*Ridicule guerre de leadership autour du rythme « Tôba »* *Gbèzé et Alèvi, la honte !* Les artistes de la musique traditionnelle béninoise Apollinaire Houénou dit « Allèvi » et Modeste Tokponho alias Gbèzé Zèguèzougou s’illustrent depuis 2008 dans une guéguerre qui frisent la honte et ne participe pas de la promotion des valeurs morales et éthiques propres à l’œuvre d’art que constitue la musique. Ces deux confrères ont déjà tristement tout cassé avec leur talent. Plus rien à récupérer de la décennie de vie d’amitié qu’ils ont mené ensemble. Mais ce qui urge, c’est de mettre fin aux écarts de langage et les graves injures qu’ils enseignent à la postérité. De l’échec de la médiation de leur ami commun Sévérin Sètossi à celui de l’ancien maire d’Allada, Wilfried Gbégbédji, l’un des généreux donateurs des artistes de la région Fon et Mahi, on peut conclure que les dessous de la guéguerre entre les deux hommes sont ailleurs. « Si on pouvait fouiller les cœurs et les consciences, on retrouverait presque toujours à l’origine des haines sociales, une souffrance physique ou morale, une injustice ou un vice d’argent », Enseigne Laurent Barré. Le boycott des décisions issues de la rencontre du 12 janvier 2012 à la Préfecture d’Abomey, rencontre qui a réuni les Préfets des départements du Mono-Couffo, du Zou et des Collines, du directeur du Bureau béninois du droit d’auteur et des droits voisins, du directeur départementale du ministère de la culture, des différents représentants des associations des artistes sans oublier la présence remarquable de Alèdo et Gangnon, relève d’une indiscipline notoire. A ce propos, Jean Paul Sartre enseigne que la violence est injuste d'où qu'elle vienne. Ni Gbèzé, ni Allèvi, aucun des deux n’est vertueux dans cette crise. La situation actuelle appelle en urgence sous un format très étudié pour être efficace un dialogue de vérité, pour parer à cette déchéance morale orchestrée par ces deux artistes qui se croient dans un pays de non-droit où le respect à l’autorité de l'État peut être impunément bafoué. Ailleurs, plusieurs artistes s'entendent autour d'un même rythme pour l'imposer à l'international. C'est ce que nous voulons pour nos artistes nationaux. Pour le bon chrétien que je suis, je vous souhaite bonne fête de pentecôte *Gérard NOUGBE*
Toi, tu vaut rien hein! Donc tu crois que tu es de Mahi quoi ? Honnêtement, tu ne pas chanter comme gbeze, même pas un peu même. Toi, tu bavardes dans tout tes chansons, sinon tu parle seulement et c'est différent de chanson. Il faut te faite respecter.
*Ridicule guerre de leadership autour du rythme « Tôba »*
*Gbèzé et Alèvi, la honte !*
Les artistes de la musique traditionnelle béninoise Apollinaire
Houénou dit « Allèvi » et Modeste Tokponho alias Gbèzé Zèguèzougou
s’illustrent depuis 2008 dans une guéguerre qui frisent la honte et ne
participe pas de la promotion des valeurs morales et éthiques propres à
l’œuvre d’art que constitue la musique. Ces deux confrères ont déjà tristement
tout cassé avec leur talent. Plus rien à récupérer de la décennie de vie d’amitié qu’ils ont mené ensemble. Mais ce qui urge, c’est de
mettre fin aux écarts de langage et les graves injures qu’ils
enseignent à la postérité. De l’échec de la médiation de leur ami
commun Sévérin Sètossi à celui de l’ancien maire d’Allada, Wilfried
Gbégbédji, l’un des généreux donateurs des artistes de la région Fon
et Mahi, on peut conclure que les dessous de la guéguerre entre les
deux hommes sont ailleurs. « Si on pouvait fouiller les cœurs et les
consciences, on retrouverait presque toujours à l’origine des haines
sociales, une souffrance physique ou morale, une injustice ou un vice
d’argent », Enseigne Laurent Barré. Le boycott des décisions issues de la rencontre du 12 janvier 2012 à la Préfecture d’Abomey,
rencontre qui a réuni les Préfets des départements du Mono-Couffo, du Zou et des Collines, du directeur du Bureau béninois du droit d’auteur
et des droits voisins, du directeur départementale du ministère de la
culture, des différents représentants des associations des artistes
sans oublier la présence remarquable de Alèdo et Gangnon, relève d’une
indiscipline notoire. A ce propos, Jean Paul Sartre enseigne que la
violence est injuste d'où qu'elle vienne. Ni Gbèzé, ni Allèvi, aucun
des deux n’est vertueux dans cette crise. La situation actuelle
appelle en urgence sous un format très étudié pour être efficace un
dialogue de vérité, pour parer à cette déchéance morale orchestrée par
ces deux artistes qui se croient dans un pays de non-droit où le
respect à l’autorité de l'État peut être impunément bafoué. Ailleurs, plusieurs artistes s'entendent autour d'un même rythme pour l'imposer à l'international. C'est ce que nous voulons pour nos artistes nationaux. Pour le bon chrétien que je suis, je vous souhaite bonne fête de pentecôte
*Gérard NOUGBE*
👍
qui cherche ,trouve
c'est très cool
bravo
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Cool
Le maître vas y seulement
Vraiment 😅 allè Hannon.
super allevi le roi des rois
👍👍👍😁
allevi le roi de toba hanyé
Alevi c'est commente ?
Tu joue toba ou tchinkoume je ne comprend pas 😂
Toi, tu vaut rien hein! Donc tu crois que tu es de Mahi quoi ? Honnêtement, tu ne pas chanter comme gbeze, même pas un peu même. Toi, tu bavardes dans tout tes chansons, sinon tu parle seulement et c'est différent de chanson. Il faut te faite respecter.
Tu ne peux pas chanter comme gbeze
dit à gbeze de faire comme Allevi
Sorcière de mahi
Sorcière de mahi
Gbeze peut chanter en adja?
Cool