En fin de compte, le synode d’octobre 2023 qui était censé être le couronnement de l’œuvre ambitieuse du Pape François entamée en 2021 finira par discuter seulement… de synodalité. Un mois entier de discours de la méthode. Parce que c’est le Saint-Siège, pour ne pas dire le Pape, qui s’est saisi de toutes « les thématiques de grande importance » qui étaient ressorties de la précédente session. Ce dernier a, de son côté, mis sur pied une dizaine de « groupes d’étude » qui seront chargés de réexaminer par le menu les « questions doctrinales, pastorales et éthiques controversées » pour en remettre les premiers résultats en juin 2025. Mais ce n’est pas tout. Parce que dans les faits, le Pape François fait tout lui-même. Il suffit de prêtre attention à la coïncidence temporelle qui, le même jour, le 18 décembre dernier, a vu sortir à la fois le document qui a muselé la prochaine session synodale et la déclaration « Fiducia supplicans » qui a tranché par une décision solitaire venue d’en-haut la sempiternelle controverse pour ou contre la bénédiction des couples homosexuels, l’autorisant en dépit de l’opposition vigoureuse d’épiscopats continentaux entiers et la critique frontale de l’ensemble des Églises orthodoxes et orientales.
J’ai écouté à plusieurs reprises votre émission afin d’essayer de comprendre. Veuillez m’excuser mais j’ai l’impression d’assister à une réunion commerciale, RH, d’assistants sociaux, de syndicalistes, de marketeurs, de féministes… Nous, les fidèles, pauvres pêcheurs que nous sommes, ne souhaitons qu’une chose: que l’Eglise, notre mère, nous conduise vers le Ciel, vers le bon Dieu. Très surpris d’entendre un prêtre dire qu’il faut que le prêtre doit arrêter de vouloir le bonheur des fidèles, d’entendre cette dame dire qu’il faut que l’Eglise éduque d’abord à la liberté, dénigrant les (jeunes) fidèles qui demandent à l’Eglise la voie du Christ. J’ai l’impression que vous essayez de remettre les années 80-90 à la page. Mais ces années ont été désastreuses pour les fidèles. Sans juger la foi et les cœur que seul Dieu jugera, vous me confirmer de rejoindre les communautés catholiques traditionnelles. Dieu nous garde
Bonsoir vous parler de l esprit saint j ai demandée le sacrement de confirmation sa fait 8ans quand j écoutais la messe plus homélie chapitre versets je comprenez rien fait nécessaire acheter une bible béni par un prêtre la confirmation a changer ma vie mais surtout l esprit saint je lui demande de m aider il maide je médite écrit chapitre versets plus bible sans l esprit saint je pourrais pas savoir je suis catholique j ai la foi c est un bonheur d avoir l esprit saint et de lui parler le soir le matin dans l église de mon âme amen 🙏💙
Frères ne perdons pas de vue ce que l'Evangile dit à propos de la mission qui est Service (servir), cela va avec tout son être sans aucune considération particulière , en fait s'oublie pour les autres. C'est tout là le sens du sacrifice dans et pour la mission pour tout un chacun. Merci.
Je pense que nous avons besoin de discernement et de profondeur dans l'analyse de ces sujets intéressants et complexes. Au lieu d'être radicalement opposés au Synode, ne faudrait-il pas y voir des points positifs et les améliorer? Il existe plusieurs points positifs, des sujets intéressants liés à la synodalité: l'écoute, la consultation, l'onction du Peuple de Dieu (Lumen Gentium), pour une meilleure participation du laïcat dans l'évangélisation, la contribution des Églises particulières et locales à la mission universelle qui est une. En fait, plusieurs questions abordées par ce synode ont été abordées par les théologiens et les universités chrétiennnes avant apres Vatican II. Depuis Vatican II, notre Église connait un certain nombre de controverses liées à la fameuse Aggiornamento. Le problème se pose au niveau des peurs des réformes, les controverses, les interprétations erronées de la synode, une pauvre culture théologique, notamment ecclésiologique. Qui décide? Tout dépend de la nature des sujets pour décider. De toutes les manières l'Église n'est pas une démocratie. Beaucoup pensent l'Église est une institution où personne ne devrait réflechir, débattre... La théologie a besoin de ces debats, pour vu qu'ils soient au service de la communion et de l'unité de l'Église, en vue de la gloria Dei. Les chrétiens ont besoin de la formation en permanence.
Les responsabilités sont confiées sur des critères idéologiques dans l'Eglise catholique. Peu importe si ce sont des clercs ou des laïcs qui dirigent au final, on aimerait surtout des hommes et des femmes à la foi forte et droite. On en a assez des mêmes recettes qui conduisent à la perte de la foi. Rendez nous le sacré et la transcendance. Parlez- nous du salut des âmes. Quel blabla !
l'Eglise n'a pas besoin d'autres révolutions que celle de la sainteté
En fin de compte, le synode d’octobre 2023 qui était censé être le couronnement de l’œuvre ambitieuse du Pape François entamée en 2021 finira par discuter seulement… de synodalité. Un mois entier de discours de la méthode. Parce que c’est le Saint-Siège, pour ne pas dire le Pape, qui s’est saisi de toutes « les thématiques de grande importance » qui étaient ressorties de la précédente session. Ce dernier a, de son côté, mis sur pied une dizaine de « groupes d’étude » qui seront chargés de réexaminer par le menu les « questions doctrinales, pastorales et éthiques controversées » pour en remettre les premiers résultats en juin 2025.
Mais ce n’est pas tout. Parce que dans les faits, le Pape François fait tout lui-même. Il suffit de prêtre attention à la coïncidence temporelle qui, le même jour, le 18 décembre dernier, a vu sortir à la fois le document qui a muselé la prochaine session synodale et la déclaration « Fiducia supplicans » qui a tranché par une décision solitaire venue d’en-haut la sempiternelle controverse pour ou contre la bénédiction des couples homosexuels, l’autorisant en dépit de l’opposition vigoureuse d’épiscopats continentaux entiers et la critique frontale de l’ensemble des Églises orthodoxes et orientales.
J’ai écouté à plusieurs reprises votre émission afin d’essayer de comprendre.
Veuillez m’excuser mais j’ai l’impression d’assister à une réunion commerciale, RH, d’assistants sociaux, de syndicalistes, de marketeurs, de féministes…
Nous, les fidèles, pauvres pêcheurs que nous sommes, ne souhaitons qu’une chose: que l’Eglise, notre mère, nous conduise vers le Ciel, vers le bon Dieu.
Très surpris d’entendre un prêtre dire qu’il faut que le prêtre doit arrêter de vouloir le bonheur des fidèles, d’entendre cette dame dire qu’il faut que l’Eglise éduque d’abord à la liberté, dénigrant les (jeunes) fidèles qui demandent à l’Eglise la voie du Christ.
J’ai l’impression que vous essayez de remettre les années 80-90 à la page. Mais ces années ont été désastreuses pour les fidèles.
Sans juger la foi et les cœur que seul Dieu jugera, vous me confirmer de rejoindre les communautés catholiques traditionnelles.
Dieu nous garde
Vous n'avez rien suivi de positif dans ces riches échanges?
Pourquoi ne parlez-vous pas du salut des âmes ?
Bonsoir vous parler de l esprit saint j ai demandée le sacrement de confirmation sa fait 8ans quand j écoutais la messe plus homélie chapitre versets je comprenez rien fait nécessaire acheter une bible béni par un prêtre la confirmation a changer ma vie mais surtout l esprit saint je lui demande de m aider il maide je médite écrit chapitre versets plus bible sans l esprit saint je pourrais pas savoir je suis catholique j ai la foi c est un bonheur d avoir l esprit saint et de lui parler le soir le matin dans l église de mon âme amen 🙏💙
N
Frères ne perdons pas de vue ce que l'Evangile dit à propos de la mission qui est Service (servir), cela va avec tout son être sans aucune considération particulière , en fait s'oublie pour les autres. C'est tout là le sens du sacrifice dans et pour la mission pour tout un chacun. Merci.
Je pense que nous avons besoin de discernement et de profondeur dans l'analyse de ces sujets intéressants et complexes.
Au lieu d'être radicalement opposés au Synode, ne faudrait-il pas y voir des points positifs et les améliorer?
Il existe plusieurs points positifs, des sujets intéressants liés à la synodalité: l'écoute, la consultation, l'onction du Peuple de Dieu (Lumen Gentium), pour une meilleure participation du laïcat dans l'évangélisation, la contribution des Églises particulières et locales à la mission universelle qui est une.
En fait, plusieurs questions abordées par ce synode ont été abordées par les théologiens et les universités chrétiennnes avant apres Vatican II. Depuis Vatican II, notre Église connait un certain nombre de controverses liées à la fameuse Aggiornamento.
Le problème se pose au niveau des peurs des réformes, les controverses, les interprétations erronées de la synode, une pauvre culture théologique, notamment ecclésiologique.
Qui décide?
Tout dépend de la nature des sujets pour décider. De toutes les manières l'Église n'est pas une démocratie.
Beaucoup pensent l'Église est une institution où personne ne devrait réflechir, débattre... La théologie a besoin de ces debats, pour vu qu'ils soient au service de la communion et de l'unité de l'Église, en vue de la gloria Dei.
Les chrétiens ont besoin de la formation en permanence.
Les responsabilités sont confiées sur des critères idéologiques dans l'Eglise catholique. Peu importe si ce sont des clercs ou des laïcs qui dirigent au final, on aimerait surtout des hommes et des femmes à la foi forte et droite. On en a assez des mêmes recettes qui conduisent à la perte de la foi.
Rendez nous le sacré et la transcendance. Parlez- nous du salut des âmes. Quel blabla !
Les plus petits, ce sont les jeunes, pas les femmes.
À quand des femmes prêtre ?
@@ghislaine796 nous sommes tous Un en Christ...
Paroles et paroles ... seulement