J’regarde le ciel, mais il répond jamais, y’a que le vide et les nuages pour m’accompagner. • La rue m’a tout pris, même mes rêves d’enfant ; aujourd’hui j’cours sans savoir où je vais, les poches vides, le cœur lourd. • Les jours passent, mais rien change vraiment, juste des sourires de façade et des larmes qui s’éteignent lentement. • J’ai beau crier ma peine, personne écoute, alors j’écris pour exister dans un monde où tout le monde s’ignore. • Parfois j’me demande si tout ça a un sens, ou si on erre tous, perdus dans le même silence. • J’ai des souvenirs qui collent à la peau, des regrets qui pèsent lourd, mais j’les porte comme un sac de pierres. • La nuit me parle, elle sait mes secrets, mes doutes, mes faiblesses ; elle m’voit quand j’me perds dans mes propres pensées. • On m’dit que ça ira mieux demain, mais demain ressemble trop souvent à hier - même galère, même cauchemar qui s’répète. • J’ai appris que le bonheur, c’est fragile, un souffle, une illusion qui s’échappe dès qu’on pense l’avoir saisi. • J’me bats pour des rêves que je touche jamais, des espoirs qui m’glissent entre les doigts, et parfois j’me demande pourquoi j’continue.
J’veux un uzi un or le meme que yusuf J pourrai rapper jusqu’à mourir Jusqu’à bout dsouffle Jfait la musique de la rue Genre le musique du ghetto Et pour ne pas un jour y finir Faudrait quje pense à mlever tôt J’suis sorti dnoir vêtu J’suis vnu puis jai vu jai vaincu Pour une melo jdonnerai ma vie A cette culture je voue un culte Un quart de tour chaque plus proche de la mort Et j’crois j’aime trop les vibration raf si j fini sourd J’veux d’la musique dans les oreille jusqu’à m’en petter les tympan Jreve d’une vie de calambour dans la cours jsuis qu’un saltimbanque Le bizness tourne bien pour l’instant mais coulera forcément le jour où s’écrouleront les banques Mais pour l’instant cherche les diamant tout comme Niko La tête qui tourne comme les rotor de lhelico Et j’ai sorti mon oppressor vise les nuages dans le ciel Mais vu kles nuages sont pas solide j’crois kjai touche un avion Jlai vu tomber dans lvide Mais vu kles nuages c dla vapeur j’crois kjai touche un avion Jlai vu tomber dans lvide jlai vu tomber dans lvide J’me sent comme si j’étais capitain américa mais kjettais née à Stalingrad jregarde le monde tout comme pm dssus dla balustrade c la guerre gros cest ça qu'ils veulent c qlargent ou lmal attire lhumanité comme un cancer de cette terre cest la maladie c la guerre gros cest ça quils veulent prepare les soldat les convoi la route est longue avant le champ dbataille c la guerre gros cest ça quils veulent prepare les soldat les convoi la route est longue avant le champ dbataille dans la caverne je fait du son jsuis dans lallegorie jai plein de theorie et quand le ciel seclaire quand vient la pluie dmeteorite vaut mieux pas rester dans le coin vaut mieux pas sen prendre sur la tete Et le monde tourne de cette manière Ça pas depuis naguère
du haut d'mes problèmes j'vois qu'les temps sont durs j'ai 6 ans à la maison je vois qu'les tensions durs pas d'tartes à la prune des tartes faites à la main j'en mangeais trop souvent au final j'avais plus faim 7 ans j'commence le foot papa avait p'tite carrière les mots ont un goût amer donc mon coeur il met vla d'barrieres fils de banlieusards j'en apprends les valeurs pas d'traitement d'faveur le bonheur jamais à l'heure il couche avec le malheur ya trop de galère 8 ans c'est instable à la maison c'est toujours la guerre le mariage puisque la paix fait son entrée, c'est c'que je pensais Maman part boire des verres avec ses copines tard le soir 8 ans dans ma tete j'ai un tas d'plavons il commence a yavoie d'la pluie dans l'salon puisque vrai homme ne pleure pas nous l'savons
avant d'être né confronté à l'échec rêve de l'ascenseur pour être en haut d'l'échelle ils arrivent j'les smell du plafond j'les guette fie toi pas aux apparances car la vie mets des smel
puis papa essuie la pluie la haine envers maman donc sur la musique j'm'appuie c'est grave j'écris toutes mes traces au fond d'la classe j'suis au bord des ya tout l'temps la pluie et je cours j'ai mal à la tète je marche dans la neige je dessine toutes mes fresques et j'oublie, le lendemain de mes souvenirs on m'dit respire alors qu'c'est ptetre mon dernier soupire si c'est eux les rois j'serai jamais leur sous fifre debout face aux souvenirs jamais j'suis un fou ivre on m'dit aime j'connais l'amour avec les sous titres elle m'aime ou elle aime ce qu'elle en soutire jamais j'ai compris tout ce qu'elle m'a appris ma vie une pute qui couche avec leur souvenir car à force de sourire avec la bouche des autres et bien c'est plus moi qui part en fou rire
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lourd !
J’regarde le ciel, mais il répond jamais, y’a que le vide et les nuages pour m’accompagner.
• La rue m’a tout pris, même mes rêves d’enfant ; aujourd’hui j’cours sans savoir où je vais, les poches vides, le cœur lourd.
• Les jours passent, mais rien change vraiment, juste des sourires de façade et des larmes qui s’éteignent lentement.
• J’ai beau crier ma peine, personne écoute, alors j’écris pour exister dans un monde où tout le monde s’ignore.
• Parfois j’me demande si tout ça a un sens, ou si on erre tous, perdus dans le même silence.
• J’ai des souvenirs qui collent à la peau, des regrets qui pèsent lourd, mais j’les porte comme un sac de pierres.
• La nuit me parle, elle sait mes secrets, mes doutes, mes faiblesses ; elle m’voit quand j’me perds dans mes propres pensées.
• On m’dit que ça ira mieux demain, mais demain ressemble trop souvent à hier - même galère, même cauchemar qui s’répète.
• J’ai appris que le bonheur, c’est fragile, un souffle, une illusion qui s’échappe dès qu’on pense l’avoir saisi.
• J’me bats pour des rêves que je touche jamais, des espoirs qui m’glissent entre les doigts, et parfois j’me demande pourquoi j’continue.
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😌🫵😼✌️🎧❤️🎶
J’veux un uzi un or
le meme que yusuf
J pourrai rapper jusqu’à mourir
Jusqu’à bout dsouffle
Jfait la musique de la rue
Genre le musique du ghetto
Et pour ne pas un jour y finir
Faudrait quje pense à mlever tôt
J’suis sorti dnoir vêtu
J’suis vnu puis jai vu jai vaincu
Pour une melo jdonnerai ma vie
A cette culture je voue un culte
Un quart de tour chaque plus proche de la mort
Et j’crois j’aime trop les vibration raf si j fini sourd
J’veux d’la musique dans les oreille jusqu’à m’en petter les tympan
Jreve d’une vie de calambour dans la cours jsuis qu’un saltimbanque
Le bizness tourne bien pour l’instant mais coulera forcément le jour où s’écrouleront les banques
Mais pour l’instant cherche les diamant tout comme Niko
La tête qui tourne comme les rotor de lhelico
Et j’ai sorti mon oppressor vise les nuages dans le ciel
Mais vu kles nuages sont pas solide j’crois kjai touche un avion
Jlai vu tomber dans lvide
Mais vu kles nuages c dla vapeur j’crois kjai touche un avion
Jlai vu tomber dans lvide
jlai vu tomber dans lvide
J’me sent comme si j’étais capitain américa mais kjettais née à Stalingrad
jregarde le monde tout comme pm dssus dla balustrade
c la guerre gros cest ça qu'ils veulent
c qlargent ou lmal attire
lhumanité comme un cancer de cette terre cest la maladie
c la guerre gros cest ça quils veulent
prepare les soldat les convoi
la route est longue avant le champ dbataille
c la guerre gros cest ça quils veulent
prepare les soldat les convoi
la route est longue avant le champ dbataille
dans la caverne je fait du son
jsuis dans lallegorie jai plein de theorie
et quand le ciel seclaire
quand vient la pluie dmeteorite
vaut mieux pas rester dans le coin
vaut mieux pas sen prendre sur la tete
Et le monde tourne de cette manière
Ça pas depuis naguère
du haut d'mes problèmes
j'vois qu'les temps sont durs
j'ai 6 ans à la maison je vois qu'les tensions durs
pas d'tartes à la prune
des tartes faites à la main
j'en mangeais trop souvent au final j'avais plus faim
7 ans j'commence le foot
papa avait p'tite carrière
les mots ont un goût amer
donc mon coeur il met vla d'barrieres
fils de banlieusards
j'en apprends les valeurs
pas d'traitement d'faveur
le bonheur jamais à l'heure
il couche avec le malheur
ya trop de galère
8 ans c'est instable
à la maison c'est toujours la guerre
le mariage puisque la paix fait son entrée,
c'est c'que je pensais
Maman part boire des verres avec ses copines tard le soir
8 ans dans ma tete j'ai un tas d'plavons
il commence a yavoie d'la pluie dans l'salon
puisque vrai homme ne pleure pas nous l'savons
avant d'être né confronté à l'échec
rêve de l'ascenseur pour être en haut d'l'échelle
ils arrivent j'les smell
du plafond j'les guette
fie toi pas aux apparances car la vie mets des smel
puis papa essuie la pluie
la haine envers maman
donc sur la musique j'm'appuie
c'est grave j'écris toutes mes traces au fond d'la classe
j'suis au bord des
ya tout l'temps la pluie
et je cours j'ai
mal à la tète je
marche dans la neige je
dessine toutes mes fresques
et j'oublie, le lendemain de mes souvenirs
on m'dit respire alors qu'c'est
ptetre mon dernier soupire
si c'est eux les rois j'serai jamais leur sous fifre
debout face aux souvenirs
jamais j'suis un fou ivre
on m'dit aime
j'connais l'amour avec les sous titres
elle m'aime ou elle aime ce qu'elle en soutire
jamais j'ai compris tout ce qu'elle m'a appris
ma vie une pute qui couche avec leur souvenir
car à force de sourire avec la bouche des autres et bien c'est plus moi qui part en fou rire