Une promesse et trois frères... Comment Cartier est né - Documentaire complet - AMP

Il y a des noms qui signifient beaucoup. Ils ont franchi le cap de la célébrité, de la gloire, pour devenir des symboles, des mythes. Il en va ainsi du nom de ces trois frères qui fait miroiter l’éclat de pierres précieuses et plus encore. Leur patronyme les rattache aux plus gros diamants du monde, à des boucles d’oreilles dépassant le million de dollars, aux cours d’Europe et aux gloires d’Hollywood.
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Cartier, les joailliers des rois
Un film de Mark Shekter
©AMP

[@anne-sophie735]

Superbe reportage, Cartier est bien plus élégant que certaines autres marques connues…

[@stephanebelizaire3627]

BRAVO !

[@drletedelete2928]

Merci pour ce beau reportage ❤

[@philroyce1144]

Très beau reportage 🎉🎉

[@tanseleeric5239]

Merci pour le reportage 👍

[@Dominique911]

Super reportage ❤

[@broinblock6450]

Super reportage, chaine TH-cam exceptionnelle mais il faudrait absolument indiquer dans la description des vidéos de quand datent les reportages qui la compose.
Cordialement Dider Dupont

[@JBLeBB]

Grave d'accord avec toi Didier Dupont

[@bibichat]

Je dirais fin des années 1990

[@floriec691]

C est vieux très vieux

[@v.didier9244]

Général De Gaulle, pas colonel !

[@floriec691]

Non colonel au départ et il s est auto proclamé général lui même
Le grade de général lui avait en effet été décerné à titre temporaire le 1er juin 1940
Au lendemain de son appel du 18 juin 1940, le général de Gaulle est alors considéré comme un déserteur et un traître par le nouveau gouvernement préparant l’armistice. Le général Weygand, qui est ministre de la Guerre et accessoirement aussi son supérieur hiérarchique, lui donne l’ordre de revenir en France. Le 22 juin, ce dernier annule sa promotion au grade de général à titre temporaire avant que le président de la République Albert Lebrun ne prenne un décret mettant le colonel de Gaulle à la retraite d’office par mesure disciplinaire. Il est également décidé de le traduire devant le Conseil de guerre, qui le condamne à quatre ans de prison et à la déchéance de sa nationalité française. Il est par ailleurs exclu de l’ordre de la Légion d’honneur.
Sources : « le revers de la médaille »