Querelle des Anciens et des Modernes. Philosophie de l'histoire ayant pour objet l'humanité adulte. Kant. La raison passe de raisonnable à rationnelle. Scission entre le scientifique et le philosophe. Capacité d'action (technique) contre sagesse. Querelle des Anciens et des Modernes. Philosophie de l'histoire ayant pour objet l'humanité adulte. 1:01:50 Le développement économique c'est la guerre . Démocratie , lutte de tous contre tous. 1:10:10 "Les Modernes croient que l'homme est un tout parfait " Vs l'homme imparfait, créature pécheresse.
Il a mis très exactement 1h18m51s pour dire que : - la Tradition c'est la raison universelle qui se conforme à la réalité, compréhensible en partie par la science tempérée par la prudence, et donc à l'existence de Dieu. - la modernité c'est la raison subjective (donc anti-rationnelle puisque la raison suppose son universalité et l'universalité suppose la non-contradiction) qui veut changer le réel par le biais de la science pour satisfaire ses désirs humains et ainsi se prendre pour Dieu en décidant du bien et du mal. À 35:22 il se trompe, tous les Hommes sont immortels (la mort du corps ne tue pas l'âme, même si spirituellement l'âme est considérée comme morte en état de péché mortel) et Dieu n'est pas immortel mais Éternel. On ne peut que se prendre pour Dieu et pas le devenir car on a été créé à un moment donné, ce qui n'est pas le cas de Dieu. PS : si quelqu'un veut bien m'expliquer la formule de Rousseau à 1:07:08. Je n'ai absolument rien compris.
@@martinepichon7907 Vous croyez ? Merci. Voici une citation de Rousseau qui peut faire écho avec ce que rapporte Polin : « Puisque aucun homme n'a une autorité naturelle sur son semblable, et puisque la force ne produit aucun droit, restent donc les conventions pour base de toute autorité légitime parmi les hommes. » Rousseau ne semble pourtant pas raisonner en individualiste mû par le désir.
@@AsunyTV Rousseau raisonne en démocrate : si un désir, quel qu'il soit, est partagé par suffisamment de citoyens (on n'exige même pas la majorité puisque le référendum n'est guère pratiqué dans une démocratie), ou par des citoyens qui ont une influence assez grande, alors ce désir peut être validé sous forme de loi (de droit). C'est un désir individualiste, puisque les législateurs ne se posent pas la question du "bien commun", mais seulement de la liberté individuelle.
@@martinepichon7907 Wow! Je me demande quel livre de Rousseau ou sur Rousseau vous avez bien pu lire. Plus vraissemblablement vous avez regardé une vidéo "Rousseau en 3 minutes trop cool" sur TH-cam... La notion de volonté générale telle qu'elle est développée dans le Contrat social par exemple est exactement l'anti-thèse de la cristalisation de "désirs" des ctoyens comme vous dites. Incroyable de soutenir de telles absurdités avec l'aplomb d'un Pape devant la plèbe. De plus, si vous aviez lu Rousseau l'idée d'un Rousseau démocrate vous paraîtrait problématique. N'a-t-il pas écrit que la démocratie n'est bonne que pour un peuple de dieux? Je vous laisse chercher la référence (que vous ne trouverez certainement jamais vu votre rapport à la lecture des oeuvres). Comprendre un auteur demande du temps, de la patience et un peu d'intelligence, ce dont vous semblez faire malheureusement preuve de carence significative.
Merci pour cette conférence très intéressante (malgré les nombreuses digressions) et toujours d'actualité.
Querelle des Anciens et des Modernes. Philosophie de l'histoire ayant pour objet l'humanité adulte. Kant. La raison passe de raisonnable à rationnelle. Scission entre le scientifique et le philosophe. Capacité d'action (technique) contre sagesse. Querelle des Anciens et des Modernes. Philosophie de l'histoire ayant pour objet l'humanité adulte.
1:01:50 Le développement économique c'est la guerre . Démocratie , lutte de tous contre tous.
1:10:10 "Les Modernes croient que l'homme est un tout parfait " Vs l'homme imparfait, créature pécheresse.
C 'est très intéressant
Muchas gracias.
Si alguien podía ayudarme más con el mecanismo de la modernidad,sobre todo aquella de Mexico.
Il a mis très exactement 1h18m51s pour dire que :
- la Tradition c'est la raison universelle qui se conforme à la réalité, compréhensible en partie par la science tempérée par la prudence, et donc à l'existence de Dieu.
- la modernité c'est la raison subjective (donc anti-rationnelle puisque la raison suppose son universalité et l'universalité suppose la non-contradiction) qui veut changer le réel par le biais de la science pour satisfaire ses désirs humains et ainsi se prendre pour Dieu en décidant du bien et du mal.
À 35:22 il se trompe, tous les Hommes sont immortels (la mort du corps ne tue pas l'âme, même si spirituellement l'âme est considérée comme morte en état de péché mortel) et Dieu n'est pas immortel mais Éternel. On ne peut que se prendre pour Dieu et pas le devenir car on a été créé à un moment donné, ce qui n'est pas le cas de Dieu.
PS : si quelqu'un veut bien m'expliquer la formule de Rousseau à 1:07:08. Je n'ai absolument rien compris.
Je pense que Rousseau veut dire que chacun a le droit d'avoir tout ce qu'il désire.
@@martinepichon7907 Vous croyez ? Merci.
Voici une citation de Rousseau qui peut faire écho avec ce que rapporte Polin : « Puisque aucun homme n'a une autorité naturelle sur son semblable, et puisque la force ne produit aucun droit, restent donc les conventions pour base de toute autorité légitime parmi les hommes. »
Rousseau ne semble pourtant pas raisonner en individualiste mû par le désir.
@@AsunyTV Rousseau raisonne en démocrate : si un désir, quel qu'il soit, est partagé par suffisamment de citoyens (on n'exige même pas la majorité puisque le référendum n'est guère pratiqué dans une démocratie), ou par des citoyens qui ont une influence assez grande, alors ce désir peut être validé sous forme de loi (de droit). C'est un désir individualiste, puisque les législateurs ne se posent pas la question du "bien commun", mais seulement de la liberté individuelle.
Merci de m'avoir fait gagner du temps. Je vous fait confiance.
@@martinepichon7907 Wow! Je me demande quel livre de Rousseau ou sur Rousseau vous avez bien pu lire. Plus vraissemblablement vous avez regardé une vidéo "Rousseau en 3 minutes trop cool" sur TH-cam... La notion de volonté générale telle qu'elle est développée dans le Contrat social par exemple est exactement l'anti-thèse de la cristalisation de "désirs" des ctoyens comme vous dites. Incroyable de soutenir de telles absurdités avec l'aplomb d'un Pape devant la plèbe. De plus, si vous aviez lu Rousseau l'idée d'un Rousseau démocrate vous paraîtrait problématique. N'a-t-il pas écrit que la démocratie n'est bonne que pour un peuple de dieux? Je vous laisse chercher la référence (que vous ne trouverez certainement jamais vu votre rapport à la lecture des oeuvres). Comprendre un auteur demande du temps, de la patience et un peu d'intelligence, ce dont vous semblez faire malheureusement preuve de carence significative.
D’où est extrait cette conférence svp ?
Je crois que c'est la conférence en entier. Car ça dure déjà plus d'une heure lol.
Presque parfait. :p
Pépite