171p2 traduction de virginy33

Devant la maison de la "vraie mère de Paula" : Sonsoles
Elle trouve dans la poubelle les lettres que Paula avaient écrites à sa mère pendant toutes ces années.
Bureau d'Al : Gonzalo et Al
A : C'est en train de nous échapper des mains, Gonzalo ! Je ne vois pas la sortie, je la vois pas !
G : Mais moi je vois une image, celle d'un futur très proche, je vous vois Bea et toi, vous réveiller ensemble.
A : Ne continues pas...
G : Si, si, vous êtes dans le lit, mais n'est plus la même, elle a changé, elle a perdu sa pureté, son essence... mais qu'est-ce que tu lui a fais ?
A : Stop !! ça ne pourra jamais arrivé.
G : C'est trop tard, Champion ! Elle a lu la lettre : "Bienvenue chez toi Mon Amour !"
A : C'était pour Cayetana !
G : Cayetana, Erica... ce qu'il faut voir c'est que la justice a été divine... (a bien fait les choses !)
A : Mais pourquoi tu as envoyé Bea chez moi ? Tu savais que j'avais de la compagnie.
B : Je ne l'ai pas envoyé, elle est venue d'elle-même. Et si je ne t'avais pas vite prévenu, elle t'aurait pris sur le fait.
A : Encore une fois, je dois te remercier.
G : C'est pas la peine, c'est pour ça qu'on est amis. La seule chose que je te demande, c'est de ne plus me mentir. Les choses sont assez compliquées pour qu'on est pas en plus des petits secrets. On est dans le même bâteau.
A : Mais moi je me vois plonger dans un mensonge de plus en plus grand. En plus, Bea croit qu'on va se marier.
G : Eh, lui demander sa main n'était pas une de mes idées.
A : C'est une maudite formule que j'ai dit devant Carmelo !
G : Alvaro, maintenant c'est fait !
A : Ouais, j'aimerais revenir en arrière !
Chez Chusa : Bea et Chusa
C : C'est un grand pas en avant, Bea! Figures-toi que je me souviens de ce que je t'ai dit sur le fait d'être aimée, et regarde, ton désir s'est réalisé !
B : Chusa, excuses-moi encore de te laisser, maintenant, dans le club des coeurs célibataires... mais tu verras, plus tot que tu le penses, l'amour frappera à ta porte !
C : Arrêtes que je ne crois pas que l'amour frappe aux portes !... Et vous avez déjà décidé la date du mariage ?
B : Pas encore, avec tout ce qui s'est passé, on a pas eu le temps de parler de ça.
C : Mais il va falloir, car organiser un mariage c'est pas rien !
B : Oui, mais c'est que je pense à mon père, et du coup j'ai pas envie d'y penser.
C : Mais tu vas devoir y penser, ce sera le plus beau jour de ta vie, et ton père, j'en suis sûre, sera là et t'accompagnera. Sûre !!
B : Je l'espère Chusa !
C : Mais j'y pense, maintenant que tu vas vivre avec "Alfredo", ce sera le bon moment parler de où vous voulez vous marier, l'église, au printemps, en été, un buffet libre, etc...
B : Et, tu as raison, je dois parler avec lui. On doit commencer à tout préparer.
C : C'est que... ?
B : C'est que... j'en serai pas là sans toi : tu me donnes des conseils, tu m'as pris chez toi comme si j'étais de ta famille.
C : C'est que tu fais partie de la famille, Pinzon !
B : Eh ! Allons-y maintenant avec le sucre !
Bureau d'Alvaro : Gonzalo et Al
Diego entre.
D : Ah, je suis désolée, je crois que j'ai interrompu votre moment.
A : Qu'est-ce que tu veux Diego ?
D : Vraiment ? ce que je veux ? ce serait de voir cette fameuse page Web qui nous a coûté la modique de 100.000 euros. Je sais pas.
A : Maintenant ?
D : Qu'est-ce qui t'arrive, Alvarito, c'est un mauvais moment pour toi ? Tu préfères que je m'en aille et que je revienne après ta séance de yoga ? Ce serait mieux, peut-être que si je sortais et que je re-rentrai, il se produirait un grand mirage, dans lequel Alvaro serait plus mûr, plus digne. Oui, peut-être.
A : Diego, la page web est pratiquement terminée et tu le verras plus tard.
D : Oui, non mais faut me comprendre, c'est ce que j'attends, je ne sais plus comment tuer le temps.
G : Si tu me permets quelque suggestions, tu peux par exemple aller en salle de réunion, et continues de réviser les papiers, nous on est contents que tu sois là.
D : Et c'est ça le problème, Gonzalito, j'ai déjà terminé et ils m'ont donné faim, et donc.... je veux plus d'appât (de chair fracîche)
A : Tu te réfères bien à ce que tu es... hein, le chien !
D : Je suis content de vous amuser.
A : Diego, même si tu restes là, tu ne verras pas tant qu'elle ne sera pas prête !
D : Messieurs, je veux voir cette page we, telle qu'elle sera.
Diego part.
A : Faut aller parler avec Santi, et maintenant.
G : On est à un moment crucial, faut vraiment pas faire de gaffe là, tout est en jeu !
A : Il faut finir de sortir cet argent de Bulevar. On est pas loin de l'embargo (la saisie).
G : On peut le réussir si on le fait tranquillement. C'est pas difficile : en un, tu dois garder Bea heureuse, en deux, oublies Cayetana jusqu'à ce que tout ça soit terminé, et trois, mettre un peu de pression à Santi pour qu'il la finisse à temps.
Al sort pour aller voir Santi.

[@almumundus]

Hermanastras, se equivocaron de palabra