VII (Sept) - la pendule

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  • เผยแพร่เมื่อ 29 ส.ค. 2024
  • Tu voulais de l'amour...cette fois c'est loupé
    Les bouquets sur ta tombe ont perdus leur senteur
    Elles ont pris ton corps ou détraqué nos cœurs
    Ta vie dans des cartons, des souvenirs de toi
    Poto j'ai ta gueule prise au photomaton
    On nettoie le canon qu'à mis fin à tes jours
    On se tatou des larmes sur le coin de nos joues
    On s'arme de patience, on attend des signes
    Ton visage on dessine, pour combler ton absence
    On avance dans le noir, sans les chiens pour guider
    Ta choisit ton histoire , ta voulu nous quitter
    Un nouveau départ, une éternité
    Identité d'un homme, un goss qui se répare
    On s'accroche à la tache, on voudrait du bonheur
    Tu me parlais d'honneur, mais tu pars comme un lâche
    Alors sache que je vis malgré tout, que j’oublie ta musique qui me fâche et m'étouffe
    Je ne renie pas tout, tes disques m'entourent
    Dans l'espoir d'un retour, je te voyais partout
    Certains t'ont connu, certains se la raconte
    Ça fais bien quelques mois que je ne vois plus ta tombe
    Je tolère les prières, pas celles en public,
    Celle de Taxi Driver ou de Stanley Kubrick
    Ils refont ton histoire, moi je refais ma vie
    Cette année c'est sans toi, que les beaux jours arrivent
    J'ai terminé mon deuil, je me sens plus balaise
    Quand je revois ta gueule, ne sent plus ce malaise
    Écouter tes rimes, ça n'est pas si facile
    J'ai ranger ma déprime , on fond de la pharmacie
    Peu à peu ton épouse ressort la tête de l'eau
    Mais toujours dans sa voix , il y a se trémolo
    Toi qu'étais palot, jamais très bavard
    Tu noyais ton cafard, dans de la menthe à l'eau.
    Les jaloux, les salauds , les ragots qu'ils racontent,
    Moi je les affrontent tous ces rats de salon
    L'adieu des copains, pour la paix de ton âme,
    Ceux pour qui t'étais Yann, pas qu'un chiffre romain
    Le rasoir dans l'évier, t'as plus rien dans les veines
    Embrasse mon arme, elle te dira je t'aime
    Un fusil dans la bouche, t'as besoin d'oxygène
    Chercher du repos dans un troupeau de hyènes
    Tu voulais de l'amour, cette fois c'est loupé
    Décapité l’espoir, t'as le diable au souper
    Des soupirs de pendus , des lavages d'estomac
    Des années de chômage a combattre des pendules
    ...

ความคิดเห็น • 1

  • @Classic19752
    @Classic19752 8 ปีที่แล้ว

    Gothard i know ,you know