Ce monsieur, Patrick Éveno, ne manque pas d'air. Il se défend d'être un ordre des journalistes et n'a que le mot "public" à la bouche. Regardons de plus près la composition du collège "public de cet organisme soi-disant tripartite. Sur 12 membres, dont Patrick Éveno, lui-même ancien journaliste, combien sont des usagers des médias “ordinaires“ ? Qui se cache derrière des étiquettes aussi incomplètes que le cercle des lecteurs de "Sud-Ouest" ou la société des lecteurs du "Monde" ? Nous avons une secrétaire de l’Alliance internationale de journalistes, un directeur commercial et marketing d’Electre (propriétaire de Livres Hebdo), auparavant cadre au Monde, chez Dalloz, à L’Argus de l’assurance et au Groupe Moniteur, un directeur de l’école de journalisme de Tours, une ancienne journaliste de “Sud-Ouest“ qui a ensuite monté une agence de communication, une professeur de droit à l'Institut français de presse (Université de Paris II-Panthéon Assas), un professeur émérite en sciences de l’information et de la communication à la Sorbonne nouvelle, une ancienne directrice du CELSA ( l’une des principales écoles de Journalisme, membre du Conseil scientifique de Paris Sorbonne, membre du comité éditorial de la revue Sociétal et secrétaire Générale de la Conférence Nationale des Métiers du Journalisme, et enfin un directeur de l’Ecole supérieure de journalisme de Lille. Voilà le collège "Public" du CDJM. Ces petits cachotiers prétendent donner des leçons de déontologie, mais ils ne font pas mieux que les médias dominants qui présentent comme des universitaires ou des experts des économistes qui ont partie liée avec le monde de la finance ou de l'industrie.
Ce monsieur, Patrick Éveno, ne manque pas d'air. Il se défend d'être un ordre des journalistes et n'a que le mot "public" à la bouche. Regardons de plus près la composition du collège "public de cet organisme soi-disant tripartite. Sur 12 membres, dont Patrick Éveno, lui-même ancien journaliste, combien sont des usagers des médias “ordinaires“ ? Qui se cache derrière des étiquettes aussi incomplètes que le cercle des lecteurs de "Sud-Ouest" ou la société des lecteurs du "Monde" ? Nous avons une secrétaire de l’Alliance internationale de journalistes, un directeur commercial et marketing d’Electre (propriétaire de Livres Hebdo), auparavant cadre au Monde, chez Dalloz, à L’Argus de l’assurance et au Groupe Moniteur, un directeur de l’école de journalisme de Tours, une ancienne journaliste de “Sud-Ouest“ qui a ensuite monté une agence de communication, une professeur de droit à l'Institut français de presse (Université de Paris II-Panthéon Assas), un professeur émérite en sciences de l’information et de la communication à la Sorbonne nouvelle, une ancienne directrice du CELSA ( l’une des principales écoles de Journalisme, membre du Conseil scientifique de Paris Sorbonne, membre du comité éditorial de la revue Sociétal et secrétaire Générale de la Conférence Nationale des Métiers du Journalisme, et enfin un directeur de l’Ecole supérieure de journalisme de Lille.
Voilà le collège "Public" du CDJM. Ces petits cachotiers prétendent donner des leçons de déontologie, mais ils ne font pas mieux que les médias dominants qui présentent comme des universitaires ou des experts des économistes qui ont partie liée avec le monde de la finance ou de l'industrie.