Vraiment bonne la vidéo, ça fait longtemps que je n'ai plus réfléchi à ce sujet, et j'avoue que ça me manquait. Quand aux questions, j'ai appris les notions de bien et de mal comme la plupart des gens, au travers des règles édictées par mes parents, ainsi que par le religion (musulmane dans mon cas), on me disait toujours que les gentils étaient ceux qui aidaient leurs frères et sœurs, ne cherchaient pas la bagarre sans raison, ne volaient pas, priaient… Quand aux méchants, c'est les voleurs, les tueurs, les pécheurs, ceux incapables de contrôler leurs pulsions… Et pendant une bonne partie de ma vie, j'y ai cru comme ça, sans jamais me questionner, jusqu'à ce que je vois les dessins animés des misérables quand j'avais 9-10 ans et que je me demande si le mal est vraiment toujours là où l'on le perçoit, ou si ce n'est pas parfois, l'incompétence de certains qui amène le véritable mal (bon c'était pas formulé comme ça dans ma tête, mais il y avait un bourgeon d'idée). Depuis, j'ai lu, me suis renseigné, ait cherché à développer ma réflexion avant d'arriver à une conclusion: Il n'y a ni bien ni mal. Pour la simple et bonne raison que chaque action est la conséquence d'une somme infini de cause qui l'ont précédée (du déterminisme en gros), cependant, ceci ne veut pas dire que pour cette raison, aucun crime ne doit être puni, ou quoi que ce soit, non en réalité, ceci montre simplement que la justice n'a pas pour but premier, eh bien d'apporter la justice (punir le mauvais, sauver le bon), mais plutôt à veiller à ce que l'ordre établi reste tel qu'il est et ne soit en aucun cas ébranlé, car la justice reste partie intégrante du système, donc elle ne peut que le protéger, peut importe qu'elle aller à l'encontre des principes de bien et de mal, et ceci ne s'applique pas uniquement à la justice dans sa définition juridique, mais dans sa signification la plus large (la justice individuelle ou universelle). Bref tout ça pour dire, que de mon point de vue, le bien n'est que ce qui nous accommode, et le mal ce qui nous dérange, que ce soit dans notre vie, nos habitudes ou nos croyances. edit: déso pour la taille du pavé, je ne m'en suis pas rendu compte pendant que je l'écrivais 😅 .
Pas de souci pour le pavé, au contraire, c'est un plaisir de lire des commentaires étayés comme le tien, et surtout du vécu. Vaste débat en effet. Comme tu le dis, les règles sont là pour maintenir un ordre en place, et c'est indispensable, sinon c'est l'anarchie ou l'instabilité permanente et c'est invivable. Donc, même si les règles sont ou sembles être arbitraires, il faut bien qu'on en ait pour vivre ensemble. Après, comme pour la tradition, on peut (on doit ?) avoir un regard critique dessus, pour pouvoir en transgresser certaines ponctuellement et individuellement. C'est aussi comme ça qu'une société évolue. Sans transgresseurs, on se retrouve avec une masse inerte, moutonnière, morte. Comme d'habitude, je n'ai pas la réponse parfaite, car il n'y en a pas. Mais il y a matière à penser... et à se créer une vie à la hauteur de qui nous pouvons être 😉
J'adore ton message mais ne comprend pas ce que tu veux dire par mal véritable, selon toi il existerait un bien absolu ? (lorsque je dis absolu, je ne parle pas de religion, je veux dire au sens mathématique, qui ne dépendrait d'aucune philosophie) Par exemple : Tuer un être humain est considéré comme mal dans notre société (tuer pour tuer). Mais est-ce que selon toi, tuer est seulement classé dans un repère relatif à chacun ou il existerait un repère absolu dans lequel tuer est inebranlablement négatif ?
Je pense 😊 que un avant goût du livre pourrais être super pour inciter encore plus à l'acheter genre le premier chapitre en audio sur t'a chaîne fait par toi même
Morale aristocratique ou morale des faibles ? Tu as préféré ne pas te positionner, moi je pense qu'on a pas à choisir. Perçu de façon individuelle, l'une ou l'autre nous arrange. Rencontrant inévitablement plus fort que nous, et/ou plus faibles. L'homme court fondamentalement vers sa survie. Et c'est cette survie qui gouverne nos actes. Tout le monde, de manière intuitive switch entre ces deux conceptions du bien et du mal par égoisme, dans le but d'assouvir ses propres intérets. A tord ou à raison ? C'est peut-etre là que te vient le soucis de ne pas te positionner. Merci pour le travail que tu fais 👏💯
En effet. Je te rejoins sur le fait qu'on travaille tous à nos propres intérêts. D'où l'importance de notions de bien et de mal, de règles, pour ne pas se retrouver dans une "guerre de tous contre tous" où on est finalement tous perdants. La morale (pas forcément celle décrite par Nietzsche, d'ailleurs, c'était un exemple) peut (doit ?) nous servir à poursuivre nos intérêts sans écraser les autres puisque, sans les autres, nous ne sommes pas grand chose, mais noyés par les autres, nous n'existons plus non plus... Bref, lourd débat 😀
J'ai quelques idées de thèmes à aborder dans tes vidéos : - Les mythes fondateurs des sociétés - Le dimorphisme sexuel qui fait que les femmes préfèrent les hommes grands et les hommes préfèrent les femmes petites (exemple) - L'esclavage en Afrique par les africains (qui reste la plus grande traite de l'histoire)
Qui décide ba chacun comme il veut grâce au libre arbitre !!! Merci le libre arbitre, grâce à toi je peux croire, vouloir et même déterminer ce qui est bien ou mal dans ma vie… Dieu qu’il est pratique celui la !
Lourd le sujet philosophique, j'aime beaucoup! Comment ai-je appris ma notion de bien ou de mal? J'imagine comme pas mal de gens, enfant, inculqué par un biais de confiance assez aveugle qui se déroule durant l'enfance. Pour ce qui est de la remise en question, je pense pouvoir dire qu'à mesure que le temps passe, je remet de plus en plus de choses en lumière/considération, j'aime beaucoup dire qu'en soi, il n'y a ni blanc ni noir mais une sacrée grande quantité de nuance de gris (kappa). C'est une sacrée évidence que l'histoire est un récit, j'irais presque même jusqu'à dire une mythologie écrite par les "vainqueurs", quant à parler de ceux qui écrivent encore les lois divines 2.0 à l'heure actuelle, je pense que c'est une question de doxa, un ensemble de gens dirigés par la "bien pensance" et qui propagent leurs idéaux aux autres comme s'il n'était même plus question de s'interroger mais d'acquiescer à une cadence effrénée, ce que tu présentes comme une manipulation morale des faibles. Attention à ne pas non plus tomber dans les travers, l'herbe n'est pas forcément plus verte de l'autre côté de la barrière, je pense en vrai, que chaque chose est à pondérer précautionneusement, que les à priori doivent voler en éclat et que développer un esprit critique est incontournable. En tout cas j'aurai pris mon pied en regardant ta vidéo, ton travail a l'air intéressant, j'y jetterai un oeil plus attentif et j'ai hâte de découvrir la suite! 😁
En effet, le but n'est pas de tout déconstruire de A à Z car, comme tu le sous-entends avec l'herbe qui n'est pas plus verte, avant de déconstruire quelque chose, il est bon de savoir ce qu'on aimerait construire à la place, sous peine de se retrouver sans rien. Mais développer un esprit suffisamment critique pour ne pas se faire entuber en permanence, c'est effectivement indispensable. Enfin, si on souhaite avoir un peu d'autonomie. Merci pour ton comm. et ravi que la chaine te plaise ! PS : quand tu parles de "kappa", à quoi fais-tu référence ?
Perso je ne croyais pas à la moral, pour moi c'était un "truc de faible", puis un jour j'ai enfin eu une vision de société idéale et depuis il y a le bien et le mal. Le but de la vie n'est plus d'être le meilleur mais de faire le bien commun. Ce que j'appelle bien c'est ce qui a des chances d'aider à s'approcher de la société idéale et mal ce qui risque nous en éloigner. Enfin quand je ne sais pas j'y réfléchi et soit je le case soit je le considère de neutre.
Pour moi il y a un sens commun, quelque chose d'inné sur lequel on peut s’entendre pour définir si telle action est bien ou mal, au delà des biais sociétaux. Ensuite ce n'est souvent pas cela qui prime mais l'intérêt de la personne derrière. Sinon au delà de la morale humaine, on a la dynamique de l’Univers qui fait tendre toute chose vers un équilibre. L'équilibre étant souhaitable partout et à tout niveau. Toute chose qui consoliderais qui faciliterait qui permettrait un équilibre serait une bonne chose (dans le sens de L'univers), tout ce qui émerger un déséquilibre serait une mauvaise chose (contraire au sens de l'Univers). Ensuite il y a des déséquilibres transitoires ou qui conduisent à des équilibres plus stables et péren qui sont donc souhaitable sur le long terme, tout du moins plus acceptables.
Excellente vidéo encore une fois, bravo. Le mal c’est ce que le groupe définit comme étant mal, comme pour le bien. Les groupes sont nombreux et différents, voilà les divergences.
J'ajoute que actuellement on peut remettre en question la notion du bien et du mal, mais ce serait mieux de ne pas tout abolir sinon, comme tu l'as dit, on risque de tomber dans une moralisation individuelle. Ce qui n'est pas bon pour la survie de l'espèce.
Clairement. C'est invivable. On a besoin de se mettre d'accord sur des règles, mais je crois simplement qu'il est important de rester vigilants sur qui fait ces règles et pourquoi. Bref, rester curieux et critique, pour conserver une certaine part d'autonomie et de liberté dans nos vies.
Autant les explications de Nietzsche sont convaincantes, autant, j'ai vraiment du mal à renoncer à cette idée profondément ancrée en moi et qui dit qu'il doit tout de même exister des comportements universellement "méchants" (mauvais, inutiles, immoraux...) Merci pour ces réflexions :)
Oui, j'en parlais hier avec un ami et on était d'accord tous les deux sur le fait qu'il y a des universels : voir un homme au sol ou agoniser ne plait à personne par exemple, à moins d'avoir été très conditionné à ça... a priori, la vue de la souffrance ou de la mort ne plait à personne, nulle part, parce que c'est "de l'anti-vie" (pour parler vite). Donc oui, d'accord avec toi. Il suffit de regarder ce qu'on trouve dans les règles de quasi toutes sociétés, de tout temps, pour se rendre compte des bien et mal, bon et mauvais... universels.
@@nikobellic9140 Ah ok, je n'avais pas fait le lien entre ton pseudo et ton prénom ;-) C'était pour moi aussi un plaisir de vous rencontrer tous les deux ! Merci d'être venu et à bientôt, cher S. 😉
@@azif78Après la vie c’est plus complexe que ça et est-ce que les formes de vie sont forcément positives/ mélioratives ? Non donc il faudrait préciser.
Bonjour, vidéo intéressante. La morale, pour moi, est un jeu des adultes face aux enfants pour les éduquer et leur donner une ligne de conduite. Sur le plan professionnel, la morale n'a pas sa place. Chacun(e) cherche à s'imposer par des affinités de groupe, créant des tensions inutiles. Ce n'est plus la morale mais le chantage qui prend le dessus et souvent, ça peut être féroce. Aujourd'hui, je trouve que les gens sont de moins en moins enclins à comprendre/appliquer la morale. Il y a une soif à vouloir "écraser" l'autre pour y trouver sa place qui détruit toute communication. Pour rejoindre la vidéo précédente sur les traditions, je pense que la morale est de moins en moins transmise entre les générations, probablement en raison des différentes crises successives qui ont dégoûté une partie du monde à jouer les "gentils"...
Merci pour ton apport. En effet, comme pour la tradition, on a sans doute des enseignements "millénaires", ou en tout cas suffisamment anciens, à considérer sérieusement, car au final vouloir réinventer la roue en permanence est illusoire. Au fond, essayons de nous cultiver, de comprendre le monde et nous-mêmes, de prendre le meilleur de ce que nos ainés ont laissé et de nous construire une vie de qualité sur cette base. Je pense !
Voilà ma vision des choses : Le bien et le mal ont eneffet des dimmenssions subjectives. Mais si la morale repose sur la justice, justice en tant que valeur permettant réelle relation entre les humains, alors on s'ouvre à une morale nouvelle qui donne à chacun l'opportunité de vivre une vie épanouïe. Bref, ayez des valeurs de coeur. Et quand vous aurez suffisament cultivé des valeurs de coeur, alors on pourra se focus sur des dimmenssions plus élevées de la vie.
Bah par exemple un type qui va v**ler une petite fille et ensuite la tuer, c'est mal. Par contre celui qui au péril de sa vie va plonger dans une rivière pour sauver un enfant qui se noie, c'est bien. Je crois qu'on sera à peu près tous d'accord avec ça...
Quand vous avez parlé de philosophe, juste avant que vous ne disiez "le moustachu", j'ai cru que vous alliez aborder Kant. Ce qui aurait été plus que pertinent vu le thème de la vidéo, mais Nietzsche est un choix très intéressant aussi!
Merci pour cette vidéo de ouf et ce sujet ultra intéressant! De mon point de vue et je pense que beaucoup le partageront, la limite de la morale c'est quand on fait du mal au autres/qu'on profite des autres uniquement pour son profit personnel sans se poser de questions tels les américains apportant la "démocratie" au moyen orient! Dis moi ce que t'en pense.
Les Européens ont du se poser des questions. Des questions sur leur survie en grande partie. Le problème à l'époque de mon point de vue, c'est qu'on ne se représentait que très peu l'autre comme notre semblable. Le noir face au blanc. Le maghrébin face au noir, etc. Comme le Léopord qui déchire une gazelle pour survivre au détriment de la souffrance de l'animal en dessous de lui. Et ça se cultivait. Les choses n'ont pas changé, mais elles ont évoluée dans l'autre sens, dans le bon sens. Aujourd'hui cette sensibilité là s'étend plus loin, avec les véganes et les défenseurs des droits des animaux.
Est ce de ta faute si l’autre est naïf, faible ? Es tu obligé de considérer qu’il ne connaît pas ce que tu connais et donc de ne pas le manipuler ? Pourtant il existe depuis comme toi
À mon humble la notion de bien et de mal est très relative 😅 Mais étant tous issus d’une famille qui ont pris parfois la peine de nous enseigner ces notions même je sais qu’elle ne sont pas très actualisés de manière philosophique. Je préfère tous les respecter par respect des parents, des aînés qui me l’ont inculqué ignorant tous ces aspects philosophiques. Et au final il faut vraiment s’écouter soi même je ne parle pas du moi extérieur, influencé par toutes de vanes, et de choses superficielles mais vraiment de l’être humain que nous sommes sans nos vêtements entièrement nus. Aussi en posant un acte qui n’est pas toujours nette vis à vis de l’autre. Il faudrait garder en tête qu’on pourra nous victimiser du même acte nous ou nos génération encore pire faut donc pas te révolter en disant que l’autre touche à ta liberté ou bien abuse de toi aussi auparavant tu n’étais pas clair dans tes actes . J’ai dû m’égarer mais c’est ce que je pense de cette histoire de moral.
Oui, je suis d'accord. D"ailleurs, je n'ai pas lu Emmanuel Kant, mais un ami m'apprenait récemment qu'une des pensées centrales de Kant était précisément ça : ne pas utiliser l'autre comme un moyen, mais comme une fin en soi. Sinon, le monde risque de devenir un enfer où personne ne peut compter sur personne ("la guerre de tous contre tous" ?), puisqu'on s'utilise tous l'un l'autre pour arriver à nos fins personnelles. Au fond, en pratique, c'est un peu "ne fais pas aux autres ce que tu n'aimerais pas qu'ils te fassent". Ravi que la vidéo t'ait plu et merci pour ton commentaire !
@@lucesdrasngossinga6986 Oui c'est certain, il est important de regarder les choses dans leur contexte historique. Je ne juge pas la conquête européenne, elle est absolument fascinante. Mais, par exemple, le récit sur les Indiens d'Amérique à travers les westerns (les gentils cowboys et les méchants indiens, etc) est lui, une histoire écrite récemment, sur une conquête passée, avec un sacré biais. Mais je ne déteste pas les USA. Au contraire, même. Simplement, leur soft power, leur récit, est parfois caricatural pour les faire passer pour les gentils.
Pour moi le bien c’est liberté de choisir et d’être capable de ne pas ce laisser influencé par les autres. Mais par aussi n’au pulsions émotives Et le mal c’est d’aller à l’encontre de la liberté de sois et aussi de celle des autre Comme on dit "ta liberté s’arrête à celle des autres"
Déjà, plutôt que de parler de personnes bonnes ou mauvaises personnes, il est important s’intéresser à chaque action et on voit assez vite que chaque personne à des penchants à faire des choses qu'on pourraient juger de mal et d'autres vu comme bonnes. Mais cela permet surtout de comprendre pourquoi une personne a agi de tel ou tel manière, plutôt que de résumer ça à "parce que c'est un connard" . Pour répondre à ce que l'on voit comme bons ou mauvais, personnellement je vois comme "mauvais" une action où la volonté de la personne est de nuire à autrui (lui créer de la souffrance principalement) pour un gain personnel. C'est assez bateau mais plutôt fiable et ça ne repose pas sur des injonctions sorti de nul part mais sur du vécu émotionnel humain, chose à laquelle on a tendance à oublier de s’intéresser.
Oui, et d'après ce que j'en ai compris, c'est une idée centrale chez Kant, qui veut qu'on ne considère pas l'autre comme un moyen, mais comme une fin. Ce serait une règle essentielle pour pouvoir vivre ensemble sans devoir se méfier les uns des autres en permanence.
Je pense que la notion de morale est également née de notre survie civilisationnelle. Exemple simple: "le meurtre, c'est mal", parce qu'une société où le meurtre est jugé comme neutre (voire bon) nuit au développement de ladite société (par une croissance plus faible, une insécurité plus importante,...) Cela fonctionne pour les "bases" (tuer, violer, s'entraider, etc.), et ces bases sont ensuite distordues pour s'adapter au scénario voulu du narrateur (ex: si le narrateur est Poutine : "les russes attaquent l'Ukraine pour y éradiquer le nazisme", aka l'idéologie mauvaise car elle promeut la mort d'innocents et donc l'éradiquer c'est faire le bien, tandis que, si le narrateur est Biden: "les russes envahissent l'Ukraine pour l'annexer", aka priver un peuple souverrain de sa liberté, ce qui est donc méchant)
Je dis souvent que le mal est un bien que nous ne voulons pas. La chèvre ne veux pas ce faire manger par l'aigle mais l'aigle lui veux la manger.. De plus je ne pense pas qu'il y est de fort ou de faible j'ai vu des grand bonhomme avoir peur d'une abeilles j'ai vu des fourmis ce battre jusqu'à la mort contre des hommes.. La force est une illusion que le temps révèle, nous allons vieillir, perdre notre force musculaire et mentale jusqu'à ne plus pouvoir bouger ni penser, mourir. Que nous étions riche ou pauvre petit ou grand pour moi la mort est la seule égalité de tout les être vivant et bizarrement le plus grand bien qui puisse arriver, même si nous ne la voulons pas. Je sais que c'est un peu cynique ou nihiliste mais j'ai la sensation que ces pensées basent la réflexion sur non pas l'illusion de notre société actuelle mais sur une vérité intemporel (pourquoi à une époque un petit penis était symbole de force et maintenant l'inverse ? Je pense que cela est illusion ni l'un ni l'autre ne montre cela)
Techniquement des grands bohnommes peuvent avoir peur d'une abeille oui mais pas non plus l'abeille ne peut pas les tuer alors qu'eux peuvent comme un humain ne peut pas tuer un tigre mais un tigre le peut mais il y a des cas où un tigre peut avoir peur d'un humain mais jamais il va perdre en combat donc oui faible et fort sa existe
c'est intéressant de se dire qui décide parce qu'on associe l'action à la pensée par l'enseignement. On pourrait d'abord dire que ce sont les autres qui nous disent ce qui est bien et ce qui est mal et se dire aussi que c'est par l'expérience qu'on peut se dire ce qui est bien ou ce qui est mal. Mais finalement, d'où vient notre morale ? Qu'est-ce qui nous fait dire ce qui est bien ou mal ? Est-ce une construction historique ou culturelle comme le montre la vidéo ? Finalement est-ce qu'on peut vraiment juger ce qui est bien ou ce qui est mal ? La morale ne dépend-t-elle pas de chaque société ? si on prend l'exemple des mayas qui pratiquaient les sacrifices humains, nous on se dirait "ils sont fous, c'est pas bien" alors que pour eux c'était même bien car c'était une offrande aux dieux, on peut penser aussi au pok-a-tok. Donc ça c'est aussi l'idée de Montaigne, que la morale est finalement relative. Elle dépend de l'éducation que chacun a reçu. Ce qui peut amener aussi à une forme de tolérance car on ne doit pas juger trop vite des pratiques qu'on ne connaît pas. Finalement, si chacun construisait sa morale, il faudrait faire un examen de conscience. Juger nos propres actes suivant des critères différent de ce qui est bien ou ce qui est mal car ces critères ne seraient peut-être pas bon finalement. Ce serait plutôt réinventer notre rapport à nous même et à réinventer notre rapport avec les autres. D'où l'idée de devoir. L'idée d'action. Se dire si ce qui est bien c'est se demander "et si tout le monde le faisait" (Kant) ou alors se dire que ce qui est morale c'est ce qui procure le plus de plaisir à tout le monde (utilitarisme, Bentham) ou alors ce qui est morale c'est qui permet de faire survivre l'espèce humaine prince de responsabilité de Hans Jonas) ? Peut-être faut-il mieux connaître le monde, voyager, apprendre pour mieux juger ce qui est bien ou ce qui est mal en voyant. Avoir un esprit synthétique de ce que l'humain a pu penser de ce que bien ou mal. Sinon voir en fonction des 3 façons de voir notre action morale, par l'anticipation, puis par les conséquences positives de nos actes.
Merci pour ce complément bien intéressant ! Ce que je retiens, c'est l'importance d'accumuler de l'expérience, théorique et pratique, apprendre à connaitre et comprendre le monde pour pouvoir ensuite en être un meilleur juge, mieux s'y adapter et y contribuer tout en y étant relativement libre et autonome 👍
La morale est à la fois utile pour structurer une société mais devrait se limiter à certains domaines. Je pense notamment à la morale sexuelle, qui à travers les différentes sociétés a été plus ou moins permissive et je reste effaré face à ces gens qui brident leur sexualité à l’extrême et refoulent leurs désirs au nom d’un code religieux (fait amusant, dans la société autrefois catholique, les hommes allaient réaliser leurs fantaisies dans les bordels qui étaient des établissements légaux, parce que avec leur femme hormis le missionaire pendant 10 minutes tout le reste était interdit. Comme quoi l’habit ne fait pas le moine). Je suis d’accord en revanche qu’il doit y avoir des bases sur ce plan, concernant les extrêmes (enfants, animaux, vi0ls, etc...), mais si le délire de quelqu'un c’est de se faire fouetter, de pratiquer le kamasutra ou qu’il est homosexuel, j’ai envie de dire que si il y’a consentement où est le mal après tout. Mais pour certains encore aujourd'hui c’est problématique et ceux-là sont peut être même pires que leurs ancêtres sur ce plan. J’en ai bouffé de la morale catholique à ce sujet, on avait même un livre de règles dedié d’environ 300 pages (surtout des interdits, dans les détails les plus crus) et je peux dire qu’il y’a de quoi alimenter son ombre à suivre ce genre de chemin.
Au moyen age quand on passait au tribunal le juge demandait : "quelle est ta loi ?". C'est seulement de cette facon que la civilisation europeene a posperée pendant 1789 ans, et puis, Universalité etc.
Il n'y a pas que la philo qui s'intéresse à la morale, la psychologie évolutionnaire nous apprends aussi de choses extrêmement intéressantes sur le sujet (et moins relatives). Le youtuber Homo Fabulus a fait une série de vidéos là-dessus: th-cam.com/video/1jkIONNqBcg/w-d-xo.html&pp=iAQB
Déçu par Nietzsche, qu'on nous vante comme un grand philosophe. Franchement, c'est ça sa thèse ? il y a des forts, des faibles. Les forts imposent leurs principes, car ils sont les seuls à savoir s'organiser. Les faibles imposent leurs principes par ressentiment ou jalousie. C'est faible. Non ? il décrit la société de son temps et esquisse à peine une explication. C'est court. Dans la philosophie antique, on pose les questions beaucoup plus fondamentales "Qu'est-ce qu'un bon gouvernement ?", "Qu'est-ce qu'une bonne vie ?". Plus tard, Kant s'interroge sur les conditions d'une bonne morale. C'est autrement intéressant pour y comprendre quelque chose.
Il y a de l'existence plutôt que le néant. Non, je ne suis pas hors sujet. Pas de matière, pas de vide quantique, pas de vérité mathématique, et cætera n'est pas ce que nous constatons. Les essences, causalités primordiales, appartiennent à une infinité de catégories dont les deux principales, le bien, le mal. Le bien et le mal ne sont pas des constructions culturelles. La relativisation du bien et du mal établit les conditions d'un décalage voire d'une opposition entre les lois, les pratiques, les usages de la société et les principes qui régissent la nature. Les interdits fondamentaux tels que le cannibalisme, l'inceste ne sont pas relatifs. L'objectivité décrit l'observable du réel comme l'est la partie émergée d'un iceberg.
Les clébards mangent dans la gamelle q'uon leur propose et adopte les règles et coutume de ses maitres, au point ou cela semble évident, leur corne d'abondance est leur obéissance leur efforts alloué. ce sont des domestiqué
Superbe vidéo Alors pour répondre à la question j'ai 29 ans et pour moi le mal c'est quand l'être humain souhaite tout contrôler surtout ce qu'il ne peux pas dans un sentiment d'impuissance il va faire un acte mauvais.
Tu as raison, j'aurais pu aller plus loin en parlant d'éthique. Si tu as des recommandations de lectures, d'auteurs, d'idées, balance ! Je prends tout ;-)
Il serait temps d'adopter des loies d'intelligeances qui cessent de confondre le maintien de la paix et l'encerage des libertée individuelles: Si je souffre infiniement je veux pouvoir me faire aider pour metre fin à mes jours sans me battre contre des loies qui ont la mort en taboo. si je veux habiter en harmonie avec la nature pourquoi les lois me l'interdisent elles au non de regles d'urbanismes qui laisse les industrie du béton gagner en part de marché... j'en passe et des meilleurs... la plupart des système administratif sont un fléeau et refuse d élever les enfants... il les éduquent, les induirent en erreure et ensuite les répriment...Aainsi naît un peuple" non sage". Nous somme déséduqués à notre souveraineté!!! Et ça marche!!!! et ça justifie ironiquement de bleinder le process agora d'un système de loi lourd comme une armée d'enclume... Justice aveugle n'existe pas d'ailleur: ça dépend toujours des ficelle qui sont le plus tendues. ... La moral veille à ne pas laisser deplace aux vertues universelles!
Je ne crois pas qu'il n'existe qu'une voie, qu'un courant. J'aime beaucoup le stoïcisme, mais j'en suis vite sorti aussi car finalement, c'est assez étroit, je trouve, de se limiter à une façon de voir le monde. Je crois simplement que les jeunes ont à gagner à se cultiver globalement pour développer un esprit critique. Merci pour ton comm !
Vraiment bonne la vidéo, ça fait longtemps que je n'ai plus réfléchi à ce sujet, et j'avoue que ça me manquait.
Quand aux questions, j'ai appris les notions de bien et de mal comme la plupart des gens, au travers des règles édictées par mes parents, ainsi que par le religion (musulmane dans mon cas), on me disait toujours que les gentils étaient ceux qui aidaient leurs frères et sœurs, ne cherchaient pas la bagarre sans raison, ne volaient pas, priaient… Quand aux méchants, c'est les voleurs, les tueurs, les pécheurs, ceux incapables de contrôler leurs pulsions… Et pendant une bonne partie de ma vie, j'y ai cru comme ça, sans jamais me questionner, jusqu'à ce que je vois les dessins animés des misérables quand j'avais 9-10 ans et que je me demande si le mal est vraiment toujours là où l'on le perçoit, ou si ce n'est pas parfois, l'incompétence de certains qui amène le véritable mal (bon c'était pas formulé comme ça dans ma tête, mais il y avait un bourgeon d'idée). Depuis, j'ai lu, me suis renseigné, ait cherché à développer ma réflexion avant d'arriver à une conclusion: Il n'y a ni bien ni mal. Pour la simple et bonne raison que chaque action est la conséquence d'une somme infini de cause qui l'ont précédée (du déterminisme en gros), cependant, ceci ne veut pas dire que pour cette raison, aucun crime ne doit être puni, ou quoi que ce soit, non en réalité, ceci montre simplement que la justice n'a pas pour but premier, eh bien d'apporter la justice (punir le mauvais, sauver le bon), mais plutôt à veiller à ce que l'ordre établi reste tel qu'il est et ne soit en aucun cas ébranlé, car la justice reste partie intégrante du système, donc elle ne peut que le protéger, peut importe qu'elle aller à l'encontre des principes de bien et de mal, et ceci ne s'applique pas uniquement à la justice dans sa définition juridique, mais dans sa signification la plus large (la justice individuelle ou universelle).
Bref tout ça pour dire, que de mon point de vue, le bien n'est que ce qui nous accommode, et le mal ce qui nous dérange, que ce soit dans notre vie, nos habitudes ou nos croyances.
edit: déso pour la taille du pavé, je ne m'en suis pas rendu compte pendant que je l'écrivais 😅 .
Pas de souci pour le pavé, au contraire, c'est un plaisir de lire des commentaires étayés comme le tien, et surtout du vécu. Vaste débat en effet. Comme tu le dis, les règles sont là pour maintenir un ordre en place, et c'est indispensable, sinon c'est l'anarchie ou l'instabilité permanente et c'est invivable. Donc, même si les règles sont ou sembles être arbitraires, il faut bien qu'on en ait pour vivre ensemble. Après, comme pour la tradition, on peut (on doit ?) avoir un regard critique dessus, pour pouvoir en transgresser certaines ponctuellement et individuellement. C'est aussi comme ça qu'une société évolue. Sans transgresseurs, on se retrouve avec une masse inerte, moutonnière, morte. Comme d'habitude, je n'ai pas la réponse parfaite, car il n'y en a pas. Mais il y a matière à penser... et à se créer une vie à la hauteur de qui nous pouvons être 😉
J'adore ton message mais ne comprend pas ce que tu veux dire par mal véritable, selon toi il existerait un bien absolu ? (lorsque je dis absolu, je ne parle pas de religion, je veux dire au sens mathématique, qui ne dépendrait d'aucune philosophie)
Par exemple : Tuer un être humain est considéré comme mal dans notre société (tuer pour tuer). Mais est-ce que selon toi, tuer est seulement classé dans un repère relatif à chacun ou il existerait un repère absolu dans lequel tuer est inebranlablement négatif ?
Je pense 😊 que un avant goût du livre pourrais être super pour inciter encore plus à l'acheter genre le premier chapitre en audio sur t'a chaîne fait par toi même
Excellente idée !
@@fautledirevite merci
@@la_parole Merci à toi !
Morale aristocratique ou morale des faibles ? Tu as préféré ne pas te positionner, moi je pense qu'on a pas à choisir. Perçu de façon individuelle, l'une ou l'autre nous arrange. Rencontrant inévitablement plus fort que nous, et/ou plus faibles. L'homme court fondamentalement vers sa survie. Et c'est cette survie qui gouverne nos actes. Tout le monde, de manière intuitive switch entre ces deux conceptions du bien et du mal par égoisme, dans le but d'assouvir ses propres intérets. A tord ou à raison ? C'est peut-etre là que te vient le soucis de ne pas te positionner.
Merci pour le travail que tu fais 👏💯
En effet. Je te rejoins sur le fait qu'on travaille tous à nos propres intérêts. D'où l'importance de notions de bien et de mal, de règles, pour ne pas se retrouver dans une "guerre de tous contre tous" où on est finalement tous perdants. La morale (pas forcément celle décrite par Nietzsche, d'ailleurs, c'était un exemple) peut (doit ?) nous servir à poursuivre nos intérêts sans écraser les autres puisque, sans les autres, nous ne sommes pas grand chose, mais noyés par les autres, nous n'existons plus non plus... Bref, lourd débat 😀
J'ai quelques idées de thèmes à aborder dans tes vidéos :
- Les mythes fondateurs des sociétés
- Le dimorphisme sexuel qui fait que les femmes préfèrent les hommes grands et les hommes préfèrent les femmes petites (exemple)
- L'esclavage en Afrique par les africains (qui reste la plus grande traite de l'histoire)
Merci pour les suggestions ! J'en prends bonne note.
Qui décide ba chacun comme il veut grâce au libre arbitre !!! Merci le libre arbitre, grâce à toi je peux croire, vouloir et même déterminer ce qui est bien ou mal dans ma vie… Dieu qu’il est pratique celui la !
L.Bellabas/D.Farrell La fatalité resettent, la faute sur la malchante le destin. Les mots incapable de se remettre en question it refuse. Merci
OK merci !
Lourd le sujet philosophique, j'aime beaucoup! Comment ai-je appris ma notion de bien ou de mal? J'imagine comme pas mal de gens, enfant, inculqué par un biais de confiance assez aveugle qui se déroule durant l'enfance. Pour ce qui est de la remise en question, je pense pouvoir dire qu'à mesure que le temps passe, je remet de plus en plus de choses en lumière/considération, j'aime beaucoup dire qu'en soi, il n'y a ni blanc ni noir mais une sacrée grande quantité de nuance de gris (kappa). C'est une sacrée évidence que l'histoire est un récit, j'irais presque même jusqu'à dire une mythologie écrite par les "vainqueurs", quant à parler de ceux qui écrivent encore les lois divines 2.0 à l'heure actuelle, je pense que c'est une question de doxa, un ensemble de gens dirigés par la "bien pensance" et qui propagent leurs idéaux aux autres comme s'il n'était même plus question de s'interroger mais d'acquiescer à une cadence effrénée, ce que tu présentes comme une manipulation morale des faibles. Attention à ne pas non plus tomber dans les travers, l'herbe n'est pas forcément plus verte de l'autre côté de la barrière, je pense en vrai, que chaque chose est à pondérer précautionneusement, que les à priori doivent voler en éclat et que développer un esprit critique est incontournable. En tout cas j'aurai pris mon pied en regardant ta vidéo, ton travail a l'air intéressant, j'y jetterai un oeil plus attentif et j'ai hâte de découvrir la suite! 😁
En effet, le but n'est pas de tout déconstruire de A à Z car, comme tu le sous-entends avec l'herbe qui n'est pas plus verte, avant de déconstruire quelque chose, il est bon de savoir ce qu'on aimerait construire à la place, sous peine de se retrouver sans rien. Mais développer un esprit suffisamment critique pour ne pas se faire entuber en permanence, c'est effectivement indispensable. Enfin, si on souhaite avoir un peu d'autonomie.
Merci pour ton comm. et ravi que la chaine te plaise !
PS : quand tu parles de "kappa", à quoi fais-tu référence ?
Perso je ne croyais pas à la moral, pour moi c'était un "truc de faible", puis un jour j'ai enfin eu une vision de société idéale et depuis il y a le bien et le mal. Le but de la vie n'est plus d'être le meilleur mais de faire le bien commun. Ce que j'appelle bien c'est ce qui a des chances d'aider à s'approcher de la société idéale et mal ce qui risque nous en éloigner. Enfin quand je ne sais pas j'y réfléchi et soit je le case soit je le considère de neutre.
Pour moi il y a un sens commun, quelque chose d'inné sur lequel on peut s’entendre pour définir si telle action est bien ou mal, au delà des biais sociétaux. Ensuite ce n'est souvent pas cela qui prime mais l'intérêt de la personne derrière.
Sinon au delà de la morale humaine, on a la dynamique de l’Univers qui fait tendre toute chose vers un équilibre. L'équilibre étant souhaitable partout et à tout niveau. Toute chose qui consoliderais qui faciliterait qui permettrait un équilibre serait une bonne chose (dans le sens de L'univers), tout ce qui émerger un déséquilibre serait une mauvaise chose (contraire au sens de l'Univers).
Ensuite il y a des déséquilibres transitoires ou qui conduisent à des équilibres plus stables et péren qui sont donc souhaitable sur le long terme, tout du moins plus acceptables.
Oui, l'équilibre, ce permanent dans la philosophie. Merci pour ton comm !
@@fautledirevite Oui, avec plaisir !
Excellente vidéo encore une fois, bravo.
Le mal c’est ce que le groupe définit comme étant mal, comme pour le bien. Les groupes sont nombreux et différents, voilà les divergences.
Merci à toi ! Et tout à fait pour les groupes et leur définition du bien et du mal.
J'ajoute que actuellement on peut remettre en question la notion du bien et du mal, mais ce serait mieux de ne pas tout abolir sinon, comme tu l'as dit, on risque de tomber dans une moralisation individuelle. Ce qui n'est pas bon pour la survie de l'espèce.
Clairement. C'est invivable. On a besoin de se mettre d'accord sur des règles, mais je crois simplement qu'il est important de rester vigilants sur qui fait ces règles et pourquoi. Bref, rester curieux et critique, pour conserver une certaine part d'autonomie et de liberté dans nos vies.
Autant les explications de Nietzsche sont convaincantes, autant, j'ai vraiment du mal à renoncer à cette idée profondément ancrée en moi et qui dit qu'il doit tout de même exister des comportements universellement "méchants" (mauvais, inutiles, immoraux...)
Merci pour ces réflexions :)
Oui, j'en parlais hier avec un ami et on était d'accord tous les deux sur le fait qu'il y a des universels : voir un homme au sol ou agoniser ne plait à personne par exemple, à moins d'avoir été très conditionné à ça... a priori, la vue de la souffrance ou de la mort ne plait à personne, nulle part, parce que c'est "de l'anti-vie" (pour parler vite). Donc oui, d'accord avec toi. Il suffit de regarder ce qu'on trouve dans les règles de quasi toutes sociétés, de tout temps, pour se rendre compte des bien et mal, bon et mauvais... universels.
Excellent ! Limpide et accessible à tous, encore une très bonne vidéo 😁
Merci à toi !
je suis fier d'avoir assisté à votre première conférence et de vous revoir en vidéo
Merci Niko ! Sauf erreur de ma part, nous ne nous sommes pas rencontrés après la conférence. La prochaine fois, n'hésitez pas 😉
@@fautledirevite c'était moi le jeune aux cheveux bouclés avec mon père qui est vieux et on avait discuté à l'entrée de la salle du buffet
@@nikobellic9140 Ah ok, je n'avais pas fait le lien entre ton pseudo et ton prénom ;-) C'était pour moi aussi un plaisir de vous rencontrer tous les deux ! Merci d'être venu et à bientôt, cher S. 😉
Le bon est ce qui favorise la vie, et le mal est ce qui la défavorise
Intéressant, maintenant cela reste subjectif, même si ce serait aussi la définition la plus évidente que je ferais du bon et du mauvais.
Donc manger un animal serait à la fois bon (favorise ma vie) et mauvais (défavorise la vie de l'animal mangé)... Intéressant.
Je pense que c'est plus un principe générale qu'un système binaire, figé et manichéen. Il y a toujours nuance et circonstance. @@tomgence682
@@fautledireviteEn quoi cela est subjectif ? Et à quoi ressemblerait une version objective de cela ?
@@azif78Après la vie c’est plus complexe que ça et est-ce que les formes de vie sont forcément positives/ mélioratives ? Non donc il faudrait préciser.
Bonjour, vidéo intéressante. La morale, pour moi, est un jeu des adultes face aux enfants pour les éduquer et leur donner une ligne de conduite. Sur le plan professionnel, la morale n'a pas sa place. Chacun(e) cherche à s'imposer par des affinités de groupe, créant des tensions inutiles. Ce n'est plus la morale mais le chantage qui prend le dessus et souvent, ça peut être féroce. Aujourd'hui, je trouve que les gens sont de moins en moins enclins à comprendre/appliquer la morale. Il y a une soif à vouloir "écraser" l'autre pour y trouver sa place qui détruit toute communication. Pour rejoindre la vidéo précédente sur les traditions, je pense que la morale est de moins en moins transmise entre les générations, probablement en raison des différentes crises successives qui ont dégoûté une partie du monde à jouer les "gentils"...
Merci pour ton apport. En effet, comme pour la tradition, on a sans doute des enseignements "millénaires", ou en tout cas suffisamment anciens, à considérer sérieusement, car au final vouloir réinventer la roue en permanence est illusoire. Au fond, essayons de nous cultiver, de comprendre le monde et nous-mêmes, de prendre le meilleur de ce que nos ainés ont laissé et de nous construire une vie de qualité sur cette base. Je pense !
Voilà ma vision des choses :
Le bien et le mal ont eneffet des dimmenssions subjectives.
Mais si la morale repose sur la justice, justice en tant que valeur permettant réelle relation entre les humains, alors on s'ouvre à une morale nouvelle qui donne à chacun l'opportunité de vivre une vie épanouïe.
Bref, ayez des valeurs de coeur.
Et quand vous aurez suffisament cultivé des valeurs de coeur, alors on pourra se focus sur des dimmenssions plus élevées de la vie.
très bonne vidéo, j'aime la façon dont tu t'exprimes
Merci beaucoup !
Bah par exemple un type qui va v**ler une petite fille et ensuite la tuer, c'est mal. Par contre celui qui au péril de sa vie va plonger dans une rivière pour sauver un enfant qui se noie, c'est bien. Je crois qu'on sera à peu près tous d'accord avec ça...
Quand vous avez parlé de philosophe, juste avant que vous ne disiez "le moustachu", j'ai cru que vous alliez aborder Kant. Ce qui aurait été plus que pertinent vu le thème de la vidéo, mais Nietzsche est un choix très intéressant aussi!
Très bonne vidéo je suis sûr qu'il existe le bien être mais il faut pas penser o Mal heure..
Merci pour cette vidéo de ouf et ce sujet ultra intéressant! De mon point de vue et je pense que beaucoup le partageront, la limite de la morale c'est quand on fait du mal au autres/qu'on profite des autres uniquement pour son profit personnel sans se poser de questions tels les américains apportant la "démocratie" au moyen orient! Dis moi ce que t'en pense.
Les Européens ont du se poser des questions. Des questions sur leur survie en grande partie. Le problème à l'époque de mon point de vue, c'est qu'on ne se représentait que très peu l'autre comme notre semblable. Le noir face au blanc. Le maghrébin face au noir, etc. Comme le Léopord qui déchire une gazelle pour survivre au détriment de la souffrance de l'animal en dessous de lui. Et ça se cultivait. Les choses n'ont pas changé, mais elles ont évoluée dans l'autre sens, dans le bon sens. Aujourd'hui cette sensibilité là s'étend plus loin, avec les véganes et les défenseurs des droits des animaux.
Est ce de ta faute si l’autre est naïf, faible ?
Es tu obligé de considérer qu’il ne connaît pas ce que tu connais et donc de ne pas le manipuler ?
Pourtant il existe depuis comme toi
À mon humble la notion de bien et de mal est très relative 😅
Mais étant tous issus d’une famille qui ont pris parfois la peine de nous enseigner ces notions même je sais qu’elle ne sont pas très actualisés de manière philosophique.
Je préfère tous les respecter par respect des parents, des aînés qui me l’ont inculqué ignorant tous ces aspects philosophiques.
Et au final il faut vraiment s’écouter soi même je ne parle pas du moi extérieur, influencé par toutes de vanes, et de choses superficielles mais vraiment de l’être humain que nous sommes sans nos vêtements entièrement nus.
Aussi en posant un acte qui n’est pas toujours nette vis à vis de l’autre. Il faudrait garder en tête qu’on pourra nous victimiser du même acte nous ou nos génération encore pire faut donc pas te révolter en disant que l’autre touche à ta liberté ou bien abuse de toi aussi auparavant tu n’étais pas clair dans tes actes .
J’ai dû m’égarer mais c’est ce que je pense de cette histoire de moral.
Oui, je suis d'accord. D"ailleurs, je n'ai pas lu Emmanuel Kant, mais un ami m'apprenait récemment qu'une des pensées centrales de Kant était précisément ça : ne pas utiliser l'autre comme un moyen, mais comme une fin en soi. Sinon, le monde risque de devenir un enfer où personne ne peut compter sur personne ("la guerre de tous contre tous" ?), puisqu'on s'utilise tous l'un l'autre pour arriver à nos fins personnelles.
Au fond, en pratique, c'est un peu "ne fais pas aux autres ce que tu n'aimerais pas qu'ils te fassent".
Ravi que la vidéo t'ait plu et merci pour ton commentaire !
@@lucesdrasngossinga6986 Oui c'est certain, il est important de regarder les choses dans leur contexte historique. Je ne juge pas la conquête européenne, elle est absolument fascinante. Mais, par exemple, le récit sur les Indiens d'Amérique à travers les westerns (les gentils cowboys et les méchants indiens, etc) est lui, une histoire écrite récemment, sur une conquête passée, avec un sacré biais. Mais je ne déteste pas les USA. Au contraire, même. Simplement, leur soft power, leur récit, est parfois caricatural pour les faire passer pour les gentils.
Pour moi le bien c’est liberté de choisir et d’être capable de ne pas ce laisser influencé par les autres. Mais par aussi n’au pulsions émotives
Et le mal c’est d’aller à l’encontre de la liberté de sois et aussi de celle des autre
Comme on dit "ta liberté s’arrête à celle des autres"
Je crois aussi que la notion de respect fais partie du concept du bien et par conséquent dois s’appliquer aussi à l’écosystème de la terre
Oui, au fond, cette définition de la liberté nous aide à nous positionner pour savoir comment nous comporter vis-à-vis des autres 😉
Une très bonne vidéo, merci.
Merci à toi.
Très intéressant comme d’habitude
Merci !
Déjà, plutôt que de parler de personnes bonnes ou mauvaises personnes, il est important s’intéresser à chaque action et on voit assez vite que chaque personne à des penchants à faire des choses qu'on pourraient juger de mal et d'autres vu comme bonnes. Mais cela permet surtout de comprendre pourquoi une personne a agi de tel ou tel manière, plutôt que de résumer ça à "parce que c'est un connard" .
Pour répondre à ce que l'on voit comme bons ou mauvais, personnellement je vois comme "mauvais" une action où la volonté de la personne est de nuire à autrui (lui créer de la souffrance principalement) pour un gain personnel. C'est assez bateau mais plutôt fiable et ça ne repose pas sur des injonctions sorti de nul part mais sur du vécu émotionnel humain, chose à laquelle on a tendance à oublier de s’intéresser.
Oui, et d'après ce que j'en ai compris, c'est une idée centrale chez Kant, qui veut qu'on ne considère pas l'autre comme un moyen, mais comme une fin. Ce serait une règle essentielle pour pouvoir vivre ensemble sans devoir se méfier les uns des autres en permanence.
Je pense que la notion de morale est également née de notre survie civilisationnelle. Exemple simple: "le meurtre, c'est mal", parce qu'une société où le meurtre est jugé comme neutre (voire bon) nuit au développement de ladite société (par une croissance plus faible, une insécurité plus importante,...)
Cela fonctionne pour les "bases" (tuer, violer, s'entraider, etc.), et ces bases sont ensuite distordues pour s'adapter au scénario voulu du narrateur (ex: si le narrateur est Poutine : "les russes attaquent l'Ukraine pour y éradiquer le nazisme", aka l'idéologie mauvaise car elle promeut la mort d'innocents et donc l'éradiquer c'est faire le bien, tandis que, si le narrateur est Biden: "les russes envahissent l'Ukraine pour l'annexer", aka priver un peuple souverrain de sa liberté, ce qui est donc méchant)
Vraiment ce sujet très importante.
On est d'accord. Merci pour ton comm !
Et dire que je réfléchissais à ça aujourd'hui !
Ah ben voilà ! Et ça répond un peu à tes réflexions ?
@@fautledirevite Totalement !!!
Merci à vous 😘
@@cyclonekevin3166 Cool. Avec plaisir !
La morale aristotélicienne n'est-elle pas celle de la vertu, ou plutôt de la juage mesure de celles-ci au cas par cas ?
Je dis souvent que le mal est un bien que nous ne voulons pas. La chèvre ne veux pas ce faire manger par l'aigle mais l'aigle lui veux la manger.. De plus je ne pense pas qu'il y est de fort ou de faible j'ai vu des grand bonhomme avoir peur d'une abeilles j'ai vu des fourmis ce battre jusqu'à la mort contre des hommes.. La force est une illusion que le temps révèle, nous allons vieillir, perdre notre force musculaire et mentale jusqu'à ne plus pouvoir bouger ni penser, mourir. Que nous étions riche ou pauvre petit ou grand pour moi la mort est la seule égalité de tout les être vivant et bizarrement le plus grand bien qui puisse arriver, même si nous ne la voulons pas. Je sais que c'est un peu cynique ou nihiliste mais j'ai la sensation que ces pensées basent la réflexion sur non pas l'illusion de notre société actuelle mais sur une vérité intemporel (pourquoi à une époque un petit penis était symbole de force et maintenant l'inverse ? Je pense que cela est illusion ni l'un ni l'autre ne montre cela)
Tu mets bien en lumière le fait qu'en effet, la force et la faiblesse, la morale, changent en fonction du point de vue.
Techniquement des grands bohnommes peuvent avoir peur d'une abeille oui mais pas non plus l'abeille ne peut pas les tuer alors qu'eux peuvent comme un humain ne peut pas tuer un tigre mais un tigre le peut mais il y a des cas où un tigre peut avoir peur d'un humain mais jamais il va perdre en combat donc oui faible et fort sa existe
Je conseille à tout le monde la série de vidéos d'Homo Fabulus sur la morale pour creuser sur le sujet !
Je ne connais pas mais j'irai voir, merci !
c'est intéressant de se dire qui décide parce qu'on associe l'action à la pensée par l'enseignement. On pourrait d'abord dire que ce sont les autres qui nous disent ce qui est bien et ce qui est mal et se dire aussi que c'est par l'expérience qu'on peut se dire ce qui est bien ou ce qui est mal. Mais finalement, d'où vient notre morale ? Qu'est-ce qui nous fait dire ce qui est bien ou mal ? Est-ce une construction historique ou culturelle comme le montre la vidéo ? Finalement est-ce qu'on peut vraiment juger ce qui est bien ou ce qui est mal ? La morale ne dépend-t-elle pas de chaque société ? si on prend l'exemple des mayas qui pratiquaient les sacrifices humains, nous on se dirait "ils sont fous, c'est pas bien" alors que pour eux c'était même bien car c'était une offrande aux dieux, on peut penser aussi au pok-a-tok. Donc ça c'est aussi l'idée de Montaigne, que la morale est finalement relative. Elle dépend de l'éducation que chacun a reçu. Ce qui peut amener aussi à une forme de tolérance car on ne doit pas juger trop vite des pratiques qu'on ne connaît pas. Finalement, si chacun construisait sa morale, il faudrait faire un examen de conscience. Juger nos propres actes suivant des critères différent de ce qui est bien ou ce qui est mal car ces critères ne seraient peut-être pas bon finalement. Ce serait plutôt réinventer notre rapport à nous même et à réinventer notre rapport avec les autres. D'où l'idée de devoir. L'idée d'action. Se dire si ce qui est bien c'est se demander "et si tout le monde le faisait" (Kant) ou alors se dire que ce qui est morale c'est ce qui procure le plus de plaisir à tout le monde (utilitarisme, Bentham) ou alors ce qui est morale c'est qui permet de faire survivre l'espèce humaine prince de responsabilité de Hans Jonas) ? Peut-être faut-il mieux connaître le monde, voyager, apprendre pour mieux juger ce qui est bien ou ce qui est mal en voyant. Avoir un esprit synthétique de ce que l'humain a pu penser de ce que bien ou mal. Sinon voir en fonction des 3 façons de voir notre action morale, par l'anticipation, puis par les conséquences positives de nos actes.
Merci pour ce complément bien intéressant ! Ce que je retiens, c'est l'importance d'accumuler de l'expérience, théorique et pratique, apprendre à connaitre et comprendre le monde pour pouvoir ensuite en être un meilleur juge, mieux s'y adapter et y contribuer tout en y étant relativement libre et autonome 👍
La morale est à la fois utile pour structurer une société mais devrait se limiter à certains domaines. Je pense notamment à la morale sexuelle, qui à travers les différentes sociétés a été plus ou moins permissive et je reste effaré face à ces gens qui brident leur sexualité à l’extrême et refoulent leurs désirs au nom d’un code religieux (fait amusant, dans la société autrefois catholique, les hommes allaient réaliser leurs fantaisies dans les bordels qui étaient des établissements légaux, parce que avec leur femme hormis le missionaire pendant 10 minutes tout le reste était interdit. Comme quoi l’habit ne fait pas le moine). Je suis d’accord en revanche qu’il doit y avoir des bases sur ce plan, concernant les extrêmes (enfants, animaux, vi0ls, etc...), mais si le délire de quelqu'un c’est de se faire fouetter, de pratiquer le kamasutra ou qu’il est homosexuel, j’ai envie de dire que si il y’a consentement où est le mal après tout. Mais pour certains encore aujourd'hui c’est problématique et ceux-là sont peut être même pires que leurs ancêtres sur ce plan. J’en ai bouffé de la morale catholique à ce sujet, on avait même un livre de règles dedié d’environ 300 pages (surtout des interdits, dans les détails les plus crus) et je peux dire qu’il y’a de quoi alimenter son ombre à suivre ce genre de chemin.
Masterclass.
Merci Luc !
Au moyen age quand on passait au tribunal le juge demandait : "quelle est ta loi ?". C'est seulement de cette facon que la civilisation europeene a posperée pendant 1789 ans, et puis, Universalité etc.
Intéressant ! Je ne connaissais pas ça.
@@fautledirevite J avais lu ca dans un livre de la medieviste Regine Pernoud : "Pour en finir avec le moyen-age".
@@alphonsedodu5565 OK, bon à savoir, j'approfondirai 👍
Il n'y a pas que la philo qui s'intéresse à la morale, la psychologie évolutionnaire nous apprends aussi de choses extrêmement intéressantes sur le sujet (et moins relatives). Le youtuber Homo Fabulus a fait une série de vidéos là-dessus: th-cam.com/video/1jkIONNqBcg/w-d-xo.html&pp=iAQB
t’es un fan du channel du précepteur toi 💯🙂
Le Précepteur sera bientot fan de sa chaine.
@@lucesdrasngossinga6986 Haha merci pour le compliment 😀
J'aime bien sa chaine oui, maintenant faut avouer que quand tu parles de la morale, tu peux avoir aimé beaucoup de chaines de philo 😉
Déçu par Nietzsche, qu'on nous vante comme un grand philosophe. Franchement, c'est ça sa thèse ? il y a des forts, des faibles. Les forts imposent leurs principes, car ils sont les seuls à savoir s'organiser. Les faibles imposent leurs principes par ressentiment ou jalousie. C'est faible. Non ? il décrit la société de son temps et esquisse à peine une explication. C'est court.
Dans la philosophie antique, on pose les questions beaucoup plus fondamentales "Qu'est-ce qu'un bon gouvernement ?", "Qu'est-ce qu'une bonne vie ?". Plus tard, Kant s'interroge sur les conditions d'une bonne morale. C'est autrement intéressant pour y comprendre quelque chose.
Ce qui est bon et mauvais, ce n’est pas à l’homme de le décider.
J'y ai jamais pensé donc j'ai pas trop d'avis. Très intéressant sinon.
Ah ben, si ça peut susciter la réflexion chez toi, comme d'hab, je suis ravi 😉
Il ne faut pas cinfondre opressson totalitaire que le peuple ne peut denoncer et morale....
La morale aristocratique est la meilleure
Il y a de l'existence plutôt que le néant. Non, je ne suis pas hors sujet. Pas de matière, pas de vide quantique, pas de vérité mathématique, et cætera n'est pas ce que nous constatons. Les essences, causalités primordiales, appartiennent à une infinité de catégories dont les deux principales, le bien, le mal. Le bien et le mal ne sont pas des constructions culturelles. La relativisation du bien et du mal établit les conditions d'un décalage voire d'une opposition entre les lois, les pratiques, les usages de la société et les principes qui régissent la nature. Les interdits fondamentaux tels que le cannibalisme, l'inceste ne sont pas relatifs. L'objectivité décrit l'observable du réel comme l'est la partie émergée d'un iceberg.
Les clébards mangent dans la gamelle q'uon leur propose et adopte les règles et coutume de ses maitres, au point ou cela semble évident, leur corne d'abondance est leur obéissance leur efforts alloué. ce sont des domestiqué
Eh oui, il est bon de ne pas rester ou devenir des clébards 😀 (enfin, c'est confortable, parfois, mais quelle tristesse)
1:23
Superbe vidéo
Alors pour répondre à la question j'ai 29 ans et pour moi le mal c'est quand l'être humain souhaite tout contrôler surtout ce qu'il ne peux pas dans un sentiment d'impuissance il va faire un acte mauvais.
Ah, point de vue intéressant. L'impuissance qui mène à la surréaction. C'est un peu l'idée du ressentiment, finalement !
tu en as fait 2
2 ?
😂
Le bien c'est ce que dieu dit et le mal c'est ce que ce monde et le diable dit 🤔
Me concernant, je ne suis pas du tout d'accord sur le fait que les faibles le font par jalousie, envie...
Quelle est leur motivation, selon toi ?
@@fautledirevite Ils agissent selon leurs besoins
@@YTBE_32 comme les forts
Les wokistes en sueur ❗️
Haha, une partie peut-être oui. Mais les envieux sont partout...
Comme l'a dit un grand philosophe dont j'ai oublié le nom : "Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités"
Dsl j'ai pas pu m'empêcher 😅
Churchill ou Spiderman ? 😀
Sinon la méta-éthique aujourd'hui ça existe...
Tu as raison, j'aurais pu aller plus loin en parlant d'éthique. Si tu as des recommandations de lectures, d'auteurs, d'idées, balance ! Je prends tout ;-)
Il serait temps d'adopter des loies d'intelligeances qui cessent de confondre le maintien de la paix et l'encerage des libertée individuelles: Si je souffre infiniement je veux pouvoir me faire aider pour metre fin à mes jours sans me battre contre des loies qui ont la mort en taboo. si je veux habiter en harmonie avec la nature pourquoi les lois me l'interdisent elles au non de regles d'urbanismes qui laisse les industrie du béton gagner en part de marché... j'en passe et des meilleurs... la plupart des système administratif sont un fléeau et refuse d élever les enfants... il les éduquent, les induirent en erreure et ensuite les répriment...Aainsi naît un peuple" non sage". Nous somme déséduqués à notre souveraineté!!! Et ça marche!!!! et ça justifie ironiquement de bleinder le process agora d'un système de loi lourd comme une armée d'enclume... Justice aveugle n'existe pas d'ailleur: ça dépend toujours des ficelle qui sont le plus tendues. ... La moral veille à ne pas laisser deplace aux vertues universelles!
Si vous aimerez vivre en harmonie avec la nature vous ne seriez pas là derrière votre écran .
Tu ne seras jamais libre
Un jeune aujourd'hui ne peut trouver d'échappatoire que dans le STOÏCISME . Je ne vois aucune autre solution
Je ne crois pas qu'il n'existe qu'une voie, qu'un courant. J'aime beaucoup le stoïcisme, mais j'en suis vite sorti aussi car finalement, c'est assez étroit, je trouve, de se limiter à une façon de voir le monde. Je crois simplement que les jeunes ont à gagner à se cultiver globalement pour développer un esprit critique. Merci pour ton comm !