Cela me fait penser à Marie, la femme discrète, la mère discrète, la femme gracieuse, la femme douce et attentionné, la mère aimante. Je t'Aime Sainte Vierge Marie ❤️🔥 Merci Père Boulad.
La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait. Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père. Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction. Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
Une homélie tout simplement sublime.Dieu te bénisse mon père et te garde longtemps encore parmi nous.Le monde actuel à besoin d'homme comme toi qui éveille les consciences.Tu es pour moi un prophète des temps modernes.Gloire à la femme.Sois béni
La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait. Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père. Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction. Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait. Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père. Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction. Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
Bonsoir Père Entièrement d'accord avec votre homélie. Demeurons ce que nous sommes. Nous n'avons rien à prouver, nous n'avons pas besoin de nous mesurer à l'homme. Soyons ce que nous sommes et vivons ce que nous avons à vivre dans notre humanité féminine . DIEU notre Créateur sait ce qu'Il fait. Merci Père Henri BOULAD de nous le redire. Ces paroles me font beaucoup de bien, car c'est ce que j'ai toujours ressenti au fond de moi et que je vis au quotidien dans ma vie (sociale, professionnelle, familiale...) Que DIEU vous bénisse 🙏🙏🙏
La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait. Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père. Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction. Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait. Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père. Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction. Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait1. Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à 1521 Il suffit pour s’en convaincre de lire l’affligeant Malaise dans la civilisationpublié par Sigmund Freud en 1929.2 Les femmes se suicident deux fois moins que les hommes, sont plus rarement alcooliques, donc moins souvent poètes... accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père. Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction.Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
@Rosalie Dupres mais bien sûr tu as entièrement raison. Ma pauvre rosalie tu es d'un orgueil qui ferait pâlir l'everest de jalousie. Aucune bonté dans tes commentaires:madame veut étre vizir à la place du vizir et comme tous les vaniteux tu ne supportes pas la vraie bonté du coeur et de l'âme À mon avis je dors beaucoup moins que toi,à veiller pour préparer la place pour le seigneur qui est à la porte pendant que toi tu megotes et balance ta haine sur internet. Étant donné que Dieu connaît tout y compris le nombre de cheveux que tu as sur la tête,tes blasphèmes très cartesiens (Descartes c'est juste immonde)n'échappent pas à Dieu. Ça n'est pas être naïf où naïve que d'aimer son prochain mais un commandement des plus capitaux. Toi ce que tu aimes c'est balancer ta science n'importe comment à propos de n'importe quoi et épater les gens dans le souci évident de les soumettre ou les dominer n'est ce pas? Allons cela n'echappe pas au juge suprême tes petits arrangements ave ta conscience. Heureux les pauvres et les simples d'esprit Bon voyage ......orgueilleuse.
Très cher Père je demande à Jésus de vous bénir chaque jour.C'est si vrais ce que vous dites. JE SUIS EN TANT QUE FEMME SANS MOT DE VOIR TOUS CES FEMMES, QUI NE SONT PLUS FEMMES MAIS DES OBJETS..JE PRIE POUR ELLES.....
La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait. Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père. Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction. Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait. Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père. Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction. Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
Du calme, chers frère et soeur. Dieu fait un ciel nouveau et une terre nouvelle. Il nous a montré combien nous pouvions être la dupe du diable en voulant se prendre pour Lui. C'est l'âge de la réparation, pour enfin sortir de l'absurdie monde. Faisons converger nos consciences dans le bon sens , et toutes ces lois iniques dont personnes ne veut sinon une minorité bruyante et gonflé de médiacratie, retomberont comme un soufflet. Dieu est bien de nous mettre le nez dans notre ... Sa miséricorde actuelle est la purification. Merci Padre Henri.
🙏🙏🏿🙏🏼!🙏🙏🏿🙏🏼! Merci infiniment Mon Père en espérant que plusieurs d'entre nous entendront ce message qui doit nous permettre de réfléchir objectivement à la place de la femme dans notre société... que DIEU vous bénisse abondamment et nous vienne en aide 🙏🏼🙏🏿🙏,!
Merciiiiii Père Boulad ! Cette homélie n'abordait pas un sujet facile...loin s'en faut ! Ce changement de conception de la femme est une manipulation politique depuis des décennies...Nous avons à être nous-mêmes un point c'est tout...le complémentaire de l'homme (et ça n'a rien de dégradant !) même si parfois, qd la vie est difficile, ns devons porter le pantalon pour survivre et faire vivre décemmentnos enfants...nous n'en n'oublions pas d'être fille, femme, sœur et mère... Merci pour votre courage par rapport à votre "hiérarchie" qui d'après ce que je crois savoir à pris un tournant à 180 °... Soyez béni Père Boulad ! 🙏✝️
La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait. Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père. Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction. Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
C'est tellement beau ! Je suis fière d'être femme quand une personne comme le père Boulad met en avant le magnifique rôle que Dieu nous a donné sur terre !
La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique. D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait. Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père. Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction. Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait. Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père. Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction. Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait. Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père. Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction. Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
La Femme est l'Avenir de l'Homme. Sans la femme ! Pas d'homme ! La femme même droits et mêmes devoirs que l'homme ! Dénigrer, diminuer la Femme, c'est dénigrer Marie la Mère de Jésus.
Je considère la femme comme un trésor. Je ne dois pas être loin de vos propos 😁 Merci père boulad, encore une homélie qui a le mérite de faire réfléchir et d'écouter notre coeur en même temps.
La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait. Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père. Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction. Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait. Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père. Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction. Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait. Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père. Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction. Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait. Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père. Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction. Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
Merci!!j en parle beaucoup de ce revers de sexe..ça me chagrine..les femmes deviennent des hommes..triste!!triste!!merci!!suis coquette on me dit jolie.,merci dieu!!a vous père merci !!merci!!merci!!Marie
La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait. Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père. Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction. Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
Quel bel exposé merci Père Boulard, comme vous avez dans ce monde aujourd'hui on dit plus souvent "je possede donc je suis" et non plus" je pense donc je suis" Quelle fine analyse, l'être est tellement important je trouve qu'il complète à merveille l'esprit. L'un ne va sans l'autre.....
merci mon père, beaucoup ont oublié que c'est le christianisme qui a donné à la femme toute sa dignité ! nos églises pleines de Marie en témoignent ! tous ceux qui cherchent aujourd'hui à détruire la famille, ont commencé par détruire le regard que la femme porte sur elle-même !
Et on a beaucoup complexé la femme en lui faisant croire qu’elle n’était jamais assez bien... Ma mère avait un tout autre regard sur son corps que celui de ma génération, à traquer chaque poil, chaque soi-disant défaut. Nous sommes devenues esclaves. Et ni le travail, ni le couple seuls ne peuvent nous satisfaire vraiment. Nous avons besoin d’une sororité, entre femmes, communautaires et non rivales de quoi que ce soit.
Et n’oublions pas, c’est exactement ce qu’a fait le serpent en Eden, il s’est attaqué à la femme d’abord. Une fois affaiblie, séduite, diminuée, ou détournée du but, l’humanité entière fut déchue.
La Femme ne changera pas seulement le monde Elle changera le visage de L'église. SI je veux aller plus près de DIEU lorsque je serai parti je vais m'accrocher à ma femme quand elle va passé à côté de MOI pour Aller encore plus près
La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait. Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père. Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction. Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
Merci Padré. Si Dieu voulait permettre à chacun de choisir son sexe, alors il nous aurait permis de naître sans un sexe et une fois l'âge de raison atteint, on pourrait choisir. Mais hélas, ce n'est pas le cas. Dieu nous confie chacun une destinée, une mission, un sexe, une famille, un pays, une humanité. Assumons notre statut et recherchons la sainteté.
Bonsoir mon père Vous avez tellement bien cerné la femme que vous décrivez si bien. D accord sur les homosexuels. Il y a un truc qui ne tourne plus rond dans ce monde. Prions pour ces pauvres enfants qui seront créés juste pour des couples homosexuels. Ils leur manquera un père ou une mère 😭😭😭
La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait. Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père. Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction. Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait. Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père. Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction. Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
Espérons , oui, que la femme restera ce qu'elle est ; une source de joie , de beauté , de lumière ; elle rayonne c'est juste , plus que l'homme et sa réserve est aussi importante et fait partie aussi de son mystère. Mais hélas tout cela est galvaudé aujourd'hui , nié et la femme veut ressembler à l;homme et l'égalitarisme rejoue les dés et le résultat est une confusion grandissante et le féminisme se durcit et la femme n'est plus la femme et la lumiére et le mystére disparaissent...L'homme s'enfuit ou se soumet aux nouveau paradigme politiquement correct ... et on affiche des slogans "j;ai deux papas! car il faut faire la pub aprés lois dites "familles " qui ne sont que la destruction programée de la famille . Je n'ai rien contre l'homosexualité , en faire une institution , c'est une autre affaire ;;;
Que la Vierge Marie favorise la diffusion urgente du chef d'oeuvre de S. Albert le Grand qui vient de sortir enfin en français : www.editionsbeya.com/collection/la-bible-mariale
Je reçois je sais que dieu dit pas souvent il. As donner l inteligense et pourquoi sentir aujourd’hui cette urgence de dieu et alors que tous prie pour les donc moi j en voulais pas c es une lourde responsabilité et moi qui voulais pas avoir un donc c es une lourde responsabilité et j ai essayer de dire de se préparer j ai pourtant pas envie je ressentais si fort se coeur qui bat et il as pourtant dit encore pourquoi refuse tu le donc que je te donne mais pour cette responsabilité moi j avais juste envie de rester derrière de oas parler de pas déranger et pourtant se dû si difficile c es pas de moi qu ont parlé mais d un message à faire passer et pourquoi pas donner sa à une autre persienne dite que je voyais des virus moi qui suis finis qui veut juste rester à ma place moi sui suis une petite personne j ai été à côté de mon maris et pourtant que faire je reçois pas siuvdvt dr la j ai eu cette pêne de perdre mon maris et je reste juste fs la main de Dieu près de son cœur et moi qui voulais pas devoir tout sa m’a pourtant été donner et je suis une petite personne et j ai été à la maison j ai pas été au déjà toute petite personne alors oui si Dieu donne que faire si ont et déjà petite personne qui as juste une vie si simple et qui aime pas déranger Maus quad dieu veut dire quelque chose je peut vs dire qu ont et pas écouter et j ai pleurer pas pour moi Mais pour ceux que dieu voulais juste avertir de ne pas avoir oas écouter ont et pas souvent un instrument mais la première fois se dû pour une personne qui voulais s enlever la vie super vraiment toute la cérémonie je ressentais cette personne qui allais s enlever la vie alors j ai dit à dieu tu peut dire sa à une autre personne plus en vue plus connue et ruée au dernière parole j ai pris mon courage à deux mais j ai pensée en moi Maus si c états vrai que je dise rien et que cette personne s enlevé la vie je serai responsable de pas avoir dit se que dieu m’a donner alors moi si petite persienne j ai dit as t il ici une personne qui veut s enlever la vie et oui c états le cas je l avais jamais vue je l ai jamais revue mais avais vevdu tout se sui lui appartenait avait remis sont appartement et venue au culte svsvt de s enlever la vie oui c es oas se qu ont crois que dieu ns aime que tout iras bien écrit non c états une vie une vie qui voulais plus vivre sue de responsabilité moi cette petite personne qui aimais pas être en avant mais si je n avais pas saisis le courage de Parker de juste etres à son écoute je suis rien mais ece que c es une responsabilité alors je me suis dite si je me trompe tant pis au moin si c es vrai et si dieu m’a demander de dire à cette personne que il svsus vu sa souffrance je me serai reprocher toute ma vie d avoir rien dit pourquoi choisir moi qui voulais pas tout sa alors que tous veulent prie pour recevoir des donc oublier pas la responsabilité qui sont lier à se que dieu donne voilà Fabienne Loosli impasse du lèvent 2 / 2114 Fleurier suisse
" L'homme c'est la conscience, la femme c'est le mystère "... Combien de couples ai-je vu où la femme est beaucoup plus consciente et lucide que son mari. Je crois que vous fantasmez quelque chose d'un peu irréel, monsieur Boulad, sauf le respect que je vous dois.
Mon père, quel est le sort réservé à ceux qui ne savent ni lire ni écrire qui ne comprendront pas vos homélies ? Je veux dire de ces pauvres qui ont pas un téléphone accessible à TH-cam, ignorant du monde, du bien et du mal par leur malchance d’être née dans les endroits sombres du monde ???
La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait. Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père. Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction. Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait. Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père. Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction. Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
Femme si tu savais la valeur que Dieu t’a donné tu quitterais vite l.esprit de ce monde qui te rends photocopie. Injuste alors que Dieu t’a choisi pour porter son fils et le faire naître dans ce monde.et c est pour cela qui eu les anges déchu .ils n’ont pas accepté qu’une femme est mère de toutes humanités et de tous hommmm amen.🙏🕯🥰🤱
Il enfonce des portes ouvertes. Il n'y a pas de doute qu'il n'est pas du tout un homosexuel (il admire toujours la femme dans un groupe de personnes, ce qui n'est pas mon cas, moi qui suis pourtant homme et hétérosexuel). J'ai plus de 60 ans et j'ai compris tout cela dès l'école maternelle. Je subis depuis tout ce temps des discours féministes, en général justifiés il faut bien l'admettre. Mais aujourd'hui, après en avoir tant entendu, j'aurais plutôt tendance à plaindre le garçon qui vient de naître. Qu'est-ce qu'il va encore être obligé d'entendre, le pauvre !
La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait. Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père. Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction. Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
Les Juifs adorent parler de pudeur et pourtant on les retrouve beaucoup dans le monde de l'érotisme et de la pornographie. Faites ce que je dis, pas ce que je fais ? Une belle femme nue ce n'est pas désagréable à regarder. Contempler la création divine n'est pas un péché. L'orgueil, le jugement, le mensonge, si!
La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie. Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait. Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui. Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait. Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père. Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction. Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
Merci mr l'Abbé, mais je dois conclure que vous dénoncez également, l'avortement, le divorce, et mariage pour tous, mais que vous êtes pour l'éclatement de la famille traditionnel, parce que ''la femme'' aujourd'hui c'est un panier de crabe, et pareil pour ''l'homme'' des lesbiennes c'est encore ds femmes?des gay sont encore des hommes? une femme salariée au service de son employeur et celle qui choisit d'allaiter et d'éduquer ses enfants travail autant, et mériterait surtout de la part d'un homme d'église s'il en est, d'être souligné et pas la balancé dans le panier lesbiennes, paxé, divorcé ou célibataire, pro avorteuse.
La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.La femme n'est pas un mystère : L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques. Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait. Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père. Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction. Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
Merci Père Boulad pour cette belle homélie nous n avons rien à prouver que Dieu vous bénisse et vous garde encore longtemps parmi nous AMEN
Merciiii père pour l'éclaircissement de la femme que je suis que Dieu nous aide à être ce que nous sommes. Soit béni père
Cela me fait penser à Marie, la femme discrète, la mère discrète, la femme gracieuse, la femme douce et attentionné, la mère aimante.
Je t'Aime Sainte Vierge Marie ❤️🔥
Merci Père Boulad.
th-cam.com/video/N4FrtKqpTsM/w-d-xo.html
Père Henri au dela de la tombe tu restes toujours une lumière pour moi.Tu aurais du être le Pape car l'esprit du Christ t'habitues pleinement.
Dès que tu cherches la femme uniquement dans son corps , tu la rates. Merci beaucoup père Boulad. Que la grâce de Dieu nous localise. Amen
MERCI🤲🏾🙏🏽🙏🏽🙏🏽🙏🏽 DE L INTERV🤲🏾ENTION DU SAINT❤❤❤💞 ESPRIT 🤲🏾SUR 🤲🏾❤LA FEMME ❤MERCI🤲🏾🙏🏽 POUR❤ LES FEMMES❤ QUI PEUVENT❤ CHANGER LE MONDE🤲🏾🙏🏽🙏🏽🙏🏽🙏🏽🙏🏽🙏🏽❤
La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.
Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père.
Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction.
Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
@@mailsweb4144 tu vas nous casser les couilles longtemps toi ????
Merci Père Boulad pour l’éloge de la femme.
Que Dieu vous bénisse.
🙏❤️
th-cam.com/video/N4FrtKqpTsM/w-d-xo.html
Merci mon Père pour cette homélie, et merci pour ce message aux femmes.
Paix à vous
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Merci mon père pour cette homélie et remise en ordre.
Demeurez béni
Une homélie tout simplement sublime.Dieu te bénisse mon père et te garde longtemps encore parmi nous.Le monde actuel à besoin d'homme comme toi qui éveille les consciences.Tu es pour moi un prophète des temps modernes.Gloire à la femme.Sois béni
La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.
Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père.
Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction.
Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
Père Henri, que le Seigneur te donne la Vie et te protège !
La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.
Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père.
Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction.
Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
Bonsoir Père
Entièrement d'accord avec votre homélie.
Demeurons ce que nous sommes.
Nous n'avons rien à prouver, nous n'avons pas besoin de nous mesurer à l'homme. Soyons ce que nous sommes et vivons ce que nous avons à vivre dans notre humanité féminine .
DIEU notre Créateur sait ce qu'Il fait.
Merci Père Henri BOULAD de nous le redire. Ces paroles me font beaucoup de bien, car c'est ce que j'ai toujours ressenti au fond de moi et que je vis au quotidien dans ma vie (sociale, professionnelle, familiale...)
Que DIEU vous bénisse 🙏🙏🙏
La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.
Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père.
Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction.
Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
Magnifique pour ces paroles père boulad que dieu nous et vous bénisse.
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Enfin une personne qui est capable de nous parler de la femme en tant que femme et non en voulant être égal à l'homme.
La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.
Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père.
Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction.
Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
@@mailsweb4144 Ce que le Père Boulad dit vous analysez ça avec votre tête et moi avec les yeux du cœur.
Mon Père je t'adore, t, es un don de Dieu pour nous.
Sois beni abondemment. Amen
th-cam.com/video/N4FrtKqpTsM/w-d-xo.html
Femme, beauté, gardienne, amour et générosité.
Merci père ♡
Cet homme est d une lucidité incroyable !
@@anne-lisebouvier128 ah oui Anne! sanctus17gloria@gmail.com
@@anne-lisebouvier128 Amen
La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait1.
Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à 1521 Il suffit pour s’en convaincre de lire l’affligeant Malaise dans la civilisationpublié par Sigmund Freud en 1929.2 Les femmes se suicident deux fois moins que les hommes, sont plus rarement alcooliques, donc moins souvent poètes...
accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père.
Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction.Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
@Rosalie Dupres surkiffez donc suppot de Satan.
@Rosalie Dupres mais bien sûr tu as entièrement raison.
Ma pauvre rosalie tu es d'un orgueil qui ferait pâlir l'everest de jalousie.
Aucune bonté dans tes commentaires:madame veut étre vizir à la place du vizir et comme tous les vaniteux tu ne supportes pas la vraie bonté du coeur et de l'âme
À mon avis je dors beaucoup moins que toi,à veiller pour préparer la place pour le seigneur qui est à la porte pendant que toi tu megotes et balance ta haine sur internet.
Étant donné que Dieu connaît tout y compris le nombre de cheveux que tu as sur la tête,tes blasphèmes très cartesiens (Descartes c'est juste immonde)n'échappent pas à Dieu.
Ça n'est pas être naïf où naïve que d'aimer son prochain mais un commandement des plus capitaux.
Toi ce que tu aimes c'est balancer ta science n'importe comment à propos de n'importe quoi et épater les gens dans le souci évident de les soumettre ou les dominer n'est ce pas?
Allons cela n'echappe pas au juge suprême tes petits arrangements ave ta conscience.
Heureux les pauvres et les simples d'esprit
Bon voyage ......orgueilleuse.
Merci ❤️ Père Boulad pour ses belles paroles.
Proverbes 31 : 10 a 31 .
Très cher Père je demande à Jésus de vous bénir chaque jour.C'est si vrais ce que vous dites. JE SUIS EN TANT QUE FEMME SANS MOT DE VOIR TOUS CES FEMMES, QUI NE SONT PLUS FEMMES MAIS DES OBJETS..JE PRIE POUR ELLES.....
La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.
Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père.
Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction.
Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
Femme, 32 ans, épouse, jeune maman, je vous remercie du fond du coeur pour le respect que vous avez pour moi mon Père !
La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.
Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père.
Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction.
Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
❤❤❤ père je vous aimes
🕊 Gratitude Infinie pour vos Homélies Mon Père
th-cam.com/video/N4FrtKqpTsM/w-d-xo.html
Du calme, chers frère et soeur. Dieu fait un ciel nouveau et une terre nouvelle. Il nous a montré combien nous pouvions être la dupe du diable en voulant se prendre pour Lui. C'est l'âge de la réparation, pour enfin sortir de l'absurdie monde. Faisons converger nos consciences dans le bon sens , et toutes ces lois iniques dont personnes ne veut sinon une minorité bruyante et gonflé de médiacratie, retomberont comme un soufflet. Dieu est bien de nous mettre le nez dans notre ... Sa miséricorde actuelle est la purification. Merci Padre Henri.
🙏🙏🏿🙏🏼!🙏🙏🏿🙏🏼! Merci infiniment Mon Père en espérant que plusieurs d'entre nous entendront ce message qui doit nous permettre de réfléchir objectivement à la place de la femme dans notre société... que DIEU vous bénisse abondamment et nous vienne en aide 🙏🏼🙏🏿🙏,!
Honoré de vous écouter. Votre homélie merveilleuse merci.
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Merciiiiii Père Boulad ! Cette homélie n'abordait pas un sujet facile...loin s'en faut ! Ce changement de conception de la femme est une manipulation politique depuis des décennies...Nous avons à être nous-mêmes un point c'est tout...le complémentaire de l'homme (et ça n'a rien de dégradant !) même si parfois, qd la vie est difficile, ns devons porter le pantalon pour survivre et faire vivre décemmentnos enfants...nous n'en n'oublions pas d'être fille, femme, sœur et mère...
Merci pour votre courage par rapport à votre "hiérarchie" qui d'après ce que je crois savoir à pris un tournant à 180 °...
Soyez béni Père Boulad !
🙏✝️
Merci mon père de redonner à la femme sa vraie place dans le monde et dans la vie. Ne gâchons pas ce que dieu à créé.
La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.
Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père.
Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction.
Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
C'est tellement beau ! Je suis fière d'être femme quand une personne comme le père Boulad met en avant le magnifique rôle que Dieu nous a donné sur terre !
Oui soyez fière
Dieu a donné à Adam une créature mystérieuse,elle est la fin des créatures du Bon Dieu.
Merci 🙏
merci Père BOULAB un père et une mère et des enfants , que tous ces trafiquants corrompus soient éradiqués . AMEN
La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.
D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.
Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père.
Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction.
Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
Super père que l'Esprit-Saint soit Lumière sur nos cœurs. 🙏🙏🙏
La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.
Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père.
Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction.
Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
Merci Père Boulad pour vos enseignements
La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.
Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père.
Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction.
Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
Très juste mon père, nous confondons modernité et dépravation des mœurs à travers la mode.
th-cam.com/video/N4FrtKqpTsM/w-d-xo.html
La Femme est l'Avenir de l'Homme.
Sans la femme ! Pas d'homme !
La femme même droits et mêmes devoirs que l'homme !
Dénigrer, diminuer la Femme, c'est dénigrer Marie la Mère de Jésus.
Je considère la femme comme un trésor. Je ne dois pas être loin de vos propos 😁 Merci père boulad, encore une homélie qui a le mérite de faire réfléchir et d'écouter notre coeur en même temps.
th-cam.com/video/N4FrtKqpTsM/w-d-xo.html
Ohhhhh, he suis dans la joie a chaque fois que je suis ma blibiotheque. Merci infiniment mon pere ❣❣❣
La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.
Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père.
Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction.
Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
Que Dieu vous bénisse mon Père 🙏❤❤❤🙏 Amen
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Merci beaucoup pour vos commentaires
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Bel hommage à la femme, Cher Henri Boulad. Et comme vous la comprenez bien ! Vous êtes un amour. Merci 🌷 Béatrice 💕
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Bonne homélie. Emmanuel Levinas bien cité ici bravo pour ta culture philosophique
La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.
Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père.
Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction.
Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
Vérité mon père, restons Femme
La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.
Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père.
Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction.
Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
Merci padré.
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C très beau
Merci mon frère de m'avoir confirmé que je n'étais pas fou,a propos de,ce que je pense,du mYstère de la femme...
Muy bien ,padre Henri ,acertadísima su reflexión. Un abrazo
La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.
Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père.
Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction.
Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
Merci père Boulad
Merci!!j en parle beaucoup de ce revers de sexe..ça me chagrine..les femmes deviennent des hommes..triste!!triste!!merci!!suis coquette on me dit jolie.,merci dieu!!a vous père merci !!merci!!merci!!Marie
Merci pour votre analyse de la femme . Que Dieu vous bebidas Pere!
La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.
Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père.
Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction.
Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
Amen. J'ai perdu mon épouse il y a plus d'un an.La vie de ma vie
Très fort vrai !
Amen père Boulad
Magnifique il n'y a pas d'autre mot.....dans ce monde de concupiscence et d'amoralite, d'immoralité
Tout est dit amen
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Quel bel exposé merci Père Boulard, comme vous avez dans ce monde aujourd'hui on dit plus souvent "je possede donc je suis" et non plus" je pense donc je suis"
Quelle fine analyse, l'être est tellement important je trouve qu'il complète à merveille l'esprit.
L'un ne va sans l'autre.....
merci mon père, beaucoup ont oublié que c'est le christianisme qui a donné à la femme toute sa dignité ! nos églises pleines de Marie en témoignent ! tous ceux qui cherchent aujourd'hui à détruire la famille, ont commencé par détruire le regard que la femme porte sur elle-même !
Et on a beaucoup complexé la femme en lui faisant croire qu’elle n’était jamais assez bien... Ma mère avait un tout autre regard sur son corps que celui de ma génération, à traquer chaque poil, chaque soi-disant défaut. Nous sommes devenues esclaves. Et ni le travail, ni le couple seuls ne peuvent nous satisfaire vraiment. Nous avons besoin d’une sororité, entre femmes, communautaires et non rivales de quoi que ce soit.
Et n’oublions pas, c’est exactement ce qu’a fait le serpent en Eden, il s’est attaqué à la femme d’abord. Une fois affaiblie, séduite, diminuée, ou détournée du but, l’humanité entière fut déchue.
La Femme ne changera pas seulement le monde Elle changera le visage de L'église. SI je veux aller plus près de DIEU lorsque je serai parti je vais m'accrocher à ma femme quand elle va passé à côté de MOI pour Aller encore plus près
Merci mon père je suis femme je reste femme
La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.
Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père.
Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction.
Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
Très belle approche
Merci Padré. Si Dieu voulait permettre à chacun de choisir son sexe, alors il nous aurait permis de naître sans un sexe et une fois l'âge de raison atteint, on pourrait choisir. Mais hélas, ce n'est pas le cas. Dieu nous confie chacun une destinée, une mission, un sexe, une famille, un pays, une humanité. Assumons notre statut et recherchons la sainteté.
Amen
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Bonsoir mon père
Vous avez tellement bien cerné la femme que vous décrivez si bien. D accord sur les homosexuels. Il y a un truc qui ne tourne plus rond dans ce monde. Prions pour ces pauvres enfants qui seront créés juste pour des couples homosexuels. Ils leur manquera un père ou une mère 😭😭😭
La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.
Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père.
Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction.
Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
Tout à fait d’accord avec cette définition de la femme...Pourquoi notre sainte mère l’église ne la voit pas du même œil?
Amen!
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Je loue ton courage, il seulement tu pouvais le dire encore plus haut et plus fort et chaque jour pour que cette génération entendent et comprennent
Femmes je vous aime ...
La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.
Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père.
Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction.
Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
Soyons vieux jeu c'est un homme et une femme.
Je parle de vous sur instagram @Laetitia_White_007
th-cam.com/video/N4FrtKqpTsM/w-d-xo.html
Espérons , oui, que la femme restera ce qu'elle est ; une source de joie , de beauté , de lumière ; elle rayonne c'est juste , plus que l'homme et sa réserve est aussi importante et fait partie aussi de son mystère. Mais hélas tout cela est galvaudé aujourd'hui , nié et la femme veut ressembler à l;homme et l'égalitarisme rejoue les dés et le résultat est une confusion grandissante et le féminisme se durcit et la femme n'est plus la femme et la lumiére et le mystére disparaissent...L'homme s'enfuit ou se soumet aux nouveau paradigme politiquement correct ... et on affiche des slogans "j;ai deux papas! car il faut faire la pub aprés lois dites "familles " qui ne sont que la destruction programée de la famille . Je n'ai rien contre l'homosexualité , en faire une institution , c'est une autre affaire ;;;
📱👍🏾
Que la Vierge Marie favorise la diffusion urgente du chef d'oeuvre de S. Albert le Grand qui vient de sortir enfin en français :
www.editionsbeya.com/collection/la-bible-mariale
Quand bien même 1 homme se ferait transformer en femme, il ne pourra jamais penser comme elle
Je reçois je sais que dieu dit pas souvent il. As donner l inteligense et pourquoi sentir aujourd’hui cette urgence de dieu et alors que tous prie pour les donc moi j en voulais pas c es une lourde responsabilité et moi qui voulais pas avoir un donc c es une lourde responsabilité et j ai essayer de dire de se préparer j ai pourtant pas envie je ressentais si fort se coeur qui bat et il as pourtant dit encore pourquoi refuse tu le donc que je te donne mais pour cette responsabilité moi j avais juste envie de rester derrière de oas parler de pas déranger et pourtant se dû si difficile c es pas de moi qu ont parlé mais d un message à faire passer et pourquoi pas donner sa à une autre persienne dite que je voyais des virus moi qui suis finis qui veut juste rester à ma place moi sui suis une petite personne j ai été à côté de mon maris et pourtant que faire je reçois pas siuvdvt dr la j ai eu cette pêne de perdre mon maris et je reste juste fs la main de Dieu près de son cœur et moi qui voulais pas devoir tout sa m’a pourtant été donner et je suis une petite personne et j ai été à la maison j ai pas été au déjà toute petite personne alors oui si Dieu donne que faire si ont et déjà petite personne qui as juste une vie si simple et qui aime pas déranger Maus quad dieu veut dire quelque chose je peut vs dire qu ont et pas écouter et j ai pleurer pas pour moi Mais pour ceux que dieu voulais juste avertir de ne pas avoir oas écouter ont et pas souvent un instrument mais la première fois se dû pour une personne qui voulais s enlever la vie super vraiment toute la cérémonie je ressentais cette personne qui allais s enlever la vie alors j ai dit à dieu tu peut dire sa à une autre personne plus en vue plus connue et ruée au dernière parole j ai pris mon courage à deux mais j ai pensée en moi Maus si c états vrai que je dise rien et que cette personne s enlevé la vie je serai responsable de pas avoir dit se que dieu m’a donner alors moi si petite persienne j ai dit as t il ici une personne qui veut s enlever la vie et oui c états le cas je l avais jamais vue je l ai jamais revue mais avais vevdu tout se sui lui appartenait avait remis sont appartement et venue au culte svsvt de s enlever la vie oui c es oas se qu ont crois que dieu ns aime que tout iras bien écrit non c états une vie une vie qui voulais plus vivre sue de responsabilité moi cette petite personne qui aimais pas être en avant mais si je n avais pas saisis le courage de Parker de juste etres à son écoute je suis rien mais ece que c es une responsabilité alors je me suis dite si je me trompe tant pis au moin si c es vrai et si dieu m’a demander de dire à cette personne que il svsus vu sa souffrance je me serai reprocher toute ma vie d avoir rien dit pourquoi choisir moi qui voulais pas tout sa alors que tous veulent prie pour recevoir des donc oublier pas la responsabilité qui sont lier à se que dieu donne voilà Fabienne Loosli impasse du lèvent 2 / 2114 Fleurier suisse
La Femme, Ève ou Marie ?
" L'homme c'est la conscience, la femme c'est le mystère "... Combien de couples ai-je vu où la femme est beaucoup plus consciente et lucide que son mari. Je crois que vous fantasmez quelque chose d'un peu irréel, monsieur Boulad, sauf le respect que je vous dois.
Mon père, quel est le sort réservé à ceux qui ne savent ni lire ni écrire qui ne comprendront pas vos homélies ? Je veux dire de ces pauvres qui ont pas un téléphone accessible à TH-cam, ignorant du monde, du bien et du mal par leur malchance d’être née dans les endroits sombres du monde ???
La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.
Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père.
Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction.
Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
Pas un mot sur Marie, c'est bien. Elle est tellement surévaluée, surfaite, elle surpasserait Jésus.
La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.
Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père.
Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction.
Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
Femme si tu savais la valeur que Dieu t’a donné tu quitterais vite l.esprit de ce monde qui te rends photocopie. Injuste alors que Dieu t’a choisi pour porter son fils et le faire naître dans ce monde.et c est pour cela qui eu les anges déchu .ils n’ont pas accepté qu’une femme est mère de toutes humanités et de tous hommmm amen.🙏🕯🥰🤱
Il enfonce des portes ouvertes. Il n'y a pas de doute qu'il n'est pas du tout un homosexuel (il admire toujours la femme dans un groupe de personnes, ce qui n'est pas mon cas, moi qui suis pourtant homme et hétérosexuel). J'ai plus de 60 ans et j'ai compris tout cela dès l'école maternelle. Je subis depuis tout ce temps des discours féministes, en général justifiés il faut bien l'admettre. Mais aujourd'hui, après en avoir tant entendu, j'aurais plutôt tendance à plaindre le garçon qui vient de naître. Qu'est-ce qu'il va encore être obligé d'entendre, le pauvre !
La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.
Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père.
Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction.
Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
Les Juifs adorent parler de pudeur et pourtant on les retrouve beaucoup dans le monde de l'érotisme et de la pornographie.
Faites ce que je dis, pas ce que je fais ?
Une belle femme nue ce n'est pas désagréable à regarder. Contempler la création divine n'est pas un péché.
L'orgueil, le jugement, le mensonge, si!
Ménard n'ait maamar elle t'aime dieu
La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin).
Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie.
Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.
Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.
Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.
Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père.
Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction.
Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
Défend ton identité, on arrive à un temps la où on doit défendre le juste c vraiment triste
Merci mr l'Abbé, mais je dois conclure que vous dénoncez également, l'avortement, le divorce, et mariage pour tous, mais que vous êtes pour l'éclatement de la famille traditionnel, parce que ''la femme'' aujourd'hui c'est un panier de crabe, et pareil pour ''l'homme'' des lesbiennes c'est encore ds femmes?des gay sont encore des hommes?
une femme salariée au service de son employeur et celle qui choisit d'allaiter et d'éduquer ses enfants travail autant, et mériterait surtout de la part d'un homme d'église s'il en est, d'être souligné et pas la balancé dans le panier lesbiennes, paxé, divorcé ou célibataire, pro avorteuse.
La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.La femme n'est pas un mystère :
L’œdipe féminin (mère-fille-père)Par l’œdipe et le meurtre du père, le fils dispose donc de deux catégories mentales pour se représenter le monde. Catégories mentales dont l’amour pur pour la mère suivi de la rivalité franche avec le père (par la lutte et le travail) sont les origines concrètes ; ni biologiques, ni métaphysiques.
Or, du fait de la dissymétrie de l’œdipe et conséquemment de l’absence de meurtre du père chez la fille (pas de rivalité fille / père), ces deux catégories distinctes et hiérarchisées qui structurent l’esprit masculin ne se retrouvent pas chez la femme à l’identique.D’abord peut-on supposer, compte tenu des déterminations biologiques (côté fille) et de la “socialisation” des aspirations du corps (côté mère), que la relation mère-nourrisson femelle (féminin-féminin) est d’emblée moins satisfaisante que la relation mère-nourrisson mâle (féminin-masculin). Moindre complémentarité et moindre perfection de ce premier amour et de ce premier être dont plus tard la fille aura une moindre nostalgie - d’où sa plus grande solidité, devenue femme, face aux difficultés de la vie2.Acceptation plus précoce de la séparation (le sevrage) encore favorisée par l’apparition du père et l’attraction (masculin-féminin) qu’il exerce sur sa fille et que sa fille exerce sur lui.Du fait de la dissymétrie de l’œdipe, fille et garçon se retrouvent donc dans une situation affective inverse :- le garçon refuse de grandir pour continuer à vivre avec sa mère l’amour parfait.
Se résoudre à la séparation reviendra pour lui à accepter d’affronter le père et de faire sienne la douloureuse opposition amour / travail ;- la fille veut grandir (d’où maturité plus précoce) pour sortir de l’amour moins satisfaisant de la mère et aller vers l’amour du père.
Pour elle l’amour n’est donc pas cette passivité nostalgique opposée à l’effort, mais son projet : le travail de la séduction.
Il n’y a donc dans l’œdipe féminin ni meurtre du père (pas de rivalité fille / père), ni pour autant de meurtre de la mère (à cause de l’attachement fondamental du nourrisson à son géniteur direct), mais plutôt une évolution continue de l’amour-rivalité de la mère à l’amour-séduction du père, à l’intérieur d’une seule et même catégorie psychologico-affective, où tout travail est structurellement conçu comme la continuation de l’amour-séduction par un autre moyen.
*_Catholicisme = Religion aux mille mystères_*
Putain pourquoi t’est là toi
Amen
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