Je me souviens comme si cela daté d'hier, 1969 un tracteur Ford se place à 200m relié à couroit la botelese ancienne, une poignée d' ouvriers chacun sa place.je vous laisse deviner la terre ,le soleil et les hommes chapeau📿mexicaine, les machines de cette belle époque,massey harris jean- deer,masseyfergusson et allis chalamers ,Le courage et la ténacité et le fruit de la recolte,fan je le suis &la nostalgie suivra ,tahia el djazair🇩🇿🇩🇿🇩🇿🇩🇿🇩🇿🇩🇿
Ma mémoire de cette démonstration vécu de près en plein canicule, le bruit du tracteur ,la bette mécanique aval et crache l odeur du diesel parfume ,les fourches aux mains, la pose leben fermenté et une galette Hamda ,tel est la véritable cequence cheval ouvrière d'une époque où le courage domine .
En petite Beauce, ces batteuses on tourné jusque dans les années 60, évincées par les premières moissonneuses batteuses Mac Cormick ou Massez Harrys. C'était la fête à la ferme avec une dizaine de forçats qui alimentaient en bottes avec des brocs (fourches à deux dents), un engreneur qui coupait et récupérait les ficelles (rien n'était perdu tout servait au moins deux fois), les lieurs qui nouaient au fil de fer les ballots que deux compères entassaient chargés comme des mulets et les porteurs des sacs, réglés à 100 kg si ces partaient chez un marchand, chargés manuellement sur des plateaux. Les journées de battage commençaient à 7 heures 30, pause d'une heure 30 à midi, elles se terminaient à 19 heures 30. Avec un coup de rouge (un verre et demi maxi par homme) le matin et un second l'après-midi. Rien à voir avec les conditions de travail actuelles qui sont celles de l'agriculture industrielle, comme aux Etats-Unis où "farming is industry!".
Tres joli. Ça me rappelle un souvenir de mon enfance. Ca se passait dans un village quelque part en Algerie dans les années 50. C'était une batteuse fixe Marshall et une botteleuse deux fils vierzon entraînées par un tracteur a chenille Chalmers HD5. Un jolie spectacle. Chaque machine produisait son propre son a cote d'une nuée d'ouvriers qui s'affairaient a faire avancer les gerbes de blé vers le goulot de la batteuses pendant que d'autres d'occupaient de la botteleuse. Mon pere plaçait le plateau de separation des bottes
Satine & khamsa ou talatine c,'est tout simplement deux chiffres 60 and 35 hectares de parcelle de terre deux endroit vocation agricole champ extrêmement vaste à long vue, c'est là où le temps s'arrête avec les moments immortel+ des souvenirs enfantine sous un soleil plomb caniculaire, face à moi s/ l'eill jumelle droite ma Marguerite 🐄 vache de l'autre eil gauche le bruit des légendaire machines massey harris, John- deer ,allis chalamers Renault master R,mc- cormick-plus loin cette mythique moissonneuse batteuse a couroit relié à un tracteur .Le job ,c'est les bras et la bravoure des hommes et la récolte était khir wa khemir.retour au bercail à 10h avec bruit ronflements du cars chausson 173 en provenance d'el- Asnam "chlef et direction ténès avec entrée en arrêt warnier"OuledFares "- comme si cela daté d'hier 1970.
caipira Chitãozinho & Xororó Composição: Joel Marques / Maracai o que eu visto não é linho ando até de pé no chão e o cantar de um passarinho é pra mim uma canção vivo com a poeira da enxada entranhada no nariz trago a roça bem plantada pra servir o meu país sou sou desse jeito e não mudo aqui eu tenho de tudo e a vida não é mentira sou sou livre feito um regato eu sou um bicho do mato me orgulho de ser caipira doutor eu não tive estudo só sei mesmo é trabalhar nesta casa de matuto é bem-vindo quem chegar se tenho as mãos calejadas é do arado rasgando o chão se a minha pele é queimada é o sol forte do sertão sou sou desse jeito e não mudo aqui eu tenho de tudo e a vida não é mentira sou sou livre feito um regato eu sou um bicho do mato me orgulho de ser caipira enquanto alguns fazem guerra trazendo o fome e tristeza minha luta é com a terra pra não faltar pão mesa às vezes vou a cidade mais não sei falar direito pois caipira de verdade nasce e morre desse jeito sou sou desse jeito e não mudo aqui eu tenho de tudo e a vida não é mentira sou sou livre feito um regato eu sou um bicho do mato me orgulho de ser caipira sou sou livre feito um regato eu sou um bicho do mato me orgulho de ser caipira
dans les années 50 la batteuse était entrainée par une machine à vapeur ,non un tracteur; A la ferme ,quand les sacs de blés étaient pleins les hommes chargeaient le sac (70kg)sur le dos et montaient à l'échelle ,au grenier pour l'entreposer.Nota:si le paysan était "métayer" il devait donner la moitié de sa récolte au propriétaire
Je me souviens comme si cela daté d'hier, 1969 un tracteur Ford se place à 200m relié à couroit la botelese ancienne, une poignée d' ouvriers chacun sa place.je vous laisse deviner la terre ,le soleil et les hommes chapeau📿mexicaine, les machines de cette belle époque,massey harris jean- deer,masseyfergusson et allis chalamers ,Le courage et la ténacité et le fruit de la recolte,fan je le suis &la nostalgie suivra ,tahia el djazair🇩🇿🇩🇿🇩🇿🇩🇿🇩🇿🇩🇿
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Ma mémoire de cette démonstration vécu de près en plein canicule, le bruit du tracteur ,la bette mécanique aval et crache l odeur du diesel parfume ,les fourches aux mains, la pose leben fermenté et une galette Hamda ,tel est la véritable cequence cheval ouvrière d'une époque où le courage domine .
Super de revoir ça
En petite Beauce, ces batteuses on tourné jusque dans les années 60, évincées par les premières moissonneuses batteuses Mac Cormick ou Massez Harrys. C'était la fête à la ferme avec une dizaine de forçats qui alimentaient en bottes avec des brocs (fourches à deux dents), un engreneur qui coupait et récupérait les ficelles (rien n'était perdu tout servait au moins deux fois), les lieurs qui nouaient au fil de fer les ballots que deux compères entassaient chargés comme des mulets et les porteurs des sacs, réglés à 100 kg si ces partaient chez un marchand, chargés manuellement sur des plateaux.
Les journées de battage commençaient à 7 heures 30, pause d'une heure 30 à midi, elles se terminaient à 19 heures 30. Avec un coup de rouge (un verre et demi maxi par homme) le matin et un second l'après-midi.
Rien à voir avec les conditions de travail actuelles qui sont celles de l'agriculture industrielle, comme aux Etats-Unis où "farming is industry!".
Tres joli. Ça me rappelle un souvenir de mon enfance. Ca se passait dans un village quelque part en Algerie dans les années 50. C'était une batteuse fixe Marshall et une botteleuse deux fils vierzon entraînées par un tracteur a chenille Chalmers HD5. Un jolie spectacle. Chaque machine produisait son propre son a cote d'une nuée d'ouvriers qui s'affairaient a faire avancer les gerbes de blé vers le goulot de la batteuses pendant que d'autres d'occupaient de la botteleuse. Mon pere plaçait le plateau de separation des bottes
Satine & khamsa ou talatine c,'est tout simplement deux chiffres 60 and 35 hectares de parcelle de terre deux endroit vocation agricole champ extrêmement vaste à long vue, c'est là où le temps s'arrête avec les moments immortel+ des souvenirs enfantine sous un soleil plomb caniculaire, face à moi s/ l'eill jumelle droite ma Marguerite 🐄 vache de l'autre eil gauche le bruit des légendaire machines massey harris, John- deer ,allis chalamers Renault master R,mc- cormick-plus loin cette mythique moissonneuse batteuse a couroit relié à un tracteur .Le job ,c'est les bras et la bravoure des hommes et la récolte était khir wa khemir.retour au bercail à 10h avec bruit ronflements du cars chausson 173 en provenance d'el- Asnam "chlef et direction ténès avec entrée en arrêt warnier"OuledFares "- comme si cela daté d'hier 1970.
Bonjour je ne me souviens plus comment étaient fixés les fils de fer autour des balles ?
caipira
Chitãozinho & Xororó
Composição: Joel Marques / Maracai
o que eu visto não é linho ando até de pé no chão
e o cantar de um passarinho é pra mim uma canção
vivo com a poeira da enxada entranhada no nariz
trago a roça bem plantada pra servir o meu país
sou sou desse jeito e não mudo
aqui eu tenho de tudo e a vida não é mentira
sou sou livre feito um regato
eu sou um bicho do mato me orgulho de ser caipira
doutor eu não tive estudo só sei mesmo é trabalhar
nesta casa de matuto é bem-vindo quem chegar
se tenho as mãos calejadas é do arado rasgando o chão
se a minha pele é queimada é o sol forte do sertão
sou sou desse jeito e não mudo
aqui eu tenho de tudo e a vida não é mentira
sou sou livre feito um regato
eu sou um bicho do mato me orgulho de ser caipira
enquanto alguns fazem guerra trazendo o fome e tristeza
minha luta é com a terra pra não faltar pão mesa
às vezes vou a cidade mais não sei falar direito
pois caipira de verdade nasce e morre desse jeito
sou sou desse jeito e não mudo
aqui eu tenho de tudo e a vida não é mentira
sou sou livre feito um regato
eu sou um bicho do mato me orgulho de ser caipira
sou sou livre feito um regato
eu sou um bicho do mato me orgulho de ser caipira
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Waouh excellent
dans les années 50 la batteuse était entrainée par une machine à vapeur ,non un tracteur; A la ferme ,quand les sacs de blés étaient pleins les hommes chargeaient le sac (70kg)sur le dos et montaient à l'échelle ,au grenier pour l'entreposer.Nota:si le paysan était "métayer" il devait donner la moitié de sa récolte au propriétaire
Мешок для зерна 50 кг.
r.
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जयै श्रि राम