Notez la proximité des Volques Tectosages avec les Ibères. Était-ce vraiment une tribu *Celte,* ce qui arrange le _"roman national"..._ Ou simplement une tribu *Ibère,* éventuellement de culture celte, le toponyme *"Tolosa" étant AUSSI présent dans la Péninsule Ibérique ?* ou alors une tribu _métisse_ *Celtibère...* Au delà de ce détail, très bon boulot, òsca ! Respècte.
Qu'est ce qui vous gêne dans le fait qu'il y a eu aussi une installation de Celtes dans la région de Tolosa? Il est évident que lorsqu'ils sont arrivés il y avait déjà des individus très proches de ceux vivant au-delà des Pyrénées. A l'époque les Pyrénées n'étaient qu'une difficulté géographique sans notion de frontière et les échanges se faisaient régulièrement. Donc, comme partout lors d'invasions et d'installations, il y a eu métissage'
Petite anecdote sur Toulouse ! Une affaire tristement emblématique de la ville de Toulouse est celle dite « Calas » du nom de Jean Calas, un commerçant d’étoffe huguenot qui a été accusé du meurtre de son fils Marc Antoine qui est retrouvé pendu dans la maison familiale. S’en suit alors tout un affaire judiciaire, à charge, qui a conduit le père Calas jusqu’à l’actuelle Place St George où ce dernier subit le supplice de la roue avant de succomber, brûlé. Toute l’enquête mené par le Capitoul David de Beaudrige, ne mène qu’à un ramassis de ragots et de ouï-dires tel que « je l’ai vu passer près d’une église », faits pour la plupart inventés ou complètement anodins, mais ayant amené à penser que Marc Antoine aurait souhaité se convertir au Catholicisme. Tous le procès remis dans son contexte prend tout son sens quand on sait que la ville, alors en effervescence, fêtait le bicentenaire de l’expulsion des protestants de la ville de Toulouse. La médecine alors considéré seulement que comme un art et non une science n’a pas été autorisée a apporter de preuves, celle-ci affirmant alors que le malheureux Marc Antoine se serait en fait suicidé. Ce n’est qu’en 1765, 3 ans après la condamnation à mort de Jean Calas et après le bannissement de l’autre fils Calas qui a porté aux oreilles de Voltaire l’affaire, qui en a tiré son Traité sur la tolérance, décisif dans l’affaire, que Jean - de manière posthume - et toute sa famille son définitivement réhabilités.
Formidable et très bien raconté , j adore avoir un peu d histoire sur un endroit que je vais aller visiter Vidéo intelligente et intéressante , tu dois en faire d autres , s il te plaît Merci beaucoup
Bonjour, Merci pour votre vidéo, je prendrai le temps de visualiser vos autres vidéos. Vous expliquez très bien, et particulièrement sur l'Edit de Nantes par le Roi Henri IV. Encore un grand merci de nous avoir proposé cette vidéo👏👏👏👏👌😊
La couleur Rose n'a absolument rien à voir avec la couleur de la brique car le blanc, badigeonné par tout a prédominé jusqu'à la fin du XIXe. À lire le livre "L'invention du surnom de Toulouse Ville rose", par Luce Barlangue-Beleveder-Juin 2017 2-Toulouse capitale du Languedoc, par Armand Praviel. Ed. Artaud . "Le terme de Ville rose apparaît au début du XXe siècle. Certains ont préféré parler de ville rouge. Rouge et blanche, noire et rouge, cité des violettes, Toulouse est multicolore, comme ses habitants. La Ville rose, cliché bien pratique pour parler de Toulouse. Mais l'appellation est assez récente au regard de l'histoire de Tolosa, vieille de 2000 ans. C'est ce que souligne un article très documenté de Luce Barlangue dans le premier numéro de Belveder (1), la revue de l'agence d'urbanisme et d'aménagement de Toulouse et son aire urbaine (AUAT). S'appuyant sur une riche documentation, l'auteur indique ainsi qu'on relève pour la première fois le terme de «Ville rose» pour qualifier Toulouse sur la couverture du Bulletin du syndicat d'initiative de Toulouse en 1906 et 1907. L'idée des fondateurs de cet ancêtre de l'office du tourisme, créé en 1903, est alors de valoriser l'image plutôt négative de Toulouse. Le guide touristique «Trois jours à Toulouse la ville rose», édité par Labouche, précise dans les années 1910 : «La ville rose possède de nombreuses richesses artistiques et archéologiques et aussi un charme particulier». N'en déplaise à Stendhal Un charme qui, on le sait, n'a guère enchanté jusqu'ici les voyageurs célèbres en visite, comme Stendhal. L'auteur du Rouge et le Noir,grand amoureux de l'Italie, n'est guère sensible au charme toulousain. N'écrit-il pas dans son «Voyage dans le Midi» : «Le Capitole est tout ce qu'il y a de plus laid, mais le reste de la ville est si mesquin que la vue de ce gros bâtiment donnant sur une place à peu près carrée fait plaisir». L'écrivain évoque «le marbre rougeâtre» des colonnes (du Capitole) qui «se détachent sur l'édifice peint à l'huile d'une magnifique couleur café au lait clair». Pas de rose,donc dans ce Toulouse du XIXe, où la brique rouge est d'ailleurs le plus souvent badigeonnée de blanc. Les guides touristiques du siècle romantique font d'ailleurs peu allusion aux couleurs mais plutôt à la réputation de ville «savante», voire «sainte» et au qualificatif de «Cité palladienne» donné par le poète latin Martial qui témoignait du goût des Toulousains de l'époque gallo-romaine pour les lettres et les arts. Le rose séduit en tout cas, à la fin de la Belle Epoque, alors que le Capitole vient de se doter de son décor où Henri Martin joue avec les teintes de rose dans son œuvre «Les rêveurs», tandis que l'association des Toulousains de Toulouse, fondée en 1905, insiste sur l'atout identitaire de la brique. Le rose correspond aussi à la couleur politique des édiles qui se succèdent au Capitole, socialistes ou radicaux. La politique d'aide au ravalement des façades toulousaines, dans les années quatre-vingt et quatre-vingt-dix va remettre à nu la brique des immeubles du centre-ville. Et même si la «ville nouvelle» du Mirail est plutôt de béton gris, le rose de la brique revient aux joues de la Toulouse moderne. Après une période de dictature de la brique et du rose, qui conduit aux errements des fausses briques plaquées sur le béton tombant comme des feuilles sous le vent d'autan, de nouvelles prescriptions architecturales plus souples autorisent le retour de volets verts ou bleu pastel, clin d'œil à la plante qui a fait la richesse de la ville. Et même de murs blancs et de toits terrasses. Aujourd'hui, lorsque le soleil se couche à l'ouest de la Garonne, les quais au bord du fleuve s'illuminent de rouge, d'ocre et d'or plutôt que de rose. Toulouse, terre d'accueil, est multicolore. Dans les années 1920 de l'après Première Guerre mondiale,le rose est jugé un peu mièvre, «rose comme un bonbon fondant» est brocardé par des auteurs comme Armand Praviel pour qui Toulouse est «rouge , sanglante, tragique» comme son histoire violente et brillante» (2). Le Stade Toulousain, le club de rugby naissant, se choisit le rouge et le noir des tuniques des premiers Capitouls, chanté aussi par Claude Nougaro, de même que «les eaux vertes du canal du Midi» dans son hymne «Ô Toulouse». L'équipe triomphante est même un temps surnommée «la Vierge rouge», du fait de ses exploits. Le club de foot, lui, oscille entre le rouge et le blanc de ses débuts (marqué d'une Coupe de France) et le violet de la «Cité des violettes», autre surnom de Toulouse, tombé quelque peu en désuétude faute de violettes vraiment toulousaines. " Article Philippe Emery.
Bonjour! votre vidéo est super bien faite bravo! Puisque vous êtes calés sur Toulouse pouvez-vous me dire les choses les plus pertinentes qu'il faudrait dire pour représenter Toulouse au niveau historique? (en deux minutes) ? MERCI :)
CEST UNE HONTE ! IL A QUALIFIE NOTRE FORMIDABLE ACCENT DE « TOUT POURRIT » ! QUE CHAQUE FIER TOULOUSAIN PRENNE FOURCHE, HACHE & ÉPÉE POUR RETROUVER CE GREDIN D’HISTOIRE DU MONDE ! 🤯
🤔humour en 2022 avec la MACRONIE les 2 différences sont 1 les choco Poutine ont remplacé les chocolatines QUAND aux poches ELLES sont VIDES pour le RESTE MÊME topo POLICE MILICE e.t.c.😉 beau reportage bien réalisé BRAVO et MERCI MON paternel qui était né en 1931 et avait fait SON service militaire dans l aviation à Toulouse adorait CETTE ville ❤️
Salut je viens de Brésil et j'adoré le vidéo, je veux un jour connaître Toulouse
Hyper intéressant, merci pour votre travail !
Notez la proximité des Volques Tectosages avec les Ibères. Était-ce vraiment une tribu *Celte,* ce qui arrange le _"roman national"..._ Ou simplement une tribu *Ibère,* éventuellement de culture celte, le toponyme *"Tolosa" étant AUSSI présent dans la Péninsule Ibérique ?* ou alors une tribu _métisse_ *Celtibère...* Au delà de ce détail, très bon boulot, òsca ! Respècte.
Qu'est ce qui vous gêne dans le fait qu'il y a eu aussi une installation de Celtes dans la région de Tolosa? Il est évident que lorsqu'ils sont arrivés il y avait déjà des individus très proches de ceux vivant au-delà des Pyrénées. A l'époque les Pyrénées n'étaient qu'une difficulté géographique sans notion de frontière et les échanges se faisaient régulièrement. Donc, comme partout lors d'invasions et d'installations, il y a eu métissage'
Petite anecdote sur Toulouse ! Une affaire tristement emblématique de la ville de Toulouse est celle dite « Calas » du nom de Jean Calas, un commerçant d’étoffe huguenot qui a été accusé du meurtre de son fils Marc Antoine qui est retrouvé pendu dans la maison familiale. S’en suit alors tout un affaire judiciaire, à charge, qui a conduit le père Calas jusqu’à l’actuelle Place St George où ce dernier subit le supplice de la roue avant de succomber, brûlé. Toute l’enquête mené par le Capitoul David de Beaudrige, ne mène qu’à un ramassis de ragots et de ouï-dires tel que « je l’ai vu passer près d’une église », faits pour la plupart inventés ou complètement anodins, mais ayant amené à penser que Marc Antoine aurait souhaité se convertir au Catholicisme. Tous le procès remis dans son contexte prend tout son sens quand on sait que la ville, alors en effervescence, fêtait le bicentenaire de l’expulsion des protestants de la ville de Toulouse. La médecine alors considéré seulement que comme un art et non une science n’a pas été autorisée a apporter de preuves, celle-ci affirmant alors que le malheureux Marc Antoine se serait en fait suicidé. Ce n’est qu’en 1765, 3 ans après la condamnation à mort de Jean Calas et après le bannissement de l’autre fils Calas qui a porté aux oreilles de Voltaire l’affaire, qui en a tiré son Traité sur la tolérance, décisif dans l’affaire, que Jean - de manière posthume - et toute sa famille son définitivement réhabilités.
Merci, j'ai le Traité de Voltaire.
Formidable et très bien raconté , j adore avoir un peu d histoire sur un endroit que je vais aller visiter
Vidéo intelligente et intéressante , tu dois en faire d autres , s il te plaît
Merci beaucoup
Merci, adorable! Vous méritez une chocolatinne rose : )
Super taf !! Très intéressant. Merci
La vidéo est excellemment faite c'est un plaisir visuel 👌👌
Merci !
Super bien raconté bon travail
Bonjour,
Merci pour votre vidéo, je prendrai le temps de visualiser vos autres vidéos. Vous expliquez très bien, et particulièrement sur l'Edit de Nantes par le Roi Henri IV. Encore un grand merci de nous avoir proposé cette vidéo👏👏👏👏👌😊
Excellente video, merci beaucoup !!
Vraiment super👍👍👍🙏🙏
Vraiment bogoss 😍
Très bon résumé! Viu Occitania! Viu Tolosa!
MERCI MONSIEUR POUR VOTRE EXPOSE SUR LA VILLE DE TOULOUSE UN GRAND BONJOUR DU MAROC (VILLE DE FEZ).
Merci et bonjour à vous :)
Très intéressant.
Tolosa💜
Merci nouvel abonn
La couleur Rose n'a absolument rien à voir avec la couleur de la brique car le blanc, badigeonné par tout a prédominé jusqu'à la fin du XIXe. À lire le livre "L'invention du surnom de Toulouse Ville rose", par Luce Barlangue-Beleveder-Juin 2017 2-Toulouse capitale du Languedoc, par Armand Praviel. Ed. Artaud .
"Le terme de Ville rose apparaît au début du XXe siècle. Certains ont préféré parler de ville rouge. Rouge et blanche, noire et rouge, cité des violettes, Toulouse est multicolore, comme ses habitants.
La Ville rose, cliché bien pratique pour parler de Toulouse. Mais l'appellation est assez récente au regard de l'histoire de Tolosa, vieille de 2000 ans. C'est ce que souligne un article très documenté de Luce Barlangue dans le premier numéro de Belveder (1), la revue de l'agence d'urbanisme et d'aménagement de Toulouse et son aire urbaine (AUAT).
S'appuyant sur une riche documentation, l'auteur indique ainsi qu'on relève pour la première fois le terme de «Ville rose» pour qualifier Toulouse sur la couverture du Bulletin du syndicat d'initiative de Toulouse en 1906 et 1907. L'idée des fondateurs de cet ancêtre de l'office du tourisme, créé en 1903, est alors de valoriser l'image plutôt négative de Toulouse.
Le guide touristique «Trois jours à Toulouse la ville rose», édité par Labouche, précise dans les années 1910 : «La ville rose possède de nombreuses richesses artistiques et archéologiques et aussi un charme particulier».
N'en déplaise à Stendhal
Un charme qui, on le sait, n'a guère enchanté jusqu'ici les voyageurs célèbres en visite, comme Stendhal. L'auteur du Rouge et le Noir,grand amoureux de l'Italie, n'est guère sensible au charme toulousain. N'écrit-il pas dans son «Voyage dans le Midi» : «Le Capitole est tout ce qu'il y a de plus laid, mais le reste de la ville est si mesquin que la vue de ce gros bâtiment donnant sur une place à peu près carrée fait plaisir». L'écrivain évoque «le marbre rougeâtre» des colonnes (du Capitole) qui «se détachent sur l'édifice peint à l'huile d'une magnifique couleur café au lait clair». Pas de rose,donc dans ce Toulouse du XIXe, où la brique rouge est d'ailleurs le plus souvent badigeonnée de blanc. Les guides touristiques du siècle romantique font d'ailleurs peu allusion aux couleurs mais plutôt à la réputation de ville «savante», voire «sainte» et au qualificatif de «Cité palladienne» donné par le poète latin Martial qui témoignait du goût des Toulousains de l'époque gallo-romaine pour les lettres et les arts.
Le rose séduit en tout cas, à la fin de la Belle Epoque, alors que le Capitole vient de se doter de son décor où Henri Martin joue avec les teintes de rose dans son œuvre «Les rêveurs», tandis que l'association des Toulousains de Toulouse, fondée en 1905, insiste sur l'atout identitaire de la brique. Le rose correspond aussi à la couleur politique des édiles qui se succèdent au Capitole, socialistes ou radicaux.
La politique d'aide au ravalement des façades toulousaines, dans les années quatre-vingt et quatre-vingt-dix va remettre à nu la brique des immeubles du centre-ville. Et même si la «ville nouvelle» du Mirail est plutôt de béton gris, le rose de la brique revient aux joues de la Toulouse moderne. Après une période de dictature de la brique et du rose, qui conduit aux errements des fausses briques plaquées sur le béton tombant comme des feuilles sous le vent d'autan, de nouvelles prescriptions architecturales plus souples autorisent le retour de volets verts ou bleu pastel, clin d'œil à la plante qui a fait la richesse de la ville. Et même de murs blancs et de toits terrasses.
Aujourd'hui, lorsque le soleil se couche à l'ouest de la Garonne, les quais au bord du fleuve s'illuminent de rouge, d'ocre et d'or plutôt que de rose. Toulouse, terre d'accueil, est multicolore.
Dans les années 1920 de l'après Première Guerre mondiale,le rose est jugé un peu mièvre, «rose comme un bonbon fondant» est brocardé par des auteurs comme Armand Praviel pour qui Toulouse est «rouge , sanglante, tragique» comme son histoire violente et brillante» (2). Le Stade Toulousain, le club de rugby naissant, se choisit le rouge et le noir des tuniques des premiers Capitouls, chanté aussi par Claude Nougaro, de même que «les eaux vertes du canal du Midi» dans son hymne «Ô Toulouse». L'équipe triomphante est même un temps surnommée «la Vierge rouge», du fait de ses exploits. Le club de foot, lui, oscille entre le rouge et le blanc de ses débuts (marqué d'une Coupe de France) et le violet de la «Cité des violettes», autre surnom de Toulouse, tombé quelque peu en désuétude faute de violettes vraiment toulousaines. "
Article Philippe Emery.
🙏
Il va aussi falloir faire une vidéo sur la plus vieille cité de France ! 😊 Le meilleur pour la fin ?
Alors honnêtement... Marseille est pas dans les plans pour l'instant :/ Là je pars plutôt sur l'Amérique Latin :)
Bonjour!
votre vidéo est super bien faite bravo! Puisque vous êtes calés sur Toulouse pouvez-vous me dire les choses les plus pertinentes qu'il faudrait dire pour représenter Toulouse au niveau historique? (en deux minutes) ?
MERCI :)
O9
Merci
Bonjour de la Grece
Ah bas l'histoire de la ville où j'habite est impressionnant
Tu es sur que l'or viens d'Ariège pas de l'Aude (salsigne)
Bravo très bien fait et intéressant mais faire l histoire de Toulouse sans même nommer les wisigoths ça fait tâche hein con ?! Lol
Abonné qd même !
Super, merci ! Pouvez vous faire l’histoire de la Bourgogne svp?!! :D
Tolosa ne se prononce pas comme ça s"écrit vu ue c'est pas du français mais Toulouso avec accent tonique sur lou ( avant dernièr son ).
0:56
Querigut??
CEST UNE HONTE ! IL A QUALIFIE NOTRE FORMIDABLE ACCENT DE « TOUT POURRIT » ! QUE CHAQUE FIER TOULOUSAIN PRENNE FOURCHE, HACHE & ÉPÉE POUR RETROUVER CE GREDIN D’HISTOIRE DU MONDE ! 🤯
C'est plutôt mon imitation de l'accent qui était toute pourrie ;) Range tes fourches !
Tolosa vecu
Seul les vrai toulousain a 100% connaissent le secret sous la cathédrale St sernin
🤔humour en 2022 avec la MACRONIE les 2 différences sont 1 les choco Poutine ont remplacé les chocolatines QUAND aux poches ELLES sont VIDES pour le RESTE MÊME topo POLICE MILICE e.t.c.😉 beau reportage bien réalisé BRAVO et MERCI MON paternel qui était né en 1931 et avait fait SON service militaire dans l aviation à Toulouse adorait CETTE ville ❤️