" ................
Voila léa tu la sous les yeux!!! famille d'ouvrier ne veut pas dire idiot. Et on est de la ou on est! Je suis français/Magyar la mère de mes petit espagnol/Italie nos enfant son beaux et intelligent. Le mélanges ces l'avenir et arrêter de donner du crédit a des commentaire ou les personnes ne mette pas leur nom prénom.....
Bizarre d'entendre la macroniste Salamé parler d'un roman qui est un brûlot contre le libéralisme, les strart up, les premiers de cordée, bref le petit discours minable de Macron et Cie. Salamé prend un voix basse, douce, pour parler de ça ! Ha ha ha ! Cinoche !
très bon livre qui raconte la vie des adolescents de la france profonde, pas toujours réjouissants d'ailleurs.
La littérature ( ou les romans ) s'adresse à un public , elle discute avec une telle ou telle culture , dans toute création ( littéraire, Artistique ) , il y a toujours quelqu'un qui vous désigne, qui jette une lumière sur le visage d'un livre ou sur la peau d'un roman ou sur une personne en marche , les grands objets sont abandonnés comme les grandes questions par les lecteurs , parfois un individualisme insignifiant règne, parfois un lecteur trouve du temps pour passer leur temps, les produits créés intéressent plus les écrivains , les critiques et une minorité encore pommés qui n'ont pas encore cesser de rechercher , Oui parfois mais rarement pour éblouir, le reflet est présent comme un miroir dans le miroir , la littérature combattre une déception permanente au prix d'une dépression tantôt latente tantôt patente, parfois pour échapper le réel tout en se reconnaissant dans la réalité, la littérature comme toute création Artistique pour réussir sa tâche tourne en rond , elle est toujours là, elle entre d'ou elle est sorti et elle sort d'où elle est entré, là l'esthétique joue bien son rôle pour camoufler le tissu du texte , pour faire respirer un héros quelconque pour pouvoir continuer marcher sur les mots
11/01/2019 (Nicolas Mathieu romancier )
Dans son roman, Nicolas Mathieu n'a de cesse d'appeler "cousin" le cousin d'Anthony sans jamais l'appeler par son prénom ce qui est un manque de respect pour l'intéressé et un mystère pour le lecteur !! sauf si ce roman pourrait avoir une suite et s'intituler "Le cousin d'Anthony" ................
C'est manifestement un bon livre bien écrit. Donc on s'en sort grâce à l'école qui trie.
il est très mignon
Voila léa tu la sous les yeux!!! famille d'ouvrier ne veut pas dire idiot. Et on est de la ou on est! Je suis français/Magyar la mère de mes petit espagnol/Italie nos enfant son beaux et intelligent. Le mélanges ces l'avenir et arrêter de donner du crédit a des commentaire ou les personnes ne mette pas leur nom prénom.....
Bizarre d'entendre la macroniste Salamé parler d'un roman qui est un brûlot contre le libéralisme, les strart up, les premiers de cordée, bref le petit discours minable de Macron et Cie. Salamé prend un voix basse, douce, pour parler de ça ! Ha ha ha ! Cinoche !